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n° 19820Fiche technique23622 caractères23622
Temps de lecture estimé : 14 mn
27/09/20
Résumé:  Après son divorce, Agnès est convaincue par son amie Coralie qu'elle doit se libérer de ses tabous.
Critères:  fh grp couleurs collègues boitenuit exhib caresses intermast entreseins fellation cunnilingu préservati pénétratio -totalsexe
Auteur : Jacquou  (Limousin)      Envoi mini-message
Il n'y a pas d'âge pour évoluer




Depuis quelques jours, Coralie s’inquiétait de sa collègue Agnès. Elle, d’habitude enjouée, affichait une mine chiffonnée laissant clairement transparaître un gros souci. Aussi profita-t-elle d’un déjeuner face à face à la cafétéria de leur entreprise pour l’interroger franco :



Et les deux collègues quittèrent la table avec des projets plein la tête.




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Plusieurs semaines ont passé. Dans l’intervalle, Agnès a écouté Coralie et renouvelé sa garde-robe en la rendant plus jeune, voire plus sexy. « Mets des décolletés pour montrer tes gros nichons », lui a dit Coralie et les hommes se sont mis à lui tourner autour. Toutes les deux sont « allées en boîte », accompagnées de temps à autre par Mike, le fiancé de Coralie, et Agnès a fait quelques rencontres. Une s’est poursuivie au lit et Agnès a fait l’amour pour la première fois depuis longtemps. L’homme, plus jeune qu’elle, était gentil, mais légèrement inhibé et ne l’a pas satisfaite. Lorsque Coralie, le lendemain, l’a interrogée d’un « alors ? », elle a répondu : « bof ». Et d’expliquer que l’homme bandait mou et brièvement. Et de conclure qu’elle n’était décidément plus dans l’allure. Ce à quoi Coralie répondit :



Ce soir-là, il faisait chaud. Coralie portait une robe lui arrivant à mi-cuisses, très décolletée dans le dos, révélant l’absence de soutien-gorge. Agnès avait choisi un pantalon corsaire très moulant et un chemisier boutonné sur le devant dévoilant la naissance de ses seins lourds, également dépourvus de soutien, ce qui leur donnait l’impression d’être en suspension.



Agnès rosit devant le compliment masculin, mais sans se faire beaucoup d’illusions pour autant.

Néanmoins, en s’agitant sur la piste de danse, elle ne tarda pas à trouver autour d’elle une flopée de mâles attirés par cette petite femme rondelette visiblement seule et montant sans complexe son corps en mouvement et ses cheveux argentés brillant sous les sunlights. L’un d’eux, plus hardi, lui offrit un verre et l’entraîna vers une table isolée pour un brin de conversation. Il était grand, brun, la trentaine, dit s’appeler Rachid et travailler comme pompier. Il plut aussitôt à Agnès, mais instruite par sa mauvaise expérience tout autant que par prudence, le présenta à Coralie et Mike. Tous décidèrent d’aller prendre un verre dans un bistrot plus calme, ouvert la nuit. Pendant la conversation, Rachid mit la main sur la cuisse d’Agnès, qui ne la repoussa pas. Coralie et Mike ne cessaient de s’embrasser, prélude à un coït de plus en plus imminent. Une tension érotique monta autour de la table tant et si bien que Coralie, la voix un peu rauque, déclara :



Assis à l’arrière de la voiture, Agnès et Rachid ne tardèrent guère à s’embrasser à leur tour. Le pompier avait glissé la main dans le corsage largement déboutonné d’Agnès et soupesé un sein glorieux, plein de sève, déclenchant une onde de chaleur dans le bas-ventre de sa propriétaire. Lorsque Rachid lui prit la main pour la placer sur le devant de son pantalon, le contact de la tige rigide, ne demandant qu’à jaillir de la braguette, la fit frissonner des orteils à la racine des cheveux. Elle se rendit compte qu’elle éprouvait une puissante envie de baiser avec ce type et que l’acte allait inéluctablement se produire chez Coralie et Mike.




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Agnès s’apprêtait à vivre une nuit mémorable qui allait révolutionner sa vie sexuelle à près de cinquante ans. Elle, qui passait au sein de son entreprise comme dans sa famille pour une femme sans histoire, sage et mesurée, allait tout simplement redécouvrir le cul. Tout commença avec Coralie et Mike. Le couple hôte ne sortant pas de la cuisine où il était censé préparer les boissons, Rachid avait fini par se lever pour aller voir où ils en étaient. À peine eut-il jeté un œil qu’il fit signe à Agnès de le rejoindre. Elle découvrit alors Coralie assise sur la table, la robe troussée jusqu’au nombril et sa petite culotte par terre tandis que Mike, assis sur une chaise, lui léchait l’entrecuisse comme s’il était attablé devant un bon plat. Coralie lâcha entre deux gémissements :



La table étant large, Rachid souleva Agnès et la déposa à côté de Coralie, lui déboutonna son pantalon corsaire, fit glisser son string et dévoila un pubis abondamment fourni (beaucoup plus que celui de Coralie). Il tira une chaise et s’attabla à son tour. Agnès fut totalement prise au dépourvu, mais la chaleur de son bas-ventre était telle depuis un bon moment que la langue du pompier fut accueillie avec gratitude. Elle se sentit dégouliner et mêla ses gémissements à ceux de sa voisine Coralie, pour sa part ravie de voir son amie se lâcher. Le double cunni dura un bon moment, les deux mâles ayant la bonne idée d’attendre que leurs compagnes les implorent de passer à l’étape suivante.



Mike ne tergiversa pas. Libérant rapidement son dard et le mufle barbouillé de cyprine, il enfila recta Coralie sur la table. Elle l’emprisonna de ses mollets et le couple se mit à clapoter à moitié déshabillé. La table avança sous l’effet des vigoureuses poussées de l’Américain pour se caler contre le frigo. L’autre couple assista sans mot dire à l’entame de ce coït impatient. Agnès regardait surtout le visage de Coralie, son expression dans le plaisir, tantôt sérieux et concentré, tantôt rayonnant, à nouveau crispé, à nouveau détendu. Le moins qu’on puisse dire est qu’elle découvrait sa collègue sous un jour nouveau et cependant, un jour où elle était totalement elle-même. Puis Rachid souffla à l’oreille d’Agnès :



Et Agnès, cul nu, accompagna Rachid dans le salon où l’attendait un canapé propice à leurs ébats.




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Dans sa jeunesse étudiante, Agnès, qui fréquentait des futurs médecins, avait déjà participé à des orgies collectives. Elle était même une partenaire recherchée tant elle mettait d’ardeur à satisfaire les jeunes mâles stimulés par cette petite caille rondelette au plaisir communicatif. Mais le temps du mariage et de la vie professionnelle était arrivé et Agnès avait rangé ces souvenirs érotiques au plus profond de sa mémoire. Ce qu’elle vivait maintenant avec Rachid et l’autre couple la faisait revenir plus de vingt ans en arrière et c’est pourquoi elle n’était l’emprise d’aucune inhibition.


Lorsque Rachid l’installa sur le canapé, elle commença par se débarrasser de son corsage et libérer ses seins qui lui faisaient mal tant ses hormones étaient chahutées. Tous ses sens étaient désormais dirigés vers le pantalon de Rachid et son contenu. Lorsqu’il se libéra, Agnès vit surgir une bite comme elle n’en avait encore jamais vue. Une Bite avec un grand B. Longue, épaisse, rigide, totalement décalottée avec un gland gros comme un abricot. Elle ne put s’empêcher de s’exclamer au spectacle de ce surgissement et ressentir en elle une profonde fierté d’avoir provoqué une telle érection. Deux couilles parfaites, vraies boules de billard, complétaient ce costume trois-pièces magistral auquel elle rendit un premier hommage en y mettant ses lèvres, sa langue et sa bouche entière.


C’est alors que Coralie et Mike sortirent de la cuisine et se dirigèrent vers la chambre, lui encore en érection.



Bien qu’elle abandonnât à regret sa succion, Agnès, pour les raisons exposées ci-dessus, n’y vit pas d’objection, l’essentiel pour elle étant d’être pénétrée par cette bite fabuleuse afin d’apaiser son bas-ventre bouillonnant. Elle précéda Rachid dans la chambre, permettant au pompier d’apprécier la croupe vénusienne qui se dandinait sous ses yeux. En considérant le jeu des fossettes sur les deux pulpeux hémisphères séparés par une raie longue et profonde en son milieu, il se promettait de les honorer de sa queue dès que l’occasion lui en serait offerte.


Le couple hôte les attendait sur le lit, elle le branlant en attendant afin de maintenir son érection. Agnès s’allongea en travers de la couche pendant que Rachid coiffait son dard d’un préservatif tendu par Mike. Comment allait-elle accueillir un pareil braquemart ? Une légère appréhension se mêlait à un désir puissant. Elle écarta largement ses cuisses dodues, invitant son chevalier servant à faire son devoir de mâle sans se préoccuper du couple voisin qui attendait avec intérêt l’intromission et surtout la réaction de la récipiendaire.


Ils ne furent pas déçus. Agnès ouvrit grand la bouche sans dire un mot, écarquilla les yeux, expulsa un profond soupir et quand la bite fut totalement engagée, couina en verrouillant les reins de son amant en croisant les pieds. Le lit fut pris alors d’une forte houle sous l’effet des coups de boutoir du pompier, sur fond sonore de clapotis des deux sexes joints augmenté des onomatopées d’Agnès. N’ayant pas été pénétrée depuis des lustres, a fortiori par une tige aussi volumineuse et aussi chaude, elle avait l’impression d’être dépucelée à quarante-neuf ans et commençait à manifester bruyamment sa joie.


Le pompier en était fortement stimulé, d’autant qu’Agnès lui pressait les fesses de ses mains, attitude qu’il rencontrait rarement de la part de ses maîtresses et qui le confirma dans l’idée que cette quasi-quinqua aux cheveux prématurément blanchis était un coup en or. Chacun de ses coups de bite était ponctué par un mouvement de houle de ses seins plantureux, vision dont il se régalait autant du rictus de plaisir sur le visage de sa partenaire de cul. Un chatouillis sur ses couilles l’avertit que Coralie n’était pas indifférente à ses boules de billard. Y mettait-elle la langue ?


Cette idée l’allongea un peu plus et Agnès couina de plus belle. Elle ne stoppa ses vocalises que quand Mike lui tendit sa queue à sucer et qu’elle la goba avec voracité tout en renvoyant la balle au pompier. Ce n’était pas la première fois qu’elle baisait doublement, mais c’était dans une autre vie et cette constatation ne la surprit même pas sur le moment, tant elle était totalement à son sujet.


Cette conjoncture ne mettait pas qu’Agnès en transe, mais Rachid aussi et il dut se retirer précipitamment en se comprimant la queue pour ne pas éjaculer prématurément. Mike se retira aussi, car il était tout aussi proche de l’éjaculation tant la suceuse avait mis du cœur à l’ouvrage. Et les deux couples se retrouvèrent assis sur le lit à observer une pause, histoire de permettre aux deux hommes de faire tomber un peu la pression. Une brève discussion s’engagea :



Et Coralie se mit à quatre pattes en travers du lit, offerte, et Mike l’enfila à genoux. Agnès observa le travail de la bite de l’Américain. Cette vision en live la ramenait à une époque où elle faisait son éducation sexuelle tout en la pratiquant. Elle avait toujours aimé regarder des couilles ballotter, des fesses masculines s’agiter en cadence, des pieds féminins manifester à leur manière le plaisir de la pénétration. À son tour, elle caressa les bourses de l’Américain tandis que la main de Rachid se glissait entre ses cuisses.



À quatre pattes tout contre son amie, Agnès sentit la langue de Rachid s’insinuer entre ses fesses qu’il écartait de ses mains. Il allait la sodomiser. Ce n’était pas vraiment sa tasse de thé, elle préférait de beaucoup la pénétration vaginale et de surcroît, la taille de son pénis l’effrayait pour cet exercice alors qu’elle lui procurait beaucoup de plaisir dans la posture classique. Elle réagit :



Rachid s’exécuta, non sans regret, car la croupe somptueuse d’Agnès l’inspirait au plus haut point, mais il respectait son désir. Et à l’instar du couple voisin, il la prit en levrette et les peaux claquèrent à l’unisson. Les deux femmes aimaient à l’évidence cette position, car la pièce s’emplit de leurs onomatopées, leurs exclamations et leurs interjections. Elles se regardaient jouir mutuellement en croisant leur regard et quand Coralie glissa une main entre ses jambes pour saisir les couilles de Mike, Agnès fit de même. Celle-ci eut alors la vision fugitive de leurs repas au self-service où elles étaient très loin d’imaginer qu’elles baiseraient ainsi côte à côte une nuit d’été torride. Coralie regardait les gros seins d’Agnès se balancer entre ses bras et Agnès considérait le visage de Coralie grimaçant de plaisir. Les deux hommes laissaient venir à eux les croupes frémissantes en pétrissant les hanches. C’est alors que Mike déclara :



Sur le moment, les deux femmes ne perçurent pas totalement l’idée de l’Américain. Mais quand le pompier, emballé par la perspective, introduisit sa « Grosse Bite » dans le tréfonds déjà très humide de Coralie, celle-ci ouvrit grand la bouche et les yeux, stupéfaite par cette arrivée massive et impromptue dans son intimité. Un coup d’œil sur le côté la renseigna : son Mike venait de pénétrer Agnès à son tour qui sentit aussi la différence, mais à l’inverse. Les deux femmes se regardèrent, un peu interdites, mais sans pour autant manifester leur désapprobation. Agnès considéra qu’elle était décidément engagée dans une activité sexuelle lui rappelant sa jeunesse et répondit par des coups de cul qui encouragèrent l’Américain.


Celui-ci en profita pour satisfaire un désir latent depuis qu’il avait fait la connaissance d’Agnès, à savoir pétrir ses gros nichons. Tout en limant, il glissa ses mains sous le torse de sa partenaire et empauma ses seins pendants, ce qui ravit leur propriétaire, très sensible en cet endroit. Quant à Coralie, une fois adaptée au madrier qui occupait son antre intime, elle accompagna ses coups de boutoir sans barguigner, encourageant même le pompier de la voix et de la croupe. Elle découvrait le plaisir que peut procurer une « Grosse Bite » pour une femme disposant d’un vagin suffisamment large et comme le dénommé Rachid savait très bien se servir de son atout maître, elle le lui signifia verbalement en termes crus :



Coralie comprenait mieux pourquoi Agnès s’était sublimée dès que le pompier se fut introduit en elle. Il avait sans doute visité virilement des tissus intimes ignorés longtemps jusqu’alors et ne demandant qu’à mener leur propriétaire vers la jouissance. Ce même pompier prenait son panard avec le corps de Coralie, robuste et bien charpenté qui s’agitait devant lui et quand il vit la large croupe imprimer une nouvelle rotation, encore plus accentuée que les précédentes et accompagnée d’une exclamation sonore, ce fut plus fort que lui : il éjacula.


L’Américain ne tarda pas à le suivre, car le contact doux et soyeux des nénés d’Agnès sous ses paumes humides faisait monter son sperme jusqu’à l’embouchure de sa queue. Lorsqu’Agnès creusa les reins, releva la tête, frissonna et exprima son orgasme d’un sonore « ahhh, je jouiiiis », l’autre largua les amarres et se vida en trois coups. Les deux couples en avaient terminé avec leurs ébats improvisés et imprévisibles.




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La complicité d’Agnès et de Coralie sortit renforcée de cette mémorable nuit. La première était reconnaissante à la seconde de l’avoir sortie de sa torpeur et sa transformation physique stupéfia son entourage. Elle maigrit, devint plus sexy et céda plus volontiers à ses dragueurs. Outre le pompier qui continuait à l’honorer de temps à autre, elle céda à un stagiaire amateur de gros seins et de cul joufflu. Elle lui offrait une cravate de notaire et il la sodomisait.


Coralie organisait parfois un trio avec Mike qui avait, lui aussi, conservé la nostalgie des gros nibards. Jusqu’au jour où Agnès rencontra l’homme qu’au fond d’elle-même, elle recherchait : celui qui lui permettrait de rompre avec sa solitude. C’était un technicien en informatique qui la dépanna plusieurs fois à son poste de travail. Il la toucha non au sexe, mais au cœur. Ils dînèrent ensemble, couchèrent ensemble, partirent en vacances ensemble et finirent par se marier. À cinquante et un ans, Agnès en avait fini avec sa brève vie de libertine. Mais elle ne la regretta jamais.