n° 19766 | Fiche technique | 17015 caractères | 17015 3017 Temps de lecture estimé : 13 mn |
16/08/20 |
Résumé: Rencontre inopinée à la sortie du travail, avec une jeune femme se soulageant de façon totalement impudique près de ma voiture. Malgré des débuts un peu conflictuels, nous apprenons à faire connaissance... | ||||
Critères: jeune fh hplusag jeunes inconnu parking voir exhib noculotte caresses fellation uro glaçon -occasion | ||||
Auteur : Leloupestdanslbois Envoi mini-message |
Ce soir, je m’apprêtais à rentrer du boulot quand en m’approchant de ma voiture, je vis une tête qui dépassait par-dessus la vitre d’une portière. Un peu furax, je pressai le pas pour me planter devant l’intrus pensant choper un gamin en train de me piquer mes embouts de valve ou peut-être même mes jantes.
Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir une jeune femme d’une vingtaine d’années accroupie entre ma voiture et celle du voisin, la mini-jupe en jean relevée sur les hanches en train d’uriner copieusement.
Je restais donc un peu interdit de ma confusion, mais j’en profitai tout de même pour détailler la belle impudique. De longs cheveux châtains avec quelques mèches plus claires qui semblaient naturelles et dues à une exposition régulière au soleil, des yeux verts qui pétillaient de malice, une bouche assez fine avec une dentition régulière, un nez fin qui, associé à sa coiffure, donnait un aspect tout en finesse à son visage. Un décolleté plus qu’honnête dont un chemisier largement ouvert (car tendu par le petit sac à dos qu’elle portait) ne cachait pas grand-chose. Sa peau bronzée et satinée avait un grain très fin, qui invite aux caresses. Son pubis, épilé de près, ne supportait plus qu’un léger triangle qui pointait vers son sexe, deux pétales rosés largement ouverts surmontés d’un clitoris qui, malgré le fait qu’il soit recouvert par son capuchon, semblait assez proéminent. Juste en dessous s’échappait un jet doré et abondant. C’était la première fois, en fait, que je voyais une fille en pleine miction et ce qui m’est passé par la tête à ce moment-là, c’est « purée, quelle pression ! »
Si j’avais fait un pas de plus, elle me pissait dessus.
Je fus interrompu dans mes réflexions par le ton de sa voix assez agressif :
Je lui répondis sans me démonter :
Non, mais, des fois, pensai-je, ce n’est pas moi qui suis la chatte à l’air en train de me soulager sur la voie publique. Je crus voir un peu ses joues rosir lorsqu’elle prit vraiment conscience de la situation.
Pour la mettre encore plus mal à l’aise, je restai planté devant elle, pour bien lui faire comprendre que j’attendais.
En fait, elle ne se démonta pas. Avec le recul, je me dis que dans la même situation, ça m’aurait direct coupé l’envie, mais elle était décidée à aller jusqu’au bout et ne faisait rien de plus pour se cacher.
En effet, je le savais, j’étais de plus en plus intriguée par cette jolie inconnue que cela ne dérangeait pas d’entamer la conversation dans la posture où elle était.
Sur ce, son affaire terminée, elle se releva prestement, c’est à ce moment que je me rendis compte qu’elle ne portait pas de culotte, et qu’elle n’avait qu’à rabaisser sa mini-jupe sur ses cuisses pour être rhabillée.
J’ouvris ma voiture et l’invitai à y prendre place. Histoire de faire la conversation, je lui demandai si elle était du coin ?
Sa réponse me laissa sans voix, je pense même que j’ai dû rougir en repensant à sa vulve offerte à ma vue, même pas cinq minutes auparavant.
En tout cas, sa réponse avait un peu interrompu la conversation. C’est elle qui reprit sur un ton plus doux :
Je dois avouer que j’étais rassuré, pourquoi je ne sais pas vraiment, mais cette fille remontait un peu dans mon estime.
Tout de suite radoucie, elle me glissa un suave « c’est gentil, merci » qui me chamboula un peu.
Entre temps, nous étions arrivés dans le centre-ville devant la fameuse place du pilori, au milieu de laquelle trônait la fontaine recherchée.
À peine cinq minutes plus tard, ma portière passager s’ouvrait brusquement et ma belle inconnue se laissait tomber littéralement à mon côté.
Elle tourna la tête vers moi et avec un regard malicieux, elle me dit :
Je me sentis rougir, même si ma proposition partait vraiment d’un bon sentiment, je dois avouer que depuis le début cette petite ne me laissait pas indifférent. J’aimais de plus en plus son côté à la fois très nature et rebelle. Reprenant contenance, je lui répondis :
Elle fit comme si elle n’avait pas entendu ma dernière remarque.
Sur ce, je démarrai et pris la route de la maison. J’avais quinze minutes de voie rapide, la discussion était tombée et elle était en train de bidouiller son lecteur mp3. Elle avait posé son pied droit sur le seuil de porte, ce qui en pliant sa jambe avait négligemment relevé sa mini-jupe. Croyant qu’elle était concentrée sur ce qu’elle faisait, je jetais de temps en temps un coup d’œil sur son entrejambe.
Soudain, elle releva la tête et me prit en flagrant délit de voyeurisme.
Cette simple phrase, lancée comme un coup de fouet, me calma direct. Je me reconcentrai en effet sur ma conduite, n’osant plus rien dire et me demandant si j’avais bien fait de proposer de l’héberger.
Je crus tout de même voir se dessiner un sourire en coin sur la bouche de la demoiselle, qui n’avait rien changé à sa position.
Non d’un petit bonhomme, me dis-je, je ne vais tout de même pas me laisser mater par une donzelle de presque dix ans ma cadette.
Nous arrivions chez moi, j’étais assez fier de ma petite maison, retapée pendant plus de trois ans. J’en avais fini les travaux l’été dernier.
Je lui fis le tour du propriétaire, tenant à lui montrer sa chambre, pour ôter toute ambiguïté.
Nous prîmes l’apéritif et puis nous passâmes ensuite à table. J’avais préparé une petite salade verte en entrée suivie d’une omelette paysanne, un petit sorbet couronnait le tout.
Après ce repas assez copieusement arrosé, les quelques bières de l’apéritif s’y ajoutant, une envie pressante se fit sentir. Je m’absentai en m’excusant et me dirigeai vers les toilettes. À peine ai-je eu le temps de déboutonner mon pantalon et de sortir mon sexe que la porte s’ouvrit derrière moi. C’est vrai qu’habitué à vivre seul la plupart du temps, je n’avais pas verrouillé la porte.
J’étais stupéfait et passablement énervé.
Elle en profita pour se glisser sur le côté et dans le même mouvement rabattre la lunette et s’asseoir dessus.
Je me retrouvais la bite à la main avec son visage à moins de cinquante centimètres de moi. Elle me regardait avec un regard provocateur, tout en se déhanchant pour relever sa mini-jupe.
Même si son interruption m’avait temporairement coupé l’envie, je décidai de ne pas me laisser démonter et fermant les yeux, je me concentrais. Quelques secondes plus tard, je sentis que ça revenait, j’ouvris les yeux juste à temps pour viser entre ses jambes. J’étais assez fier de moi, même si je devais rester concentré, je n’en avais pas mis partout. Je pensais que tant qu’à faire d’avoir provoqué la situation, j’allais un peu la taquiner, je fixai maintenant son entrejambe et commençai à rapprocher mon jet de son pubis. Elle ne bougeait pas, elle était comme hypnotisée par mon sexe décalotté qui expulsait un flot constant. Mon urine frappa sa vulve, j’essayai de viser son clitoris, elle eut un sursaut, je venais de l’atteindre. Elle se mordit légèrement la lèvre inférieure et son regard se troubla, elle semblait très sensible. Elle devait être déjà passablement excitée pour réagir de la sorte. Elle tremblait de plus en plus, lorsque mon flot se tarit. Je me retrouvai la queue à la main, ne sachant comment me débarrasser de la petite goutte qui perlait sur mon gland.
C’est elle qui résolut le problème ; elle se pencha et délicatement, du bout de la langue, elle récupéra le liquide qui commençait à couler. Elle me sourit et tendrement commença à happer mon sexe encore au repos. Je ne fus pas long à réagir, je bandais comme rarement auparavant. La tension dans mon sexe en était presque douloureuse. J’appuyai une main contre le mur et penché au-dessus d’elle, je lui baisai la bouche lentement en savourant chaque instant. La jouissance arrivait. Je tentai de me retirer pour ne pas lui éjaculer dans la bouche. Elle m’attrapa les fesses et vint coller ses lèvres contre mon pubis, ma queue plantée au fond de sa gorge, je déchargeai à grandes salves, dans un orgasme que je n’avais pas connu depuis longtemps. Elle relâcha son étreinte sur mes fesses et je tombai presque à la renverse, les jambes me manquant. Elle, de son côté, rouge écarlate reprenait son souffle, un léger filet de sperme s’échappant du coin de sa bouche.
Et c’est toi qui m’as bien fini, pensais-je. D’accord, cela faisait une manche pour elle, mais reprenant mes esprits, je me promis de gagner la prochaine bataille.
J’imaginais sa tête, comme je la plantai là comme un goujat, J’ai dû faire un effort surhumain pour ne pas me retourner.
Une fois au salon, je me servis une petite menthe pastille bien fraîche avec un glaçon. Elle arriva dans la foulée, moins boudeuse que je ne l’aurais cru.
Je filai donc lui préparer un bon bain chaud, avec quelques sels et savons effervescents que j’avais chiné dans une petite boutique du centre-ville, trouvant l’idée amusante.
Je retournai au salon l’invitant à profiter du bain tant que les boules effervescentes faisaient effet. Elle ne se fit pas prier, et se dirigea à son tour vers la salle de bain. Je me réinstallai dans le canapé tendant l’oreille, pour savoir si elle avait refermé la porte à clef ou non. A priori, elle ne s’était pas donné cette peine, mais de toute façon, ce n’est pas ce qui aurait arrêté mes plans.
Comme je le pensais, elle n’avait pas eu le temps de terminer son verre qui trônait encore sur ma table basse. C’était mon excuse toute trouvée pour aller la voir. J’attendis quelques minutes d’être sûr qu’elle serait déjà dans l’eau et attrapant le seau à glaçon et son verre dans l’autre main, j’ouvris grand la porte de la salle de bain, entrant sans plus de cérémonie. Elle sursauta légèrement à mon arrivée, mais ne réagit pas plus que ça.
Elle tendit la main pour s’en saisir et je pus détailler sa poitrine que, pour l’instant, je n’avais fait qu’imaginer et entrapercevoir. Ses seins semblaient fermes et pleins, d’une rondeur qui appelait à être soulignée par une caresse délicate. Une petite aréole très claire dont la limite se confondait presque avec sa peau, au milieu de laquelle trônait un mamelon pour l’instant au repos, mais que je comptais bien mener au mieux de sa forme.
Elle sirota un peu de son verre.
Elle acquiesça. Saisissant alors un glaçon, je me penchai pour le mettre dans son verre que je fis exprès de rater, le glaçon me glissa des doigts et atterrit directement entre les seins de la demoiselle qui sursauta au contact du froid qui lui mordit instantanément la peau. Je fis comme si je voulais récupérer le petit rebelle et me penchai sur elle pour réparer mon erreur. Le piège s’était refermé, j’étais en position. J’arrivais à coincer sans trop de mal le glaçon récalcitrant et le plaquai contre le corps de la belle. J’entrepris de le faire glisser sur sa peau surchauffée, comme si je n’arrivais pas à m’en saisir. Je descendis donc la vallée formée par ses seins et commençait par en souligner le galbe avant de remonter et de faire le tour de l’aréole gauche. Ce qui fit s’ériger instantanément son téton. Elle avait fermé les yeux, ce que je pris comme un consentement à continuer plus avant. Je pris donc un glaçon dans l’autre main et appliquait le même traitement au sein droit.
Elle se cambra, poitrine en avant pour aller à la rencontre de la morsure des glaçons.
Après avoir atteint ce qui me semblait le thélotisme maximum et les glaçons ayant fondu, j’en attrapai un autre que je fis doucement descendre jusqu’à son nombril. À ce moment, la respiration de la belle impudique était déjà haletante et lorsque plongeant encore plus bas, je passai ma main sous l’eau, frôlant volontairement son clitoris déjà proéminent, elle ne put retenir un gémissement. Je passai mon glaçon entre ses petites et ses grandes lèvres avec pour projet de revenir sur son bouton d’amour, mais le sort en décida autrement. Au moment où j’allais remonter, à cause d’un mouvement qu’elle fit avec son bassin, je passais sur l’entrée de sa grotte d’amour, mon glaçon fut comme aspiré.
Craignant pour les muqueuses de mon amante, je partis à la recherche de ce désobéissant bout de glace espérant pour de bon le récupérer. Pour cela, je fouillai la miss de façon beaucoup plus rude. Loin de la déranger, elle écartait les jambes de plus en plus, favorisant cette fougueuse intromission. Au bout de quelques secondes, je me fis une raison, jamais mon glaçon ne ressortirait de là. Du coup, j’entrepris de le faire fondre un imprimant un dynamique mouvement de rotation avec trois de mes doigts dans son vagin dont je sentais les parois se dilater et durcir à la fois sous le coup du froid et du traitement que je lui faisais subir.
Sentant la belle proche du plaisir, je stimulai de mon autre main son clitoris turgescent, qui débarrassé de son capuchon, pointait fièrement en bas de son mont de Vénus. Ma jolie inconnue, se caressant les seins, lançait des mouvements de bassins de plus en plus désordonnés. Comme elle commençait à mettre de l’eau partout, je décidai d’abréger son supplice en caressant directement son clito avec la pulpe de mon pouce, tout en stimulant la zone la plus rugueuse de son vagin, là où est censé se situer le fameux point G. Je sentis la force de son orgasme aux contractions puissantes qui éjectèrent ma main de son antre. Je la laissai là, pantelante, retrouver sa respiration et ses esprits. Les jambes écartées, la vulve offerte dans une posture obscène qui me donna envie de la prendre sur-le-champ.
Réussissant à me contrôler, je déposai un doux baiser sur sa bouche et lui murmurai à l’oreille avant de la laisser :