n° 19804 | Fiche technique | 13861 caractères | 13861Temps de lecture estimé : 8 mn | 15/09/20 |
Résumé: Initiation imprévue d'un jeune homme par sa logeuse lors d'un voyage. | ||||
Critères: fh fplusag jeunes hsoumis fdomine voir entreseins fellation cunnilingu pénétratio -initiatiq | ||||
Auteur : Jake23 |
Lors de notre voyage de fin d’année en Belgique, nous devions être logés un soir chez l’habitant par groupe de deux élèves. Mon acolyte s’étant cassé la cheville dès le début de la semaine et ayant dû être rapatrié en France, je me retrouvai donc seul chez l’habitant.
Ma logeuse était une belle femme d’une quarantaine années, aux cheveux blond vénitien et aux yeux marron, avec un visage un peu trop allongé, mais bien lisse et avec des lèvres bien sensuelles.
Elle était pourtant plutôt mal vêtue, avec un jean et une veste à fermeture éclair qui lui cachait les fesses et donnait une forme plutôt massive à son tronc, mais faisait aussi fantasmer sur le cas où la fermeture s’ouvrirait et laisserait voir une poitrine que je supposais volumineuse sans pour autant en voir bien les contours…
Je lui lançai bien quelques sourires et regards, mais plus par jeu que par réelle ambition, une telle femme m’étant inatteignable. J’étais tout émoustillé, mais sachant pertinemment que ce genre d’illusions était irréalisable, alors que l’heure tournait, je finis par lui souhaiter une bonne nuit et partis à l’étage faire ma toilette avant d’aller dormir avec de beaux fantasmes, alors qu’elle resterait en bas à regarder la télé.
Une fois dans la salle de bains, alors que je me lavais, je fus pris d’une violente érection en pensant à ma logeuse. Debout devant le lavabo, je commençai à m’imaginer pour commencer un véritable strip-tease de la part de ma logeuse.
Tout à coup, la porte s’ouvrit : je vis apparaître ma logeuse devant moi, habillée comme tout à l’heure, alors que, moi, j’étais nu comme un ver. Quelle stupeur, j’en eus honte, et tout à coup des questions m’assaillirent. Allait-elle refermer la porte immédiatement, en faisant mine de ne rien avoir vu ? Ou bien, allait-elle montrer qu’elle m’avait vu, qui plus est dans cette fâcheuse posture ? En tout cas, le lendemain, ce serait la honte, quand je descendrai et lui dirai bonjour…
Elle se tint sur le pas de la porte, et me regarda en souriant. Bien que ne l’ayant jamais auparavant ressenti, je vis comme un regard coquin dans ses yeux. Elle s’avança et me dit :
N’osant lui répondre, elle poursuivit :
Elle tira la fermeture éclair de sa veste, laissant apparaître un caraco bien déformé par sa poitrine.
Elle finit par ôter sa veste et s’avança vers moi, posant ses mains sur mes hanches. Je fis de même, elle me regarda dans les yeux, et m’embrassa. Elle passa ensuite ses mains sur mon torse, j’osai alors lui demander :
Elle me répondit en souriant :
Ne me faisant pas prier, j’empoignai à deux mains sa poitrine, effectivement volumineuse.
Voyant que cela me plaisait, elle finit par retirer son caraco : elle portait un soutien-gorge rose pâle aux bonnets effectivement bien gros, surmontant un ventre légèrement ondulé.
Tout cela renforça mon érection, jamais je ne l’avais eue aussi dure et rouge. Son regard s’y dirigea, elle dit à voix basse :
Elle me dit :
Elle alla saisir dans une armoire une paire de petits ciseaux, et tailla presque entièrement ma toison de manière à ce que mon pubis et mes boules soient presque entièrement lisses.
Une fois cette « coupe » finie, elle s’agenouilla, puis déboutonna son pantalon pour qu’il la comprime moins. Elle repoussa ses fesses en arrière et celui-ci glissa, laissant voir à moitié ses fesses sous une culotte violette. Dommage, j’espérais voir quelque chose de plus sexy, mais bon la situation l’était déjà extrêmement… Visiblement troublée, elle me proposa :
Elle se tourna et me présenta son dos. Après quelques caresses, je saisis la fermeture et parvins après quelques tentatives à l’ouvrir. Une fois torse nu, elle se retourna, et je pus enfin admirer ses deux gros seins, certes aux formes lourdes et un peu avachies par l’âge, mais me faisant encore bien de l’effet.
Durant plusieurs minutes, je les palpai, embrassai en insistant sur leurs gros mamelons, puis elle me saisit avec sa main et commença à m’agiter.
Elle attrapa d’une main ma queue et la frotta sur sa poitrine, la calant dans le creux de ses seins et commençant à l’agiter en serrant ses mains autour de sa poitrine, alors que j’avais mis une de mes mains sur un de ses gros seins.
Lentement, après quelques minutes elle la remonta vers sa bouche. Elle la lécha plusieurs fois sur toute sa longueur, alors que son autre main me caressait tout autour de la base et que je poussais des soupirs sous l’émotion à la fois découverte et satisfaisante.
Sa bouche lippue déposa un long baiser sur mon gland, soudain j’eus envie qu’elle m’enfonce en elle. Je posai mes mains sur ses épaules sans oser lui saisir la tête, mais elle devina bien ce que je voulais, elle me lança un regard coquin et me dit :
Ses lèvres s’entrouvrirent, sa tête se rapprocha de moi, puis elles se refermèrent sur mon gland. Sa langue joua à parcourir dans tous les sens mon gland, comme si c’eût été un bonbon qu’elle aurait fait rouler dans sa bouche, puis après un temps qui me parut à la fois interminable et si court, elle commença à s’agiter et à faire des allers-retours sur ma hampe. Peu à peu, elle s’enfonça de plus en plus, si bien que je finis par sentir mon extrémité buter contre le fond de sa gorge.
Après un bon moment, elle me ressortit et me dit :
Aussitôt dit, elle m’engloutit en faisant une petite aspiration, un peu comme si elle avalait un spaghetti géant. Je pressai sur ses épaules et donnais de petits coups de reins ; toujours dur comme un âne, je sentis que cela montait en moi. Avant que je ne m’épande, je me retirai et lui dis :
Elle me répondit :
Après quelques instants, elle rajouta comme conseil :
Elle reprit sa mise en bouche, tournant celle-ci autour du pieu, pendant quelques minutes encore. Elle se retira et dit :
Elle se remit debout et ajouta :
Elle finit par enlever son pantalon et sa culotte, et écarta légèrement les jambes en se tenant, une main derrière elle, au lavabo.
Le spectacle que je découvrais me surprit : elle me dévoila un sexe tout lisse et rose, chose dont je ne m’attendais pas de la part d’une femme mûre comme elle. Elle me demanda :
Je ne pus répondre que vaguement : « oh… »
Je bredouillai :
Soudain, je répondis :
Elle écarta encore un peu ses jambes et, debout devant moi, repoussa son buste en s’agrippant bien au lavabo dans son dos.
Je me mis à ses pieds, agenouillé, et commençai à lui embrasser les cuisses et le bas-ventre. Ma langue s’approcha de plus en plus de sa fente, puis je lui fis un bisou sur le pubis entièrement épilé. Effectivement, l’exercice me plaisait, et je me dis que c’eût été bien différent si elle avait conservé sa toison.
Je continuai mon baiser, et commençai à tourner ma langue en elle, tandis qu’elle me caressait tendrement la tête.
Peu à peu, elle se mit à gémir et me dit que je me débrouillais bien. Elle ondula des hanches pour m’aider dans mes mouvements, tandis que je sentais ses chairs se durcir sous ma langue. Soudain, elle poussa un petit cri puis dit :
Après avoir continué quelques instants, elle me fit m’interrompre.
Elle commença à gémir de plus en plus fort, comme lorsque j’avais ma bouche sur elle. Elle me cria de continuer, que j’avais trouvé le bon rythme. Continuant ainsi quelques minutes, elle finit par pousser un grand cri, et me dit :
Effectivement, elle était en nage, et semblait encore plus émoustillée :
Et elle me prit par la main pour m’amener jusqu’à sa chambre, meublée très simplement, avec un grand lit au milieu.
Elle s’étendit sur le lit et nous commençâmes à nous embrasser tout en nous caressant. Enlacés, mes mains finirent par retourner sur sa poitrine, puis à aller plus bas…
Ces caresses la firent de nouveau gémir, puis elle décida de prendre les choses en main : elle décalotta mon membre qui recommençait à être dur, et commença à l’agiter. Elle finit par me dire :
Lentement, elle vint s’empaler sur moi en tenant d’une main ma queue. Lorsqu’elle fut totalement rentrée, elle commença doucement à s’agiter et je mis mes mains sur sa poitrine. Prenant de l’assurance, je tentai quelques coups de reins, elle me dit :
Puis :
Elle prit une de mes mains et la posa sur son pubis lisse en me disant de me servir de mes doigts pour lui donner un supplément de plaisir… Les gémissements s’accélérèrent, elle eut un orgasme.
Elle me dit :
J’appliquai ses conseils et entrai en elle doucement. Ses encouragements s’accélérèrent, ma tête commença à tourner, et d’un coup nous poussâmes tous deux un cri d’extase. L’initiation était terminée, et j’eus les félicitations de l’examinatrice.
Je la quittai le lendemain sans connaître son prénom ni jamais l’oublier.