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n° 19782Fiche technique12305 caractères12305
Temps de lecture estimé : 8 mn
28/08/20
Résumé:  Après s'être assuré de l'infidélité de sa femme, le mari se venge.
Critères:  fh fhh ffh extracon humilié(e) vengeance intermast fellation pénétratio confession -extraconj
Auteur : Gaétan
L'amant trompé, l'épouse et la maîtresse adultères

Je reprends : je m’appelle Gaétan et suis marié à Lydie, très belle femme, mais frigide, ou presque, et je suis l’amant de Germaine (qui, en réalité, se prénomme Carmen), moins belle que Lydie, mais qui me fait bander comme un jeunot (justement grâce à ses « défauts »), que je retrouve chaque jeudi, dans un petit hôtel. Son mari, Paco, a découvert son « infortune » (comme l’écrivent les journalistes bien élevés) et, pour constater de visu son malheur, m’a forcé à pratiquer une dernière séance de sexe avec son épouse, sans que celle-ci le sache, avant de me priver, définitivement, de ma virilité. C’est dire si je n’en mène pas large…


Germaine est donc allongée sur moi, tête-bêche et, malgré la menace qui me guette depuis la salle de bain, je parviens à jouir (pour la dernière fois de ma vie ?) dans la bouche de ma maîtresse en poussant un cri, en révolte contre la barbarie d’un homme qui veut me condamner à devenir un nouvel Abélard.

Mon cri, de plaisir autant que de désespoir, est suivi d’un rugissement en provenance de la salle de bain, dont la porte s’ouvre brutalement, laissant le passage à un Paco écumant de rage, qui se rue dans la chambre…


Il s’arrête brusquement, pantois, découvre notre position, très peu conforme aux canons de l’Église catholique romaine, qui semble l’étonner. Effrayée par le cri, Germaine, qui lui tourne le dos et les fesses, sursaute, contracte sa mâchoire, en manquant de très peu d’exécuter, avec ses dents, la sentence que son mari avait prononcée contre moi. Paco commence par lancer une bordée d’injures, réitère, en hoquetant, ses menaces, puis, quand son regard se pose sur le généreux fessier que sa femme expose à sa vue, son regard devient trouble, puis très vite lubrique… Il profère encore deux ou trois insultes, semble hésiter, puis se décide : dans un nouveau rugissement, il ouvre sa braguette, et en sort son sexe. Il s’approche de nous, appuie sur le dos de Germaine pour l’inciter à garder la position et, d’un mouvement décidé, il s’enfonce dans sa chatte, en lui faisant pousser un « Oh !» de surprise, voire de plaisir, mais certes pas de douleur.


Je suis toujours couché, les lèvres sur le clitoris de (ma ? sa ?) Germaine et, au-dessus de ma tête, je vois s’agiter le sexe de Paco (effectivement bien plus gros que le mien) dans le sexe de son épouse, bien lubrifié par mes caresses. Germaine se met à pousser de petits gémissements, que je sais, par expérience, annonciateurs de son plaisir, et ses lèvres libèrent mon sexe, encore tout ramolli par l’orgasme, et qui se garde bien de se raidir à nouveau, afin de ne pas provoquer l’ire du candidat hongreur, en pleine action dans le ventre de sa femme. Mes mains se lèvent vers les fesses, les bourrelets de Germaine, mais en sont chassées par celles de Paco, qui s’y agrippent pour rythmer et accompagner sa pénétration. Coincé entre les cuisses ouvertes de Germaine, je sens cogner contre mon nez les couilles de Paco qui, de temps en temps, retire, en ricanant, son sexe de celui de sa femme pour le poser sur mon visage, sur ma bouche. Non, mais, quel dégoûtant… il ne voudrait pas, en plus, que je lui taille une pipe… Il en est bien capable…


Écœuré par ce contact, je décide de fuir et me glisse de sous le corps de Germaine, pour me libérer de tout contact avec l’appareil génital de son mari.


Puis-je fuir ? Oui, je le peux, car Paco, manifestement, ne pense plus à moi, mais que va-t-il se passer quand il aura joui ? Tentera-t-il de tuer Germaine ? Et moi, dois-je risquer mon vit pour tenter de protéger la vie de ma maîtresse ? Je n’ose regarder Paco, et pose mes yeux sur Germaine : non, elle ne semble pas souffrir, et son visage paraît même montrer de légères marques de plaisir, puis se crispe lentement, en même temps que son corps s’agite, à son tour, contre le ventre de son mari. C’est pas vrai, ma maîtresse va bientôt jouir, ramonée par son mari, devant moi… Enfin, sans un bruit, sans un mot, comme cela se passe avec moi, la crispation de son visage se transforme en grimace et Germaine ferme les yeux, et jouit…


Paco, contrairement à ce que m’avait raconté sa femme, n’est pas si hâtif que ça, et n’a pas encore craché son venin. Il se retire du ventre de sa femme, la retourne, l’allonge sur le lit, se couche sur elle pour reprendre ses mouvements en elle, mais cette fois, à la missionnaire. Et moi, l’amant devenant cocu, et même, cocu voyeur, je vois ma douce maîtresse m’adresser un sourire, moins d’amour que de compassion, comme si elle voulait se faire pardonner d’aimer aussi être baisée par son mari. Puis, attirant sa tête vers elle, Germaine dit à Paco quelque chose que je ne comprends pas, mais qui semble lui plaire, puisqu’il se redresse et, sortant légèrement sa queue pour me la montrer, il m’adresse un regard méprisant et fier, comme pour me dire : « Regarde ce qu’elle aime, regarde bien, ça, c’est une bite de macho ! ».


En voyant la rage de Paco se transformer en fureur érotique, je décide de ne pas laisser Germaine seule avec lui, mais me rends dans la salle de bain pour me rafraîchir le visage et reprendre mes esprits. J’entends le mugissement de Paco qui jouit, enfin et, quand je rentre dans la chambre, je le vois se rhabiller. Avant de sortir, il me dit, sur un ton menaçant :



Germaine gît sur le lit dévasté, odalisque lascivement offerte à ma vue, encore toute remuée (sic). Elle me regarde, me sourit, et me dit, d’une petite voix de chatte :



Je lui obéis et me couche contre elle, la tête entre ses seins. Le sexe l’a fait transpirer et j’aime son odeur, même si… Elle reprend mon sexe dans sa main, le caresse doucement, lui redonne vie et m’invite à prendre la place de son mari, sur elle, en elle. Mon corps escalade son corps, mes lèvres se posent sur ses seins magnifiques, mes mains agrippent ses hanches en sueur et, à mon tour, toute honte bue, je plonge mon sexe dans le sien, doux et accueillant, lubrifié par le sperme de son mari… Son doux regard se pose sur moi, puis elle ferme les yeux, son visage se crispe à nouveau et Germaine, une fois de plus, jouit… Couché sur elle, ma tête entre ses seins, je pleure en silence, en cessant tout mouvement en elle. Germaine me caresse la nuque, me murmure à l’oreille des petits mots gentils, en espagnol, que je ne comprends pas, et se met à agiter son ventre autour de mon sexe jusqu’à ce qu’à mon tour, je jouisse en elle…


Je me sens humilié… J’ai accepté que ma maîtresse chérie, sous mes yeux (sur mon nez !), soit baisée, démontée, défoncée (les mots ne sont pas trop crus !) par son mari et moi, tout ce que je trouve à faire, c’est de m’abaisser à succéder à ce salaud et de m’épancher, comme lui, dans le ventre de son épouse… Je me sens misérable… et je quitte l’hôtel « de nos amours » la tête basse et le sexe en berne, en éprouvant le besoin d’un éloignement, sans toutefois être résolu à mettre fin à mes amours extra-conjugales, car si Germaine et moi avons connu des moments de grands émois, la brutale trivialité de Paco a brutalement ramené la beauté de nos émotions à du sexe « hard » (il m’a tout de même obligé à être aux toutes premières loges quand il a « repris possession » de sa femme…)


Les temps d’après, j’erre dans ma vie, et tente de retrouver quelque complicité avec Lydie. Très « épouse modèle », elle accepte mon retour vers elle, en elle, en conservant tout de même le je-ne-sais-quoi de détachement qui m’avait éloigné d’elle. Au bout de quelques semaines, je me rends compte que ce détachement a laissé la place à une froideur, voire à quelque chose qui s’apparente à du mépris… Un soir, pendant qu’allongé sur elle, j’agite mon sexe en elle, au lieu de gémir, elle me dit, sur un ton neutre, des mots qu’elle semble répéter par convention… :



Des mots qui, dits sans la passion du plaisir, sonnent faux.


Un autre soir, alors qu’agenouillé derrière elle, à quatre pattes, j’éprouve de la peine à jouir, elle me demande :



Surpris par cette expression d’argot espagnol, je lui demande de répéter, en feignant de ne pas comprendre. Elle semble embarrassée, et me donne une réponse brouillonne et confuse, mais la graine du soupçon est semée, et ne demande qu’à germer…


Je veux en avoir le cœur net. Je décide de faire dans le classique, lui annonce que je dois me rendre chez un client, et que je rentrerai le lendemain, tard. Bien entendu, je me mets en planque et attends. Rien. Me serais-je fait du cinéma ? Vers vingt heures, je la vois partir dans notre seconde voiture. J’entreprends une filature la plus discrète possible, jusqu’à la voir se garer dans un quartier de petits pavillons. Elle sort de la voiture, marche une centaine de mètres, s’arrête devant une modeste maison, et sonne. À ma grande surprise, je vois Germaine, ma Germaine, qui lui ouvre la porte et l’accueille timidement.


Prenant mon audace à la main, je contourne la maison et entre dans le jardin pour me retrouver tout près de la baie du salon. Et là, je vois Paco, nu comme un ver, allongé tel un satrape sur le canapé, qui accueille ma belle épouse en lui tendant les bras. Germaine, ma Germaine, se glisse derrière Lydie et entreprend de la dévêtir, puis l’invite à s’agenouiller devant le ventre de son mari. Et je vois Lydie qui commence à sucer le sexe de Paco, pendant que Germaine appuie sur sa nuque pour que le membre du nabab s’enfonce encore plus profondément dans sa bouche.


Après quelques minutes, Lydie libère le sexe de son amant, lui parle d’un ton suppliant et, apparemment ravie de sa réponse, elle se relève, chevauche le ventre de Paco, dont elle saisit le sexe dans sa main pour le placer en face du sien et, lentement, les yeux mi-clos, elle abaisse son ventre pour s’empaler sur sa bite d’âne. Son feulement, son visage crispé expriment toute la satisfaction que provoque cette entrée souveraine en elle.


Dans un premier temps, elle ne bouge pas, savoure, puis ses hanches commencent à se mouvoir, sur un tempo très lent puis, s’habituant au sexe en elle, elle s’enhardit et son rythme s’accélère, qu’elle accompagne de gémissements, d’abord discrets, puis de plus en plus forts, qu’elle couronne par un cri de plaisir, intense, qui me prend de court, moi qui n’ai jamais entendu aucun cri sortir de la bouche de ma femme.


Paco la pousse de côté, encore tremblante de l’orgasme et, d’un geste de pacha, invite sa femme à occuper la place laissée vacante par sa maîtresse. Sans marquer d’hésitation, Germaine, désireuse, manifestement, de se faire pardonner ses coucheries avec moi, l’enfourche à son tour et, elle aussi, devant le voyeur hagard que je suis devenu, elle prend dans sa main le sexe de son mari, encore visqueux de la cyprine de sa maîtresse, pour le guider vers son sexe et l’engouffrer en elle avec avidité.


Je ne veux plus rien voir… Je suis révolté… Que Paco se venge de moi en faisant de ma femme sa maîtresse, soit (quoique…), mais pas en incluant ma maîtresse dans ses coucheries… C’en est trop… J’ai des envies de meurtre… Mais, en même temps, ce spectacle m’émeut et je me surprends à bander, pauvre bite abandonnée sur la terrasse de la maison où ma femme, ma maîtresse et son mari sont en train de commettre un double adultère…