Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19698Fiche technique32944 caractères32944
Temps de lecture estimé : 18 mn
10/07/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Le résumé est dans le titre.
Critères:  fh extracon pénétratio policier -policier
Auteur : Domi Dupon  (une antiquité du site)      Envoi mini-message

Série : Au village aussi, on a de beaux assassinats

Chapitre 01 / 06
Où l'on découvre un corps (et quel corps !)

(Roman d’arrêts de bus en six épisodes)





La lumière tamisée d’un rayon de lune pénétrait dans la chambre par les persiennes de bois. Une femme apparut dans le halo lunaire. Elle portait, pour seul vêtement, une courte chemise de nuit, genre baby-doll qu’elle affectionnait particulièrement et qui ne cachait rien de son triangle doré, ni de son opulente poitrine. Un homme la suivait de près et, par des tapotements d’encouragement sur les fesses, la chassait vers le lit. Elle n’avait pas l’air très enchantée. Sans tenir compte de son flagrant manque d’enthousiasme, d’un geste énergique, il la propulsait vers sa couche. Sous la poussée brutale, la femme se retrouvait sur le dos, jambes pendantes, la nuisette remontée haut offrant au regard de l’homme la vision de son ventre plat. Avec souplesse, elle se retourna, se tenant maintenant face à lui, les coudes enfoncés dans les draps, la tête relevée dans une attitude de défi.



L’homme, lassé de cet échange, se déshabillait hâtivement, jetant ses fringues sur la moquette.



Il était nu, la bite au garde à vous. Elle ne pouvait nier son désir. Il la poussait et s‘affalait sur elle.



La voix de la femme avait changé de registre. L’excitation très visible de son agresseur avait repoussé brièvement sa colère à l’arrière-plan.



Le corps de son amant plaqué contre elle, la main qu’il projetait entre ses cuisses ne l’empêchait pas de continuer :



Il ignora cette dernière réplique acide. On ne parlait pas la bouche pleine. Des bruits de succion facile à interpréter envahissaient la pièce : il lui bouffait furieusement les seins. Il avait une technique très particulière qui la déstabilisait complètement. Il s’attaquait d’abord au sein droit, le plus sensible, avec la bouche tout en pinçant, étirant le téton du gauche, avec sa main libre. S’attaquer au sein n’était pas une figure de style. Il aspirait d’abord le tétin puis, peu à peu, il l’absorbait dans sa bouche jusqu’à plus soif (!). Il ne pouvait, vu la taille de la mamelle l’absorber en entier sous peine de mort par suffocation, mais il en embouchait une bonne moitié qu’il tétait avidement. Perdant toute retenue, la femme piaillait comme un moineau. Plus ses piaulements montaient dans les aigus, plus il aspirait, pinçait, tordait. Quand il avait fini avec un globe, il passait à l’autre. La pauvre en aurait l’avant-scène rose pendant plusieurs jours mais souvent ces simples prémices lui procuraient un orgasme. Ce soir, malgré l’irritation provoquée par sa venue et ce qu’elle sous-entendait, elle se montrait réceptive.


Sa fusée orgasmique avait décollé mais elle n’atteignait pas la mise en orbite. L’homme pressé, énervé, écourta la séance. Il abandonna sa dégustation mammaire pour chevaucher sa partenaire. Il la pénétra en urgence et en missionnaire. Les cris d’icelle et les grognements d’icelui auraient indiqué à un voyeur impromptu, l’intensité de l’acte.


Très sobrement et classiquement, il expulsait un :



Auquel la femme répondait par un, tout aussi banal :



En amant respectueux, il obtempéra mais le rush initial avait baissé en intensité et, peu à peu, les petits cris d’excitation se transformèrent en murmures désolés jusqu’à ce qu’elle finisse par soupirer :



L’homme, sans relever l’insinuation, se levait. D’une voix où perçait la colère :



Il sortit. Quelques secondes plus tard, elle le suivit.



**********



Extraits du journal de Louise-Marie Nobert.


11/12/2001

Première entrée numérique. J’AI EU MON PREMIER ORGASME… à 37 ans. J’avais fini par croire que je n’accéderais jamais au nirvana, que je n’étais pas normale. J’avais même pensé que j’étais frigide. Paul m’avait dépucelée à dix-huit ans dans la douleur et la précipitation. Je l’avais excusé car aussi puceau que moi. Il m’avait plaqué contre la portière de sa vieille R5, descendu ma culotte, baissé son survêt et m’avait pénétré à « la va-comme-je-te-pousse ». Il avait manié son gros pénis comme un marteau pilon et avait éjaculé avant que j’aie le temps de réaliser que ça me faisait mal. Par la suite, s’il avait gagné en endurance, jusqu’à en être chiant, il n’avait gagné ni en originalité, ni en douceur. Il était beau, même s’il ne sentait par le sable chaud, il allait avoir une bonne situation dans une banque et, par-dessus tout, il me libérerait du carcan familial. Nous fûmes rapidement mariés.


Paul, à défaut d’être un amant performant, se révéla un véritable bourreau de travail. Notre situation matérielle confortable ne nécessitait pas que j’exerce une autre profession que femme au foyer. « Je devais bichonner mon petit mari », selon son expression. Et quand il parlait de « bichonner », il ne pensait ni à la cuisine, ni aux tâches ménagères mais au sexe et à sa queue en particulier. C’était un véritable obsédé, à besoin constant. La semaine, c’était plusieurs fois par jour. Pendant le week-end et les vacances, cela pouvait monter à quatre ou cinq rapports journaliers. Les premiers mois, j’avais espéré que mes ours le décourageraient. Que tchi : il m’avait fait découvrir « les bienfaits » de la sodomie. Le problème : il ne me faisait pas l’amour, il me baisait comme une brute, comme un lapin (comme on le prétendait pour un ancien président « cinq minutes, douche comprise »). Mon plaisir était son dernier souci. Je n’en éprouvais aucun et je me demande encore aujourd’hui s’il s’en était aperçu.


En général ça commençait au réveil, à son réveil. Il exigeait que je dorme cul nu. Aux environs de six heures, je sentais son sexe raide qui se glissait entre mes fesses et forçait l’entrée, au gré de ses envies, de ma vulve ou de mon anus. D’un côté comme de l’autre, ce n’était que souffrance. Ensuite sans se soucier de moi, il me pilonnait brutalement, jusqu’à se répandre en moi. Le second épisode avait lieu à midi, sauf quand il était en déplacement. Il ne prenait pas la peine de se déshabiller, ni de me déshabiller. Il sortait sa queue, levait ma robe, écartait ma culotte. J’évitais le pantalon : le salaud me découvrait juste ce qu’il fallait, m’empêchant d’ouvrir les cuisses et c’était encore plus douloureux. Ensuite, il me baisait en levrette contre la table, l’évier ou tout autre support. Après quelques semaines, ayant compris son manège, je prenais quelques précautions et me lubrifiais recto, verso avant son arrivée. Je n’y prenais pas plus de plaisir mais au moins, je n’avais pas trop mal. Ce qui lui faisait dire :


  • — Ma chérie attend son mâle ! Tu es tout humide rien qu’à l’idée de ma bite en train de te ramoner !

Un grand poète ! Et il remettait ça le soir, sans beaucoup plus d’imagination. Je n’avais pas d’amies assez proche pour me confier. Ma mère, bigote irrécupérable, m’expliqua que la femme devait être soumise à son mari et que les femmes qui prenaient du plaisir au lit étaient des catins. « Une femme honnête n’a pas de plaisir » ! J’ai très vite été dégoûtée par le sexe et j’ai supporté pendant cinq longues années cela comme une corvée nécessaire. Je n’ai pas accepté, par contre, quand il m’a trompée sous le prétexte que j’étais frigide. J’ai saisi cette occasion pour me séparer de ce sale type. Heureusement, nous n’avions pas eu d’enfants. Recouvrant ma liberté, j’ai retrouvé la chasteté n’ayant aucune envie qu’un homme me touche… jusqu’à ce soir.


Andréa, comme tu m’as fait jouir… Pourtant un vieux comme toi. Vieux, mais séduisant et surtout mon patron. Je sens encore ta langue sur mon clitoris ! Rien que d’y penser, j’en ai des frissons. La douceur de tes caresses… Tu as écouté mon corps, tu l’as réveillé en gardant ta verge dans ton pantalon. Ce client d’Ouagadougou, je ne le bénirais jamais assez. C’est grâce à lui qu’on a mangé ensemble dans ce restaurant, c’est grâce à lui qu’on a parlé, que tu m’as confessée, mon bel amant. Comment on s’est retrouvé dans ta chambre, j’ai oublié. Toi non plus, tu ne m’as pas déshabillée. Mais tu t’es agenouillé. Tu as roulé ma robe au-dessus de mes hanches. Tu as léché ma culotte jusqu’à ce qu’elle soit trempée par ma cyprine et ta salive. Le début du plaisir : pour la première fois un homme me faisait mouiller.


Ensuite, tu t’es assis sur le lit et tu m’as demandé de me déshabiller pour toi. Tu regardais mon corps, tu me complimentais sur ma plastique après avoir fait de même, durant le repas, sur mon esprit.


Quand, nue, tu t’es extasié sur mes petits seins aux tétons dardés, tu m’as fait croire, pendant un instant, que mes deux œufs sur le plat représentaient pour toi la poitrine idéale. Tes mots étaient des caresses bien plus efficaces que les pénétrations bourrines de Paul. Je coulais sous tes compliments. Je ne me suis pas souvent occupée de mon sexe et ma fourrure n’est pas disciplinée. Résultat, tu as pu voir mes sécrétions qui s’y collaient… et tu es venu les déguster. OMG (Orgasme Magnifiquement Grandiose ?) ! Quand ta langue s’est posée la première fois sur… j’ai cru voir le paradis. Tu m’as amenée à l’orgasme en quelques secondes. J’avais tellement attendu. Alors que, encore dans les étoiles, j’étais prête à tout pour toi, tu m’as dit :


  • — Louise-Marie, maintenant, tu vas dormir dans ton lit. Deuxième séance, demain, même heure, même endroit !

J’ai protesté, lui disant que je voulais… Gentiment, il m’a répondu que ce serait pour plus tard. Qu’il attendait une call-girl plus au fait de ses attentes. Il avait raison : qu’est-ce qu’une godiche comme moi pouvait lui apporter ? et il m’avait dit : « demain est un autre jour ».


Dans mon lit, en tapant ces quelques ligne, je rigole toute seule. Finalement, je devrais remercier ce primate de Paul. C’est un peu grâce à lui que j’ai dû chercher du travail et ainsi rencontrer mon nouvel employeur et j’espère futur amant Andréa (oh Andréa !!) de Barbier-Lacourt, Suisse et marquis.



**********




JOUR 1

Lundi 8 avril 2019


Lorsque Robert Tignac sortit de chez lui ce matin-là, il se trouva nez à nez avec la Berthe, octogénaire et gazette de la rue sinon du hameau qui, à son air de conspiratrice, avait manifestement des nouvelles neuves et intéressantes.



Les politesses usuelles expédiées, elle passa à l’attaque.



La Berthe fut interrompue par l’arrivée d’un homme d’une soixantaine d’années en bleu de travail.



Marco, qui écoutait plus qu’il ne parlait, intervint :



Le trio effectua les cinquante mètres qui séparaient la maison de Robert de celle de « la Corine » D’abord, ils sonnèrent… Sans résultat. Puis ils appelèrent. Toujours rien.



La Berthe voulut glisser la clé dans la serrure, en vain. Impatient, Marco la lui prit des mains.



Il essaya sans plus de succès.





**********



Pour Élodie, ces premiers jours à la brigade de recherche de Bourg-en-Bresse devaient lui permettre de prendre ses marques. Après sa formation initiale à l’école d’officier, elle avait suivi une formation à dominante judiciaire. Après trois ans passés en Outremer, à vingt-huit ans, elle se retrouvait affectée dans l’Ain, affectation « pépère » selon certains de ses amis. Le département n’était pas connu pour son taux élevé de criminalité. Elle considérait plutôt cela comme une affectation « placard » après ses déboires à Nouméa.


Elle avait rendez-vous à neuf heures avec son supérieur le capitaine Christophe Castagnette. Presque dix heures et toujours pas de capitaine. Le planton (en fait « la » mais planton a-t-il un féminin ?) l’avait dirigée sur l’open-space réservé à l’antenne judiciaire. « Open-space » était un bien grand mot pour qualifier la grande pièce avec ses quatre bureaux se faisant face deux à deux. Chacun était doté d’un PC semblant tout droit sorti d’un musée consacré à l’informatique. Deux de ces emplacements, au vu du désordre qui régnait sur un et la photo de famille posée sur l’autre, étaient manifestement occupés. Elle s’autorisa à penser que les deux autres, recouverts d’une épaisse couche de poussière n’étaient attribués à personne. À l’aide d’un kleenex, elle dépoussiéra sommairement l’un d’eux. Elle y posa son laptop et son sac à dos. Au fond de la pièce, une porte sur laquelle était punaisée une affichette avec le nom de son futur supérieur donnait accès à ce qui devait être l’antre du chef de compagnie.


Quelques minutes après son arrivée, elle avait fait connaissance avec les deux membres de la PTS (Police Technique et Scientifique) : les adjudants Électre Cité, jeune black exubérante, au formes épanouies et Robin Desbois, quarantenaire taiseux au physique de coureur de marathon.

Quand elle s’étonna du retard du capitaine, Desbois se contenta d’un hochement de tête et d’une moue très significative tandis qu’Électre Cité s’esclaffa d’un air entendu :



Devant l’air interrogatif d’Élodie, Desbois crut bon de préciser :



Comme dans tous les mauvais films, le capitaine pénétra dans l’open space à cet instant. Il feignit d’ignorer la remarque de sa subordonnée et se dirigea vers Élodie. Laquelle se demandait ce qu’avait bien voulu dire la jeune noire.



Poigne vigoureuse, d’officier à officier. Élodie apprécia, même s’il la tint quelques secondes de trop. Se retournant vers Électre Cité :



Électre et Robin passèrent dans la pièce voisine laissant seul les deux officiers. Puis après avoir détaillé Élodie de la tête aux pieds :



Élodie rougit de confusion. Elle n’était pas en « uniforme d’apparat », seulement en uniforme « de bureau ». Elle avait naïvement pensé que son premier jour serait un jour de mise en place, de découverte et qu’elle ne quitterait pas la gendarmerie. Devait y avoir un meurtre tous les dix ans dans le département et il fallait que ça tombe le jour de son arrivée. Une seconde raison un peu plus trouble l’animait : elle tenait à être reconnue comme femme dans ce milieu macho.



Elle le suivit jusqu’au garage où attendait un fourgon siglé PTS qui avait eu des jours meilleurs. Le moteur tournait, un uniforme occupait la place du conducteur. Sans attendre et sans un mot, Castagnette monta à côté du chauffeur, laissant Élodie abasourdie. Elle fut sauvée par l’arrivée des deux techniciens. Électre la prit familièrement par le bras en lui disant :



Peu habituée à ce genre de véhicule, elle n’avait pas capté que le véhicule était aménagé pour recevoir des passagers à l’arrière du chauffeur. La porte coulissante étant, bizarrement, située côté conducteur, elle ne l’avait pas vue. Elle se retrouva assise à côté de la jeune femme. Le contact rêche du pantalon contre son genou gainé la troubla. Elle dut faire appel à tout son sang-froid pour chasser les images suggestives et se concentrer sur les propos de son chef.



Il ne fallait pas qu’elle se laisse aller à ses penchants, surtout pas pour sa première enquête. Elle décolla sa jambe de celle de sa collègue mais comme par inadvertance, l’autre se recolla aussitôt.



Cette réplique mit fin à la conversation. Le reste du trajet se passa dans un silence relatif émaillé par des considérations sur la météo pourrie de ce mois d’avril. Cela n’arrangeait pas les affaires d’Élodie de plus en plus perturbée par cette cuisse qui pesait contre la sienne. Plusieurs fois, pour regarder vers l’extérieur, Électre s’était penchée de son côté pressant sa poitrine contre son épaule, posant une main sur sa cuisse. Ses gestes, faits sans doute en toute innocence, provoquaient des réactions qu’elle connaissait bien dans son bas-ventre. Elle fut sauvée de ses affres lorsque le chauffeur déclara :



Le fourgon pénétra dans une petite rue bordée de maisons mitoyennes. Deux gendarmes montaient la garde devant une porte d’entrée, un troisième galonné s’avança et fit signe au camion de stopper. Ils étaient arrivés. Elle dut subir un dernier attouchement de l’adjudante de la PTS quand celle-ci tendit le bras pour montrer une Zoé bleu fané.



Le capitaine avait déjà sauté de la camionnette. Élodie s’empressa de le suivre.



Castagnette ne répondit pas à son salut et entra immédiatement dans le vif du sujet.



Ils enfilèrent gants, surchausses… et empruntèrent un escalier étroit qui débouchait dans un petit hall sur lequel donnaient trois portes. Disposition à l’ancienne comme le constata plus tard Élodie : trois pièces différenciées. Un grand salon donnait sur la rue, une petite cuisine et une chambre s’ouvraient sur un balcon qui courait tout de long de la façade. Il surplombait un jardin avec cour intérieure.


Ils pénétrèrent dans la cuisine. Cuisine intégrée en chêne, genre années quatre-vingt, qui avait dû être un lieu de vie agréable mais on y avait semé un bordel indescriptible : tiroirs arrachés, vidés, sol jonché d’ustensiles divers, de papiers… Élodie ne vit ni légiste, ni cadavre mais seulement une grande table à pétrin en vrai bois. Au bruit qu’ils firent, une femme, la médecin légiste, sans doute, surgit de derrière la table tel un lutin qui jaillit de sa boîte. Blonde, la quarantaine avancée, elle était engoncée dans une combinaison blanche qui ne parvenait pas à gommer sa silhouette plantureuse. Un sourire narquois illumina son visage quand elle se tourna vers Castagnette.



Fidèle à ce qui semblait être une de ses habitudes, le capitaine ignora la remarque.



Élodie rougit comme une pivoine devant cette observation ironique, tout en appréciant la pique que la légiste avait envoyée.



En prenant une intonation précieuse, il continua :



Élodie ne savait pas où se mettre. Elle observa ses coéquipiers : Desbois avait l’air de s’ennuyer, Électre ricanait. Cette dernière voyant l’air ébahi d’Élodie s’approcha d’elle et lui murmura à l’oreille :



Elle ne comprit pas tout ce que lui dit sa collègue : le souffle de celle-ci, dans son oreille, son cou, avait déclenché un cyclone dans son bas-ventre. Il fallait qu’elle baise très vite sinon elle serait inopérationnelle.


Les duettistes continuaient leur show :



Ils regagnaient le hall quand Desbois qui s’était éclipsé sortit de la chambre. Il interpella la toubib :



Elle disparut derrière la table et réapparut assez rapidement.



Se tournant vers les deux technos de la PTS :





à suivre :



Épisode 2 : premières constatations et premiers dérapages.