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04/09/20
Résumé:  Mes cousins m'appelaient Pari en diminutif de Parigot. Nous avions vécu notre puberté ensemble avec les jeux qui vont bien avec. Mais à 19 ans on pense aussi aux femmes.
Critères:  fh hh cousins campagne hmast intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio sandwich fsodo hgode hfisté hsodo confession -prememois
Auteur : Faustine
Dix-neuf ans.




J’avais dix-neuf ans. Il y a… une éternité… une autre époque… un autre monde… des mœurs austères… une sexualité cachée.


J’avais dix-neuf ans et comme chaque année, on m’avait envoyé chez mes grands-parents, à la campagne pour passer une partie des vacances d’été. J’avais juste arraché de haute lutte de ne pas passer les deux mois, mais un seul. Je venais de passer la première moitié de mes vacances, avec un copain et ses parents, au bord de la mer dans une villa bourgeoise. Un autre monde que le mien, un monde où on allait au restaurant juste pour le plaisir, un monde où les parents laissaient leur fils flirter, un monde, c’est le copain qui me l’avait dit, ou ses parents parlaient « préservatif ». J’avais flirté moi aussi, mais pas plus. J’avais bien essayé, mais ma conquête n’acceptait que quelques caresses sur les seins et refusait même de me branler.


Il faut se souvenir de cette époque. Pas de pilule, on devait se retirer avant ! La méthode Ogino faisait fureur, faute de mieux. Les préservatifs ne pouvaient s’obtenir qu’en pharmacie. L’avortement un péché et une pratique dangereuse avec les « faiseuses d’anges ». Vous voyez, rien que l’expression était une condamnation.

J’étais passé d’un monde à un autre. Oh, je ne renie pas le mien, enfin celui de mes parents et grands-parents, monde de la terre. On habitait en banlieue parisienne, mais mes parents étaient à l’origine des paysans. Mes grands-parents vivaient à la ferme et elle servait de lieu de retrouvailles à la famille. Depuis toujours, aux vacances d’été j’y retrouvais mes deux cousins et parfois d’autres enfants. Mes grands-parents faisaient office de lieu d’accueil pour enfants en difficultés.


Pour les cousins depuis toujours j’ai été le Parigot qui au fil du temps s’est transformé en Pari ! On s’est retrouvé avec plaisir. Rien que de les revoir, m’a fait monter plein de choses à la mémoire. On en a fait des coups ensemble. Se saouler en cachette avec la piquette du tonneau de grand-père. Fumer les « P4 » dans la grange. Quand je pense à ces imprudences, je frémis.


J’ai du mal à dormir. Les bruits de l’océan me manquent. Ici, c’est le silence, les animaux, la charpente qui grince. Il faut dire que nous dormons dans le grenier. En réalité des mansardes aménagées. En partant du premier étage, l’escalier débouche dans un petit couloir. À droite notre chambre, celle des garçons. Un autre, mais réservée pour un éventuel enfant recueilli. À gauche deux chambres pour les filles. En arrivant, j’ai fait la connaissance de Manon que mes grands-parents « gardaient » pour quelque temps, le temps que sa famille se calme ou qu’un juge décide de son sort. Elle devait avoir notre âge. Pas bavarde, mais je le l’avais vraiment vue que quelques heures. En tout cas assez longtemps pour voir que sa robe cachait des rondeurs qui ne pouvaient que perturber un gars de mon âge.




**********




Je n’étais plus puceau. À cette époque-là, on ne couchait pas facilement. Les filles, comme je disais, faisaient très attention et être vierge, avait encore un sens.

Je n’étais plus puceau, non pas avec une fille de mon âge ou une prostituée, mais une amie de ma maman, célibataire, ouvrière comme elle. Un jour que ma mère m’avait demandé de lui porter un paquet, qu’en frappant on ne m’avait pas répondu, que j’étais entré, je l’avais surprise en train de se laver. N’imaginez pas baignoire ou douche, mais toilette avec gant et savon dans la cuisine. Elle ne m’avait pas vu. Elle ne m’avait pas entendu, la radio serinait une chanson qu’elle répétait.


J’étais comme paralysé. C’est la première fois que je voyais une femme nue. Il circulait bien des « Paris Hollywood », mais même ces photos étaient floutées. Devant mes yeux, je découvrais toutes ses rondeurs, ses seins blancs, ses hanches généreuses, des fesses étrangement galbées, mais surtout cette forêt de poils qui cachait un mystère insondable.



Surpris, je n’en mène pas large. Si elle le dit à mes parents, je vais avoir droit à une réprimande dont ma mère a le secret. Je suis trop grand pour recevoir une fessée ou une gifle, mais je préférerais encore à la honte de la punition.



Elle s’est rapprochée, elle est juste derrière moi.



Un silence et puis :



Comme un idiot je demande :



Nouveau silence.



Elle est juste là, une grande serviette autour d’elle qui cache sa poitrine et plus bas. J’essaie de ne pas avoir l’air trop ridicule.



Je dois avoir l’air demeuré. Jamais je n’avais pensé à cela. Bien sûr, il m’est déjà arrivé de la regarder d’une façon qu’elle avait remarquée, mais tout en souriant avait tiré sur sa jupe pour cacher le peu que j’aurais pu voir.

Je suis comme paralysé. J’arrive cependant à expulser un « Oui » qui la fait sourire.

Elle détache la serviette qui tombe au sol. Je dois avoir les yeux qui sortent de la tête. Elle sourit. Elle prend ma main.


Alors je découvre un autre monde. Elle la guide vers un sein, puis l’autre. J’en découvre la douceur, la fermeté, le téton que ma paume frotte un moment. Je vois sur son visage qu’elle n’est pas indifférente à sa caresse indirecte. Ma main explore son corps, la rondeur de la hanche, mais surtout les poils de son sexe, brins soyeux qui n’empêchent cependant pas de découvrir un monde vallonné et alors qu’elle fait bouger ma main sur sa fente, je sens la respiration de Monique qui s’accélère. Elle se fait du bien.

(À l’époque, je n’aurais jamais pu imaginer que les filles aussi pouvaient se donner du plaisir, comme un garçon qui se branle discrètement dans les toilettes ou le secret de son lit.)

Mais elle relâche ma main.



Sa main s’est posée sur mon pantalon, un endroit que la nature déforme et qu’elle ne peut que constater.



Elle sourit. Évidemment que je bande, comme un taureau.

Elle détache ma ceinture, les boutons de ma braguette, tire pour entraîner le slip avec et me voici le pantalon sur les mollets, situation ridicule s’il en est. Mais c’est mon sexe qui l’intéresse. Je suis dur… Ah, c’était le bon temps où une seule pensée déclenchait une érection de fer… Elle le prend en main, semble en vérifier la forme, la dureté.



Elle se penche, tire sur la peau pour bien dégager le gland.



Alors c’est à la fois du plaisir et la honte.

Plaisir alors que Monique qui m’a entraîné vers la cuisine me fait une toilette intime, savonnant, essuyant mon braquemart qui ne débande pas.

Honte de comprendre que je suis sale et que le sillon entre gland et hampe doit être mieux nettoyé que je le faisais.



Elle m’entraîne avec elle. La chambre est minuscule, le lit haut.



Elle m’aurait demandé n’importe quoi, je l’aurais fait. Mon cerveau était en ébullition. Je me disais : on va le faire… On va le faire…

(Cela paraît maintenant bien ridicule surtout à l’âge que j’avais. On m’avait passé un livre « cochon », c’était tout. Pas d’internet, juste des bavardages et des vantardises entre garçons).

Mais elle se penche à nouveau sur mon bâton et, à ma stupeur, je la vois y poser les lèvres…



Première fellation. De celle que l’on n’oublie jamais, qu’il suffit de fermer les yeux pour la revivre. La douceur des lèvres, la langue délurée qui se promène partout, l’audace de la main qui soupèse les couilles avant d’y poser les lèvres. À ce petit jeu, je sens très vite que ma jouissance arrive. Rien à voir avec mes branlettes que je contrôlais en ralentissant lorsque je sentais que cela allait venir, allant jusqu’à étrangler ma base pour tenir le plus longtemps possible. C’est un cousin qui m’avait montré ça. Mais une bouche et des lèvres sont bien plus excitantes.



Mais elle ne semble pas entendre, au contraire elle se cale et s’immobilise. Je ne peux plus me retenir, ma sève monte et jaillit dans des flots que d’habitude je contrôle avec un mouchoir ou mieux en la laissant jaillir pour retomber sur mon corps. Cela aussi je l’avais appris avec un cousin. Mais là c’est dans la bouche que je me déverse. J’attends la colère de ne pas l’avoir prévenue ou que j’aurais pu me retenir. Mais non, c’est comme si elle appréciait.

Les lèvres sont closes et pourtant des coulures s’en échappent. Je ne rêve pas ! Elle déglutit et le sourire s’élargit et j’entends :



Ma première pipe par une femme.

Quelques minutes plus tard, elle me chevauchait ayant enveloppé ma queue revigorée d’une capote brillante.

Encore plus tard, elle m’a demandé de la caresser avec ma bouche.


Elle a fait mon éducation. « Tu es doué », elle me disait alors que nous couchions. Elle avait un livre avec des dessins où un couple prenait des positions étranges. Elle voulait qu’on les essaye. À dix-neuf ans, j’ai découvert le KamaSoutra sans le savoir.

Notre liaison a duré plusieurs mois. Et puis un jour, elle m’a demandé de ne plus venir… Qu’elle avait rencontré quelqu’un… Que personne ne devait savoir pour nous… Que ce serait notre secret…

J’avais dix-neuf ans. J’étais doué… Mais les filles de mon âge refusaient que je leur montre mes talents. Et en plus, j’allais passer un mois, perdu à la campagne avec mes deux cousins.




**********




Je n’arrive pas à dormir. Mais ce n’est pas que le bruit, je bande de mes souvenirs. Autour de moi il me semble que l’on bouge. Il ne fait pas totalement noir et je vois que mes deux cousins se sont levés, qu’ils ouvrent la porte du couloir et disparaissent.

Où vont-ils ? S’ils étaient descendus, j’aurais entendu les marches grincer, mais non.

Vont-ils rejoindre Manon ? Tous les deux ?


La curiosité me fait lever. Le couloir est silencieux. Heureusement le sol est carrelé. J’écoute à la porte que je sais être celle de Manon. Rien, silence complet. Et puis je remarque une lumière sous la porte du grenier, la partie non aménagée et qui sert de débarras. J’ouvre doucement. Au plafond brille l’unique lampe de ce grand volume. Mes cousins sont un peu plus loin.


Pourquoi je ne suis pas surpris ? Pourtant la situation pourrait étonner. Oui, étonner n’importe qui, sauf eux et moi.

Il faut dire que nous avons découvert ensemble la sexualité masculine. C’est Marcel, le plus inventif qui a découvert que s’il faisait certains mouvements sur sa tige, il avait du plaisir. Au début, juste un plaisir et puis avec un liquide qui coulait et des sensations très étranges. Il nous a entraînés dans la même voie.


Marcel est un leader. Il est plutôt chétif comparé à moi et surtout à Christian qui est très costaud. C’est souvent lui qui nous guidait. Sous son exemple, nous avons joué à « Touche-Pipi » d’abord sur soi devant les autres qui font de même, puis en s’occupant de l’autre dans une joyeuse anarchie. Vu de l’extérieur, on aurait pu nous traiter de pervers, de malades, de tantouses, mais si on rêvait de filles, c’est par la main du cousin que l’on se soulageait. Rien de choquant, du naturel, pas plus, pas moins.


Chaque année, on jouait. Chaque été, on se retrouvait et organisions des jeux comme si l’année ne s’était pas passée. Mais l’année dernière, malgré l’encouragement de Marcel, il m’a semblé que nous étions trop vieux pour cela. On avait plus pensé aux filles, cherchant à les surprendre, filles de la campagne qui savent comment l’étalon ou le taureau monte sur son congénère. Sans grand succès, il faut bien dire.


Mais manifestement pendant mon mois d’absence, les cousins avaient repris nos jeux. Mais ce que je voyais était plus fort que ce que j’avais laissé il y a deux ans.

Un peu plus loin, dans une pénombre insuffisante pour cacher leurs corps dénudés, Christian était manifestement en train de tailler une pipe à son cousin Marcel. Le contraste était saisissant, le corps fluet de Marcel cambré dans une offre que la bouche de Christian s’efforçait d’honorer. Mais cela ne devait pas être la première fois que Christian faisait une fellation, soit avec le cousin, soit peut-être pendant cette année, car il savait y faire. Je reconnaissais de loin tout l’art de Monique utilisant, bouche, langue et main afin de soutirer des soupirs de l’homme.



Comme dans une scène mille fois répétée, Christian se tourne, se penche sur le lit alors que Marcel se relève. Marcel qui attrape une bouteille que je reconnais comme contenant de l’huile d’olive. Huile grasse que les doigts du cousin guident pour la placer entre les fesses de Christian. Monique utilisait une crème lorsqu’elle voulait que je la prenne par son petit trou dans des périodes que j’ai découvert avec elle.



Deux mains s’exécutent. C’est troublant. Chacun est dans son rôle. Marcel dirige… Christian obéit. Mais c’est un autre type de jeu. Pendant mon absence, ils ont franchi une frontière. Le gros braquemart est dirigé. D’un coup de rein puissant, il force la rondelle. Le cri de l’enculé est étouffé par le matelas. Il doit avoir l’habitude et se retenir pour ne pas réveiller la maison.

Le fluet s’active. Sa grosse bite concentre toute sa puissance. Il bourre le cousin qui s’est redressé et qui manifestement apprécie le traitement. Mais je heurte une vieille chaise. Ils sursautent, mais en me découvrant paraissent rassurés. Ils sont chevillés l’un à l’autre un peu comme ces chiens que le bulbe soude dans la chienne.



Je ne sais pas quoi répondre. C’est excitant, mais troublant.



C’est vrai que ma culotte de pyjama ne peut cacher mon érection.



Marcel se retrouve dans son rôle de leader. Je quitte culotte et haut. Moi aussi je suis nu, mais le soleil de la mer souligne par son absence la marque de mon maillot de bain. Je monte sur le lit, me place au mieux de façon que…

Ohhh, il m’embouche. Mon gland a déjà disparu. L’enculeur me fait un signe de la main en reprenant ses avancées. C’est excitant. Je vois la bite de Marcel disparaître dans le cul du cousin au moment où les lèvres glissent sur la mienne.


Combien de temps cela dure-t-il ? Je ne saurais le dire. Marcel impose son rythme. Il attrape les poignets de Christian et les tire vers lui pour l’enfiler au plus profond. Ma bite est devenue si dure que c’est douloureux. Et puis je jouis. Je me vide dans la gorge du cousin qui ne semble pas surpris et réticent. Et puis c’est Marcel qui par des coups de plus en plus puissants se vide dans les entrailles.


Je m’étais trompé. Je pensais que Marcel était toujours l’homme et que Christian toujours la femme. Non, chaque fois ils changent. L’un décide pour les deux. Actif ou passif, il choisit.

Ils voient bien que je suis réticent. J’ai passé le cap avec une femme. Eux, non. Ils me questionnent. Je fais celui qui sait. Au début ils ne me croient pas, mais finissent par accepter.



C’est Marcel qui répond.



Il faut savoir faire des sacrifices. Donner de sa personne. Si ma mère savait comment j’ai appliqué ses conseils, elle me renierait.

Il faut imaginer aussi ma tension interne. Cela faisait des semaines que je n’avais rien fait. Oui, je n’étais plus puceau, mais de perdre ma virginité avant allumé un feu en me montrant tout le plaisir qu’on pouvait avoir autrement que de se branler. Mes flirts au bord de l’océan avaient été des incendies allumés, mais par le refus des donzelles, jamais éteins. En plus la pipe de Christian m’avait rappelé Monique.

Bref, j’étais chaud bouillant et de savoir que Manon se faisait bronzer toute nue me donnait de l’espoir. Si elle bronze nue, alors peut être que…


Ma première pipe. C’est ainsi que j’ai vraiment réalisé la différence de taille entre les cousins. Monique, par son savoir-faire (j’ai appris plus tard qu’elle était prostituée avant de trouver un travail « honnête »), m’avait montré indirectement comment faire. J’ai pensé à elle alors que les cousins me tendaient leur queue. Mais ils étaient clean, point d’odeur désagréable. Il faut dire aussi que paradoxalement il y avait une douche à la ferme de mes grands-parents. Le monde à l’envers.



C’est tout le paradoxe. À aucun moment on a pensé que nous étions « gays » comme on dit maintenant, « tarlouse » comme on le disait à l’époque. Nos jeux d’enfants et plus tard d’ado n’étaient que des jeux pour se donner du plaisir. Pas d’attirance réelle, juste une complicité, juste un moyen pour cracher son foutre et relâcher la pression. (D’ailleurs nous sommes tous les trois mariés et pères de famille.)


Je passais d’une bite à l’autre. Ils se chamaillaient pour savoir lequel aurait le privilège de me déflorer le cul. Personnellement, je préférais Christian, il l’avait moins grosse.

Mais je n’avais pas dit toute la vérité. Monique avait deux godemichés, imitations parfaites de sexe, sculptés dans du bois, coloriés pour se rapprocher le plus près de la réalité. J’avais été étonné, mais sans plus, pensant que c’était normal. Avec le recul et connaissant son métier avant de retrouver le « droit chemin », j’imagine qu’ils pouvaient servir à des clients qui avaient un besoin particulier, envie qu’une épouse ne pouvait pas satisfaire, se faire prendre par le petit trou. Envie qu’on pouvait avouer à une pute qui gardait le secret encore mieux que le curé en confession. Elle m’avait montré les deux usages qu’elle réservait à ses deux godes.


Le premier était que je la possède avec un des deux dans son petit trou. Je ressentais la dureté de l’engin qui égoïstement me laissait peu de place.

Le second était, alors qu’elle me chevauchait en me tournant le dos, de glisser le plus petit dans mon propre petit trou.

Je n’étais donc pas vraiment vierge du cul, mais même sous la torture, je n’aurais avoué qu’une femme m’avait enculé avec un godemichet. Et encore moins reconnaître que j’en avais senti l’effet avec des jouissances extraordinaires.

Ils m’ont tiré au sort. C’est Christian qui a gagné.


Lui a choisi un vieux fauteuil me demandant de me mettre à genoux dessus. Marcel avait déjà fait le tour et j’avais sous le regard son sexe impatient. Je sens le liquide couler dans mon sillon, une main l’étaler, un doigt pointer mon petit trou, s’y attarder, en faire le tour, se centrer, pousser un peu et entrer.



Mais il n’attend pas la réponse. Son gland remplace son doigt, il pose ses mains sur mes hanches et m’attire vers lui.



Il force un peu. Il n’est pas très gros, à peine plus que le petit godemichet de Monique, et l’huile transforme mon sillon en patinoire. Mon anus résiste juste pour la décence. Il abandonne très vite, le gland s’engouffre, la hampe suit l’avant-garde et bientôt le ventre du cousin se frotte à mes fesses. Marcel voyant cela s’avance assez pour me donner son mandrin à sucer.


C’est différent. C’est chaud, à la fois souple et dur. Rien à voir avec un gode de bois. Christian affirme sa masculinité. Hier femelle, ce soir mâle envahissant le cul de Pari avec une supériorité que donne le rôle de l’enculeur. C’est presque bon. Il me ramone, posant ses mains sur mes épaules pour une meilleure prise, me faisant cambrer un peu plus, me livrant à son complice qui me remplit la gorge.

Tout est nouveau. D’abord le jus que Marcel me balance au fond des amygdales. C’est autre chose que le baiser de Monique, la bouche encore pleine de mon foutre et m’en proposant le partage. Plus généreux, plus épais, plus, plus…

Ensuite le foutre de Chris qui me lessive le cul, apportant ce qu’un gode ne peut offrir.


Est-ce de la malchance ou au contraire un signe du destin. Mais les deux jours qui suivent sont pluvieux. Et donc pas de bains de soleil possibles. Ils ont tenu parole. Je sais où Manon va se cacher, mais cela ne me sert à rien de le savoir comme il pleut.

Il n’y a pas beaucoup de différence entre le cul d’un cousin et celui de Monique. Si, les cousins sont plus serrés.


Je me fais un plaisir d’enculer Marcel. Mais à ma façon. Je le fais allonger sur le dos, les cuisses bien ouvertes, levées et ainsi je peux suivre sur son visage l’avancée de ma queue. Voilà une chose que ma maîtresse m’a apprise. La baise n’est pas que l’acte de chair. Le plus important est dans les gestes, les mimiques, les regards. Marcel notre leader est comme les autres. Il gémit, geint, montre des signes de « faiblesse » alors que je le bourre. Pendant que je l’encule profond il se branle, mais aussi se fait envahir la gorge par Christian.

C’est bon, je dois le reconnaître de lui lessiver les entrailles. Le leader est moins fier lorsqu’il se relève et que du foutre coule le long de ses cuisses.




**********





Comment sait-elle que je suis là ? Pourtant je n’ai pas fait de bruit si ce n’est celui de quelques grincements de plants couchés sur le sol. La cachette de Manon est parfaite. Dans un champ de tournesol,, elle s’est taillé une clairière. La hauteur des plants lui fait une barrière parfaite et comme le champ est vallonné, de nulle part on peut le surplomber. Il n’empêche que je me croyais silencieux. J’hésite à me montrer.



L’allusion au grenier m’intrigue. Je me dévoile. Le carré est juste suffisant pour s’allonger.



Elle est bien nue. Elle ne se cache pas. C’est moi l’intrus, c’est moi qui dois me sentir gêné ! Je dois avoir l’air empoté, après tout c’est seulement la deuxième femme que je vois ainsi. Elle est blonde. Elle ne peut le renier, car sa toison en est la preuve.



Je m’exécute. Elle se relève. On est côte à côte.



Elle rit de son bon mot.



Ce n’est pas une question, plutôt une constatation. Mais elle continue :



Comme je suis sidéré de son aveu, je reste muet, sur le cul, essayant d’imaginer ce qu’elle pouvait voir. Mais la réalité me saute aux yeux, je vois très bien dans ma mémoire la cloison de sa chambre contre laquelle un vieux canapé est appuyé, mais si la trappe est à hauteur d’homme, alors elle pouvait… Oh, mon Dieu, elle avait une vue parfaite sur nos ébats. Elle a vu les cousins et moi qui… Pourtant à aucun moment les cousins ne m’ont parlé… Ils ne savaient pas… Ils étaient des acteurs d’un spectacle dont elle profitait.



La honte est telle que je me sens nu devant elle. Oh pas la nudité du corps, mais de l’esprit. Elle m’a vue prendre du plaisir avec les cousins, des garçons et son regard me transperce. Je veux me cacher, un trou de souris fera l’affaire, mais tout à l’heure avec les grands-parents, je sentirai son regard. Elle me méprise. Je me lève.



Je la regarde. Elle insiste :



Elle fait un geste de la main en montrant ce carré où elle se réfugie. Je ne comprends pas tout, mais j’imagine que si elle est chez mes grands-parents il y a une raison. Elle doit comprendre, car elle dit :



Un long silence. Et puis :



Alors je lui explique. Elle me questionne. Elle demande des détails. C’est dérangeant et si on pouvait nous voir cela paraîtrait dans les gazettes : Un jeune homme raconte à une femme nue comment il a perdu sa virginité.



Elle m’annonce comme si je ne venais de passer un examen.



Elle hésite. Pour une fois, je la sens troublée alors que depuis que je suis arrivé chez mes grands-parents elle semble indestructible.



Son aveu est comme un coup de tonnerre. Cette fille encore vierge ? Pourtant elle se comporte comme une femme, pas comme une jeune fille… Elle doit comprendre mon étonnement, elle reprend :



À dix-neuf ans, j’ai défloré ma femme. Je dis « Ma femme », car après les vacances on s’est écrit, on s’est revu et on s’est marié.




**********




Je n’ai plus dix-neuf ans, mais je suis toujours marié avec Manon. Oh, comme tous les couples nous avons eu des hauts et des bas. Je l’ai trompée. Elle m’a trompé. Mais nous nous sommes pardonné, nous nous aimons. Après le départ des enfants, nous avons eu un moment difficile, mais nous avons trouvé un nouvel équilibre. Ce n’est pas l’amour qui nous manquait, mais un besoin de nouveauté. Nous l’avons trouvé dans le libertinage. Un libertinage assumé, mais toujours l’un en présence de l’autre. Nous avons des amis. Des amis hommes que nous invitons à la maison. Des amis couples avec qui nous échangeons. Mais aussi des soirées dans un club. Au club, nous nous lâchons.


Je n’ai plus dix-neuf ans, mais j’en ai gardé la fougue et les envies. Manon aussi !


Manon est juste à côté de moi. Elle chevauche un bel étalon. Elle est toujours aussi belle. Elle a une poitrine toute neuve qui attire les mâles, mais aussi les femmes. Mais pour l’instant, elle se donne du plaisir sur une grosse bite qu’elle a elle-même recouverte de latex. Le monde a bien changé, les capotes protègent d’autres choses en plus de la grossesse. Elle me regarde. Elle me sourit. Elle est belle. Elle ferme les yeux pour se concentrer sur son plaisir.


Moi, la femme du bel étalon vient de me sucer et de me mettre la protection. Elle s’allonge à côté de son copain ou mari ou amant. Peu importe, ils sont ensemble et comme nous, se partagent. Je la possède sous le regard attentif de mon épouse. Dans des moments comme cela, le plaisir n’est pas que charnel. Il est intellectuel et si je comprends les hommes et les femmes qui pensent que c’est malsain ou vicieux, je ne peux que répondre que pour d’autres, c’est divin et que par un regard le plaisir se partage.


On est dans un club et les spectateurs ne sont jamais loin. C’est une soirée où les hommes seuls sont acceptés et dans ces cas-là l’ambiance est différente. Ils regardent.

Je fais un signe à un de ceux qui regardent. Il approche. Je lui souffle quelques mots à l’oreille. Il acquiesce. Évidemment qu’il est d’accord. Qui refuserait de faire le troisième avec mon épouse. Il lui montre son sexe déjà bien tendu. Elle le suce un peu juste pour « goûter » et après que l’homme s’est protégé, il va derrière elle.


À chaque fois, c’est une découverte. Je ne m’en lasse pas. La première fois qu’un homme a pris Manon par son petit trou, je me suis senti « cocu ». C’est idiot, mais c’est avec moi qu’elle avait appris combien se faire posséder ainsi apportait une jouissance particulière.


Il est à moins d’un mètre. Manon s’est allongée sur le bel étalon et regarde dans ma direction. Elle sait combien j’aime voir sur son visage les signes du plaisir.

Complices dans le plaisir comme dans la vie. C’est aussi cela l’amour. La belle Manon qui se faisait bronzer nue est à côté de moi. Tiens, il faudra qu’on essaye de revivre notre rencontre au milieu d’un champ.


Il la tient par les hanches. Il est délicat. Il ne sait pas que le cul de ma femme est habitué à se faire trouer. Il entre facilement et il comprend. Alors c’est d’un coup de reins qu’il se propulse au plus profond.

Ses yeux sont fermés, ses lèvres se pincent, une ride délicieuse se forme et puis disparaît. Elle ouvre les yeux. J’y vois un mélange de plaisir, d’envie, d’amour, de vice de…

Elle me sourit. Elle sourit et pourtant regarde derrière moi. Je tourne la tête et c’est pour me retrouver face à un braquemart bien tendu. Un sexe magnifique qui tressaille. Il est pour moi. La coquine avait dû se mettre d’accord avec le propriétaire. Pas tout jeune, mais bien monté. Un sexe pas trop long, mais dense, avec des veines bien marquées et des couilles bien remplies.


Elle lui a donné la marche à suivre. Mes lèvres ont bien du mal à s’ouvrir assez pour le recevoir. Le gland est un champignon posé sur une hampe un peu plus étroite. Je le suce… Chaque fois, j’ai une pensée pour Monique… Ma jeunesse ! Mon hygiène approximative ! Oh, Monique, si tu savais combien je te vénère. Tu ne m’as pas tout appris, mais le principal. Le respect ! Savoir donner ! Savoir recevoir ! La connaissance du corps mystérieux des femmes ! Même mon propre corps !


Il est gros. Je fais de mon mieux sous le regard de tous. Celle que je baise est aux premières loges. Ma femme est juste à côté, ses partenaires, les voyeurs. Je m’applique.

C’est lui qui se met la capote. Je le sens impatient. Que lui a dit Manon ? Que j’aimais ça ? Qu’il allait emprunter un chemin ouvert depuis… Oui, depuis mes dix-neuf ans, par Christian. Puis par mon épouse qui avait été la spectatrice de ma première fois et qui avait su me procurer aussi ce plaisir…


Ohhh, j’ai l’habitude, mais il est vraiment gros. Je grimace et puis je sens son ventre bedonnant contre mes fesses.

Il m’encule.


Celui de Manon se met au diapason.

Nous gémissons. Nos grondons. Nous encourageons.


Oh, Manon comme c’est bon…