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n° 19784Fiche technique18907 caractères18907
Temps de lecture estimé : 11 mn
29/08/20
Résumé:  Laurent, jeune sous-officier tombe sous le charme de Sandrine, une jeune collègue nouvellement arrivée à Sarajevo en Bosnie-Herzégovine.
Critères:  fh inconnu collègues uniforme travail fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus -rencontre
Auteur : Lauchris  (Débutant, je me lance enfin dans cet enfer qu'est l'écriture)      Envoi mini-message

Série : Sarajevo

Chapitre 01 / 04
Sandrine

Quelle chaleur ! Je suis arrivé à Sarajevo depuis trois semaines dans le cadre de l’opération Salamandre et je crève de chaud sur le bitume du tarmac de l’aéroport. Nous sommes en plein mois d’août de l’année 199X et au bas mot, il doit faire au moins 45°C au soleil et même si je suis en tenue allégée (short et chemisette), c’est l’enfer.


Moi, c’est Laurent, militaire sous contrat avec le grade de sergent et électricien dans l’Armée de l’air. Je suis en Bosnie-Herzégovine pour un mon premier OPEX pour une durée de quatre mois environ. Jeune sous-officier de vingt-sept ans, j’ai en charge, avec mon binôme Enzo, un mécano, de l’alimentation électrique et de l’entretien des matériels aéronautiques indispensables aux décollages et aux atterrissages des aéronefs civils et militaires. Et là, en ce moment, on a les mains plongées dans un groupe électrogène au fonctionnement récalcitrant.


Plus âgé de trois ans, sergent-chef, Enzo barbe de trois jours sur le visage est un beau brun d’origine italienne qui a toujours le sourire aux lèvres. Regard bleu translucide, doté d’un humour décapant, c’est le chouchou de ces dames dans le camp. C’est aussi pour moi un super camarade, nous nous entendons comme deux larrons en foire et les soirées après le boulot dans les popotes ne sont pas tristes. Quant à moi, je suis grand (1,85m), brun aux yeux or. La couleur particulière de mes yeux captive souvent les gens et me vaut un certain succès auprès de la gent féminine. Célibataire depuis trois mois après que j’eusse découvert les infidélités de ma copine. Je l’ai virée manu militari sans état d’âme de mon appartement pour préparer sereinement mon départ dans les Balkans. Comme le dit si bien la maxime, une de perdue, bah une de perdue, c’est la vie.


Ce soir, une relève partielle venant de France arrive pour 18 h et tout le monde se prépare pour la réception des nouveaux arrivants. Les réfrigérateurs des différentes popotes sont pleins et la bière, ce soir, coulera à flots. Avec les journées pleines que nous faisons, boire une bière à la popote tout en jouant aux fléchettes et discuter entre guerriers sont les seuls moments de détentes que nous ayons. Avec un couvre-feu à 22 h, personne n’a envie de sortir en soirée pour rentrer si tôt.


Enzo, ce soir n’a pas le moral. Les nouvelles venant de France ne sont pas bonnes. Sa femme déprime et mon ami a fini sa conversation en gueulant et a laissé sa femme au bout du fil en pleurs. Ma mission ce soir si je l’accepte est de lui redonner le sourire et retrouver l’ami boute-en-train qui me fait tant rire.


Le C-130 Hercule vient d’atterrir et le personnel attend derrière les barrières que la relève descende de l’avion pour effectuer les formalités administratives. Une fois ces dernières effectuées, les sacs de chacun sont emportés dans les chambres et les nouveaux sont emmenés dans les popotes pour le pot des arrivants, accompagnés de leurs prédécesseurs.

Parmi les nouvelles têtes, une dizaine de personnels féminins composent un petit groupe timide qui se demande à quelle sauce elles vont être mangées. Je repère une petite blonde aux cheveux courts, sergent toute mimi qui regarde tout le monde avec un sourire aux lèvres. Je la regarde plus en détail. De taille moyenne, en short, ses jambes dénudées sont toutes bronzées et la chemisette me semble bien remplie. C’est un plaisir pour les yeux de la regarder. Sentant mon regard sur elle, je lui fais mon plus beau sourire qu’elle me retourne. Au bout de quelques secondes, elle baisse la tête pour regarder ses pieds puis relève la tête pour me regarder de nouveau. Une bouffée de chaleur me remonte jusqu’au cerveau, mon Dieu, que cette fille est belle !


Après le mot de bienvenue du commandant d’unité, les épreuves commencent pour faciliter l’intégration des arrivants dans le service. Tout est fait dans la bonne humeur, la bière se vide rapidement et l’ambiance devient de plus en plus bruyante et festive au fur et à mesure que les bouteilles se vident.


Les yeux brillent sous l’effet de l’alcool, je suis derrière le comptoir avec Enzo depuis deux heures et nous ne chômons pas. Il fait chaud, la musique est à fond et tout le monde a soif. Enzo, au fur et à mesure de l’avancée de la soirée, a retrouvé sa bonne humeur et nous faisons hurler de rire les gens autour de nous avec nos conneries. Je suis en train de laver quelques verres à la plonge, j’ai comme une impression bizarre et quand je relève la tête, j’ai deux yeux verts qui me fixent intensément accompagnés de ce merveilleux sourire. Je vais pour lui parler quand un groupe bruyant passe entre nous deux, elle disparaît de mon champ de vision. Quand les gugusses sont passés, elle a disparu. Je ne la reverrai pas de la soirée. Fait chier !


Vers une heure du matin, fatigués, mais contents, nous fermons la popote et nous partons nous coucher légèrement euphoriques. Rentré dans la chambre que je partage avec Enzo, je me déshabille pour aller prendre une douche. J’entends déjà mon compagnon de chambre ronfler légèrement. Il s’est écroulé tout habillé sur son lit.

Serviette autour de la taille, je sors de la chambre et j’entends un léger bruit dans mon dos. Je me retourne et je me retrouve nez à nez avec ma jolie petite blonde qui est aussi provisoirement ma voisine de chambre. Elle est aussi en tenue minimaliste avec pour seuls vêtements une serviette éponge qu’elle a passé sous ses aisselles pour la maintenir et des tongs.



Nous sortons du bâtiment et nous en profitons pour faire plus ample connaissance. La miss a vingt-cinq ans, vient de Lyon où elle travaille à Mont-Verdun comme contrôleuse aérienne. Moi, je lui explique que je viens d’un centre de détection et de contrôle situé à une vingtaine de kilomètres de Tours et que je suis ici depuis trois semaines.


Nous arrivons à l’Algeco aménagé avec des cabines de douche individuelles. Il est vide, vu l’heure, tout le monde est couché et nous sommes seuls au monde. Je me tourne vers Sandrine pour lui demander quelle cabine elle veut prendre quand deux lèvres chaudes et humides se collent aux miennes. Surpris, je lâche mes affaires de toilette et je la prends dans mes bras. Une langue furtive s’engouffre dans ma bouche et vient à la rencontre de la mienne. Je sens remonter un mélange de sueur et d’un léger parfum poivré qui me monte à la tête et m’enflamme. Un moment de lucidité me revient et je la pousse dans la cabine la plus proche. Nous continuons à nous embrasser furieusement pendant quelques secondes puis je me décolle d’elle pour retrouver mon souffle.



Elle approche son visage du mien et me fixe intensément. Mes mains remontent vers son visage que je prends tendrement et je me penche pour l’embrasser. Ses lèvres sont douces, son haleine a un goût de « Despé » qui n’est pas pour me déplaire.



Pour toute réponse, elle me regarde droit dans les yeux, un nouveau petit sourire s’installe sur ses lèvres et ses mains rentrent en action. Elle défait ma serviette et la pose sur le strapontin. Elle me découvre complètement nu. Mon sexe en semi-érection commence à prendre de l’ampleur. Habilement, de sa main droite, elle m’enserre la bite, et commence un va-et-vient lent et régulier qui me fait rapidement durcir. De mon côté, je ne reste pas inactif, je lui enlève sa serviette et la pose sur la mienne. Je la reprends dans mes bras et commence à la caresser. Sa peau est incroyablement douce. On dirait du satin. Je lui caresse le dos et mes mains descendent pour empaumer des fesses rebondies et bien fermes. Nos regards ne se sont pas quittés. Elle me pousse au fond de la cabine et se baisse au niveau de ma queue qui maintenant est gonflée à son maximum. Mon gland est énorme, presque violet et me fait mal tellement je suis tendu.


Elle approche sa bouche et je sens son souffle chaud et le bout de sa langue venir me titiller le méat. La sensation est extraordinaire. Ses yeux qui fixaient mon membre remontent vers moi et tout en me regardant, elle avance ses lèvres lentement pour enfourner mon gland. Sa bouche m’avale et je sens mon membre toucher le fond de sa gorge. Ses va-et-vient sont rapides et sa langue ne reste pas inactive. Je la sens partout autour de mon gland et les sensations sont énormes. Je ferme les yeux, je suis dans un autre monde, loin de ce pays dévasté par la guerre.


Ma queue hyper tendue ressort de sa bouche avec un bruit de succion, elle me la plaque contre mon ventre. Elle se baisse légèrement et se met à me lécher les testicules. Chacun leur tour, elle les prend en bouche et joue avec. C’est divin, j’ai l’impression de n’être qu’une bite qui ne demande qu’à éclater. En même temps, elle me masturbe lentement. Ma respiration est saccadée, ça devient compliqué pour moi de me retenir. Sandrine relâche mes boules et remonte avec sa langue la hampe pour me reprendre en bouche. Elle reprend ses va-et-vient avec une lenteur calculée qui me donne l’impression d’être dans un fourreau tellement elle serre ses lèvres. Sa langue n’est pas non plus inactive. Cette fille est diabolique et je ne vais plus pouvoir me contenir.



Sandrine se relève. Un filet de bave s’étire entre sa bouche et ma queue, elle vient de nouveau m’embrasser tendrement. Je me décolle d’elle, la retourne et empoigne de mes mains ses deux seins lourds qui sans être énormes débordent de mes mains. Je les malaxe tendrement, elle passe ses mains derrière sa tête et m’agrippe les cheveux. Elle se penche en arrière et je profite pour poser mes lèvres sur son cou où son parfum m’enivre. Je lui pince doucement les tétons et je sens ses bouts durcir. Ma bouche enfouie au creux de son cou, je la mitraille de tendres bisous qui la font gémir. Elle tourne sa tête vers moi et je lui happe la bouche pour un nouveau baiser. Ma main droite lâche son sein et je la descends pour venir caresser son ventre et atteindre son mont de Vénus. Au bout de mes doigts, j’accède à une douce toison que je caresse tendrement.



Je descends quelques centimètres plus bas et mes doigts rencontrent une fontaine. Sa chatte est tout inondée de ses liqueurs, preuve que la demoiselle est plus qu’excitée. Je rentre deux doigts dans son vagin et commence à la branler. Sa respiration devient plus rapide au fur et à mesure que je la masturbe. Son sein est dur comme de la pierre, une de ses mains rejoint la mienne entre ses jambes et elle met l’autre à sa bouche pour étouffer ses cris qui montent. Elle ferme ses yeux, fléchie sur ses jambes, elle n’est plus qu’une boule de plaisir.



Je ressors mes doigts poisseux de sa chatte. Pour mieux faire ressortir son cul, elle plie légèrement les jambes et avec ses deux mains écarte d’une façon indécente ses globes jumeaux. Le spectacle offert est magnifique. Certainement sportive, car son cul est un régal pour les yeux. Son petit trou strié est devant mes yeux et m’attire comme un aimant. Je le contemple quelques secondes afin de le fixer dans ma mémoire puis j’approche ma tête afin de venir faire sa connaissance. Complètement offerte, je me retrouve nez à nez avec son étoile. Son anus fripé me fixe et j’approche ma bouche pour lui déposer un baiser. Je sors ma langue et je viens goûter son muscle anal dont la petite odeur musquée me remonte aux narines et m’excite comme un fou. Légèrement ouvert, ma langue s’invite et pénètre l’antre offert à mes caresses buccales. J’essaie de faire rentrer mon appendice au maximum de ses possibilités en l’arrondissant. Je bave comme un malade et ma salive s’écoule lentement dans le délicat conduit de chair.



Je descends légèrement et n’écoutant que mon courage, je m’attaque à son puits d’amour qui ruisselle de sa mouille. Je m’aide des deux mains pour écarter sa chatte au maximum. Mes doigts maintiennent ses petites lèvres grandes ouvertes et plus bas m’apparaît son petit bouton qui ne demande qu’à être cueilli. J’y dépose ma bouche et ma langue entre en action. J’aspire, je suce, enfin je mets toute ma science en action pour atteindre mon but. Un cri rauque sort de sa bouche, son corps se tend comme un arc et soudain les vannes lâchent. Sandrine est prise de tremblements, elle crie sa jouissance dans un grand râle alors que j’ai toujours en bouche son clito et sa mouille qui dégouline. Je continue de la sucer jusqu’à ce qu’elle tombe à genoux sur le sol. À quatre pattes, les yeux fermés, les bras sur le strapontin et le cul en l’air, elle récupère lentement. J’ai l’impression que ma partenaire est sur son petit nuage et qu’elle est ailleurs. Elle a du mal à retoucher terre. Je la regarde, c’est beau une femme qui a joui.



Sandrine éclate de rire et elle me dit :



Je prends mon engin en main, fais couler un peu de salive sur mon gland que j’étale puis je me mets en position de tir à genoux. Je présente mon gland à l’entrée de sa chatte et d’une poussée franche, j’investis son antre qui ne demande que ça.



Et là j’y vais franco. Mes allers et retours sont puissants et mon rythme régulier. Son œillet me fixe encore et me nargue. J’y glisse discrètement et malicieusement mon pouce qui est totalement absorbé. La belle serait-elle une adepte de la sodomie ? Sandrine ahane de plus en plus fort. Quel bonheur, sa petite chatte épouse parfaitement ma bite et l’enserre à merveille. Je commence à suer à grosses gouttes sous l’effort soutenu que je lui prodigue depuis quelques minutes. J’accélère encore le rythme et c’est en pensant à Enzo que je la pistonne pour faire durer notre plaisir plus longtemps.


Perdue dans son monde, Sandrine, qui a du mal à contenir ses cris, vient à chacune de mes poussées à mon encontre pour que la pénétration soit plus profonde. Dans un ultime mouvement, elle redresse la tête, se fige et jouit longuement avec un cri de bête blessée. Sa jouissance dure et dure encore. J’en profite pour lui asséner de grands coups de bite qui m’amènent à mon tour au point de non-retour. Mon cerveau vrille et dans un râle, j’expulse mon sperme en plusieurs saccades qui n’en finissent plus. Mes semaines d’abstinence se déversent dans son vagin. Ma bite pulse en elle comme si elle était douée d’une propre existence. J’enlève mon pouce de son cul puis je récupère Sandrine par les épaules pour la coller contre mon torse. Sa tête se tourne légèrement vers moi et je bise tendrement sa tempe perlée de sueur.


Nos respirations sont saccadées, nous sommes trempés et nous dégoulinons de sueur. Je ferme les yeux et je respire profondément pour récupérer. Mon sexe est toujours profondément fiché en elle et je n’ai pas envie que ce moment de communion s’arrête.



Sandrine me regarde, paniquée, et commence à se relever.



Sandrine se tient devant moi, du sperme coule le long de ses jambes. Son regard émeraude me transperce, je crois que je vais devenir dingue de cette femme. Je peux enfin l’admirer entièrement, elle a un corps sublime, fait pour l’amour. Une œuvre d’art.

Elle commence à faire couler de l’eau tiède sur son corps, je viens vers elle, la prends dans mes bras et nous nous embrassons comme si rien autour de nous n’existait. Nous sommes seuls au monde, et cette nuit, la vie est belle.



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(1) – Coï (prononcer coille) : commando de l’Armée de l’air. On l’appelle aussi COCOÏ