n° 19823 | Fiche technique | 14971 caractères | 14971Temps de lecture estimé : 9 mn | 29/09/20 |
Résumé: Un homme divorcé rencontre sa nouvelle voisine, veuve, puis fait connaissance avec la fille de celle-ci. | ||||
Critères: fh hagé fagée voisins campagne jardin voir caresses intermast préservati pénétratio -occasion | ||||
Auteur : Nesti (Amateur, 70 ans, écrit depuis longtemps) Envoi mini-message |
Je vis dans un village tranquille, dans une vieille ferme rénovée avec près de quatre-vingts ares de terrain, la plupart convertis en prairie et verger. Cependant j’ai consacré plus particulièrement trois ares à ma « chatterie » car, pour mes loisirs, j’élève des chats, plus particulièrement des « maine coon », les plus gros de leur espèce ! Bien entendu les braves chats de gouttière avaient aussi leur place chez moi et plus d’une dizaine de ces petits félins vivaient dans ma propriété. Mon fils de dix-neuf ans aimait bien venir se détendre chez moi, profitant de la vie à la campagne qui le changeait de sa vie en ville où il habitait chez sa mère (nous sommes divorcés) pour poursuivre ses études.
Je n’avais pas de piscine, mais un petit étang, que j’entretenais avec soin, lui permettait, ainsi qu’à ses amis, de profiter des joies de la baignade…
La propriété voisine, longtemps vide, venait d’être rachetée, mais je n’avais pas encore fait la connaissance de mes nouveaux voisins, étant parti à l’étranger pour une grande exposition féline internationale. J’espérais à nouveau remporter le premier prix avec mon mâle magnifique, mais aussi vendre quelques-uns de mes jeunes chats, pour remonter mes finances…
Quand je suis rentré, primé au-delà de mes expériences, plus beau couple reproducteur, trois chatons primés et vendus, une quinzaine de rendez-vous pour des saillies…
J’ai demandé à mon fils si tout s’est bien passé en mon absence, si ses copains et lui ne se sont pas ennuyés à la campagne… Un grand sourire aux lèvres il fit le compte rendu de ces quelques jours et me dit :
Je fis le tour de la chatterie, réinstallais mes champions en quarantaine – faut toujours se méfier – puis rentrai. J’ai appelé mon fils, et lui ai proposé un barbecue au bord de l’étang avec ses ami(e)s sous l’abri… Il acquiesça, heureux de mon retour (dame, il était déchargé des corvées) !
Là mon jeune homme piqua un fard, puis, se ressaisissant, me répondit :
Vers 19 h 30, la cloche de l’entrée retentit, j’allai voir ; c’était notre nouvelle voisine qui arrivait, en jean et tee-shirt. Elle avait des cheveux blonds cendrés, d’une taille assez élancée qui faisait oublier quelques rondeurs et un grand sourire.
J’étais un peu ennuyé, ne sachant quelle attitude prendre… Elle s’en aperçut, me sourit en disant :
Je la menais à l’étang, mon fils et se amis nageaient, prenaient l’apéritif, surveillaient les grillades…
Je la servis, puis la conversation suivit son cours… Je lui ai raconté mon exposition, avec mes succès… Elle m’a dit qu’à la mairie on l’avait prévenue de mon élevage et elle était curieuse de le voir. Les grillades étant à point, nous mangeâmes de bon appétit, arrosant les mets d’un rosé gouleyant…
À la fin du repas, laissant les jeunes seuls, je lui proposai d’aller voir ma chatterie… Elle accepta volontiers et nous nous mîmes en route vers le fond de la propriété. En ce mois de juillet, les nuits étaient longues, et il faisait assez clair… Cependant, peu habituée à marcher sur un sol inégal, elle trébucha et s’accrocha à moi, sa lourde poitrine me frôlant…
Arrivés à la chatterie, j’allumai la lumière pour qu’elle voie mes bêtes, elle en fut étonnée, n’ayant jamais vu des chats aussi grands !
Ne sachant que dire, je lui demandai :
Elle me regarda et j’ai eu l’impression de la voir rougir.
Je ne savais que dire, quand des miaulements sauvages se firent entendre, des chats de gouttière se battaient. Brusquement une de mes femelles « européennes » surgit, la queue déjà relevée puis, mon matou préféré, « Sauvage », arriva, il la renifla et la monta… le coït fut court… et le matou satisfait, s’éloigna… Lisette me regarda, je la regardai :
Je hochai la tête, m’approchai d’elle et l’embrassai, puis tout alla vite, nos vêtements furent enlevés à la hâte. Je la caressai, elle me dit :
Et elle se mit à quatre pattes ! Sans hésiter, je l’enfilai, effectivement elle était mouillée ! Elle ronronna, feula, cria sous mes coups de boutoir, puis se mit à jouir, m’expulsant presque d’elle ! Je la mordillai à la nuque, fis encore quelques va-et-vient puis éjaculai, me vidant en elle… Je sortis de son vagin, m’étendant dans l’herbe auprès d’elle et la caressai…
Je ne savais quoi répondre, me contentant de l’embrasser partout… elle se releva, enfila sa culotte, son jean, mit le tee-shirt et me dit :
Je me rhabillai à mon tour et, l’enlaçant, je l’emmenai vers chez elle. Arrivés à l’étang, nous nous désunîmes, nous nous approchions des jeunes qui s’amusaient encore. J’informai mon fils que j’allais raccompagner la voisine et elle, tout sourire, lui dit que s’il voulait voir la chatte presque grise, il pourrait le faire, mais que sa fille en avait une belle brune…
Nous laissâmes les jeunes gens ensemble, mais j’entendis mon fils qui criait : « caresse-la-lui bien, sa chatte grise… » Mais ceci sera une autre histoire !
J’accompagnais Lisette chez elle, l’embrassant, la pelotant partout. Devant sa porte, je me fis plus tendre encore, je lui pris sa bouche, l’embrassant fougueusement. Mes mains se faisaient pressantes, palpant sa poitrine, ses fesses. Elle me repoussa doucement :
Le lendemain, après avoir soigné mes bêtes, je me douchai et m’habillai un peu mieux qu’un jour ordinaire : un pantalon beige clair, une chemisette et une paire de mocassins au lieu du jean, tee-shirt et baskets habituels. Je fis un saut à la ville voisine pour acheter un bouquet de fleurs. Romantique le bonhomme !
En rentrant, je pris la bouteille de crémant d’Alsace que j’avais mise à rafraîchir puis j’allais – 11 h 30 – sonner à la porte de Lisette. Elle semblait guetter ma venue, car elle m’ouvrit aussitôt ! Un grand sourire éclaira sa figure quand je lui tendis le bouquet :
Et elle m’embrassa sur les deux joues. Puis nos bouches se retrouvèrent, comme la veille et, comme la veille, mes mains partirent en exploration. Lisette était simplement vêtue d’une robe d’été beige, presque de la même couleur que mon pantalon. En la caressant, je sentis ses seins libres sous l’habit, puis, accentuant mes caresses, je me rendis compte que la coquine n’avait pas mis de culotte !
Pour toute réponse elle se serra encore plus contre moi… Je fis deux trois pas en avant, la portant presque et, du pied, repoussai le battant de la porte. Les mains de la belle s’activèrent sur les boutons de ma chemisette, puis sur ceux de mon pantalon, qui tomba à terre. Je l’enjambai, enlevai mon haut puis, d’un geste, fis voler la robe de mon amante. Elle s’agenouilla et enleva mon caleçon.
Le bouquet de fleurs était par terre, la bouteille de crémant, au frais dans le sac isotherme, nous attendait ! Nous nous regardâmes, dans la tenue d’Adam et d’Ève. Mon sexe était à moitié érigé et, chez elle, une légère rougeur, une respiration un peu haletante trahissait son excitation. Elle se baissa, me faisant voir une paire de fesses somptueuses et ramassa sa robe et le bouquet.
Sur la petite table près du canapé, deux flûtes attendaient déjà. Lisette s’installa dans le canapé, ses jambes largement écartées, me faisant voir sa chatte grise, enfin, plutôt d’un blond cendré… où sa fente bâillait déjà ! Je m’empressai d’ouvrir la bouteille, remplis deux coupes et lui en servi une. Elle fit un mouvement brusque et le contenu du verre tomba sur elle ! Elle frissonna et fit remarquer qu’il serait dommage de gâcher cette boisson ! Je ne me le fis pas dire deux fois et, m’agenouillant à côté d’elle, je me mis à la lécher, la sucer sur tout son corps, m’attardant sur ses seins, ses mamelons…
Lisette gémissait, se tortillait… Soudain elle se releva, s’allongea sur le canapé en surélevant son vagin, écartant bien ses jambes et aussi ses grandes lèvres :
Je ne me le fis pas répéter deux fois et versai le liquide pétillant dans son trou. Elle tressauta sous l’effet frais et pétillant du liquide que je m’empressai de laper à grands coups de langue. Après quelques instants de gamahuchage, elle se cambra et jouit en hurlant ! À peine calmée, elle me dit :
Je ne me fis pas prier, enfilai un préservatif et entrepris de la satisfaire. Sa chatte était encore froide et resserrée sous l’effet du crémant, mais au fur et à mesure que je la pilonnai, je sentis son fourreau se réchauffer, s’humidifier davantage.
Elle passa ses jambes autour de mon dos, me faisant encore pénétrer un peu plus. Ses mains me griffaient le dos. J’accélérai la cadence, poussant plus fort encore, je sentis mon sperme qui montait.
Mon amante se cabra encore, essayant de me faire pénétrer encore plus loin, elle eut deux trois spasmes, une plainte jaillit de ses lèvres… Elle s’arc-bouta, jouissant si fort que je faillis en être désarçonné ! Je me sentis éjaculer dans le latex puis me retirai, me couchant à côté d’elle. Nous nous reposâmes, nos sens apaisés.
Tout d’un coup nous entendîmes un bruit de pas se dirigeant vers le salon. Une jeune fille s’encadra dans la porte, sans paraître plus étonnée de nous voir nus.
Lisette ne se démonta pas.
J’embrassai la jeune fille qui jeta un coup d’œil à mon sexe, au repos…
Lisette, toujours nue, se leva, me fit signe de la suivre et appela sa fille.
Caroline pouffa de rire, nous mangeâmes de bon cœur puis la jeune fille s’éclipsa…
L’après-midi s’est poursuivi, plein de tendresse, de rires, de câlins et, presque tout naturellement, le soir, je me suis retrouvé à côté d’elle dans son lit.