n° 19839 | Fiche technique | 18188 caractères | 18188Temps de lecture estimé : 11 mn | 07/10/20 |
Résumé: Séduction de deux jeunes filles, amies de ma fille. | ||||
Critères: fh hagé hotel caresses intermast fellation cunnilingu préservati fsodo -occasion | ||||
Auteur : Nesti Envoi mini-message |
Aline
Une fois de plus, un mercredi après-midi, c’était mon tour d’accompagner mon fils à son entraînement hebdomadaire. Je m’apprêtais à passer quelques heures d’attente en compagnie d’un bon roman policier dans la cafétéria du club quand, tout à coup, une main posa un café devant moi.
Elle le prit, regarda la couverture. Une jeune femme y dévoilait ses charmes…
Un long silence s’installa. Pour me donner une contenance, je remuai mon café. Aline rigola soudain :
Puis, s’asseyant en face de moi, et me regardant dans les yeux, elle dit :
De surprise, j’ai avalé mon café de travers : bien sûr que j’avais un peu d’expérience !
Je réfléchis un moment puis lui dis :
Aline sortit, je bus un deuxième café puis quittai à mon tour la cafétéria. Dans ma voiture, je vérifiai si j’avais encore des préservatifs dans ma boîte à gants, il y en avait. Je rejoignis Aline sur le parking elle monta dans la voiture et je me dirigeai vers l’hôtel voisin. Avec ma carte bancaire, je pris une chambre. Une dernière fois, je regardai Aline et lui demandai :
Pour toute réponse elle me tendit ses lèvres. Nous rejoignîmes la chambre, Aline était debout, ne sachant que faire. Je la débarrassai de sa veste, enlevai la mienne puis l’embrassai tendrement, longuement, la caressant sur le dos, les fesses…
Doucement, je l’assis sur le lit. Elle portait des brodequins à semelles compensées que je m’empressai de lui enlever, lui embrassant les orteils, Aline frissonna et ôta son pull. Son petit soutien-gorge blanc cachait une paire de petits seins… Je me relevai, me déshabillai rapidement, ne gardant que mon caleçon, sous lequel mon sexe faisait une bosse. Aline rit :
Peu à peu mes caresses allèrent vers son nombril, son ventre, elle ouvrit son pantalon, nous le fîmes coulisser, emmenant au passage sa petite culotte. Une toison frisottée ornait son mont de Vénus. J’y déposai un baiser rapide, puis mes mains remontèrent le long de son corps, l’agaçant, la caressant… Je la redressai pour lui dégrafer son soutien-gorge, ses nichons se dressèrent, ses aréoles roses et ses mamelons étaient tout durs… Aline, à travers mon caleçon, prit ma bite dans ses mains, puis la sortit par la braguette. Elle me regarda puis, d’un coup, posa un baiser sur mon gland. Une respiration forte, puis elle ouvrit sa bouche et engloutit ma queue. Je ne cessais de la caresser, léchant ses mamelons, le creux de ses genoux, son corps maintenant couvert de chair de poule.
Elle s’appliquait dans sa fellation, mais ses dents me mordillaient au passage. Je lui redressai la tête, la couchai sur le lit et continuai, de plus belle, à la caresser, guettant le moindre de ses frissons. Mes mains s’approchèrent de son sexe, traçant des cercles de plus en plus serrés autour de sa toison, elle gémissait, haletait… D’un doigt léger, j’effleurai enfin son clitoris ; elle se cabra, s’ouvrit des deux mains :
Je continuais mes caresses, bandant comme un cerf. Je lui enfilai un doigt, puis deux, dans son vagin détrempé… Aline n’était plus que houle. Puis je me suis couché entre ses cuisses, pour un cunnilingus passionné. J’avais deux doigts dans sa chatte et lui effleurai sa rosette, son petit trou palpitait… J’y enfilai un doigt, elle sursauta et partit pour un orgasme qui semblait ne plus finir. Tout en continuant à la caresser avec la bouche, je fis, nous fîmes glisser mon caleçon. J’attrapai un préservatif, le déroulai et lui demandai de me l’enfiler. Elle le fit tout en me caressant les couilles. Je me couchai sur le dos, l’invitant à me chevaucher. Elle s’enfila lentement, puis commença à se soulever, à redescendre. Sa mouille coulait sur mes cuisses, elle avait les yeux fermés, haletait, disait des mots sans queue ni tête :
Elle s’abattit, fauchée par un orgasme. Je n’avais pas encore joui. Reprenant ses esprits elle me dit :
L’embrassant à pleine bouche, je la couchai sous moi et, la repénétrant, j’entrepris de me mener, à mon tour, au plaisir, tout en la faisant jouir elle aussi. Au bout d’un moment, je sentis mon sperme qui menaçait de jaillir, je serrai les dents, et donnai de violents coups de boutoir à Aline qui, tout à coup, se cabra… un râle sortait de sa bouche et je lâchai enfin ma giclée.
Je sortis de son vagin, enlevai mon préservatif et m’allongeai à côté d’elle. Je nous recouvris du drap puis la caressai doucement, pour lui laisser le temps de se remettre, de retrouver ses esprits… Au bout d’un moment Aline commença à rejouer avec mon sexe.
Je la couchai sur le ventre, la caressant, la saoulant de mots tendres, je lui assouplis la rondelle puis entrepris de lui faire une feuille de rose… Aline jouit une fois de plus. Enfilant une nouvelle capote, je présentai mon sexe à l’entrée de son petit trou.
Je la pistonnais, lui caressais le clitoris, la sentant vibrer sous moi, longuement… Au moment où je ne pouvais plus me retenir, regrettant de n’avoir pu la mener à l’orgasme, celui-ci se déclencha, violemment.
Elle se fit chatte, nous nous reposâmes, prîmes une douche ensemble, puis nous repartîmes chercher les petits…
J’ai revu et baisé Aline de temps en temps, mais je crois qu’elle a vendu la mèche à des copines, car, l’autre soir, Stéphanie m’a dit :
J’attends mercredi…
Stéphanie
La cafétéria du Club Sportif de mon fils est gérée par une association qui s’occupe aussi de l’insertion de jeunes en situation précaire. C’est ainsi que Stéphanie s’est retrouvée derrière le comptoir de la cafète… Petite, mince, cheveux noirs coupés court, elle ressemblait à un garçon, s’il n’y avait deux petites bosses comme des mandarines au niveau de la poitrine.
Petit à petit elle devint l’une des pièces maîtresses de la cafète, son sens de l’organisation, sa débrouillardise et sa bonne humeur perpétuelle lui permirent d’être embauchée. Elle traitait tous ses clients avec cordialité, surtout nous, « les vieux quadras » dont certains la draguaient sans gêne. On ne lui connaissait pas de liaison, de petit ami.
Et maintenant, ce mercredi, c’est moi qui l’attendais… Elle n’était pas dans la cafète, aussi je suis allé dehors pour l’attendre. Mon portable sonna.
Elle me donna l’adresse puis raccrocha.
Je passai à l’hyper du coin chercher deux bouteilles de champagne et achetai un bouquet des fleurs chez le fleuriste. Stéphanie habitait un petit appartement sous les combles d’un vieil immeuble. Je montai l’escalier, frappai et poussai la porte… Stéphanie m’attendait, assise sur un canapé, toute nue… et plus que nue, car son pubis était rasé.
La gamine, c’est ainsi que je l’avais nommée à son arrivée, fluette, petite, presque sans cul et sans seins… Et là, elle me prenait au mot, avec sa chatte de petite fille.
Je m’assis auprès d’elle et l’embrassai, la caressant au passage.
Elle se leva, s’étira et, d’une démarche chaloupée, faisant rouler ses fesses plus que de raison, alla chercher des verres à la commode.
Je m’empressai de me mettre en tenue d’Adam et m’assis à côté d’elle. Je fis sauter le bouchon et emplis les verres, tout en laissant tomber quelques gouttes sur la poitrine et le ventre de Stéph…
Je m’empressai de lécher le liquide glacé sur sa peau si chaude…
Je téléphonai rapidement à ma femme, lui disant qu’un dépannage urgent, qui me prendrait du temps, m’attendait et qu’il fallait qu’elle cherche le gamin…
Elle s’accroupit à mes genoux et m’emboucha, faisant coulisser la peau de mon gland, me caressant les couilles, léchant ma tige, l’aspirant ; je luttais contre la montée du désir, mais mon sperme se pressait… je ne pus me retenir et j’éjaculai par longues saccades dans sa bouche. Stéphanie avala le tout, avec gourmandise. Je lui relevai la tête, la relevai et l’embrassai, mélange de sperme et de salive… Nous nous caressions doucement… ma main droite câlinait son mont de Vénus glabre, lisse…
Mon index commençait à agacer son clitoris, le faisant rouler entre les lèvres de son vagin, Stéphanie mouillait, sa chatte était toute trempée… En même temps je suçais ses seins, faisant durcir les mamelons semblables à des petites cerises… Sa peau se granulait d’une chair de poule tendre… Steph frissonnait, gémissait… Elle caressait mon sexe qui commençait à nouveau à être prêt à l’abordage… Je l’embrassais sur tout le corps, la léchais, la caressais… Je m’attardais sur son nombril, le creux des cuisses, les hanches, le renflement imberbe de sa chatte… Stéph était affolée par ces attouchements, ces frôlements…
Un de mes doigts, inquisiteur, frôla sa fente, écarta ses petites lèvres, son frère dénicha son clitoris et commença à le masser… Mon amante se cabra, elle mouillait, sa chatte s’ouvrit, onctueuse… Je commençai à la lécher, aspirant ses sucs, mordillant son petit bouton. Stéphanie n’était plus que houle, gémissements… des mots sans suite se balbutiaient, se criaient, ses mains se crispaient sur ma tête, comme si je pouvais l’enfoncer davantage entre ses cuisses, pénétrer son sexe… Un doigt, puis deux prirent d’assaut son anus.
Mes doigts étaient le plus loin possible dans son cul, Stéph se raidit s’arqua… un long cri jaillit de sa bouche, elle trembla, puis s’abattit sur le canapé, haletante :
J’entamai un va-et-vient régulier, tranquille… je l’embrassais, nos langues mêlées faisaient l’amour, tout comme nos sexes…
Au bout d’un moment, elle recommença à venir… je ralentis, sortit d’elle, me retournai :
Elle s’empala sur mon sexe et commença sa chevauchée… Je lui caressais les petits seins, les mamelons durs, les fesses… Ma bite se gonflait, j’étais au bord de l’explosion mon sperme jaillit sans que je puisse le retenir… Sur moi, Stéphanie, les yeux fermés, haletante, accélérait encore son rythme puis, comme fauchée, s’abattit sur moi, en un orgasme foudroyant. Un filet de sperme et de mouille coulait de sa chatte, trempant son pubis glabre. Toujours emboîtés, mais ma bite se dégonflant doucement, je la caressais doucement… elle pleurait…
Je la berçai dans mes bras, l’embrassai doucement, tendrement, comme on console un enfant. Malgré ses airs délurés, Stéphanie était encore une petite fille, trop vite grandie… C’est vrai que de la « zone » d‘où elle venait, l’amour tendre ne devait pas être une préoccupation majeure.
Pendant qu’elle parlait, je la berçais, comme on berce un enfant… Pour rompre un peu le présent, trop lourd pour elle, je lui proposai d’ouvrir la deuxième bouteille de champagne. Nous en bûmes un verre. Stéphanie était heureuse, ses yeux brillaient… Blottie contre moi, elle m’embrassait, je la câlinais tendrement, ne négligeant aucune partie de son corps si doux… L’apaisement après les joutes de l’amour, l’abandon de soi-même, le plaisir partagé. Rarement j’avais eu cette sensation, une envie de poursuivre longtemps ces moments…
Une sonnerie intempestive grelotta… Je pris mon portable. La réalité rejoignait le mensonge : un dépannage urgent m’attendait ! La poisse ! Stéphanie me regarda m’habiller en grommelant… Je la serrai une dernière fois contre moi, la couchai sur le canapé et la bordai tendrement. Je sortis de son appartement en fermant la porte avec la clé qu’elle m’avait donnée… Dors bien, « ma gamine », je reviendrai…