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n° 19724Fiche technique11491 caractères11491
Temps de lecture estimé : 7 mn
25/07/20
Résumé:  Chystine profite de la solitude d'un ami pour s'offrir une soirée de plaisir avec deux hommes.
Critères:  fhh couple candaul campagne cunnilingu pénétratio -couplea3
Auteur : Chrystine
Deux hommes rien que pour elle




En vacances dans un camping méridional, Aliénor et Abel avaient rencontré et sympathisé avec un autre jeune couple, Chrystine et Nathan. Sur la plage d’une calanque naturiste, les deux jeunes femmes avaient exposé leur corps au soleil et Abel ne s’était pas privé du plaisir d’admirer, et de comparer, le physique des deux femmes : sa femme Aliénor, son corps généreux et ses seins pleins, arrogants, et Chrystine, son corps plus mince, ses petits seins bien galbés, formés au bol, qui n’en étaient pas moins très attirants.


Une nuit, après avoir fait l’amour, un peu trop vite peut-être, à son Aliénor, Abel décida de prendre une douche. En entrant dans le bâtiment sanitaire, il entendit des gémissements. Intrigué, il s’approcha sans bruit, et vit Chrystine debout contre le mur, les jambes relevées dans le dos de Nathan, qui la pilonnait en la soutenant sous les fesses. Nathan ne l’avait pas vu, mais le regard d’Abel croisa celui de Chrystine qui le fixa droit dans les yeux pendant que son mari la baisait et, avant de fermer les yeux pour mieux jouir, elle lui envoya un large sourire, comme pour lui dédier son plaisir.


Gêné mais très excité, Abel se retira sans bruit… Les yeux de Chrystine et ses cris de plaisir, le poursuivirent jusque sous sa tente, où Aliénor, pas encore rassasiée, attendait impatiemment son retour. Quand il entra sous la tente, elle fut surprise de son érection et, les yeux brûlant d’une flamme ardente, elle se retourna, se mit à quatre pattes, le cul en l’air, offerte, pour qu’il reprenne sa besogne… ce qu’il fit bien volontiers, enfilant derechef sa queue dans la chatte de sa femme, son ventre cognant contre ses fesses, en attendant, cette fois, de la faire crier avant de se répandre en elle.


Quelque temps après ces vacances, Nathan et Chrystine les ont invités à passer un week-end dans leur maison de campagne. Au dernier moment, un impondérable a empêché Aliénor de venir, et Abel est venu seul.


Le repas préparé par Nathan a été savoureux, et, tout au long du repas, les yeux d’Abel n’ont pas pu s’empêcher de loucher, en espérant ne pas trop le montrer, sur les seins de Chrystine qui pointent librement sous son tee-shirt. L’air de rien, elle lui envoie discrètement le même sourire que celui de la douche.

Le repas terminé et la discussion éteinte, Abel prend une douche légère et gagne la chambre d’amis. Puis Nathan et Chrystine vont également prendre une douche et se réfugient dans leur chambre. Nathan enlace Chrystine, défait la ceinture de son peignoir et l’embrasse tendrement tout en lui caressant délicatement les seins.



Alors qu’il allait se glisser dans les draps, Abel entend la voix de Nathan qui l’appelle. Intrigué, Il enfile un slip et sort de sa chambre. En entrant dans la chambre de ses hôtes, il voit le couple debout, en peignoir, s’étreignant… Chrystine lui tournant le dos. Nathan détache ses lèvres de celles de sa femme, et dit, en s’adressant à Abel, de sa voix chaleureuse :



Puis il l’éloigne de lui avec douceur, la retourne et la pousse vers leur ami, et Chrystine se dirige vers Abel qui la voit venir à lui, offerte, les yeux mi-clos, le peignoir ouvert, exhibant ses beaux petits seins, ses hanches fuselées, son pubis recouvert d’une toison taillée au rasoir. Arrivée contre lui, elle entrouvre les yeux, lui sourit, lui tend ses lèvres, et referme ses bras sur sa nuque, qu’elle se met à caresser.


Surpris par cette scène dont il n’aurait même pas osé rêver, Abel cueille ses lèvres doucement, tout en la pressant contre son sexe vite en érection. Puis il fait glisser le peignoir des épaules de Chrystine, l’étreignant, nue, contre lui. Il prend ses seins dans ses mains, en découvre et en savoure la douce fermeté, en titille les tétons dressés. Pendant que sa main gauche continue son pelotage avide, sa main droite descend vers les hanches et les fesses de Chrystine, qu’elle caresse lentement, puis qu’elle pétrit, avant de les abandonner pour venir se poser sur son pubis, musarder sur ses poils et, délicatement, se poser sur son bouton qu’elle effleure, provoquant en retour un petit cri de souris effarouchée.


Abel embrasse maintenant Chrystine à pleine bouche et sa main gauche, insatiable, passe d’un sein à l’autre. De la droite, il lui titille le clitoris pendant de longues minutes. Chrystine se trémousse, recule ses fesses pour échapper à cette main qui la rend folle, pour vite revenir se plaquer contre elle pour s’y frotter davantage.


Passant sa bouche des lèvres au cou, Abel fait se retourner Chrystine, pour exposer aux yeux de Nathan le corps de sa femme « prêtée » et lui montrer l’effet des caresses qu’il lui prodigue. Chrystine gémit, sent dans son dos le sexe durci d’Abel, ses mains qui parcourent sa géographie, qui escaladent ses monts, qui s’y attardent avec délice et qui se perdent complaisamment dans ses vallées humides, qu’elles fouillent avec délicatesse et voit, en face d’elle, son mari, qui regarde, fasciné mais silencieux, les mains de leur ami sur et dans le corps de sa femme, et écoute le chant d’amour qu’elle entonne sans plus aucune retenue.

Mais Chrystine s’impatiente et leur dit, d’une voix rendue rauque par la vive excitation à laquelle elle se livre sans frein :



Ses deux amants, attentionnés, se mettent au service du plaisir, qui de son épouse, qui de sa maîtresse. Abel ne cesse de lui caresser les seins d’une main douce mais ferme pendant que Nathan plonge la tête entre ses jambes ouvertes, lui tète le clitoris, lui enfonce un doigt, deux, trois dans la chatte ; puis les deux hommes échangent leur place, Abel lui lèche le con pendant que son époux embrasse ses lèvres, en recueillant les gémissements de plus en plus saccadés de sa femme. Chrystine se tord, secouée par le plaisir que ses hommes lui arrachent et soudain, dans un cri de tigresse, elle se cambre brutalement et, en s’agrippant aux draps, elle s’arrache à la bouche et aux mains de ses mecs et retombe, haletante et frissonnante, sur le lit.


Comblée par cet orgasme fulgurant, mais certes pas repue, Chrystine regarde Abel en souriant, puis ferme les yeux, confiante en ses deux mâles. Nathan s’écarte et invite Abel à se placer entre ses jambes, qu’il écarte tout en les relevant dans son dos, abaisse son slip et présente sa queue en face de la chatte de Chrystine. Nathan voit alors le sexe gros et dur, circoncis comme le sien, qui va s’enfoncer dans le corps de sa femme. Abel caresse avec son gland les grandes lèvres de Chrystine, l’excite jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et qu’elle lui dise, d’une voix sourde :



Amusé, Nathan accompagne ironiquement la prière de sa femme :



À ces mots, Abel ne se sent plus de joie et enfonce lentement sa bite dans la chatte de Chrystine qui, ô combien comblée et remplie, exhale un profond soupir de contentement devant cette puissante invasion de son intimité. Abel laisse sa queue se reposer un peu dans le con de Chrystine, puis la retire doucement, la laissant frustrée, la chatte privée de sa gourmandise. Puis il la réintroduit, lentement, posément, et l’enfonce plus fort, comme pour la clouer sur le lit, pendant que Nathan regarde avec tendresse sa femme qui agite ses jambes dans le dos d’Abel, et qui halète, qui geint, qui gémit, qui implore :



Puis elle se met à crier sous les coups de boutoir, de plus en plus puissants, de son amant, tout en ne lâchant pas son mari des yeux, pour lui faire partager son plaisir. Après de longues minutes, elle jouit en une longue plainte, mettant le feu au sexe de son amant, qui déverse en elle un flot de sperme, en l’accompagnant d’un mugissement de guerrier vainqueur.


Abel retire son sexe luisant du vagin de sa maîtresse qui, tout en reprenant son souffle, lui adresse un sourire de reconnaissance. Mais pas de répit pour Chrystine ; à peine Abel s’est-il allongé à côté d’elle, sans que ses mains n’abandonnent ses seins, que Nathan, à son tour, s’allonge entre les cuisses de son épouse, écartelée sur les draps, pour un coït plus conjugal. Dans un soupir suivi d’un sourire amoureux, puis d’un profond gémissement, le sexe de Chrystine accueille le sexe de son époux, pendant qu’Abel se penche vers elle pour lui téter les seins. Tout en caressant la nuque d’Abel, elle embrasse tendrement son mari, et lui murmure à l’oreille, pour le rassurer :



Des mots qui le cravachent, lui font lâcher la bride et se mettre au galop dans le ventre bien lubrifié de son épouse. Les mouvements de son époux en elle, ses yeux posés sur les siens, la bouche de son amant autour de ses seins, arrachent à Chrystine un nouvel orgasme, accompagné d’un cri de guerrière vaincue. Alors seulement, Nathan, excité et chauffé à blanc, jouit à son tour, en rugissant de plaisir, tandis qu’Abel relève la tête afin d’admirer la belle jouisseuse.


Épuisée, momentanément comblée, débordante des plaisirs que ses hommes ont déversés en elle, Chrystine gît sur les draps froissés. Se deux hommes la caressent, presque pudiquement, pour la laisser « redescendre », puis la laissent se reposer de ses émotions et l’abandonnent pour aller dans le salon se rafraîchir et lui chercher un rafraîchissement, tout en se préparant à une deuxième séance, qu’ils souhaitent aussi torride que la première, désireux tous les deux de remettre leur sensibilité et leur vigueur au service de leur maîtresse.