Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19680Fiche technique19564 caractères19564
3399
Temps de lecture estimé : 14 mn
24/06/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Lucile, mon ancienne élève, s'installe à la maison pendant son stage.
Critères:  h fh hplusag jeunes profélève noculotte lingerie fellation -extraconj
Auteur : Duby      Envoi mini-message
Mes retrouvailles avec Lucile

Lucile était une de mes anciennes élèves. Je gardais d’elle un bon souvenir. Volontaire en classe, souriante, sympathique. À l’âge où les filles deviennent des femmes, j’avais aussi constaté qu’elle s’était transformée. Entre son année de Seconde et de Terminale, sa poitrine s’était affirmée et ses fesses élargies. Elle avait eu son bac sans mention, sans trop en faire, à l’image de sa scolarité des trois dernières années.


Quand les élèves obtiennent leur bac, ils disparaissent de nos horizons lycéens, et cèdent leur place dans le quotidien à d’autres, pas fondamentalement différents, toutefois. Il arrive que certains viennent nous rendre visite ou que nous ayons le plaisir d’en croiser, ici dans un magasin, là dans la rue. Je ne vivais pas dans la ville où j’enseignais et pour ma part, il était donc rare que j’en croise hors du lycée. Nous savions, par le bouche-à-oreille, ce que devenaient certains ; si leurs projets d’après-bac avaient échoué ou s’ils avaient accompli ce qu’ils espéraient accomplir.


Lucile avait choisi une voie particulière, très éloignée de sa filière. Elle avait obtenu un bac scientifique, mais avait opté pour un diplôme dans l’édition. Cela m’avait surpris et je doutais un peu de ses chances de réussite : l’écriture et l’orthographe n’étaient pas ses points forts. Cela m’avait surtout interpellé, car ma compagne travaillait dans l’édition. Une maison d’édition de province, il n’y en avait plus beaucoup, mais ça marchait, et on ne se plaignait pas. Il ne fallait pas compter ses heures et aimer son métier – la paye n’était pas à la hauteur de l’investissement.


Bref, cette Lucile était une élève dont je gardais un bon souvenir, mais il commençait à s’évanouir lorsque ma compagne le réactiva un soir.



Puis, plus rien pendant quelques jours. Et un soir, le sujet revint sur le tapis.



Le lendemain matin, à la maison, devant mon ordinateur, je rédigeai un mail à Lucile.


Bonjour Lucile,

Je suis ton ancien prof d’anglais, peut-être te souviens-tu ? J’ai appris que tu avais passé un entretien pour un stage dans la maison d’édition où travaille ma compagne. J’espère pour toi que ça marchera et que tu vas bien.

Bonne journée.


Quelques heures plus tard, je reçus une réponse.


Bonjour,

Oui, je me souviens. Que de bons moments ! L’entretien s’est bien passé, mais je ne suis pas sûre de pouvoir prendre le stage, car c’est loin de chez moi et je ne peux pas louer deux logements…

Je cherche des solutions.

Bonne journée et merci pour votre mail.


Alors que compagne me disait que Lucile allait être engagée, j’abordai la réalité de ses problèmes de logement. Il se passa une bonne semaine de discussions, d’échanges, entre Lucile et l’entreprise, entre ma compagne et moi, et, vaguement, entre Lucile et moi… pour que nous arrivions à la décision suivante : proposer à Lucile de s’installer chez nous pendant la durée de son stage.


Lucile accepta et s’installa pour commencer son stage, début avril.

Elle arriva un dimanche et je fus assez surpris de la revoir. Nous vivions dans une assez grande maison, un pavillon où deux chambres étaient inoccupées. Pour lui laisser plus de liberté, nous avions décidé de lui donner l’unique chambre du rez-de-chaussée, spacieuse. Lorsqu’elle sonna, en début d’après-midi, nous étions sur la terrasse en train de boire un café. Je vis une jeune fille qui ressemblait beaucoup à celle que j’avais connue deux ans auparavant : cheveux un peu plus longs sans doute, mais le même corps. Un peu plus pulpeuse, peut-être.


Les premiers jours furent vraiment sympathiques, tout se passait super bien, on plaisantait beaucoup. Par la force des choses, nous avions décidé que le tutoiement serait de rigueur. Le matin, chacun partait avec sa voiture (sauf moi, qui évidemment travaillait à des horaires irréguliers et qui restait à la maison le vendredi). Nous mangions ensemble le soir, discutant de nos journées respectives, des aspirations de Lucile, de tout et de rien. Pour ma compagne et moi, il était plaisant d’avoir quelqu’un de dix ans de moins que nous à la maison, comme une petite cousine à qui nous apprenions certaines choses de la vie.


Je me rendis rapidement compte que la présence de Lucile ne me laissait pas indifférent. Ma compagne et moi étions en couple depuis six ans et vivions ensemble depuis trois ans. Une routine s’installait par période, on ne baisait plus beaucoup, mais on était bien ensemble. Il n’y avait pas de problème majeur, mais ça n’était plus tout à fait comme avant. Nous n’en faisions pas un grand sujet, car chacun de nous avait conscience que, la vie rêvée d’un couple, « joies et bonheurs au quotidien », cela appartenait rarement au monde réel. Cependant, l’arrivée de Lucile ranimait quelque chose. Il se passait quelque chose à la maison.


Je la surveillais souvent du coin de l’œil, je pouvais chaque jour faire un petit diagnostic de son évolution physique, je me commentais ce qu’elle portait, l’allure de ses vêtements et parfois de ses sous-vêtements (lorsque je les distinguais), le poids de ses seins…


Les beaux-jours du printemps aidant, je me retrouvais de plus en plus souvent à penser à elle. Ce qui devait arriver arriva et sous la douche, elle devint l’objet de mon fantasme. Je me masturbais en pensant à son corps…

Cela devenait obsédant. Elle aimait porter des jeans que ses fesses généreuses remplissaient parfaitement. Ses petits hauts décolletés laissaient souvent apparaître des soutiens-gorge simples, décorés d’une fine bande de dentelle.


Un vendredi, comme tous les vendredis, je me mis au travail à la maison. Mon bureau se trouvait à proximité de la chambre dans laquelle Lucile dormait/vivait. Je n’arrivais pas à rentrer dans ma journée, j’étais perturbé par plein de choses : la fin d’année scolaire qui approchait et les programmes que l’on peinait à boucler, certes, mais surtout, la présence de Lucile qui devenait envahissante. J’avais des images de sa peau, qui me semblait si douce ; je fantasmais sur la fraîcheur de ses seins ; sur l’odeur de son sexe…

Ne résistant plus, je pris une pause… qui m’amena dans la chambre de Lucile. Finalement, c’était chez moi, j’avais aussi le droit d’entrer dans cette pièce. Elle ne le saurait pas.


Le lit n’était pas fait, son pyjama à carreaux était posé en vrac sur l’oreiller. Je percevais son doux parfum dans la pièce. C’est alors que je vis ses deux grands sacs de voyage posés de l’autre côté du lit. Je m’approchai et entrepris de fouiller ce qui ressemblait davantage à des valises qu’à des sacs. Dans le premier, je trouvais des vêtements, plus légers que ce qu’elle avait porté jusque-là, mais la météo s’y prêtait. Un gros pull, deux-trois jeans et pantalons… rien de très intéressant. Le second fut bien plus croustillant. Après avoir regardé à quoi ressemblaient les jupes et robes, je tenais dans mes mains l’ensemble de ses sous-vêtements. Et c’était bien plus varié que ce que je croyais. Les soutiens-gorge étaient simples, efficaces, tels que je les percevais, mais les bas, à l’exception de quelques culottes unies en coton, étaient bien plus sexys : strings, tangas, shortys, il y avait de tout. Je pris un string orange en dentelle et le portai à mes narines… Déception, il sentait la lessive, évidemment. String toujours en main, je me fis la réflexion qu’elle devait porter autre chose hier. Je cherchais un peu partout et finis par trouver un grand sac en coton dans lequel elle rangeait son linge sale. Une culotte rose ornée de dentelle se trouvait dedans… hmmm, les effluves qui s’en dégageaient étaient une ode au sexe féminin.


Quelques secondes plus tard, le pantalon descendu aux chevilles, je me masturbai à l’aide de son string dans la main droite tout en reniflant cette culotte portée la veille que je tenais dans la main gauche. Il ne me fallut que quelques secondes pour envoyer des flots de sperme dans le lavabo de la salle de bain.

Un peu honteux, je rangeai tout ce que j’avais trouvé et repris des activités professionnelles plus sereinement, étonnamment.


Quelques jours plus tard, un lundi je crois, en dînant, nous parlions du mémoire que devait écrire Lucile pour son stage. Elle avait visiblement pris pas mal de retard et s’inquiétait de ne pas être dans les temps. Ma compagne, toujours aussi sympathique, avait obtenu qu’elle prenne deux jours à la maison – lundi ou vendredi – pour rédiger, si elle en ressentait le besoin. Tout ça ne fit qu’un tour dans ma tête et j’imaginais déjà Lucile et moi, seuls à la maison. Si notre imagination est souvent éloignée de la réalité, ça n’est pas toujours le cas, alors, sait-on jamais !



La discussion dériva sur les amis en question.


Arriva ce fameux vendredi où Lucile et moi étions tous les deux à la maison. Et il ne se passa rien. J’étais à l’affût, croyant que peut-être elle se jetterait sur moi, portée par un désir fou. Mais ça, c’était la différence entre un fantasme et une réalité. En fait, nous avons simplement mangé ensemble le midi, en copains. Elle portait une jupe légère qui s’apparentait presque à une jupe de tennis et un petit haut bleu marine très opaque (difficile de percevoir grand-chose de ses seins). Elle se baladait en tongs dans la maison, nous étions dans deux pièces proches l’une de l’autre, mais les heures passaient…


Vers 16 h, j’entendis un bruit sourd suivi d’une injure qui ne rendait pas grâce à sa voix.



Je me levai tout de même pour aller la voir. Elle était dans la cuisine à se prendre un coca et un petit goûter (les habitudes se perdent difficilement), et s’était tapé le genou droit contre un tiroir bas resté ouvert.



Et effectivement, on voyait une grosse éraflure.



Sophie rentra du boulot vers 17 h 30. Nous n’avions pas grand-chose à raconter après cette journée passionnante ! Mais au moins, Lucile avait avancé sur son mémoire ou rapport de stage. Elles firent un rapide point toutes les deux après manger. Ma compagne, qui devait se lever vers 5 h 30 pour rejoindre le salon qui lui ferait la journée, décida d’aller se coucher alors qu’il n’était que 21 h 30. Il était rare que je passe du temps avec Lucile le soir, comme ça, à deux dans le salon. Elle était assise à ma gauche, sur le canapé, les pieds posés sur la table basse. Elle portait toujours sa jupe de tenniswoman, mais un gilet recouvrait désormais le petit haut marine. Nous regardions une émission de questions-réponses sans grand intérêt, commentant certaines des réponses. Je lui demandais comment allait son genou et elle me dit qu’elle sentait comme un hématome, mais que ça irait.



Et elle alla la chercher dans « sa » chambre. Elle revint avec le tube, et c’est là que je constatai qu’elle n’avait plus de soutien-gorge, ce que je n’arrivais pas à savoir depuis la fin d’après-midi. On devinait des tétons durcis par la fraîche qui tombait déjà.

Elle fit sortir une toute petite noisette de crème translucide qu’elle étala sur le genou endolori. Je la regardais faire du coin de l’œil.



Je pris le tube et en fit sortir ce que j’estimais être la vraie quantité nécessaire.



C’est vrai que je me retrouvai un peu con avec ma crème à la main. Mais qui ne tente rien, n’a rien.



Elle fut sans doute un peu surprise, car son sourire disparut et son corps sembla frissonner. Je dessinais lentement des cercles de crème et avec la paume je caressais ce genou endolori par le tiroir de la cuisine.

La crème était désormais entrée et le silence se fit. Ma main restait sur son genou et descendit légèrement vers le tibia puis remonta lentement vers la cuisse nue de Lucile. Elle me regarda et, tendant ses lèvres vers les miennes, m’embrassa. Tournés l’un vers l’autre, nous nous embrassions dans le canapé sur lequel la chatte de Sophie m’avait accueilli tant de fois.


Ma main remonta vers sa culotte et, ô surprise, il n’y avait pas de culotte ! Je sentais le léger triangle de poils contre ma main. Mon index et mon majeur partirent à la découverte de cette petite forêt qui n’avait probablement pas souvent été explorée. J’écartais ses lèvres et sentis que le règne de l’humidité avait débuté depuis déjà de longues minutes. Sa langue était chaude, et ses mains cherchaient mon corps, se glissant sous mon polo puis cherchant à sentir le poids et la tension de mon sexe sous mon jean. Sa main gauche caressait la colline qui se dessinait sous ma braguette et je la suppliai de libérer ma queue, ce qu’elle fit au bout de quelques secondes.


Que c’était bon de respirer enfin. Je sentais ses douces mains sur moi, ses ongles fins qui remontaient des testicules vers le gland, me faisant frémir chaque fois un peu plus.

Moi qui pensais qu’elle n’avait probablement pas eu beaucoup d’expériences, je commençais à sérieusement en douter tant elle savait manier le manche avec délicatesse.



Je ne répondis pas, m’efforçant simplement de ne pas lui remplir les mains…



Je n’en pouvais plus, l’entendre parler comme ça ne faisait que m’exciter davantage ; mais elle relâcha mon sexe. Mes mains qui avaient perdu leur position initiale se réengagèrent rapidement sur le front et tout en l’embrassant, je pus – enfin ! – toucher et masser sa poitrine, puis la sentir, la respirer, la lécher et la sucer. Ses tétons étaient assez larges, bien durcis. J’avais envie de lui mordre les seins. Ma main droite reprit son travail d’exploration dans une zone qui était désormais totalement inondée. La cyprine coulait allègrement, mes doigts étaient trempés et le clitoris fut rapidement repéré.

Sa respiration accéléra à mesure que je fis pression sur son petit bouton. J’alternais des mouvements lents et rapides, des montées et des descentes, tout en continuant à embrasser tout ce qui venait à ma rencontre : ses seins fermes, son cou soyeux, sa langue chauffée à bloc, ses oreilles délicates…


Deux minutes suffirent à l’entendre gravir un orgasme qui la contenta de longues secondes. Elle recula d’abord puis son corps commença à se tendre, et les yeux fermés, ses mains cherchèrent quelque chose – ce fut d’abord mon visage, puis ses propres tétons qu’elle pinça… avant de gémir et de bloquer la main à l’origine de cette envolée.



Son corps avait besoin de récupérer, je la laissai souffler quelques secondes tout en la contemplant. Sa jupe était remontée à la taille, rejoignant son haut qui avait, lui, pris la route du sud. Sa chatte était assez touffue, mais derrière l’apparente pilosité se cachait une épilation en fait très travaillée ; un triangle fin aux contours très nets. Elle avait un corps encore jeune, frais, qui avait profité de la chaleur du soleil durant quelques étés, mais n’était pas brûlé ; qui avait fait du sport, mais n’en avait pas eu besoin ; qui avait connu des expériences sexuelles, mais n’avait pas été martyrisé.

Cette élève que j’avais eue dans mes salles de classe pendant trois ans était là, étendue sur mon canapé, nue, et je venais de la faire jouir.



J’étais à la fois excité par la proposition et un peu déçu. La soirée s’arrêtait là ?



Difficile de ne pas retrouver le sourire quand une jeune fille vous dit ça au coin de l’oreille. Et elle tint sa promesse. Elle se pencha sur mon sexe encore dur, mais, mal à l’aise, elle changea rapidement de position pour venir se mettre à genoux devant moi. Elle écarta mes cuisses, les caressa d’un geste doux et délicat puis, tout en me fixant, me dit :



Sa langue sortit la première, et en partant de la base de mon sexe, elle remonta lentement, comme si elle se délectait en léchant une glace. Elle alterna ces mouvements délicieux avec des moments où elle la prenait à pleine bouche. Les bruits de succion étaient une bande-son merveilleuse pour cette fin de soirée. Parfois, elle retirait sa bouche et se mettait à me masturber simplement avec sa main droite, comme si elle prenait plaisir à me regarder là, dans sa main, soumis à ses intentions. Elle alla même jusqu’à lécher les deux sacs de sperme qui se trouvaient sous ma queue tendue, chose que n’avait jamais réalisée Sophie en six années. Et j’adorais.



Elle afficha un grand sourire et replongea sur ma queue qu’elle suça jusqu’au bout à pleine bouche, jusqu’à ce qu’aucun membre de mon corps ne soit capable de résister, jusqu’à ce que toutes les digues cèdent, que la libération soit annoncée et prononcée, jusqu’à ce que le sperme coule dans sa bouche et au fond de sa gorge. Elle l’accueillit en douceur, comme si elle en avait l’habitude, maîtrisant les soubresauts de la bête, avalant régulièrement pour ne pas se trouver débordée par l’intensité des flux.

Et lorsque ce fut terminé, elle vint m’embrasser.


Elle ne représentait rien, je savais que je ne ferais pas ma vie avec elle et elle le savait tout autant, mais nous étions là parfaitement bien. Je savais que le lendemain nous ferions l’amour comme des bêtes parce que l’envie serait plus forte que le reste. Mais je savais aussi que cette histoire prendrait fin dans quelques semaines.