Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19735Fiche technique17021 caractères17021
Temps de lecture estimé : 10 mn
29/07/20
Résumé:  La belle Marlène succombe à un gendre bien membré.
Critères:  fh couleurs extracon alliance nympho grossexe entreseins fellation cunnilingu fdanus -extraconj
Auteur : Roy Suffer  (Vieil épicurien)            Envoi mini-message
Black micmac

Elle était bien jolie, la Marlène. C’est comme ça qu’on l’appelait dans le village, où elle était connue comme le loup blanc. Incorrigible fêtarde, le rire sonore de Marlène résonnait dans le voisinage les soirs d’été, car tous les soirs ou presque, c’était apéro-barbecue dans son jardin. Elle vivait bien, mariée à un chef d’entreprise de l’agroalimentaire, elle ne travaillait pas et passait ses journées à se pavaner en voiture. Du village à la ville, de la ville au village, coiffeuse, esthéticienne, danse de sa fille, courses, tout était prétexte pour faire ronfler l’Audi. C’était une assez jolie femme, blonde aux cheveux courts toujours permanentés, un visage candide avec de jolis yeux bleus et un petit nez retroussé, et quant au reste tout ce qu’il faut où il faut : belle poitrine toujours mise en vitrine, taille fine et hanches arrondies, jolies fesses et membres fuselés. Jusque-là, on aurait pu dire que Marlène était une très jolie femme.


Le problème apparaissait dès qu’elle ouvrait la bouche. Non pas que ses dents ne soient pas parfaites, non, mais c’était les mots qui en sortaient : une façon de parler un peu vulgaire dans le timbre comme dans le vocabulaire, et surtout la démonstration manifeste qu’elle était absente le jour de la distribution des neurones. Elle était, comme on dit chez moi, bête à manger du foin. Sa conversation était sans intérêt puisqu’elle ne s’intéressait à rien. Elle était en quelque sorte une imbécile heureuse. Pas totalement idiote, cependant, Marlène savait faire plein de choses : une cuisine basique, mais convenable, tondre la pelouse et tailler les haies, torcher les gamins, etc. On comprend bien pourquoi elle ne travaillait pas, elle en eut été incapable ; et puis elle n’en avait pas besoin, puisque son mari avait des moyens suffisants. Plus âgé qu’elle, il s’était offert une belle plante qui n’avait pas froid aux yeux et devait lui donner au lit tout ce qu’il désirait.


Les années passèrent dans cette sorte d’équilibre joyeux. Le temps n’avait, semble-t-il, pas de prise sur Marlène qui était toujours égale à elle-même, tant physiquement que dans son comportement. Sa fille, elle, grandissait, grandissait, au point d’avoir une tête de plus que sa mère. Hélas, elle n’en avait pas la beauté. Son visage faisait plus penser à son père et son corps était comme celui de beaucoup de filles aujourd’hui : sans taille, sans hanches, sans fesses, et presque sans poitrine. Un grand échalas encombré de ses membres, au teint pâlot, traînant son spleen existentiel sur les bancs du lycée. Par bonheur, elle avait aussi hérité de son père quelques capacités intellectuelles qui lui permirent d’avoir son bac à la seconde tentative.


Elle partit donc pour la fac, au grand soulagement du voisinage. Parce que la minette avait hérité également de sa maman d’une chaleur cachée qu’on appelle couramment « le feu occulte » ! Ses conquêtes étaient légion, qui venaient la retrouver ou la raccompagner dans le quartier, d’abord avec des mobylettes bruyantes, puis avec des motos un ton au-dessus et enfin avec des guimbardes customisées dont les toits vibraient à cause d’enceintes énormes crachant leurs basses au maximum. Et ça discutait jusqu’à pas d’heure, ça se bécotait appuyés sur les clôtures, on disait même que les capots des voitures en prenaient un coup à chaque fois. Bref, bon vent à la fifille, partie dans l’enfer de la fac et de la grande ville. La trêve fut d’assez courte durée. En fac, la miss découvrit un autre terrain de chasse, bien plus étendu et revint en week-end accompagnée, quelques mois plus tard. Il s’agissait d’un grand noir, noir-noir comme disait Muriel Robin, répondant au doux nom de Batou. Proche des deux mètres, coiffé d’une énorme touffe de rastas qu’il attachait souvent en catogan, Batou traînait sa longue carcasse dans les rues en compagnie de sa belle, la tenant par une main parfois sur l’épaule, parfois à la taille, mais le plus souvent aux fesses et même dans la poche revolver du jean.


Mais cette fois c’était du sérieux, la preuve : la douce demoiselle se retrouva enceinte bien avant d’être arrivée au terme de ses études. Elle les abandonna donc, papa acheta une petite maison dans le village pour abriter le jeune couple, il embaucha fifille dans son usine à un poste de « serrarien-chef », laissant Batou s’épanouir dans le club local de basket-ball. Maman, Marlène donc, veilla à assurer le bien-être au quotidien de sa fille enceinte, lui faisant courses, cuisine, ménage, tout ce qui était dans ses cordes. Quand bébé naquit, un joli petit métis café au lait, Marlène se mit à pouponner tandis que sa fille allait faire un peu de présence dans l’usine de papa. Ainsi Marlène naviguait entre les deux maisons, chez elle partout, pas dérangée par Batou qui passait le plus clair de son temps vautré sur le canapé, regardant la télé ou jouant à des jeux vidéo. Parfois il montait dans sa guimbarde, une vieille voiture repeinte elle aussi en noir, mais en noir mat, aux vitres recouvertes de ces films à peine transparents, noirs eux aussi, qui empêchent de voir l’intérieur du véhicule. Il se promenait incognito ! Deux fois par semaine, il avait entraînement de basket, et parfois même des matches le week-end. Épuisant ! Utiliser le terme de nonchalance à son égard eût été un euphémisme quand il descendait de son corbillard. Cette vie toute faite par d’autres semblait lui convenir à merveille puisqu’il n’avait qu’à se laisser vivre et n’avait aucune envie de se poser des questions ou de faire le moindre effort pour en infléchir le cours.


Un jour cependant, alors que Marlène avait amené son petit-fils chez une copine qui avait des jumeaux du même âge, histoire de les faire babiller ensemble, elle avait oublié un quelconque accessoire ou jouet du petit. Prompte à faire ronfler l’Audi, elle fonça chez sa fille, entra sans prévenir comme à son habitude et courut dans la chambre du bambin. Batou lui, se croyant seul, sortit tranquillement de la salle de bains dans le plus simple appareil, et tomba nez à nez avec belle-maman. Comme elle avait le nez beaucoup plus bas que lui, ce qu’elle vit et qui la cloua sur place, c’est le sexe de Batou. Le bougre faisait honneur à la réputation qu’ont les hommes noirs de disposer d’un sexe surdimensionné par rapport aux blancs. C’est faux la plupart du temps, mais là… c’était vrai ! Pas étonnant que sa fille ait jeté son dévolu sur ce garçon. Il promenait au repos un tuyau ballottant d’une vingtaine de centimètres, bien soutenu par une paire de glandes proches de la taille de kiwis. Instantanément, le cœur de Marlène partit vers les cent vingt coups minute, des bouffées de chaleur lui montèrent à la tête en même temps qu’elles se propagèrent dans son ventre. Elle porta ses mains au visage en s’écriant dans son langage imagé :



Batou, cool mon frère, ricana et donna deux ou trois coups de hanche qui firent s’agiter l’engin :



Marlène ne répondait pas, ne bougeait pas, ne pensait plus. Une seule chose avait envahi son cerveau limité, ce fabuleux pénis qui dandinait devant elle. Il la rendait folle, la fascina, l’obséda soudain, monopolisant la totalité de son potentiel. Par rapport à son cher mari qui faisait maintenant chambre à part, c’était fabuleux, sans comparaison possible, genre l’Amérique par rapport à la France, une Ferrari par rapport à une 2CV. L’instinct prit les commandes à la place du tout petit cerveau de Marlène, elle tomba à genoux et prit l’engin à deux mains. La peau lui en sembla d’une douceur infinie, le poids considérable et la texture incroyablement ferme même au repos.



Batou s’appuya au mur, regrettant qu’il n’y ait pas de siège dans le couloir, et se laissa faire, amusé. Belle-maman s’agitait avec une technique de haut niveau. Très vite, son membre prit la position et les proportions de combat, et l’autre gloussait de bonheur, suçant, léchant, massant en ne regrettant qu’une chose : ne pas pouvoir l’engouffrer tout entier dans sa gorge. Trop gros et surtout trop long. Elle était comme en prière, ayant reçu l’illumination, elle venait de trouver son dieu, pas Batou, mais son sexe.


Conservant l’énorme gland brun dans sa bouche, elle commença à se dévêtir n’ayant plus qu’un but : se donner toute entière à ce miracle de la nature. Batou ne se posa pas de questions. Il avait l’occasion de prendre du plaisir, peu importait s’il s’agissait de la mère de sa compagne. En plus, il s’en doutait déjà, mais là il put le vérifier, elle était super bien roulée. Plus dodue, plus charnue, avec bien plus de formes que sa fille, et en plus, elle avait toute l’expérience de son âge : là par exemple, elle lui coinçait la queue entre ses gros seins et c’était super bon ! Sa copine ne lui avait jamais fait ça et pour cause, ses « œufs sur le plat » étaient beaucoup trop petits. Quand il sentit qu’il commençait à fatiguer debout, et que la position couchée serait plus confortable, Batou attrapa Marlène, la souleva de terre et empala son vagin ruisselant sur son Priape dressé. Elle cala instinctivement ses cuisses sur ses hanches et il la transporta ainsi jusqu’à la chambre.


Marlène eut une énorme exclamation de surprise. Elle avait l’impression d’avoir de nouveau dix-sept ans, quand le premier pénis l’avait pénétrée, écartant ses chairs et bousculant son ventre. Son sexe de femme mûre si souvent visité retrouvait des sensations originelles. Il était étiré, dilaté, semblant devenu soudain tout étroit, et le fond en était repoussé au point que tous ses organes en étaient bousculés. Quelle merveille de se retrouver comme une presque vierge à quarante-cinq ans !


Elle était dans un état second, imaginant qu’il pouvait être proche de l’effet d’un pétard qu’elle n’avait jamais fumé. Elle se donnait à son nouvel amant avec une application qui confinait à la dévotion. Tout ce qui lui importait, c’était de profiter de cette fantastique aubaine, d’avoir en elle ce sexe somptueux qui la rendait folle de plaisir. Et puis Batou n’était pas mal non plus. Il était fainéant, certes, mais son corps était merveilleusement sculpté, musclé, avec des fesses à tomber. De plus, il ne se débrouillait pas mal dans la bagatelle, la manipulant dans tous les sens, la faisant jouir et rejouir sans se lasser. Elle aimait beaucoup aussi ses grosses lèvres qui venaient de temps en temps lui sucer bruyamment les seins ou le clitoris.


Il lui lécha aussi l’anus et la sodomisa avec difficulté. Elle se croyait pourtant élargie depuis longtemps et parée à toute éventualité. Mais là, ce fut un peu douloureux au début. Avec toute son expérience, elle respira un grand coup, se détendit totalement et laissa aller ce manche de pioche jusqu’à sa garde. Le plaisir revint rapidement, plus fort, plus fou que jamais. Elle hurla à la mort quand cette incroyable queue gicla en elle des quantités de sperme à la hauteur de ses dimensions. Elle crut que ça n’en finirait jamais, qu’il allait la noyer par l’intérieur de son liquide épais et chaud. Elle crut même à un moment qu’il urinait au lieu d’éjaculer. Mais non. Quelle sensation ! Elle dut vite aller libérer le trop-plein aux toilettes et s’essuyer l’intérieur des cuisses et des fesses.


Incroyable. Quelle chance avait sa fille ! Mais bon, elle savait maintenant qu’elle aussi allait en profiter, car c’était décidé : elle viendrait chaque jour se donner à son bel étalon. Si personne ne le savait, ça ne ferait aucun mal et à elle ça lui ferait tellement de bien. Elle avait eu quantité d’amants, son mari n’en avait jamais rien su et donc n’en avait jamais souffert. Ce serait pareil avec sa fille, pas plus compliqué et somme toute pas plus immoral. Elle retrouva son amant, ravie, comblé, mais cependant toujours aussi fascinée. La merveille des merveilles n’avait pas encore repris la position de repos, elle en profita pour la cajoler de nouveau.


Jeunesse, race, elle ne savait pas pourquoi, mais l’extraordinaire engin reprit très vite vigueur et robustesse, si bien qu’elle put se mettre à le chevaucher à son souhait, elle-même repartant dans un délire d’orgasmes à répétition. Batou se serait bien reposé, mais puisque la dame en voulait encore, pas de problème, elle n’avait qu’à se servir. Le second tournoi dura encore plus longtemps que le premier. Marlène en sortit ravagée de plaisir, couverte de sperme : elle avait voulu à tout prix voir de ses yeux cette incroyable fontaine, et avait terminé par une solide masturbation renforcée de belles succions du gland, tout en massant avec délectation ces deux somptueux kiwis.


Ravie par l’efficacité de sa technique, elle avait pu admirer les six à huit jets successifs qui lui avaient fouetté le visage, inondé les cheveux, dégouliné sur les seins. Un régal, un phénomène de production. Pas étonnant que sa fille soit si vite tombée enceinte ! Enceinte… Tiens, merde, le petit. Marlène se lava un peu, se sécha rapidement, et sauta dans sa voiture. Elle était connue pour avoir la mémoire à la hauteur du QI, très courte. Personne donc ne s’étonnait trop des retards ou des rendez-vous ratés de Marlène, comme ce fut le cas de la copine. Quand les marmots s’étaient mis à brailler, elle avait fait trois biberons au lieu de deux et tout le monde avait été content. La Marlène mammy revint à la surface, emmena le bébé et alla préparer à dîner pour tout le monde.


Pendant plusieurs semaines, les voisins purent constater la présence de l’Audi devant chez sa fille. Mais quoi de plus normal, c’était sa fille. Et puis la Marlène était bien bonne de tout faire chez elle, ménage, cuisine, vaisselle, lessive… C’est du moins ce que ces braves gens du voisinage imaginaient, jusqu’aux beaux jours. Il advint qu’avec l’été la chaleur revint, ce qui semble normal, tout comme le fait que des fenêtres restent ouvertes à cette saison. Les hennissements de Marlène montée par son étalon filtrèrent largement dans la rue, provoquant la vindicte populaire :



Comme il fallait s’y attendre, une lettre anonyme parvint à l’entreprise du père à l’intention de la fille. Celle-ci fit irruption dans le bureau de son père, lui prit les clés du gros 4x4 et fonça chez elle à tombeau ouvert. Pas besoin de discrétion pour arriver, les beuglements orgasmiques de Marlène couvraient tout bruit alentour. La fille prit sa mère la main dans le sac, il faudrait dire dans les sacs puisqu’elle tenait les testicules de Batou, une main entre ses cuisses écartées, tandis que celui-ci la pilonnait férocement par-derrière. Le père arriva quelques minutes plus tard amené par un subordonné, a priori plus inquiet qu’agressif. Les deux amants étaient encore nus dans la chambre, Batou essayait mollement et sans conviction d’expliquer que ce n’était pas un drame puisque ça restait en famille. La fille partit loin avec son gosse, Batou retourna d’où il était venu, et le père accepta un divorce par consentement mutuel pour aller plus vite et épargner sa fille.


À soixante ans, Marlène est encore une jolie femme. Des cheveux blancs ont remplacé ses cheveux blonds. Elle ne porte plus que des jeans et des pulls usagés, toujours aussi échancrés sur une poitrine un peu plus flasque, mais encore assez appétissante. Deux ou trois soirs d’été, on entend encore son rire tonitruant, reconnaissable entre tous, depuis le jardin de sa maison qu’elle loue maintenant à une agence. Elle ne vit que d’une petite pension alimentaire arrachée in extremis au juge qui l’a reconnue sans ressources, et de quelques gardes d’enfants, non déclarées. La vieille Audi n’a plus de chapeaux de roues, fume noir et pétarade un peu, mais elle roule encore. Elles sont solides les voitures allemandes…