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n° 19808Fiche technique32126 caractères32126
Temps de lecture estimé : 19 mn
18/09/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Lors d'une soirée, Sandrine et sa colocataire offrent un show que Laurent n'est pas prêt d'oublier. Sandrine est pleine de surprises. Laurent en fera l'amère expérience.
Critères:  fh cocus uniforme fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo -rencontre
Auteur : Lauchris  (Fatigué !!!)      Envoi mini-message

Série : Sarajevo

Chapitre 04 / 04
Anja

Avertissement : Le récit comporte une scène de sexe explicite qui peut choquer les âmes sensibles par ses mots crus ou énerver les lecteurs adeptes de scènes softs. Ce texte n’est pas écrit pour vous !




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Ça va faire trois mois et demi que j’ai les pieds sur le territoire bosniaque en opération extérieur (OPEX) dans le cadre de l’opération Salamandre. Le mois de novembre est vite arrivé et l’hiver est maintenant bien installé. La neige est apparue il y a quatre semaines avec des températures négatives qui glacent tout le monde sur le terrain. Le travail de la journée fini, le personnel reste dans les chambres au chaud ou se divertit à la popote en jouant aux fléchettes. Je n’ai pas encore ma date de retour en France mais normalement je devrais partir à la mi-décembre, juste avant les fêtes de fin d’année.


Ce soir, je suis encore en piste. Nous avons un problème d’alimentation électrique sur le TACAN, un radar, et une partie du personnel de l’ESIC⁽¹⁾ est sur le pont pour me filer un coup de main. Il faut que le radar soit opérationnel pour l’ouverture de la piste demain à 07 h. À 23 h, le nouveau câble d’alimentation est tiré sur cent mètres dans sa chambre de tirage et aussitôt branché pour que l’on puisse effectuer les essais de bon fonctionnement. Les mécanos-radar redémarrent le TACAN, effectuent des réglages et vérifient que toute l’électronique fonctionne correctement. Au bout d’une heure, le radar est déclaré opérationnel pour le lendemain. L’équipe est contente de pouvoir enfin rentrer et se mettre au chaud. Moi, je suis crevé, je n’ai pas mangé et le vent glacial qui souffle sur la piste me transperce la peau et les os, je suis frigorifié aux extrémités. Tout le monde se dépêche de rejoindre ses quartiers pour prendre une douche bien chaude.


Plus tôt dans la soirée, Sandrine était venue me voir en quittant sa cabine de contrôle pour m’avertir de son départ. Elle devait retrouver des amies à la popote du SEA⁽²⁾ et faire une soirée entre copines. Dans un quart d’heure, il sera minuit et je ne sais pas si elle sera encore avec ses copines au bar des essences. Je sors de la douche brûlante et je me rhabille vite fait, j’ai envie de voir ma belle. Enzo et Greg m’accompagnent. Pour eux, leur DETAM⁽³⁾ se termine, il ne leurs reste qu’une semaine à faire sur le DETAIR. Ils sont pressés de rentrer en France pour retrouver leurs proches, les embrasser et faire la fête. Après avoir traversé le tarmac, nous arrivons en zone vie, nous croisons peu de monde. Les températures négatives n’engagent pas les gens à sortir et beaucoup restent dans leur piaule ou dans la popote de leur unité bien au chaud.


Nous traversons les baraquements logements dédiés au personnel naviguant. Greg, qui vient de la base aérienne d’Évreux, a un pote mécano-nav en escale pour une durée de deux jours et qui doit repartir le demain matin une fois le Transall C-160 chargé. Nous longeons des baraquements, nous entendons des rires féminins retentir d’une chambre d’un pilote, il n’a pas l’air de s’ennuyer. Nous passons devant en rigolant bêtement et en pensant que ce mec a bien de la chance. Nous arrivons devant une piaule et Greg frappe à la porte pour nous annoncer. Un militaire en tenue de vol nous ouvre et Greg nous présente.



Nous saluons à notre tour le mec puis ce dernier nous dit :



Nous sortons, Nicolas ferme sa chambre puis il prend les devants et nous nous dirigeons vers le Menhir. Après dix minutes de marche et un retour en zone opérationnelle, nous entrons dans la salle où ce soir il y a très peu de personnes. Trois mecs sont au bar en train de discuter et siroter leur bière. Nous en prenons chacun une, puis Nini se dirige vers le fond de la salle et écarte un grand rideau. Derrière, on découvre une porte cachée et l’entrée de la salle privée. Depuis le temps que nous venions ici, nous ne savions pas qu’une porte dérobée se cachait là.


Nous entrons dans une salle enfumée à la lumière tamisée où retentit en sourdine un morceau de Chris Isaac. Quelques couples enlacés dansent sur Wicked Game alors que d’autres papotent tranquillement autour d’une dizaine de tables. Nini nous dit :



Nous nous posons sur une table de libre et nous voyons disparaître un couple dans l’autre salle. Elle est plongée dans la pénombre, je distingue à peine ce qui s’y passe. De temps en temps, nous voyons un duo enlacé sortir et revenir discuter comme si de rien n’était. Une vraie boîte à cul !


Curieux, Enzo et moi, nous nous dirigeons vers la salle afin de voir ce qui s’y passe. Chacun à un montant de la porte, nous passons notre tête. Nini nous a rejoints et zieute aussi à l’intérieur. Et là soudain, pour moi, c’est le choc. À genoux, devant un officier avachi dans un canapé, Sandrine est en train d’avaler profondément son sexe. Sa tête descend et remonte lentement, sur son visage, les yeux fermés, on peut voir tout le plaisir qu’elle ressent à lui prodiguer cette fellation. Choqué, je reste bloqué devant cette image. Je ne peux pas y croire. Qu’est-ce qu’elle fout ici à sucer ce mec ? Je la croyais avec ses copines au SEA. Putain, la salope, elle me fait cocu !

Je regarde Enzo qui semble captivé par le spectacle proposé. Et là, Nini à voix basse dit :



Enzo se tourne vers moi, voit mon visage livide et me dit :



J’ai du mal à respirer, mes jambes sont lourdes.


Nini nous regarde sans comprendre. Nous retournons à notre table en silence. Je suis comme assommé. Moi qui pensais rentrer en France, retrouver Sandrine à son retour et demander une mutation pour un rapprochement. Tout vient de s’écrouler.


Sandrine en couple avec un officier ! Elle me mène en bateau depuis trois mois. Je suis sidéré. Sa trahison me donne envie de tout casser. Déjà, de voir la sucer un inconnu et d’apprendre que c’est son régulier, ça me fout les boules, mais d’apprendre que tout ce que l’on s’est dit et que l’on a vécu depuis trois mois étaient du pipeau. C’est un choc. En dix secondes, elle m’a anéanti.


Les minutes s’écoulent lentement, un couple sort de la salle. C’est Sandrine accompagnée de son capitaine. Le couple s’arrête à la sortie puis s’embrasse tendrement sur la bouche. Mon cœur vient de s’arrêter. Enzo qui vient de les apercevoir à la porte me retient déjà par le bras.


Sandrine se détache de l’officier, le couple se dirige vers une table et rejoignent trois autres officiers en pleine discussion. Elle ne m’a pas vu. Tranquillement, elle se tient debout à côté de son « Jules » qui vient de prendre une chaise et lui caresse tendrement la nuque. Je la vois rire et plaisanter avec les quatre gus. Je me lève, Enzo me dit :



Je ne dis rien. Mon visage est fermé, je l’ai vraiment mauvaise. Je m’approche lentement vers la table et me mets à côté de Sandrine.



Surprise, Sandrine se tourne vers moi et ses yeux s’agrandissent de stupeur en me voyant à côté d’elle.



Je me retourne et je rejoins Enzo et Greg qui ont assisté à toute la scène. J’entends derrière moi :



Je regarde Enzo et je pars pour sortir du bouge.



Je sors de la salle, débouche dans le Menhir et me rends au bar.



Le barman me sert et je l’avale cul sec.



Une main se pose sur mon épaule, compatissante.



Je ne peux pas répondre, le regard perdu dans mon verre. Mon esprit est ailleurs. Mais quel con ! Quel con je suis. Celle-là, je ne l’ai pas vu venir et elle fait mal !


Le lendemain, je ne me souviens plus de la suite. Ni d’être sorti du Menhir, ni de mon atterrissage dans mon lit. Je me lève de mon lit, j’ai mal à la tronche. Ça tangue. Quelle gueule de bois ! La fin de soirée a été plus que difficile.


La semaine s’est déroulée sans que je reparle à Sandrine. Elle a bien essayé de venir me parler, mais trop occupé, j’ai fini par l’envoyer promener. J’ai autre chose à faire que de l’écouter me bassiner avec des explications foireuses. Ce soir, on fête le départ d’Enzo qui s’en va demain matin. Sandrine est là aussi, essaie quelques petits rapprochements et commence à m’expliquer que l’on peut rester copains mais je la snobe. Je n’ai pas envie d’entendre ses explications foireuses et encore moins de rester potes. Elle insiste, je l’envoie chier. Qu’elle aille se faire tirer ailleurs ! C’est pas les mecs qui manquent sur le camp. Pour oublier toute cette merde, direction le bar et je reprends une grosse caisse. Le lendemain, la gueule dans le cirage, je regarde mon pote rentrer en France.




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Aujourd’hui, on est lundi et Enzo est parti depuis maintenant six jours. Mon pote me manque, je travaille l’âme en peine, sans entrain. Je m’isole en piste pour rester seul et j’essaie d’avoir le minimum de contacts avec les collègues. J’ai encore la haine et surtout la honte.


Je n’ai personne avec qui discuter. Éric, le juteux qui remplace Enzo est un vieux de la vieille. Âgé d’une quarantaine d’années, il a un caractère taciturne, je ne m’entend pas trop bien avec lui. On est n’est pas de la même génération et nous avons peu de points communs. Nous communiquons juste pour le boulot et ça me convient.


Il est proche de 17 h, je dois récupérer mon linge que j’ai amené il y a trois jours à la laverie. Des lavandières, employées locales originaires du pays, ont été embauchées par les Forces Françaises pour s’occuper de notre linge. J’aime bien ce grand local qui sent toujours bon et où les filles qui y travaillent sont super sympas et toujours de bonne humeur malgré les horreurs vécues par la guerre.


J’ai l’habitude de donner mon linge à une croate, Anja, une lavandière d’une trentaine d’années. Grande, fine, toujours habillée avec élégance, cette brune toujours souriante est d’une gentillesse permanente avec tout le monde. Dans un anglais parfais, elle a toujours un mot sympa pour chacun de nous. Quand nous nous voyons, j’essaie de lui apprendre des mots français et ses difficultés de prononciation sont une source de rires et de taquineries entre nous. À l’opposé, mes essais en langue croate la font hurler de rire. Cette femme intelligente et cultivée a du chien et un charme à damner un saint.


Je rentre dans la laverie, bizarrement, je ne trouve personne pour m’accueillir comme d’habitude. C’est le début de l’après-midi, et pour une fois l’accueil est désert. Je passe derrière le comptoir, me dirige vers le bureau et je frappe à la porte. Personne ne répond, j’entends pourtant du bruit et je pousse la porte.


Anja est assise accolée au mur du bureau sur un petit tabouret en pleurs.



Je me baisse à son niveau en plein désarroi moi aussi. Son désespoir me serre le cœur. Sa figure d’habitude si souriante est aujourd’hui ravagée par la peine. Mon visage est face au sien. Je suis vraiment triste pour elle. Sa tête bascule sur ma polaire et Anja laisse libre court à son chagrin. Je la prends dans mes bras et attend patiemment qu’elle se calme.



Elle relève sa tête et son regard noir me regarde intensément.



Anja se calme peu à peu et sa voix ne tremblote plus. Je sors un paquet de mouchoirs d’une poche de mon treillis et elle en prend un pour s’essuyer les yeux. Le mascara a coulé et laisse de longues traînées sur ses joues. Elle en prend un autre et se mouche bruyamment dedans. Le bruit de trompette qui sort de son nez nous fait sourire.



Je la comprends. Mes parents sont décédés aussi dans des conditions tragiques, il y a déjà plusieurs années. Mais moi, pour oublier mon chagrin, je me suis engagé dans l’armée. Je comprends sa peine, je suis passé par là, et j’ai mis du temps à m’en remettre. Je suis fils unique et la mort de mes parents dans un accident de voiture fut une épreuve psychologique longue qui m’a dévasté et dont je fus long à me remettre.


Son parfum vanillé m’entoure progressivement. J’adore cette odeur chez la gent féminine qui me rappelle ma mère. Anja porte un parfum de qualité qui me monte à la tête. De tenir cette belle femme dans mes bras commence à m’échauffer les sens et mon sexe, à ma grande honte, commence à grossir dans mon treillis. Sa joue se pose de nouveau sur mon torse et elle lève ses yeux vers moi.



J’hésite à approcher ma tête de la sienne. Son regard intense m’hypnotise et m’invite à me rapprocher. Je me décide, je mets mes mains sur ses joues et je tends mes lèvres vers les siennes. J’entrouvre ma bouche et l’embrasse tendrement. Ses lèvres sont comme du velours. Nos langues se touchent et apprennent à se connaître. Ce baiser d’une douceur infinie m’entraîne vers les profondeurs de ma perdition. Je me noie dans cet écrin de tendresse et je sais à cet instant que je ne remonterai pas à la surface.


Mes mains partent délicatement à l’assaut de son corps. Je déboutonne sa veste qu’elle enlève et qu’elle pose sur une chaise. Pour ce faire, elle se retourne et j’en profite pour lui empaumer les seins encore prisonniers de son soutien-gorge et de son haut en coton. Sous mes doigts agiles, ils se révèlent gros et bien fermes. J’approche ma bouche de son cou pour lui donner de petits baisers. Des fragrances subtiles et envoûtantes me remontent délicatement et m’enivrent. Anja a fermé les yeux et gémit de contentement. Je passe ses mains derrière sa tête, ce qui a pour effet de lui faire bomber le torse et lui fait encore plus ressortir son opulente poitrine. J’empaume ses seins et les malaxe doucement. Aidée de mes mains, je l’invite à faire retomber ses bras puis je prends délicatement les bretelles de son haut et de son soutien-gorge pour les faire tomber. Le fin tissu tombe sur ses hanches, j’en profite pour dégrafer le soutif et je le pose sur une chaise. Je reprends en mains ses deux seins et, de l’index et du pouce, pince ses tétons tout en les malaxant. Ses seins volumineux sont d’une douceur incroyable et bien fermes. Anja, sous ce traitement, halète de plus en fort, sa respiration s’accélère sous l’effet du plaisir que je lui procure.


Je me recule, délaisse ses seins et me baisse pour descendre sa jupe en emmenant son petit haut. Une culotte noire en partie transparente apparaît, elle lui rentre en partie dans la raie des fesses. Ces dernières sont sublimes. D’un blanc cotonneux, les deux globes jumeaux bien rebondis donnent envie de mordre dedans. Je m’avance et lui passe un grand coup de langue dans ce sillon tout chaud. De délicats effluves remontent de son entrejambe, je m’invite en y collant mon nez et ma bouche. Comme le disait si bien Jean-Pierre Marielle dans le film Les galettes de Pont-Aven, « Ah, nom de Dieu de bordel de merde ! Quelle merveille ! »


Son odeur intime de fin de journée me monte à la tête et me rend dingue. Je fais tomber sa culotte et écarte ses fesses. L’œillet caché se découvre à moi. Sans attendre, je pose ma bouche et introduit directement et délicatement ma langue dans son étroit conduit de chair.



Anja pose ses mains sur son bureau, écarte ses jambes et me tend son sublime postérieur qui s’ouvre naturellement dans cette position. Je me rebaisse et pose ma bouche sur sa petite chatte d’où perlent des gouttes d’excitation. Je récupère le précieux nectar sur ma langue et l’avale comme un grand cru. Je lui mange avec avidité son sexe. Sous l’excitation, ma langue et ma bouche rentrent en action plus intensément. Je lape les petites lèvres, glisse ma langue dans son vagin, je virevolte d’une chair à l’autre pour lui donner un maximum de plaisir. Je dégotte un clitoris de bon diamètre et le prend délicatement en bouche. Je le tète, l’aspire, fais tourner ma langue autour.


Anja halète de plus en plus fortement sous mes attaques et soudain beugle puis me gicle de la mouille qui me surprend. Je bois à la source ce divin nectar de sa jouissance qui me dégouline jusque dans le cou. Je continue de laper sa chatte pour absorber tout son jus puis je remonte et pose ma langue plus haut pour m’attaquer à son petit trou.


En même temps, je reprends de mes mains ses fesses et les écartent au maximum pour bien lui ouvrir le cul. Je glisse un pouce dans l’étroit conduit. Je force légèrement, signe que la dame n’est pas habituée à l’exercice. Je commence lentement à entrer puis à ressortir pour que son muscle s’habitue à l’intromission. Peu à peu, la pénétration se fait plus aisée. Je ressors mon pouce, humidifie deux doigts, les présente sur sa petite entrée qu’ils pénètrent sans difficultés. Je commence un ramonage de plus en plus vif. La miss semble apprécier le traitement et feule de plus en plus fort au fur et à mesure de mon travail de dilatation.


Anja se relève et se retourne. Elle s’attaque à mon pantalon et me le descend en entraînant mon slip avec. Mon barreau de chair surgit, mû d’une propre vie et vient buter contre son ventre. Elle se baisse et me prend voracement la queue entre les lèvres pour ce qui va être une des meilleures pipes qui me soit donnée. Elle m’agrippe par les fesses et, de sa bouche immense, m’avale complètement en faisant buter mon gland au fond de sa gorge. Elle le ressort puis sa langue entre en action et tourne autour de mon mandrin. D’une main, elle saisit mon sexe et commence à me branler tout en continuant sa fellation. Sa langue titille le frein et me donne des frissons. Sourire aux lèvres, elle plante ses yeux dans les miens, arrondit ses lèvres et m’embouche progressivement. La pression de sa bouche sur mon gland est une divine torture qui me fait haleter. Cette femme est diabolique et si elle continue sur ce rythme, je ne vais plus pouvoir tenir et je vais tout lui décharger dans son palais.



Anja, sourire aux lèvres, avec un air de défi dans les yeux, se recule, fait le tour de son bureau, ouvre un tiroir et en sort un préservatif. Elle revient, me donne la capote dans sa protection, s’assoit sur son bureau et met ses jambes en équerre en position d’attente. Son sexe, dont les poils noirs du pubis sont finement taillés, m’apparaît et s’ouvre à moi. Ses petites lèvres débordent des grandes et s’étalent comme des pétales de rose. Un clitoris de belle dimension, enveloppé dans son capuchon pointe le bout de son nez sous l’effet de l’excitation de sa propriétaire. Tous les poils autour de son sexe ont disparu et seule une bande noire de cinq centimètres environ remonte vers son nombril.



Je déchire avec les dents le sachet qui protège le préservatif et je l’enfile sur ma verge bandée. Je présente ma queue à l’entrée de son vagin et le pénètre d’une seule poussée. J’ai l’impression de rentrer dans du beurre tellement elle est trempée. Je commence des va-et-vient tout en lui maintenant les jambes en l’air par les chevilles. Mes mouvements sont amples et je peux vraiment la prendre profondément. Sa main est venue rejoindre son clito qu’elle triture violemment.



Ses gestes sont rapides, sa respiration est rapide sous l’effort. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle pousse un long cri, un jet de mouille gicle et s’écrase sur mon pubis.

Je m’arrête pour la laisser récupérer, son regard est brillant sous le plaisir qu’elle vient de ressentir.



Je prends les chevilles d’Anja fermement et les bascule vers l’arrière. Sa chatte et son anus s’ouvrent complètement. Je positionne mon gland sur sa petite entrée et force doucement son intimité vierge de toute pénétration. Je suis le premier à avoir l’honneur de le visiter, je ne veux pas me rater. Délicatement, mon gland enveloppé de sa protection progresse et ouvre son muscle anal. La dilatation de mes doigts effectuée quelques instants plus tôt par mes doigts facilite le travail. Je sens malgré tout une résistance et je force un peu. Le muscle vierge s’écarte d’un seul coup sous la pression et mon gland pénètre l’étroit conduit qui m’enserre aussitôt. Je m’arrête pour laisser respirer Anja et que son anus s’habitue au corps étranger qui le force. Mes allers et retours sont lents pour ne pas effrayer la belle et pour ne pas éclater la capote. Au fur et à mesure, je la sens se détendre et s’habituer, ses cris de plaisir m’invitent à y aller de plus en plus fort. J’accélère progressivement mon rythme et amplifie mes mouvements. Peu à peu, son trou s’assouplit et je chemine plus aisément aux fond de ses entrailles, mes couilles butent contre ses fesses. Anja à l’air d’apprécier sa première sodomie.


Elle remet sa main sur son clitoris et s’active dessus avec force. Elle ferme les yeux pour mieux savourer cette pénétration, sa respiration est rapide et son ventre se contracte sous l’effet de son excitation. Un nouveau jet de mouille gicle et s’écrase sur nos deux sexes. Je sors ma queue de son cul, récupère un peu de mouille sur son pubis puis retourne dans son antre resté grand ouvert. La pénétration est aisée, mes mouvements sont beaucoup plus rapides et Anja feule de plus en plus fort. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens le plaisir monter du creux de mes reins, une vague me submerge et j’éjacule de longues giclées dans le préservatif. Je reste planté bien au fond avec ma bite qui pulse, je m’écroule sur Anja pour récupérer ma respiration. Je sens une main me caresser la base du crâne, je relève la tête et embrasse les lèvres qui me sont tendues.



Et je suis revenu le lendemain, le surlendemain puis tous les jours à la laverie où cette jeune femme travaillait. J’avais beaucoup de linge sale à faire laver !

Je ne pouvais plus me passer de cet ange perdue dans les décombres de Sarajevo.




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Dix-neuf ans ont passé et cet ange vit à mes côté en France. Dès mon retour sur le territoire national, fou amoureux, j’avais entrepris les démarches nécessaires à son arrivée en France.

J’ai quitté l’armée au bout de quinze ans de service et j’ai entamé une nouvelle carrière dans le monde civil en ouvrant ma boîte d’électricité.


Mariés, nous sommes parents de deux garçons et d’une fille qui contribuent à notre bonheur. Tous les étés, toute la famille retourne en Croatie, le pays d’origine d’Anja. Elle y possède une maison, sur l’île de Murter, qu’elle partage avec sa sœur revenue vivre au pays.


Aujourd’hui, nous sommes le 15 juillet 2018. Dans dix minutes commence la finale de la coupe du monde qui opposera la France à la Croatie. Je suis le seul en bleu parmi tous les maillots à damier blanc et rouge. La bière, bien fraîche, coule à flot.



Oui, vive la Croatie. Je me retourne vers Anja, elle me regarde, je la prends dans mes bras et l’embrasse passionnément. Son regard noir envoûtant m’hypnotise toujours autant. Mon Dieu, que j’aime cette femme.



FIN



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(1) ESIC : Escadron des Systèmes d’Information et de Communication. Dans les années 90 et début 2000, ces unités de l’Armée de l’air, dépendant du CASSIC, étaient chargées de la maintenance et des dépannages sur les matériels aéronautiques nécessaires au fonctionnement d’une piste sur une base aérienne ou en OPEX (radars, cabines émission et réception, vigie, cabine de contrôle aérien, des transmissions et de l’informatique) et de l’alimentation électrique de ces systèmes.

(2) SEA : Service des Essences des Armées

(3) DETAM : détachement d’un militaire pendant une période loin de son unité d’origine sur un OPEX. Dans l’Armée de l’air un DETAM dure environ quatre mois. Certaines unités navigantes ont des DETAM de deux mois, l’Armée de terre a des mandats de quatre à six mois.

(4) Vol bleu : vol disciplinaire avec un retour anticipé dans leur unité en France pour les militaires qui ont commis des actes répréhensibles ou eu un comportement pouvant atteindre au renom des Armées.