n° 19841 | Fiche technique | 8474 caractères | 8474Temps de lecture estimé : 6 mn | 08/10/20 |
Résumé: Un homme, une femme qui se retrouvent dans les méandres de la routine. | ||||
Critères: fh couple fépilée hsoumis cunnilingu bondage journal confession délire -couple | ||||
Auteur : Mrwhite57 Envoi mini-message |
Vendredi soir
Enfin vendredi. En quittant mon bureau, je reçois un SMS de Maude, mon épouse :
Super ça ne fait que la troisième fois ce mois-ci que je vais devoir gérer le repas, la toilette, et le coucher de notre fils tout seul.
Il est vrai que ces derniers mois ont été plutôt calmes dans notre couple suite à l’accouchement et à la reprise d’activité de ma femme. Ce soir-là j’ai donc repris mon rôle de papa. Une fois notre bambin au lit, je me suis rapidement préparé un repas à réchauffer en guise de plateau-repas avec, en guise de dessert/digestif, un verre d’un excellent whisky.
Petit à petit le breuvage faisant effet je commençais à somnoler. Pas assez toutefois pour ne pas entendre la porte de la maison s’ouvrir. Pour marquer mon mécontentement, je ne bougeais pas et gardais les yeux mi-clos. J’entendis le parquet du salon grincer au fur et à mesure que Maude s’approchait. Quand elle fut tout près de moi, j’ouvris les yeux et, faisant mine de l’enguirlander, je commençais :
Impossible de continuer ma phrase quand je m’aperçus qu’elle se tenait devant moi entièrement nue à l’exception d’un porte-jarretelles et de bas.
En effet dans mon pantalon une érection était apparue aussi soudaine que puissante.
Elle entreprit de m’ouvrir mon pantalon tendu. Et dans sortir mon sexe dur comme rarement ces derniers temps. Pendant qu’elle commençait les va-et-vient de ses mains expertes, je laissais courir les miennes sur son corps ou plus justement sur la partie qui m’était accessible. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle se redressa pour m’embrasser et me glisser à l’oreille :
Je n’allais pas me faire prier. Nus tous les deux nous nous sommes dirigés vers la chambre en prenant garde de ne pas réveiller le petit. Une fois sur le lit je me glissai entre ses cuisses gainées de soie et je repris mes caresses.
Ses fesses, son dos ses seins aucune partie de son corps n’était laissée à l’abandon.
Petit à petit, je sentis son bassin avancer à la recherche de l’étreinte. Voulant faire durer un peu plus le plaisir je l’enlaçai afin de nous faire rouler tous les deux comme un seul et d’inverser les rôles.
Une fois au-dessus Maude prit les choses en main et d’un mouvement de hanche elle plaça son minou juste devant mon sexe qui n’attendait que cela. Je n’eus plus qu’à remonter très légèrement ses cuisses pour la pénétrer tellement elle ruisselait de désir.
Nos mouvements lents et sensuels s’accompagnaient de baisers passionnés. Ainsi libérées, mes mains ne restèrent pas inactives et partirent à la conquête de ce fessier qui a toujours été mon point faible chez elle.
Au fur et à mesure que nos mouvements s’accéléraient nos souffles aussi se faisaient plus courts, les mouvements plus désordonnés. Sentant le paroxysme arriver j’accélérai encore une fois, jetant mes dernières forces dans la bataille. Sur une dernière contraction, ma moitié partit dans un orgasme puissant en même temps que moi.
Nous sommes restés longtemps dans cette position dans les bras l’un de l’autre avant de nous décider à nous laisser partir vers des rêves qui seraient de toute façon beaux.
Samedi matin
J’ai toujours eu le sommeil lourd. Une fois endormi, il est difficile de me réveiller. Aussi je ne fusse pas vraiment étonné ce matin-là en me réveillant attaché au lit par les poignets et les chevilles. Encore dans un demi-sommeil j’ouvris doucement les yeux en tournant la tête afin de voir où se trouvait ma charmante moitié, mais ne la voyant pas je dus me résoudre à attendre son retour.
Tout en attendant, je me rappelais la soirée précédente. Ce qui ne manquait pas de me faire retrouver une certaine vigueur. J’étais plongé dans ces souvenirs à tel point que je regrettais d’avoir les mains immobilisées quand la porte de la chambre s’est ouverte sur mon épouse dans le plus simple appareil.
J’allais répondre que je me serais bien levé si je l’avais pu, mais Maud reprit immédiatement :
Elle prit position en bas du lit et la lumière qui filtrait à travers les rideaux pour se poser sur son corps mettait en valeur ses courbes. Ne sachant pas à quelle sauce j’allais être mangé mon désir montait de plus belle. Ma belle dut le remarquer, car elle me rejoignit bientôt sur le lit en s’allongeant à côté de moi. Grâce à quelques caresses sur ma verge gonflée elle s’assura que j’étais bien à deux doigts d’exploser.
Alors que j’allais lui répondre, je me rappelai de sa consigne de silence. Je gardai donc ma réponse pour moi.
Tout en disant cela, elle se positionna en dessus de mon visage de manière à approcher son minou de ma bouche. L’instruction étant on ne peut plus claire j’entrepris cette plaisante besogne du bout de la langue ce qui la fit se rapprocher encore un peu. Malgré ma position qui ne me laissait que peu de mouvement j’arrivais à alterner les coups de langue entre ses lèvres et son petit bouton qui était comme moi bien tendu.
Au premier contact j’avais compris que ma geôlière était à peu près dans le même état d’excitation que moi. À mes baisers sur son intimité elle répondait par de très légers coups de rein qui petit à petit la faisait avancer vers ma bouche. En même temps sa respiration se faisait plus forte, se transformant en soupir.
À ce moment-là, j’étais contraint de respirer par le nez, nos lèvres restant en contact étroit. J’accélérais le rythme progressivement jusqu’à ce que dans le même mouvement elle me saisit la tête pour la plaquer contre son sexe et elle se cambra, laissant échapper un gémissement ne gardant pas de doute sur ce qui venait de se passer. Ce traitement n’avait pas eu pour effet de me calmer, bien au contraire. Je me disais qu’au moins je ne serais pas le seul du couple à prendre mon pied.
Une fois ses esprits repris, Maud redescendit de mon visage et dit :
En disant ces mots, elle se saisit de mon sexe toujours aussi tendu et commença des va-et-vient lents, mais fermes. Je fis de mon mieux pour rallonger ce moment, mais ce n’était pas facile. Au bout de quelques secondes de ce traitement, sentant que je n’en avais plus pour très longtemps, elle s’arrêta et se remit à califourchon sur moi, mais cette fois-ci, au niveau de mon bassin.
De sa main experte, elle positionna mon sexe à l’orée de son antre de plaisir et se laissa doucement glisser de manière à ce que je la remplisse au maximum. Encore une fois elle reprit ses va-et-vient lentement. Dans le même temps, elle laissait sa bouche s’aventurer sur mon corps, déposant çà et là un baiser.
Je sentais son minou petit à petit se resserrer et mon plaisir à son paroxysme quand dans un gémissement étouffé par un baiser je laissai mon plaisir se répandre en elle.