n° 19693 | Fiche technique | 17041 caractères | 17041Temps de lecture estimé : 11 mn | 04/07/20 |
Résumé: Lorsque je rentre chez moi après une semaine de boulot difficile, ma petite amie me fait un accueil très chaleureux. | ||||
Critères: fh couple voir fellation nopéné -couple | ||||
Auteur : Daffycricket Envoi mini-message |
Vendredi soir, dix-neuf heures trente. Ce weekend s’annonce mal, comme ceux des trois dernières semaines d’ailleurs.
Je suis en charge d’un projet pour une grande boîte de luxe française, et ça se passe assez mal. Nous devons lui livrer son nouveau site web, et nous avons trois semaines de retard. La cliente, une ex mannequin aimable comme une porte de prison, devenue responsable du marketing, change tout le temps d’avis et est insupportable. Elle ne fait aucun effort, et on dirait qu’elle éprouve même un malin plaisir à ce que nous soyons en galère.
Mon boss, Alex, me met une pression d’enfer pour que mon équipe et moi mettions les bouchées doubles et finissions ce projet au plus vite.
Je rentre à pied, je suis à moins de cinq minutes de chez moi, mon oreillette bluetooth dans les oreilles. Comme tous les soirs, toute l’équipe est en conf’call avec Alex pour lui faire un point sur l’avancement. Alex veut tout maîtriser, il veut tout savoir, il veut tout diriger. Je suis lessivé et j’en ai marre, mais je n’ai pas le choix si je veux garder mon boulot.
Mes pensées vont vers Alicia, ma petite amie, qui passe ce weekend chez moi. On est ensemble depuis deux mois, c’est mon rayon de soleil. J’ai hâte de la voir et de laisser ce foutu projet derrière moi pour deux jours.
C’est un petit gabarit, un mètre soixante maximum je dirais, et pas très épaisse. Ça tranche avec moi qui fait un mètre quatre vingt sept et qui avoisine les quatre vingt douze kilos. On pourrait penser à première vue que c’est un petit être fragile, mais à première vue seulement. C’est une petite boule d’énergie, toujours active et avec du caractère. Physiquement, elle a de belles formes malgré sa petite taille. Elle a notamment des fesses très rebondies qui lui font une cambrure d’enfer. Sa poitrine est plutôt petite, mais très ferme. Elle a des cheveux bruns bouclés qui lui tombent aux épaules, et des grands yeux verts pétillants. Et quand elle sourit, elle est radieuse.
Elle habite Nantes et moi Issy-Les-Moulineaux. Elle finit sa formation d’architecte : elle est en apprentissage là-bas pour encore quelques mois, et ensuite elle aimerait monter son étude d’architecture avec une de ses copines de promo. À Paris, ce qui me réjouit.
Mais en attendant qu’elle rejoigne Paname, on essaie de passer les week-ends en amoureux, généralement chez moi. Quand elle vient c’est mon bol d’air, elle sait me faire oublier les soucis de boulot. Nous sommes au début de l’été, mon esprit vagabonde. Je l’imagine déambuler dans Paris avec une petite jupe courte qui met ses fesses et ses belles jambes galbées en valeur. J’esquisse un sourire sans m’en rendre compte.
Deux mois c’est une chouette période pour un couple. On commence à se connaître un peu et on peut faire plaisir à l’autre. Mais on est aussi toujours en phase de découverte, et à tout moment il peut y avoir des surprises et des moments inattendus. Sans m’en douter, je vais vivre un de ces moments ce soir…
Quand je rentre chez moi, je sais qu’elle est déjà arrivée. Vers dix-huit heures trente elle m’avait envoyé un petit selfie. Sur la photo, devant ma porte, elle sourit et tire son top, très léger, vers le bas pour me montrer ostensiblement le haut de sa poitrine, je distingue même un téton. J’ai l’impression qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Son selfie est accompagné d’un petit message explicite « Il fait chaud, ne tarde pas trop. Je vais me faire belle. Kisses ! » Damn ! Elle sait comment attirer mon attention.
Je suis toujours en conf’call avec mon boss, j’enrage, je suis fatigué. L’un des développeurs web explique les problèmes qu’il a rencontrés aujourd’hui. Que ça s’arrête !
Je rentre dans mon appartement, et je vois de la lumière qui sort de la salle de bain, la porte est entrouverte : Alicia est là. À peine ai-je eu le temps de poser mon sac dans l’entrée, qu’elle ouvre la porte et me fait son sourire ravageur. Je montre du doigt l’oreillette bluetooth qui est dans mon oreille gauche et j’indique « téléphone » avec mes lèvres. Elle hoche la tête pour me dire qu’elle a compris.
Elle a une grande serviette autour de la taille, et une serviette autour des cheveux. Ses épaules sont encore humides, elle doit sortir de la douche à l’instant. Elle vient m’embrasser tendrement. Je suis dos contre la porte, elle m’enlace, je la serre dans mes bras. Sa peau a une odeur de lait de coco, cette senteur me drogue et je me sens d’un coup plus léger, mon cerveau commence à décrocher. Cette sensation est cependant de courte durée, Alex me pose une question à laquelle je dois répondre.
Alicia comprend vite que je suis encore empêtré dans mes problèmes de boulot.
Elle écarte alors sa poitrine de la mienne, recule un peu la tête et au bout de quelques secondes, me jette un regard espiègle avec un petit sourire malicieux. Puis elle se rapproche à nouveau de moi, m’entoure par la taille et commence à se lover contre moi en frottant le haut de son corps contre ma poitrine. J’apprécie son mouvement, et j’en profite pour serrer et malaxer gentiment ses fesses avec mes deux mains. Malgré la situation avec mon boss, je commence à être excité par son comportement et déjà mon érection est là. Elle sent ma queue durcir contre son bassin, ce qui lui donne encore plus de motivation. Son corps me serre encore plus, elle m’embrasse le cou, me mordille l’oreille. Je suis à sa merci : le dos contre la porte, je ne peux pas vraiment bouger et je dois rester dans la conversation au cas où.
Elle enlève alors la serviette de ses cheveux, et l’envoie valser délicatement au milieu du salon. Ses cheveux encore humides sentent l’amande, cette odeur se mixe avec celle de sa peau. Je commence à être enivré par Alicia. La conversation de boulot est de plus en plus lointaine.
Elle dégrafe les boutons de ma chemise d’une seule main (elle est très douée avec ses doigts), son autre main étant sur mes fesses. Elle touche délicatement ma poitrine, me caresse les pectoraux, puis descend lentement vers mes abdos. Elle aime toucher mon ventre, et caresser ma peau. Son toucher doux et lent me fait un bien fou. Elle sent que je bande maintenant très sérieusement, et elle vient caler sensuellement sa cuisse contre ma hanche, pour pouvoir encore plus rapprocher son bassin du mien.
Je suis hypnotisé. La liberté de l’oreillette bluetooth me permet de rester au téléphone, tout en parcourant le corps d’Alicia au travers de la serviette humide : son dos, ses fesses, ses hanches. J’ai envie de raccrocher et de la dévorer, mais je sais qu’à la fin mon boss va me demander un plan d’action pour lundi. Je suis déchiré entre honorer cette femme qui ne demande que ça, et sauvegarder mon job. Mais quoi que je fasse, mon cerveau est lentement mais sûrement en train de débrancher.
Alicia m’embrasse alors langoureusement, met sa main derrière ma tête et attrape ma queue à travers mon pantalon. Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir tellement son toucher me fait du bien. Elle encercle ma bosse doucement de ses doigts et commence à me branler à travers le tissu. Alex me pose une question et je réponds machinalement, je ne m’entends même pas parler tellement les caresses d’Alicia m’électrisent. Pendant que je parle elle me regarde avec un grand sourire. Je galère à me faire comprendre et je me rends compte que ça lui plaît d’avoir cet effet sur moi.
Quel hypocrite ! Et il se remet à parler et poser des questions à d’autres membres de l’équipe. Damn, j’ai raté le créneau j’aurais dû en profiter pour raccrocher en me faisant porter pâle.
Les caresses d’Alicia ont un effet terriblement excitant. Ma queue est à l’étroit dans ce pantalon, je n’ai qu’une envie c’est qu’Alicia la prenne enfin dans ses mains, qu’elle me touche. Ma bite commence à souffrir le martyr ! Je crie intérieurement.
Alicia l’a bien compris, mais elle en profite et prend son temps. Après des minutes interminables, elle finit par déboutonner mon pantalon et descendre le zip de ma fermeture Éclair. Elle fait large sourire en passant sa main sur la bosse de mon caleçon. Elle caresse avec le bout des doigts d’une main mon gland à travers ce tissu fin, avec la seconde main elle m’attrape et me serre les fesses. Puis elle approche sa tête et me chuchote à l’oreille :
Et comme pour joindre le geste à la parole, elle passe sa main sous mon caleçon et attrape enfin ma queue. Le toucher de sa peau m’électrise et je sursaute. Ma respiration s’accélère. J’ai encore du mal à y croire : Alicia me branle alors que j’ai mon patron au téléphone. Elle sent mon soubresaut et esquisse à nouveau un sourire mutin : elle est heureuse de l’effet qu’elle a sur moi.
Elle m’embrasse à pleine bouche tout en branlant délicatement ma queue. La chaleur commence à monter d’un cran ainsi que la sève dans ma queue. On ne s’est pas vu depuis une semaine et son traitement me fait sérieusement de l’effet : si elle continue à me branler comme ça je ne vais pas tenir longtemps.
Comme si elle lisait dans mes pensées, elle lâche mon membre et se met à me caresser les bourses : elle me donne un peu de répit.
Elle éclata de rire silencieusement et me fit « chut » avec sa main libre. Elle déposa un baiser très doux sur mes lèvres puis s’agenouilla devant moi, sans jamais quitter des yeux mon regard. Je n’en pouvais plus, j’imaginai ce qui allait arriver mais elle prenait son temps, elle voulait savourer ce moment où j’étais tout à elle.
Tout en me regardant, elle prit ma queue dans sa main puis la dirigea devant sa bouche. Elle sortit sa langue et commença à me lécher lentement, d’abord le gland, puis de haut en bas. Sa langue était chaude et humide, le traitement qu’elle m’infligeait était délicieux. Puis d’un coup, elle avala l’intégralité de ma queue. Je sentis ses lèvres glisser sur mon gland, ma hampe. Ce fut tellement intense et presque inattendu, mon corps fut traversé par un courant électrique qui me fit sursauter. Elle fit de longs va-et-vient qui me mirent en transe. Elle avalait toute la longueur de ma queue sans difficulté, je sentis parfois le fond de sa gorge contre mon gland mais ça ne semblait pas la déranger le moins du monde. Elle me regardait toujours droit dans les yeux, et même avec ma bite dans la bouche elle me souriait, comme pour me défier de tenir le plus longtemps possible. Elle voulait me faire jouir, et elle y mettait tout son cœur.
Elle y arrivait parfaitement. J’avais complètement déconnecté de la conversation avec Alex, et même si on m’avait parlé j’aurais été incapable de m’en rendre compte. Autour de moi le temps s’était arrêté.
Alicia avait petit à petit augmenté la cadence, et elle me suçait maintenant énergiquement. Je sentis ma sève qui montait dans ma queue, j’étais au bord de l’explosion. Il ne faudrait pas beaucoup plus de ce va-et-vient délicieux pour me faire jouir.
Elle s’en rendit compte, et se mit à malaxer mes boules avec sa deuxième main. Tout d’un coup je sentis ces picotements dans mon bas-ventre et ma queue se raidit, signes que j’allais jouir. D’un signe de main je poussai gentiment sa tête sur le côté pour lui indiquer que j’allais éjaculer, car elle me fait toujours jouir hors de sa bouche.
Elle repoussa alors ma main d’un léger coup de tête, et serra un peu plus ma queue entre ses lèvres, comme pour me défier et être sûre que ma queue ne s’échappe pas de sa bouche. Elle arrêta ses va-et-vient pour attendre ma jouissance finale.
Je n’en pouvais plus, je jouis alors dans sa bouche en lâchant un râle que je ne pus contenir. À chaque jet de sperme, je sentis un soubresaut traverser mon corps, ma queue vibra de plaisir. Alicia émettait des petits gémissements pour accompagner ma jouissance, visiblement elle appréciait recevoir ma semence. Le temps s’était figé, j’avais l’impression que ma jouissance durait une éternité dans sa bouche. Après quelques instants, lorsque mon sexe fut enfin au repos, elle se mit à me branler très délicatement et à malaxer à nouveau mes testicules pour extraire les dernières gouttes de mon sperme. Pendant tout ce temps, ses lèvres avaient entouré mon gland et n’avaient pas laissé passer une goutte. Quand ma queue sortit enfin de sa bouche, elle déglutit et arbora un très large sourire tout en me regardant avec tendresse.
J’étais béat devant cette femme qui m’avait offert une jouissance extraordinaire. Je ne savais pas quoi dire, et je n’étais de toute façon pas en état de dire quoi que ce soit. Alicia se releva alors et vint m’embrasser en m’enlaçant tendrement.
Je me rendis alors compte que ma conf’call était terminée alors que je ne m’en étais même pas aperçu. Pendant combien de temps s’est-elle occupée de moi je n’en ai aucune idée. Pas plus que ce que m’avaient dit mes collègues et mon boss. Mais je me demandais surtout ce qu’ils avaient entendu, et comment la conversation s’était terminée. Je décidais de ne pas trop m’en faire, je le découvrirai bien assez tôt le début de la semaine d’après.
Je me rendis alors compte que cette femme avait réussi à me faire jouir sans même qu’elle n’ait dévoilé son corps qui m’excitait comme un fou. Elle en était consciente et avait très bien joué son coup.
Complètement nue, elle me prit par la main et m’emmena en direction de la chambre, je sentis alors déjà mon érection revenir.