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n° 19830Fiche technique7620 caractères7620
Temps de lecture estimé : 5 mn
02/10/20
Résumé:  Une nuit d'été, une masturbation côte à côte silencieuse
Critères:  h jeunes cousins voir odeurs hmast caresses -mast
Auteur : Centaurspath      Envoi mini-message
Nuit d'été




J’aime les nuits d’été… La fraîcheur – enfin, après une journée si chaude, les sons de la nuit qui sortent dès la fenêtre ouverte : l’appel impérieux de la vie au-dehors.

Je me suis couché tard, après avoir lu longuement dans la grande bibliothèque de la maison familiale.

Cette nuit avait la tessiture particulière de ces moments particuliers, où tout semble plus net, ou chaque mouvement de muscle est ressenti, chaque pas pesé, chaque bouffée d’air semble unique.


Je me couche nu sous un simple drap pour éviter la chaleur. Un de ces draps lourds en coton d’autrefois.

Ulysse, mon cousin, se couche lui aussi quelques minutes après moi. Il a encore traîné tard au-dehors.

Nous partageons cette vieille chambre que nous occupions enfants puis adolescents. Ça nous amuse un peu.

Comme moi, il se déshabille et se couche directement. Il pense probablement que je dors déjà. De mon côté, je ne le détrompe pas. De fait, je suis déjà entre deux eaux. Je ne tarde d’ailleurs pas à m’endormir de ce premier sommeil, qui vous prend par surprise, mais qui vous lâche aussitôt.

Je me réveille d’ailleurs, je pense, quelques minutes plus tard, bouillant et en nage.


Mon drap a glissé et un souffle léger de l’extérieur glisse sur mon corps. Mon sexe est dressé et je ressens chaque filet d’air lui glisser dessus.

C’est comme si tout mon corps était concentré là, entre mes cuisses. Toute mon attention est focalisée sur ma tige, je ne vais pas pouvoir m’endormir facilement.

Sans vraiment y penser, ma main glisse vers mon entrejambe et je laisse glisser un doigt le long de ma hampe… C’est délicieux. Juste un doigt. Je remonte de la base de mes bourses jusque sous le gland, au niveau du frein. Doucement. Chaque millimètre de peau que je touche semble hurler de désir. Mon doigt continue son mouvement… Je sens le corps caverneux de mon sexe gonflé, la peau de mon frein semble tendue à mort.

C’est délicieux …

Mais j’ai envie de prendre ma hampe à même la main et glisser le fourreau de mes doigts tout autour, sentir cet anneau autour de ma couronne – mon gland est assez large et, étant circoncis, il s’ouvre naturellement lorsque je suis bandé. On m’a déjà complimenté à son sujet.


Mais … Je n’ose pas. Ulysse est à côté de moi et même si je pense qu’il ne peut pas me voir, je n’ai pas envie de me faire surprendre comme un ado.


Alors que j’en suis là, coincé entre l’urgence de mon corps et la peur, j’entends un léger bruit dans le lit d’à côté. C’est Ulysse, je crains qu’il ne m’ait entendu. Je reste immobile.


Ulysse a légèrement bougé et j’entends le bruit des draps lorsqu’il se retourne… j’entends chaque son, le plus infime. Même celui de mon cœur qui bat la chamade.

Mais… ce bruit de frottement sur les draps ne s’est pas arrêté et semble continuer… Une main bouge sous ces draps ! Je pense que mon imagination me joue des tours, que je dois être en train de fantasmer… mais non : le bruit continue à côté de moi.

Tout en continuant de faire semblant de dormir, je me retourne vers le lit d’Ulysse et alors je vois que la lune éclaire la chambre plus que je ne l’avais cru, car je vois clairement son lit, les draps et les mouvements qui continuent en dessous.


Le mouvement est lent, doux, continu. Le souffle d’Ulysse est plus fort désormais, ou bien est-ce moi qui me focalise dessus ?

Je vois se dessiner la bosse de ses mains qui semblent monter et descendre sous la toile.


De mon côté, ma main a repris ses va-et-vient sur ma verge. Comme je pointe désormais du côté d’Ulysse, je me retourne encore d’un quart de tour pour cacher ma queue sous mon corps et contre le matelas. La voilà prise entre mon bas-ventre et le drap. C’est délicieux de sentir mon gland contre ma peau.


Le drap qui recouvrait encore mon cousin semble avoir glissé tout seul et je peux alors voir, dans la pâleur de la lune, le corps étendu , nu , offert à la fraîcheur de la nuit.

Il a toujours été beau : fin et musclé, je devine là chacun de ses muscles… Je l’ai toujours trouvé très attirant… mais ce que je vois là est encore plus beau : dans la lumière diaphane de la chambre, je vois se dessiner son sexe, dressé, magnifique pointant vers son visage, mais tellement bandé, tellement dur, qu’il ne repose même pas sur son ventre. On dirait la courbe d’un arc magnifique qui prendrait naissance dans les quelques poils de son bas-ventre.

Lorsque sa main reprend le jeu qu’elle avait commencé sous les draps, j’ai l’impression de voir jusqu’à son fourreau coulisser sur son gland. Je devine même le bruit humide que fait son prépuce lorsqu’il glisse … Comme moi, il doit mouiller abondamment. Ce bruit est délicieux.


De mon côté, je ne peux empêcher mes hanches de se mouvoir et de faire glisser mon sexe contre les draps. Lorsqu’il glisse contre mes abdominaux, je sens avec la fraîcheur du vent nocturne, l’humidité de ma mouille sur ma peau.


Je devine les muscles des fesses de mon cousin qui se tendent et se détendent dans la lumière de la nuit. J’entends désormais clairement les clapotis de son sexe. Il n’a plus la force d’être discret.

Je vois qu’il écarte les cuisses pour laisser pendre ses couilles entre ses jambes pendant que sa main s’active sur sa tige. Les mouvements plus rapides au début sont devenus plus amples et synchrones avec ses mouvements de bassin.


Je me retourne sur le dos et toute la chambre semble s’être emplie d’une odeur de sexe entêtante : cette odeur que laisse le precum quand il coule le long de ma hampe, quand il se mélange avec la sueur et glisse entre les couilles …. tout ce liquide qui vient se perdre dans les replis de mon aine et de mes fesses dégage cette impérieuse odeur d’un désir de mec. S’agit-il de ma seule odeur ? De nos deux parfums mêlés ?

J’ai pris mon sexe à deux mains désormais et je pousse ma tige dans le creux de la main en poussant avec mes hanches, avec cette force et cet élan vital qui semble avoir pris possession de cette nuit.


Le souffle d’Ulysse devient plus perceptible et haletant. Son plaisir ne va pas pouvoir attendre longtemps. Je le vois saisir ses couilles d’une main et continuer de l’autre ses mouvements de va-et-vient.


C’est lorsque mon doigt commence à s’aventurer sur ma rosette que je finis par éclater. De longues giclées sèches et rapides m’inondent jusqu’au visage. Mon sexe palpite. Mon torse est perlé de mon foutre. Il est frais et très liquide : il glisse le long de mon abdomen et mouille les draps.


Comme s’il a senti mon propre plaisir, Ulysse se met à gémir et je vois son sperme voler sur son torse. Les saccades de son sexe sont visibles, même dans la nuit. L’odeur de nos deux jus se mêle dans la chambre, parfum entêtant …


Nous n’avons pas parlé, ni l’un ni l’autre ni n’en avons jamais parlé par la suite. Je pense encore souvent à sa silhouette dessinée par la lune, lorsqu’il s’est ensuite levé pour aller vers la salle de bain. L’espace d’un instant, j’ai cru que nos regards se croisaient. Aurais-je dû le suivre ? Lui parler ? Peut-être ne le saurais-je jamais… Peut-être …