n° 19816 | Fiche technique | 23091 caractères | 23091Temps de lecture estimé : 14 mn | 25/09/20 |
Résumé: En vacances dans le sud de la France, je découvre avec ma demi-soeur les plaisirs de l'amour | ||||
Critères: f h fh jeunes alliance vacances amour dispute revede voir fmast hmast caresses intermast fellation cunnilingu pénétratio -occasion | ||||
Auteur : Lépicurien Envoi mini-message |
Mes parents se sont séparés alors que j’étais adolescent. Mon père nous a quittés, ma mère et moi, pour sa secrétaire Murielle qui avait déjà une fille du même âge que moi. Je suis resté vivre avec ma mère. Leur séparation a considérablement amélioré leurs relations. Fini les disputes, les cris et les portes qui claquent. Ils ont réussi à se parler pour leur divorce, et même à s’entendre, au point que leur relation est redevenue courtoise.
Crystale et moi avons toujours été élevés comme un peu comme frère et sœur, bien que l’on se vît rarement. En effet, nos parents s’arrangeaient pour prendre l’un de nous en vacances pendant que l’autre était chez son autre parent. Il nous arrivait, cependant, de passer quelques week-ends ou des réveillons ensemble. Nous avons développé dès cette époque une grande complicité.
Un été, cependant, une erreur dans les dates nous a obligés à passer nos vacances ensemble. Nous ne saurons jamais d’où vient l’erreur, mais ma mère avait réservé pour son mois de juillet un séjour en club à la Guadeloupe, tandis que le père de Crystale devait s’absenter pour ses affaires à l’étranger. Mon père et Murielle avaient, eux, loué comme chaque année une petite maison sur la Côte d’Azur, à côté de Fréjus. Malheureusement n’ayant pas prévu de nous avoir tous les deux, Crystale et moi, la maison n’avait que deux chambres : une au rez-de-chaussée et l’autre à l’étage. Comme Crystale et moi nous nous entendions bien, partager une chambre pendant un mois ne semblait pas être insurmontable. Par chance, la chambre du haut comportait des lits jumeaux, ce qui fit le bonheur de tout le monde. Comme nous étions tous les deux, nos parents pouvaient se consacrer à leurs balades et excursions et nous laisser à la villa sans nous obliger à les accompagner.
Les premiers jours furent idylliques, car nos parents nous laissaient faire notre vie de notre côté, à condition que l’on soit toujours ensemble. Généralement, le matin nous allions tous deux à la plage, car il y avait moins de monde et l’après-midi nous profitions de la piscine de la villa. Bronzette et farniente étaient nos seules occupations. Ce fut aussi pour nous l’occasion de mieux faire connaissance. Ainsi j’ai appris qu’elle fréquentait un garçon depuis quelques mois, Stéphane, mais qu’elle n’était pas vraiment amoureuse de lui. Pour ma part, j’étais célibataire et espérais bien le rester.
Un jour, Crystale avait décidé de se faire bronzer, alors que moi j’avais dans l’idée de rester tranquille dans la chambre, au frais grâce à la clim, et bouquiner dans mon coin. Lorsque je suis rentré dans la chambre, mon attention fut attirée par un gros cahier qui traînait sur le lit de Crystale. J’étais dévoré par la curiosité de l’ouvrir et découvrir ce que chaque soir elle consignait dans ce cahier. Peut-être parlait-elle de moi ? de Stéphane ? Si je jetais un petit coup d’œil, peut-être que je pourrais apprendre certaines choses croustillantes à son égard ? Alors après avoir vérifié par la fenêtre qu’elle était bien sur son transat à se faire bronzer, je risquai un petit coup d’œil. Après avoir ouvert le cahier au hasard, je réalisais que la réalité dépassait mes espérances :
Invitée à aller au cinéma. Je voulais mettre ma robe rouge, celle qui le fait craquer. J’adore la manière dont il me regarde, quand je porte cette robe. Il en perd ses moyens, bafouille et surtout ses yeux ne quittent pas le décolleté qui met si bien en valeur ma poitrine. J’avais décidé de le rendre complètement fou en ne mettant pas de soutien-gorge. Il est si craquant quand je le surprends à regarder mes seins, il rougit. Pour une fois, Maman et Jacques sont sortis ; ils sont allés manger chez leurs amis. Heureusement, car elle ne m’aurait jamais laissé sortir un jour de semaine alors que le bac approche. Je ne sais pas s’il en a fait exprès, mais cinq minutes après le départ de mes parents, on sonne à la porte. Stéphane est arrivé tellement en avance pour venir me chercher chez moi, que je sortais à peine de la douche. Je ne porte qu’une serviette autour du corps, qui cache mes seins et une autre dans les cheveux. Il ne m’a pas laissé le temps de respirer, le salaud : tout en me roulant une pelle de ouf, ses mains sont partout sur moi. Il me pelote comme un malade, et le pire c’est que cela me fait un putain d’effet. Je ne mouille pas, je me liquéfie. J’essaye de me libérer pour aller m’habiller, mais il ne me lâche pas. Il m’embrasse dans le cou. Humm, j’adore ! Je perds ma volonté. Ma serviette tombe. Il pelote mes seins, les embrasse tandis que son autre main descend le long de mon corps, arrive sur ma chatte en feu. Il fourre son doigt à l’intérieur de moi, il s’y prend mal, mais j’ai vraiment trop envie qu’il me touche. Je sens son sexe bandé contre ma cuisse. Il a ouvert son pantalon et dirige ma main vers son sexe. Je le branle avec douceur, tandis que lui, il agite ses doigts dans mon vagin, il s’y prend très, très mal. Il me massacre le clito. Heureusement, j’ai une idée pour me sortir de cet enfer. Il ne sait vraiment pas caresser une femme. Je descends le long de son corps. Mon visage est au niveau de sa queue. Je la prends dans ma bou…
Le récit que je lisais était tellement érotique, que pendant ma lecture, j’avais sorti mon sexe de mon short et me masturbais.
Elle me sauta dessus, m’arracha son journal qu’elle jeta à l’autre bout de la pièce. Sous le choc, je tombai en arrière, allongé sur son lit. Elle en a profité pour se jeter sur moi et me rouer de coups. La plupart des gifles, qu’elle tentait de me mettre, rataient leur but, et je bloquais la plupart des autres. Me sachant totalement en tort, je la laissais exprimer sa colère, en me disant qu’elle allait bien finir par se calmer. Mais les secondes passaient, les coups continuaient de pleuvoir et elle ne se calmait toujours pas. C’était une vraie furie qui était au-dessus de moi. J’essayais de lui attraper les mains pour mettre fin à cette crise d’hystérie, mais dans la lutte, je lui arrachai involontairement son soutien-gorge. Ses seins m’apparurent. Ils étaient magnifiques. Je les admirais dans leur balancement tandis qu’elle continuait d’essayer de me frapper. Crystale était tellement en colère, qu’elle ne semblait même pas s’être rendu compte qu’elle avait les seins à l’air. Les lignes érotiques qu’elle avait écrites dans son journal me revenaient en mémoire et avec le fait qu’elle s’agitait sur moi, sur mon sexe qui était toujours à l’air libre, cela me procurait un plaisir trouble. Je ne la voyais plus du tout comme une demi-sœur, mais comme une femme très excitante. Et pour être excitante, elle l’était. Je ne pouvais pas me contrôler et je bandais à nouveau. De plus en plus de claques arrivaient à leur but. Même cette lutte me rendait dingue d’excitation. Les claques que Crystale essayait de me mettre faisaient onduler son bassin contre mon sexe ce qui me procurait de plus en plus de plaisir.
Crystale sembla un instant se calmer. Nos regards se sont croisés, et elle me fixa intensément. Le temps semblait s’être suspendu. Seul son déhanchement continuait. C’est à cet instant que je pris conscience qu’elle était en train de se frotter sur mon sexe. Son visage semblait illuminé. Ses longs cheveux blonds étaient détachés et formaient comme une crinière autour de son visage. Elle ne lâchait pas mon regard. Son sexe frottait de plus en plus fort et de plus en plus vite sur le mien. Elle poussa quelques gémissements. Elle avait immobilisé mes deux poignets au-dessus de ma tête. Dans cette position, elle me dominait totalement. J’accompagnais du mieux que je pouvais ses coups de reins, tout en admirant le plaisir monter en elle. Ayant réussi à libérer mes mains, je les posai sur ses hanches. Je tirai un coup sec sur les nœuds qui retenaient son bas de maillot. Elle me laissa faire. Lorsque les deux nœuds furent défaits, elle arracha le petit bout de tissu qui était le dernier obstacle entre nos deux corps. Je sentis à présent son sexe se frotter contre le mien. Elle gémit de plus en plus fort.
Elle recommença à se frotter sur mon sexe. Je sentais le plaisir monter en moi. À voir l’expression du visage de Crystale, elle aussi était au bord de la jouissance, puis subitement elle se mordit la lèvre inférieure. Elle ferma les yeux et pencha sa tête en arrière. Son visage exprimait comme de la douleur, mais ses gémissements indiquaient qu’elle prenait son pied. Elle se déchaîna sur mon sexe, se frottant de plus en vite et fort sur mon gland. Ses seins ballottaient en rythme avec son déhanchement. À mon tour, je me laissai aller et jouis. Le mélange de mon sperme avec sa sécrétion rendait le frottement de sa chatte sur mon gland encore plus agréable. Elle se calma lentement, puis lorsqu’elle prit conscience de la situation, elle s’arrêta, regarda autour d’elle comme si elle découvrait pour la première fois le monde qui l’entourait et s’enfuit toute nue. Elle m’abandonna sur le lit. J’ai voulu me lancer à sa poursuite, mais elle avait déjà dévalé l’escalier et avait disparu. Je préférais la laisser se calmer, car s’il y avait bien une chose que je savais sur Crystale, c’est que lorsqu’elle était fâchée, il valait mieux ne pas l’approcher.
En rentrant de leur excursion, nos parents voulurent nous emmener manger une pizza en ville, elle refusa, prétextant ne pas se sentir bien. Pendant le repas, Murielle me harcela de questions pour savoir si nous nous étions disputés, si quelque chose avait contrarié sa fille… C’est avec bonheur que vers 23 h, nous sommes rentrés à la villa…
À peine arrivée, j’ai vite dit bonsoir à Murielle et à mon père, en leur promettant de les appeler si Crystale n’allait pas mieux et suis monté dans la chambre afin de m’excuser auprès d’elle. Elle était allongée sur son lit et sanglotait la tête enfouie dans l’oreiller.
Un peu soulagé, je m’approchai de son lit et m’assis sur le bord. Je lui caressais les cheveux pour essayer de la calmer.
Tout en me racontant tout cela, elle m’avait fait une place dans son lit. Je m’étais allongé à côté d’elle. Elle s’était nichée dans mon épaule, et je continuais de lui caresser la tête. Cela semblait l’apaiser.
Nous sommes restés, ainsi, un long moment en silence, jusqu’à ce que je me rende compte qu’elle s’était endormie. Pour ne pas la réveiller, je décidai de rester avec elle. Le sommeil ne tarda pas à m’envahir également. Je me suis réveillé aux premières lueurs du jour, Crystale était toujours endormie dans mon épaule. Je ne sais pas combien de temps j’ai passé à l’admirer. Quelques rayons de soleil pénétraient les persiennes, et illuminaient son visage. Elle était magnifique. Pour dormir, elle avait revêtu un tee-shirt blanc. Je voyais distinctement ses tétons tendre le tissu. Cette vision me rappela les évènements de la veille et mon sexe ne tarda pas à durcir. Crystale avait sa tête sur mes pectoraux et je n’osais bouger de peur de la réveiller. Mon sexe, complètement dur, me faisait souffrir et formait une bosse au niveau des draps.
En y faisant un peu plus attention, je m’aperçus, que de son côté, elle était en train de se caresser. Je sentis ses jambes s’écarter, et le mouvement des draps au niveau de son entrejambe ne laissait aucun doute sur ce qu’elle faisait. Je ramenai le drap sur moi et glissai ma main dans mon short. Mon sexe accueillit ma main avec reconnaissance. Je fis coulisser ma main le long de mon sexe tout en observant les mouvements des draps du côté de Crystale. Elle poussa quelques gémissements me laissant comprendre à quel point elle se faisait du bien. Nous nous sommes masturbés quelques minutes comme cela, l’un à côté de l’autre. J’étais dévoré par l’envie de soulever le drap pour la regarder se donner du plaisir. J’étais hypnotisé par les mouvements de la couverture au niveau de son entrejambe. Crystale devait partager les mêmes pensées, car elle avait la tête tournée vers moi, et fixait le drap qui montait et descendait au rythme de ma masturbation. Nos regards se croisèrent et elle me sourit. Sa main gauche était posée sur ses seins et elle se pinçait le téton au travers de son tee-shirt. Son regard m’envoûtait.
Elle avait la main dans son bas de pyjama, alors que moi, mon sexe était à l’air. Tout en continuant de me branler, je l’observais. Elle avait cessé ses caresses pour me regarder. J’étais frustré de ne pas voir un seul morceau de chair d’elle. Crystale dû lire dans mes pensées, car elle se redressa pour enlever son tee-shirt. J’eus alors le plaisir de pouvoir observer à nouveau ses seins. Ils étaient magnifiques, parfaitement ronds, avec de gros tétons qu’elle s’amusait à pincer et à frotter avec ses ongles tout en me fixant dans les yeux. Elle passa sa langue sur ses lèvres d’une façon très perverse.
Malgré mon excitation, j’arrêtai de me masturber et j’exhibai fièrement mon sexe à son regard.
Avec une infinie lenteur, sa main s’approcha de la mienne qui était sur ma cuisse, juste à côté de mon sexe. Ses doigts effleurèrent ma main, continuèrent leur progression sur mes doigts. L’espace d’un instant, comme si cela avait été fait par inadvertance, ses doigts touchèrent mon sexe. Suite à cet attouchement, mon sexe tressaillit. Crystale se passa une nouvelle fois sa langue sur ses lèvres d’une façon gourmande. Sa main écarta la mienne, et elle se saisit de mon membre. Elle me masturba avec lenteur. Ses seins frottaient contre mon bras en cadence avec la masturbation qu’elle m’imposait. Je me déplaçai un petit peu afin de pouvoir lui toucher les seins. Ils étaient comme je les avais imaginés ; fermes, et les tétons durs. Je lui pinçai légèrement le téton, ce qui lui arracha un gémissement.
Par vengeance, elle accéléra le mouvement. Elle me regardait en me souriant. Elle prenait un plaisir évident, à m’imposer son rythme. Elle se pencha en avant, sans me quitter du regard. Mon gland n’était qu’à quelques centimètres de sa bouche. Elle souffla lentement sur mon sexe. Elle arrangea un peu sa position afin que je puisse voir à quel point sa bouche était proche de mon sexe. En me souriant, elle continuait de souffler sur mon membre. Elle tenait toujours mon pénis en main, mais ne bougeait plus. Elle approcha son sein de mon sexe, et toujours en me fixant dans les yeux, elle reprit sa masturbation en frottant mon gland sur son téton. Elle accéléra le mouvement en me souriant d’une manière un peu sadique. J’étais complètement envoûté. Elle me contrôlait totalement, et y prenait un plaisir évident.
Ce traitement dura quelques instants, puis elle se redressa. Ses yeux brillaient d’excitation. Une nouvelle fois, elle se pencha vers ma bite, souffla dessus, et enfin posa ses lèvres sur mon gland. Elle y déposa tout d’abord un « chaste » baiser, puis passa sa langue dessus comme si elle léchait un cornet de glace. Elle ferma les yeux, elle avait l’air de se concentrer. Les derniers interdits, les derniers tabous, tombaient les uns après les autres. Elle me sourit une dernière fois et avala mon gland. Sa bouche était chaude. Elle me suçait avec lenteur, tout en me fixant dans les yeux. Elle semblait être experte dans l’art de la fellation, car elle maîtrisait parfaitement ma montée de plaisir. Elle accélérait quand il fallait et ralentissait dès que mon plaisir devenait trop intense.
Elle prenait son pied à me dominer ainsi. Pour sa part, elle avait glissé sa main entre ses jambes et se caressait. Malgré tout, je me sentis frustré de n’avoir qu’un rôle passif, bien que des plus agréables. Je réussis à la faire changer de position afin de, moi aussi, lui rendre avec ma langue tout le plaisir qu’elle me donnait. Je me dégageai d’elle, la plaquai sur le lit, et m’installai entre ses jambes. Je commençai par l’embrasser sur l’intérieur des cuisses. Je laissai glisser ma langue du milieu de sa cuisse vers son sexe, sans le toucher. À l’instant où j’allai entrer en contact avec sa vulve, je changeai de jambe, mais en réduisant la distance. Parfois, je laissai la pointe de ma langue frôler ses grandes lèvres.
Quelques minutes de ce traitement et elle craqua. Elle se saisit de ma tête et me força à la lécher. Elle avait passé ses mains dans mes cheveux et maintenait la tête en place. Elle s’arc-boutait afin de frotter sa vulve sur ma langue. Elle gesticulait comme si elle était possédée. Ses gémissements allaient crescendo. Se sentant sur le point de jouir, elle se dégagea de moi, et s’installa en position de 69. Instantanément elle se jeta goulûment sur mon sexe et me suça avec passion. De mon côté, ma langue jouait avec son clitoris. Elle ondulait du bassin pour accentuer la pression de ma langue. Je me suis senti partir. Elle accompagnait ses mouvements de bouche de sa main. Elle jouit quasiment en même temps que moi. Ses cris étaient étouffés par mon sexe qu’elle gardait dans sa bouche. Les vibrations produites par ses gémissements résonnaient dans mon sexe décuplant ma jouissance. Lorsqu’elle eut fini de nettoyer mon vit, de toute trace de semence, elle se redressa et s’écria :
Elle avait roulé sur le côté, et nous étions allongés l’un contre l’autre, tête-bêche, sur le dos. Il nous fallut plusieurs minutes pour que nos cœurs reprennent un rythme normal.
Le reste de la semaine fut des plus agréables. Crystale et moi vivions nus la plupart du temps. Nous ne manquions aucune occasion de nous caresser, lécher, sucer et faire jouir sans pénétration. Jusqu’au jour où, Crystale était en train de se frotter sur mon sexe, comme lors de notre première fois, elle glissa la main sous ma verge pour accentuer la pression. Elle me fixa dans les yeux. Elle sembla hésiter.
Elle se saisit de mon sexe et, à mon plus grand étonnement, le dirigea vers l’entrée de son vagin. Elle se souleva un peu. Elle frotta mon gland deux ou trois fois sur ses lèvres humides, pour les écarter. Elle s’empala lentement sur mon membre et me chevaucha.
Tout le restant des vacances, nous n’avons cessé de faire l’amour en essayant toutes les positions, les pièces, la piscine, la plage… Nous étions insatiables du corps de l’autre. Nous sommes devenus inséparables.
Malheureusement, les vacances finies, Crystale est repartie vivre chez son père et moi chez ma mère. Nous passons depuis cet été, tout notre temps libre au téléphone. Dans quinze jours, c’est son anniversaire, je dois aller passer le week-end chez elle. J’ai trop hâte.