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n° 19826Fiche technique13655 caractères13655
Temps de lecture estimé : 8 mn
30/09/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  À 26 ans, toujours puceau, je tente le coup de l'annonce. Je tire un merveilleux numéro.
Critères:  fh fplusag extracon inconnu hépilé fépilée telnet hsoumis fdomine revede voir fellation cunnilingu préservati pénétratio init -initiat
Auteur : Vampa  (Rédacteur de souvenirs)
Celle qui m'initia




C’était il y a dix ans. J’avais vingt-six ans, j’étais arrivé sur Nantes quelques mois plus tôt, pour un nouveau boulot, et j’étais encore puceau. Timidité, manque de confiance en moi, occasions manquées et autres centres d’intérêt, je n’avais jamais conclu.


J’étais juste un gars normal de mon âge, à part ça. Quelques kilos en trop, un intérêt pour les jeux vidéo et le sport, trop de branlette devant du porno gratuit. En arrivant sur Nantes, j’avais trouvé un appartement pas trop loin de mon boulot, mais éloigné du centre et des lieux d’animation. Sans doute un mauvais choix pour espérer rencontrer facilement des gens.


Un soir, je décidai de tenter quelque chose. Je m’inscrivis sur un site de rencontres libertines. Mon annonce était des plus directes et honnêtes :


« Jeune homme, 26 ans, encore puceau, cherche femme pour le dépuceler. Discrétion assurée. »


Je consultais de nombreuses annonces de femmes et de couples dans mes environs, mais n’osais jamais contacter qui que ce soit. Timidité quand tu nous tiens ! Je n’avais même pas osé poster de photos. Je passais quand même la totalité de la soirée à rafraîchir la boîte de réception en espérant un message. Rien.


Quelques jours plus tard, je recevais un message. Je n’osais tout d’abord pas l’ouvrir. Je sentais mon cœur battre à tout rompre. Je cliquai dessus.


« Anabell. 36 ans. Femme seule. Bonjour, ton annonce a attiré mon attention. Est-ce que tu aurais quelques photos ? Voici mon MSN pour discuter un soir si cela te dit. »



Pas de photos non plus sur le profil. Une annonce des plus succinctes. Mais un moyen de contact malgré tout. Je n’avais même pas de MSN, mais je m’empressai d’en créer un, de m’y connecter et de contacter Anabell.


Je découvris une femme mariée, d’origine péruvienne, au sourire ravageur. Je me demandais même ce qui pouvait l’attirer chez moi. Nous avons discuté plusieurs soirs de rang, moi, lui décrivant souvent mes échecs, mais aussi ce que je cherchais. Elle, m’indiquant sa situation. Mariée, elle souhaitait avant tout de la discrétion absolue. Elle travaillait comme infirmière de nuit et sortait souvent avec ses amies, sans son mari, le week-end. Elle me proposa de nous retrouver dans un bar, près de chez moi, le week-end prochain. J’acceptai tout de suite.


Le stress montait toute la semaine. Je faisais le grand ménage chez moi. Je me rasais intégralement le sexe pour la première fois de la vie, demande express d’Anabell. Et une fois venu le vendredi, je comptais les minutes au boulot jusqu’à la débauche. L’excitation était telle que je me branlais en arrivant chez moi. Puis je me préparais à aller au bar.




**********




J’arrivai quinze minutes avant l’heure programmée. J’attendais sur le parking. J’étais fébrile. Je tremblais presque quand mon téléphone vibra. Un message d’Anabell. Je m’attendais, je ne sais pourquoi, à une annulation. Mais non.


« Je suis arrivée sur le parking. On se retrouve où ? »


Je lui renvoyai un message lui indiquant où je m’étais garé, et sortis de la voiture. Elle arriva vers moi. Je n’en croyais pas mes yeux. Elle était plus petite que ce que j’imaginais. Environ 1,60 m. Son teint latin est magnifiquement encadré par une chevelure des plus noires, retenue par un bandeau bariolé. Elle était habillée simplement, d’un jean noir moulant et d’un haut assorti à son bandeau, qui révéla une petite poitrine. Elle sourit en me voyant.


Nous étions tous les deux intimidés et gênés, et nous fîmes une sorte de bise pour nous saluer. Elle me proposa d’aller prendre un verre, et je lui indiquai le bar et la suivis. Voir ainsi ses jambes bien musclées et ses fesses magnifiques me faisait déjà bander. Et rougir.


Il était encore tôt, et le bar était peu rempli. Nous nous dirigeâmes vers le fond, où il y a de petites alcôves. Après un silence un peu embarrassant en attendant nos boissons, elle brisa la glace.



Elle en profita pour glisser rapidement ma main sur mon sexe en érection. Elle la retira en riant. Nous discutons de tout et de rien, en finissant rapidement nos verres.



Je devais avoir un grand sourire aux lèvres en disant ça.

Nous nous levâmes tous les deux. Sur le parking, nous nous suivions et je lui indiquai ma voiture pour qu’elle me suive jusque chez moi.




**********




Après lui avoir fait rapidement le tour du propriétaire de mon T1, je lui proposai de s’asseoir sur le canapé.



Je sortis une bouteille d’apéritif du frigo et nous servis tous les deux un verre. J’étais tétanisé. J’avais une femme magnifique assise près de moi. Nous étions là pour coucher ensemble, mais je ne savais que faire.



Je sortis de mes pensées. Elle réitéra sa demande. Elle se tourna vers moi. Je me penchai vers elle et l’embrassai. J’étais quasi novice sur ce point-là également. Le goût sucré de son gloss me surprit. Mais je me laissai entraîner. Nos langues se mêlèrent furtivement. Je ne savais où mettre mes mains.

C’est elle qui prit en charge la suite. Elle se déplaça vers moi et monta à califourchon sur moi.



J’en profitai pour placer mes mains sur ses seins, pour les caresser à travers le tissu. Son sourire était toujours là. Je voulus l’embrasser. Je passai mes mains derrière elle, l’attirai vers moi. Je descendis vers ses fesses pour les caresser également. Nos corps étaient collés alors que nos langues se mêlaient.


Au bout d’un instant qui me parut une éternité, elle me proposa de déplacer l’action.



Je ne pus que lui obéir. J’étais aux anges. Mais je commençai aussi à être serré.



Je m’exécutai alors qu’elle s’asseyait sur le bord du lit pour retirer ses chaussures et son jean. Elle portait une culotte blanche qui ressortait sur sa peau tannée. Je découvris rapidement qu’elle était assortie à un petit soutien-gorge, alors qu’elle retirait le haut et s’allongeait sur le lit, m’invitant à la rejoindre.



Je ne vis pas comment je pourrais dire non. Je m’allongeai près d’elle, et on reprit notre baiser. Mes mains se firent plus baladeuses, mais restèrent au-dessus de l’étoffe. Je tentai de me glisser sur elle, mais elle me retint.



Allongés côte à côte, elle prit ma main :



Elle dirigea ma main et la glissa sous sa culotte. J’y découvris quelque chose de nouveau, que je ne savais maîtriser. Des fentes, des bosses, de l’humidité. J’essayai de répéter des gestes que j’avais vus mille fois dans les pornos. Glisser mon doigt de haut en bas, trouver l’ouverture.

Elle se cambra et fit glisser sa culotte jusqu’à ses pieds.



Je m’approchai et continuai mes caresses. Elle en profita pour retirer son soutien-gorge. Je n’avais jamais vu de femme totalement nue, en vrai. J’en profitai. Je découvris sa chatte rasée, imberbe. Et ne pus m’empêcher d’y approcher mon visage.


Je voulais y glisser la langue, découvrir son goût. Elle le savait, c’est un de mes désirs les plus forts. D’un regard, elle me permit d’y aller. Et j’y plongeai.

Sans doute maladroitement, mais j’explorai, je goûtai. Ce fut divin, doux, mieux que ce à quoi je m’attendais.



Alors je remontai entre ses cuisses, m’attardais sur ses seins pour les embrasser, pour jouer avec ses tétons. Puis je retournai l’embrasser, mêler nos langues.

J’avais encore mon boxer, qui procurait une fine barrière à mon sexe contre le sien. Je me laissai guider. Elle se défit légèrement de l’étreinte.



Elle fit glisser ses doigts sur le haut de mon pubis, puis sur mes bourses. Enfin, elle le fit aller le long de mon sexe, qui palpite tellement je bandais.



Elle resservit ses doigts autour de mon sexe, et commença à faire des allers-retours.



Je n’arrivais même plus à répondre tellement j’étais ailleurs. Je lui fis oui de la tête.



Elle se pencha vers mon gland luisant et l’enroba de sa langue. Elle joua autour puis l’avala complètement, commençant des va-et-vient qui me firent gémir de plaisir. Elle s’arrêta quelques secondes.



Son traitement dura quelques minutes, pendant lesquelles je ne savais plus vraiment où je me situais. Ces caresses inédites étaient un délice. Je ne voulais pas qu’elles s’arrêtent, mais je voulais aussi découvrir plus. Réexplorer son corps. Elle se redressa avec, encore une fois, son magnifique sourire au visage.



J’avais l’impression d’être son étudiant.



Elle s’allongea sur le dos, à côté de moi. Je crus avoir compris le message. Je sortis un préservatif de la table de nuit, l’enfilai non sans mal, tout tremblant que j’étais.

Elle avait écarté ses jambes. Son sexe m’était offert. Je me dirigeai vers elle, butai contre son sexe, ne sachant où aller. D’une main experte, elle me guida. Je sentis l’entrée se détendre, s’ouvrir, et m’aspirer. J’étais dedans, c’était brûlant.



Je ne pus m’empêcher de rire.



Je commençai des va-et-vient mal coordonnés. Je l’embrassais en même temps. Cette sensation nouvelle me transporta. Mais je fatiguais.



Elle se mit à quatre pattes, me présenta ses fesses.



J’étais à genoux derrière elle. Ses magnifiques fesses en main. Je me laissai guider vers son antre et repris les allers-retours. Mais j’étais à sec.

On s’arrêta et on s’allongea côte à côte.



Je suis obligé de répondre par l’affirmative.



Je fis glisser ma main sur elle.



Elle me guida, mais je ne savais pas si mes caresses la faisaient vraiment jouir. J’eus l’impression de ne pas avoir assuré, mais elle n’en laissa rien paraître. On s’enlaça, s’embrassa, puis il fut l’heure pour elle de repartir.


Elle se rhabilla sous mon regard énamouré. M’embrassa une dernière fois. Puis, sur le palier de la porte, me glissa :



Ce soir-là, j’eus du mal à m’endormir. Je me branlais jusqu’à en avoir mal au poignet, jouis, et repensais à ce qui venait de se passer, repensais à elle, Anabell.