n° 19715 | Fiche technique | 14862 caractères | 14862Temps de lecture estimé : 9 mn | 22/07/20 |
Résumé: Double mixte. | ||||
Critères: 2couples campagne fsoumise hdomine jalousie voir pénétratio échange -libercoup | ||||
Auteur : Jo |
Pam et Mohamed habitent un petit immeuble nancéien. Leurs voisins sont plutôt âgés, à l’exception d’un autre jeune couple, sympathique bien qu’en apparence un peu coincé, Aude et Alban.
Un vendredi soir, Pam se retrouve dans l’étroit ascenseur avec Alban. La mutine a bien remarqué, depuis longtemps, que le regard de son voisin est souvent attiré par son tee-shirt, sous lequel pointent ses seins, pleins, mais fermes et très souvent libres de toute entrave. En papotant de choses et d’autres, Alban lui révèle qu’Aude est allée passer le week-end chez ses parents. Pam retient l’info et rentre chez elle, pensive…
Mohamed est allé voir un match de Nantes avec ses potes, et elle sait que la troisième mi-temps va durer un bon bout de la nuit… Cela lui laissait quelques libertés pour détourner le timide, mais mignon, Alban d’une sexualité qu’elle suppose strictement domestique.
Vers dix-neuf heures, elle frappe à la porte d’Alban, une bouteille de champagne à la main, pour un apéritif de célibataires. Agréablement surpris, il débouche la bouteille et leur sert deux verres au salon. Tout en discutant de leurs recettes de cuisine préférées, Pam voit bien que ses seins fascinent toujours autant Alban, qui ne sait plus comment détourner son regard et qui ne parvient pas à dissimuler une érection manifeste.
Une demi-heure plus tard, le portable d’Alban sonne et il se réfugie dans le bureau pour répondre. C’est Aude qui lui réaffirme son amour et s’inquiète de sa solitude. Il lui assure que tout va bien, mais ne lui parle pas de sa visiteuse.
À son retour, il ne trouve pas Pam dans le salon. A-t-elle profité de ce coup de fil pour aller aux toilettes ? Non, aucune lumière ne filtre sous la porte des toilettes. Intrigué, il parcourt l’appartement jusqu’à arriver à la chambre conjugale, plongée dans l’obscurité. Dans la pénombre, il voit que la couette présente un relief. Un coup de fouet s’abat sur lui : Pam est dans son lit ! Il s’approche du lit, écarte la couette et quand il voit, dans la pénombre, la blancheur du corps, nu, de Pam, il n’en croit pas ses yeux. Pam est là, nue dans son lit. Elle sort une main pour l’attirer vers elle, il ne sait comment résister… et ne résiste donc pas.
Pam pose une main sur sa nuque et l’embrasse, d’une bouche vorace et une langue envahissante puis lui enjoint de se déshabiller (« Tu ne veux pas venir te coucher ? »), ce qu’il fait, maladroitement, et se glisse sous la couette. Son bras part en exploration et rencontre la peau d’un bras, d’un sein, puis de deux seins, que sa main hésitante, puis audacieuse caresse doucement, comme pour s’assurer que ce n’est pas un rêve. Il sent une main saisir son sexe, il entend un soupir approbateur féliciter son érection, et se retient pour ne pas crier. Impossible que ce soit vrai.
La tête de Pam se penche vers la sienne, des lèvres gourmandes couvrent les siennes, une langue avide s’enfonce dans sa bouche, un corps brûlant grimpe sur le sien, une main autoritaire guide sa queue vers une chatte accueillante et bien lubrifiée. Pam le chevauche, le baise effrontément, ses seins dans les mains, dans la bouche de son nouvel amant, qui ne sait plus à quel démon se vouer, pris, possédé, avalé par le con d’une diablesse déchaînée.
Dans l’obscurité de la chambre, sa queue bien ancrée, il imagine des yeux qui cherchent les siens pour éprouver son désir. Dans un souffle rauque, elle l’embrasse et crie son plaisir pendant que le mâle crache le sien dans son ventre de femme satisfaite. Alban, repu, s’endort et Pam, après un bref repos, se rhabille et se retire pour rejoindre l’appartement conjugal, pour y attendre son mari.
À son retour, Mohamed, excité par la victoire de son équipe préférée, manifeste son désir de jouir du privilège du guerrier vainqueur. Mais quand, après quelques baisers et de hâtives caresses, il enfonce son sexe dans le vagin de Pam, il est surpris de sa douceur et de sa lubrification. Interrompant ses mouvements en elle, il regarde sa femme d’un œil curieux. En souriant, Pam lui raconta son apéritif sexuel, ce qui le fait sourire à son tour et accroît son plaisir lorsqu’il jouit en elle.
Alban, gêné, ne dit rien à Aude. Une quinzaine de jours plus tard, en allant chercher le courrier, Mohamed rencontre Aude et invite le couple à déjeuner le dimanche suivant. En l’annonçant à Pam, il ne peut s’empêcher de sourire. « Toi, tu as une idée derrière la tête… » pense-t-elle.
Le dimanche vient et le repas se déroule de belle manière, les deux amants feignant n’être que de simples voisins (quoique Alban, en regardant Pam, doit faire de gros efforts pour camoufler sa lubricité), sous les yeux indifférents de leurs conjoints.
Après le dessert et le café, Pam (se sentant en dette envers son époux et pour lui laisser le champ libre ?) propose, d’un air le plus naturel possible, de s’occuper de la vaisselle en compagnie d’Alban.
Mohamed est assis à gauche d’Aude et ils bavardent, de tout et de rien. Puis Mohamed en vient à parler du plaisir que Pam et lui éprouvent à faire l’amour, et pas forcément l’un avec l’autre. Aude rosit, admet son goût du sexe, reconnaît quelques aventures, avant d’être avec Alban, pour ne pas paraître trop mijaurée, mais depuis, vraiment, elle jure qu’elle n’a jamais eu d’autre amant que son mari.
Mohamed écoute attentivement Aude, observe son émotion. Il se penche vers elle et, lui posant sa main droite sur le genou, lui murmure à l’oreille « J’ai très envie de faire l’amour avec toi… Toi pas ? ». Aude rougit, se réfugie dans une défense laborieuse.
Aude, abasourdie et blessée par la révélation, ne sait que répondre et observe d’un nouvel œil le couple debout qui échange un sourire en même temps que chaque assiette, et se rend compte que la complicité évidente des deux plongeurs rend très possible la chose…
Satisfait de son approche, Mohamed poursuit, silencieusement, son avantage, et sa main atteint délicatement le slip d’Aude, puis se glisse négligemment sous la toile légère, franchissant le buisson pubien pour arriver au clitoris, puis au con. Sortant de sa rêverie, Aude réagit, pas très décidée à la vengeance, veut retenir cette main envahissante, mais très douce. Mohamed, de son doigt, lui effleure le clitoris, arrachant, en retour, un profond soupir à Aude, crispée par l’impudique caresse.
Mohamed et Aude semblent bavarder, pendant que Pam et Alban continuent de faire la vaisselle… innocemment ? Alban ne cesse de loucher sur la chemise de treillis de Pam, les deux boutons du haut négligemment ouverts sur des seins libres et très appétissants et le bas noué qui révèle un nombril offert, mais Pam, afin de donner le temps à Mohamed d’amener Aude jusqu’au point de non-retour, continue sa tâche, tout en rassurant le désir d’Alban par un large sourire.
La main droite de Mohamed retire le slip d’Aude, le lui tend, puis se pose sur son épaule, lui caresse le visage et l’attire vers le sien pour l’embrasser à pleine bouche tandis que sa main gauche, ouvrant son corsage et écartant l’obstacle du soutien-gorge, prend possession de ses seins. Aude se voit perdue, lutinée, troussée, pelotée, caressée, sans défense devant cette attaque en règle de sa vertu. Elle tente de chercher du secours dans les yeux d’Alban, mais celui-ci semble n’avoir d’yeux que pour sa belle camarade de travail. Aussi, quand Mohamed lui propose de rejoindre la chambre à coucher, elle hésite un tout petit peu mais, après un dernier regard vers son mari et, encouragée par une petite voix intérieure, poussée par le désir qu’elle lit dans les yeux de son futur amant, elle ne peut que lui répondre, d’une voix faible, mais rauque :
Ils se lèvent donc et se dirigent vers le fond de l’appartement, Mohamed tenant par la taille Aude, qui avance les yeux baissés, les bras ballants, le chemisier ouvert, les seins à moitié sortis de son corsage dévasté, son slip dans la main. En passant devant la porte de la cuisine, Mohamed, s’arrête et dit :
Alban est foudroyé par une énorme vague de jalousie, qui lui fait oublier sa propre lubricité et son précédent adultère. Le regard perdu, il regarde Pam dont les yeux pétillant de promesses de plaisirs à venir, le rassurent.
La vaisselle dure encore un bon quart d’heure, lourd pour Alban qui se découvre tout excité d’imaginer sa femme sur le lit avec Mohamed, qui ressent une grosse envie de les voir, mais qui n’ose pas y aller, plus léger pour Pam qui sait bien ce qui se passe sur son lit d’où proviennent quelques râles et gémissements, sans qu’ils sachent de quelle bouche ils sortent.
En essuyant le dernier couteau, le sourire coquin de Pam signifie à Alban qu’ils vont effectuer leur entrée en scène. Elle s’approche de lui, lui tend ses lèvres, dont il s’empare fiévreusement tandis que ses mains remontent sous la chemise pour aller à la rencontre de ses seins, les libérant de leur voile kaki pour les caresser passionnément, laissant ses paumes en apprécier la douce fermeté.
Un cri féminin les fait sortir de leurs caresses, semblant les appeler. Enlacés, ils rejoignent leurs conjoints adultères. Après avoir mené une alerte chevauchée sur le corps d’Aude, Mohamed s’est allongé sur le dos, et a fait basculer sa maîtresse sur lui, suçant les seins d’Aude qui, complètement libérée par l’orgasme qu’elle vient d’éprouver, chevauche encore une queue, maintenant molle et gluante, inondant le ventre de son amant du sperme qu’il vient de déverser dans sa chatte.
En arrivant près du lit, Pam, les seins dans les mains d’Alban, se penche vers lui, échange un baiser long et profond avec son époux « Coquin, tu as eu ce que tu voulais ». Mohamed savoure sa position, sa nouvelle maîtresse allongée sur lui, dégoulinante de lui, dont il pelote les seins sans vergogne tout en embrassant sa tendre, qui lui a bien damé la piste qui l’avait mené au con d’Aude, et qui va baiser, à son tour. Alban relève le menton d’Aude et cueille sur ses lèvres les derniers frissons de son orgasme.
Alban se déshabille et s’installa sur une chaise qui se trouve en face du lit. Après une séance de strip-tease destinée aussi bien à son amant qu’à son mari, Pam le rejoint, et s’assoit sur ses genoux pour, tout en regardant leurs conjoints, lui faciliter l’accès à ses seins et à sa chatte, pendant qu’elle s’empare de sa queue. Ils recommencent à s’embrasser, les mains d’Alban parcourent la géographie de Pam, en gravissent les monts et en fouillent les ravins, traînent sur son clitoris, provoquent gémissements et feulements. Comme leurs yeux ne perdent rien du spectacle que leurs conjoints leur offrent, ils voient Aude relever les fesses pour guider de la main la bite à nouveau raidie de Mohamed vers l’entrée de son con et redescendre pour s’y empaler. Alban et Pam n’y tiennent plus. Elle soulève son ventre pour qu’il y glisse son sexe, sans cesser de la caresser. Leur position lui permet de voir le bassin de Mohamed qui se lève en rythme pour pousser sa bite au plus profond de la chatte d’Aude qui, à ses cris et mouvements, semble fort apprécier.
La position assise n’est pas des plus confortables, mais leur excitation est telle que, dès le premier orgasme de Pam, Alban n’attend pas plus longtemps pour décharger une bonne quantité de sperme dans le ventre de sa maîtresse, puis il la porte, chaude et encore frissonnante de plaisir, sur la portion de lit que les deux autres amants n’occupent pas.
Alban se tourne vers Aude, lui caresse les seins, le pubis, introduit un doigt dans sa chatte à nouveau lubrifiée par le sperme de Mohamed. Pam, insatiable, se touche en les regardant puis, se rapprochant, pose ses doigts sur le sexe d’Aude et la branle doucement, jusqu’à faire jouir la maîtresse de son époux. Alban, la bite à nouveau dressée par ce qu’il fait et voit, veut ramener Aude dans le giron de la sexualité conjugale, mais celle-ci (c’en était fini de sa timidité) lui dit, en lui montrant la bite, bien raide, de Mohamed, qu’elle tient dans la main et n’a pas cessé de branler pendant que son mari la tripotait :
Elle se tourne vers le mari de la maîtresse de son mari, elle l’invite à venir sur elle, ce qu’il fait bien volontiers. Alban se tourne vers Pam et la caresse à nouveau, les mains encore empreintes des formes du corps d’Aude et des liquides qu’il y a recueillis. Lui répondant par un sourire engageant, elle écarte les jambes puis, quand il se couche sur elle et lui enfonce l’intégralité de sa queue dans le ventre, elle les referme sur les fesses de son fouteur en accompagnant la pénétration par un râle de plaisir et de gratitude, pour une partie de jambes en l’air, jouée en double mixte.
Aude, maintenant libérée de tout complexe, couchée sur le dos, les jambes levées, les genoux dans les mains, halète au rythme des allers-retours de la queue de Mohamed dans son ventre. Elle fixe son époux droit dans les yeux, les ferme afin d’accueillir dignement un nouvel orgasme, puis les rouvre tout grands et, ajoutant son cri au grognement de Mohamed, elle jouit, en adressant à son mari un sourire à la fois de pardon et de remerciement, qu’il lui renvoie tout en jouissant dans le ventre de Pam qui, le corps agité de spasmes, présente à son mari un visage couvert de larmes de plaisir.