n° 19850 | Fiche technique | 33215 caractères | 33215Temps de lecture estimé : 19 mn | 13/10/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Ces derniers temps, plus d'une fois, j'ai travaillé au noir pour aider diverses connaissances, et parfois des connaissances de connaissances. | ||||
Critères: fh voisins voir exhib odeurs hmast fellation pénétratio -extraconj | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Une histoire plutôt coutumière du genre dont on peut trouver bien des versions ci et là,
à l’image du grand classique qu’est la gentille voisine peu farouche.
Néanmoins, il ne s’agit pas ici de ce thème. Quoique…
Bonne lecture :)
Ces derniers temps, plus d’une fois, j’ai travaillé au noir pour aider diverses connaissances, et parfois des connaissances de connaissances, car le bouche-à-oreille fonctionne plutôt bien quand on sait que vous faites du bon boulot à des prix raisonnables.
Parfois, à mes heures perdues, je songe parfois, non, souvent à Ophélie, la femme de Ludovic. Il y a longtemps, je suis allé au collège avec ce type, sans développer plus d’affinités que ça. Pour être honnête, j’en étais presque venu à l’oublier, c’est dire !
En revanche, je me suis trouvé plein d’affinités avec sa femme quand, bien des années plus tard, je suis allé faire quelques travaux chez mon ex-camarade de collège et que j’ai découvert avec qui il était marié. Si Ludovic a au moins bien réussi quelque chose dans sa vie, c’est Ophélie, sa femme ! Une mignonne brune qui n’est ni trop grande, ni trop petite, avec ce qu’il faut là où il faut, peut-être un peu classique, voire banale pour certains, mais sachant particulièrement se mettre en valeur.
À mes yeux, cette femme a un petit quelque chose de plus.
Dans l’absolu, Ophélie n’est pas un prix de beauté, non. Elle n’est pas un laideron, c’est certain. Mais elle sait s’habiller de façon discrètement sexy. Et même que, parfois, c’est nettement moins discret, surtout quand il y a des hommes bien de leur personne dans les parages. Quelque chose me dit alors qu’elle ne doit pas être toujours très fidèle à son terne mari. À moins qu’elle ne soit juste qu’une allumeuse.
Je ne vais pas vous le cacher : dès la première fois que je l’ai vue, j’ai flashé sur elle. Ça s’est accentué quand j’ai découvert que cette femme n’est pas coincée, qu’elle aime plaisanter et qu’elle rit de bon cœur aux histoires salaces. Ce qui me change agréablement des femmes qui ont traversé ma vie, sans oublier la championne de toutes : mon ex.
Mes anciennes compagnes sont derrière moi, loin derrière, et c’est nettement mieux comme ça !
Je continue : ces derniers temps, je fais divers petits travaux chez Ludovic. Lui, il ne sait rien faire de ses dix doigts, c’est un comptable né avec une calculette dans le cerveau, point barre. J’avoue sans vergogne que je baisse un peu mes tarifs, juste pour avoir le plaisir de croiser sa femme que j’adorerais baiser ! Et comme Ludovic possède un esprit pratique, petit à petit, je suis en train de rénover toute sa maison de la cave au grenier, ou presque.
Je parie qu’il croit que je lui fais une fleur parce que nous nous sommes connus au collège et que nous sommes « copains », mais il se leurre un tantinet. Il est vrai qu’il n’habite pas loin de chez moi, et comme il n’y connaît rien, j’achète soi-disant de la très bonne qualité, et j’empoche la différence en posant de la bonne qualité un peu au-dessus de la moyenne, style clinquant pour en jeter plein la vue. Ça a la couleur du luxe, ça a le goût du luxe, je fais payer un peu moins que le vrai luxe, et Ludovic m’en est reconnaissant, tout le monde est content, mais en réalité, c’est de la pyrite (l’or des fous) et non du vrai or.
Je sais, ce n’est pas très… comment dire… fair-play, ce que je fais là…
Une fois de plus, je suis chez Ludovic en train de bricoler. Souvent, en pareil cas, Ophélie vient nous aider à bricoler un peu ou discuter avec nous. Quand elle est avec nous, je ne me gêne pas pour la mater, du moins, dès que je le peux, et je pense qu’elle s’en doute. D’ailleurs depuis presque deux mois que je viens travailler de temps à autre pour ce couple, j’ai pu constater une certaine évolution dans sa façon de s’habiller quand je suis présent. C’est un petit jeu implicite entre nous.
Ophélie voit bien que je la zieute copieusement, mais elle ne dit rien. Bien souvent, j’ai pu découvrir ce qu’elle portait comme soutien-gorge, quand elle se penchait face à moi. Ou bien j’ai pu contempler sa petite culotte en dentelle ou la ficelle de son string quand elle ramassait quelque chose, le cul curieusement pointé vers moi.
Comme je suis un homme normalement constitué, difficile de rester de marbre, et bien sûr, ma queue grossit fatalement dans ma salopette. Parfois, je n’arrive pas à dissimuler mon état, et je vois un petit sourire satisfait se dessiner sur ses lèvres.
Aujourd’hui, c’est plus torride ! Elle porte une mini-jupe, et plus d’une fois, elle s’est accroupie devant mon nez, me révélant un string rachitique en dentelle qui laisse deviner sa mignonne touffe. Et à chaque fois, ma queue a pris de l’ampleur ! Je suis prêt à parier n’importe quoi qu’elle l’a fait exprès ! En attendant, impossible de me relever, surtout avec son mari dans les parages !
Petite garce, va !
Puis elle s’éloigne. Mais il me faut attendre un certain moment pour me relever afin de ne plus avoir une bosse trop visible devant. Quand je peux enfin être plus présentable, je file directement aux toilettes.
À ma grande surprise, un string traîne nonchalamment sur le porte-serviettes. Intrigué, je m’en saisis pour le porter à mon nez. J’écarquille grands les yeux, une odeur familière et très féminine assaille mon odorat, sans parler d’une certaine légère trace luisante… Si je le pouvais, je me laisserais bien aller à éjaculer dedans, mais je préfère reposer ce string à la même place. Que fait ce truc ici ? Oubli volontaire ou pas ?
Quand je ressors, je croise Ophélie qui me lance d’un air curieux :
Puis, elle s’éloigne en ondulant sur ses belles gambettes galbées. La voyant quitter la pièce, j’en viens sérieusement à me demander si, une fois de plus, elle ne l’a pas fait exprès ! Je n’en mettrais pas ma main à couper, mais pas loin.
Ce soir, Ludovic n’est pas là, il revient chez lui dans une bonne heure. De ce fait, je suis seul avec sa femme. Changement complet d’attitude : Ophélie est très sage, trop sage, avec son pantalon plutôt large et son pull informe qui efface toutes ses courbes. Tout ou rien !
Je présume qu’elle ne veut pas tenter le diable, sachant que son homme est absent. De plus, elle évite soigneusement de se retrouver nez à nez avec moi. Par amusement, je vais jeter un petit coup d’œil dans les toilettes : rien de rien.
Je suis à présent fixé : Madame est une allumeuse qui adore exciter son monde quand son mari est dans les parages !
Je sens que je vais prochainement augmenter mes tarifs !
Ce samedi après-midi, son mari étant présent dans la maison, Ophélie recommence son petit manège avec une jupette plutôt courte et un chemisier assez déboutonné. Ce qui me confirme dans l’idée que la femme de Ludovic est une petite garce dans son genre.
Néanmoins, je la comprends un peu. Ludovic doit être aussi folichon en privé qu’une porte de prison un soir de pluie. Et à trop exciter un homme quand on est une femme seule, on risque des dérapages. En attendant, je profite quand même des quelques charmes qu’elle me laisse entrevoir. Et finalement, c’est plus amusant ainsi.
Cette fois-ci, dans les toilettes, je découvre une petite culotte violette du plus bel effet, tout aussi parfumée, avec la même légère trace luisante. Aussitôt, ça se manifeste dans mon caleçon ! Fichue allumeuse ! Même après m’être soulagé, impossible de revenir à la normale ! Tant pis, je décide de franchir le pas, on verra comment cette exciteuse réagira. Sachant que Ludovic est actuellement à l’étage, je passe ostensiblement devant sa femme, un relief bien évident par-devant. Voyant ceci, elle me sourit coquinement puis lâche :
Puis elle quitte aussitôt la pièce. Oui, c’est bien un petit jeu de chat et de souris. Je décide de passer à autre chose en rejoignant son mari à l’étage, une fois mon excitation dissipée. La salle de bain ne va pas se faire toute seule, surtout connaissant les aptitudes en bricolage de Ludovic, même si l’installation d’une douche à l’italienne n’est pas d’une haute complexité.
Aussitôt, j’imagine Ophélie prendre sa douche, toute nue, pleine de mousse, se frottant lascivement ! À cette vision enchanteresse, il me faut tout mon self-control pour ne pas me trahir ! Cette femme finira par me tuer !
Ce dimanche, la douche installée définitivement, Ophélie et son mari la contemplent longuement. Une fois de plus, elle est en jupette et chemisier, ce qui révèle bien ses gambettes, et la courbe de ses seins dans l’entrebâillement du haut.
Détachant mon regard de cette allumeuse en herbe, je regarde comme eux cette douche à l’italienne. Je suis assez fier de moi, c’est très esthétique, ça donne envie. À la réflexion, il faudra que j’en pose une chez moi, mais en totalement transparente pour pouvoir admirer la prochaine femme mettra un pied dans ma vie.
Soudain, se tournant vers moi, Ludovic demande :
Il se recule un peu, puis dit :
Ludovic rigole franchement, ce qui est assez rare. N’empêche que si ç’avait été ta femme, je serais resté avec joie. Je me dirige vers la porte :
Le laissant seul dans la salle de bain, Ophélie et moi descendons l’escalier. Arrivé presque en bas, je l’entends dire dans mon dos :
Nous arrivons dans la cuisine. Ophélie ouvre le frigo :
Elle reste figée quelques instants, puis je l’entends dire :
Ophélie quitte la cuisine en dandinant ostensiblement du popotin, faisant chalouper allégrement son bassin, ce qui met bien en relief son mignon petit cul aux fesses accueillantes. Décidément, elle sait jouer les allumeuses, et moi, je commence à atteindre mes limites !
Quand elle revient dans la cuisine avec ma boisson, je suis carrément en train de me tripoter, ma queue bien raide sortie de ma salopette. Surprise, elle me lance :
Elle s’adosse au plan de travail :
Debout devant elle, je capture posément ma queue :
Néanmoins, elle ne bouge pas, son regard souvent rivé sur ma verge bien dure. La nature m’a offert un membre vigoureux et nervuré qui s’incline en arc de cercle vers la gauche, ce qui le distingue de bien des autres vits. Qui ne dit mot consent, je commence à m’astiquer sous ses yeux. Sans complexe, elle me regarde faire.
Tout en continuant à me branler, je lui demande :
Qui ne risque rien n’a rien. Je tente :
Elle m’adresse un curieux sourire, puis, à ma grande joie, elle déboutonne son chemisier. Peu après, gardant néanmoins son vêtement, elle révèle un mignon soutien-gorge bleu électrique, une couleur assez peu commune. Comme celui-ci est assez translucide, j’admire ses jolis lolos, ses tétons bien raides et pointus à travers le fin tissu.
Je continue d’admirer ce qu’elle offre à ma vue. Je sens que mon regard sur elle lui plaît. D’ailleurs, elle se tourne un peu vers la droite puis vers la gauche pour mieux me faire contempler ses courbes rondes masquées par le soutien-gorge. Durant ce temps, je continue de me faire du bien. Je surprends plus d’une fois ses coups d’œil vers ma verge bien en forme.
Si Ophélie est dans de bonnes dispositions à mon égard, il serait idiot de ne pas en obtenir un peu plus. Qui ne risque rien n’a rien, alors je suggère :
Je vois bien qu’elle hésite. Elle rétorque :
Me tournant le dos, elle relève lentement sa jupette, me dévoilant petit à petit deux beaux globes blancs encadrés et séparés par un string lui aussi bleu électrique. Ça, c’est du popotin !
À nouveau, je prends mon temps pour contempler ce qu’elle met sous mon regard. Elle possède un beau fessier, ni trop ni pas assez. En parlant de « assez », je tente d’en obtenir un peu plus :
Sa voix devient plus malicieuse :
Elle se retourne, la jupe toujours relevée. Le string est en effet un filet qui enveloppe une touffe plutôt bien fournie. Plus bas, je crois deviner la fente de ses lèvres. De bas en haut, j’admire de jambes attrayantes, d’un petit nid aguichant, un ventre délicatement arrondi, de deux seins appétissants, sans oublier le mignon visage d’Ophélie !
Pour toute réponse, elle fait la moue :
Je suis intrigué par cette réplique pas très enthousiaste :
Tout en continuant de la contempler avidement, ce qui semble beaucoup plaire à Ophélie, je décide d’aborder la chose sous un autre angle d’attaque :
Essayons d’aller encore un peu plus loin. Avec un grand sourire, je lui demande :
Elle hésite, elle tergiverse. Va-t-elle oser franchir le pas ? Dois-je dire quelque chose pour la faire basculer ? Dois-je me taire pour ne pas tout briser ?
Elle regarde fugacement vers la porte puis elle lâche :
Puis en soupirant, elle s’approche lentement de moi, elle prend ensuite ma verge entre ses doigts délicats. Sous son contact, ma queue tressaille un bon coup, je suis même à la limite de tout lâcher. Avec une certaine dextérité, Ophélie fait coulisser la peau sur mon gland, tout en me regardant avec un sourire provocant.
Elle me branle de plus en plus vite, ce qui augmente terriblement mon désir d’éjaculer ! J’imagine déjà mon sperme en train d’éclabousser ses seins, ses lèvres, son visage ! Dans un soupir, je lui propose :
Elle avise une chaise, la rapproche puis s’assied dessus, son visage à hauteur de ma queue qu’elle astique avec conviction. Divers petits détails me font dire que Ophélie doit être assez excitée, comme ses tétons visiblement très tendus, sans oublier son regard luisant.
Elle respire un grand coup, puis elle s’exécute, passant avec gourmandise sa mignonne langue sur ses lèvres rosées. Se prenant au jeu, elle passe et repasse, rendant ses lèvres de plus en plus luisantes. Oui, nous sommes sur la bonne pente, je n’aurais pas pensé aller aussi loin avec elle. Oui, je rêvais bien d’elle la nuit, mais entre fantasmer dans son lit et se faire branler par ses soins dans sa cuisine, il y a une grosse marge !
Pour toute réponse, elle passe la pointe de sa langue sur mon méat déjà un peu suintant. Totalement surpris, je suis à deux doigts de tout lâcher ! Ce serait idiot d’éjaculer maintenant alors qu’Ophélie est en train de me faire une privauté inattendue !
Elle léchouille délicatement mon gland, glisse sur mon frein, tout en me regardant droit dans les yeux. Puis soudain, elle murmure :
Ouvrant la bouche, elle enfourne ma queue, et commence une sucette incroyablement suave. Ou bien cette femme est douée pour les fellations, ou bien les autres femmes que j’ai connues ne l’étaient pas, ou bien je suis carrément en manque, ou bien je suis dingue de cette nana.
Au choix…
Tout se déroule comme dans un rêve, mis à part qu’il faut que je me contrôle, tellement c’est bon ! Elle me pompe avec ferveur, je sens qu’elle ne le fait pas, ayant le couteau sous la gorge. Non, ça lui plaît de faire ça. Durant ce temps, son autre main caresse mes couilles, jouant aussi avec mes boules.
Soudain, elle arrête de me sucer pour me dire :
Je m’exclame :
Elle recommence à me branler :
Quelque chose me dit que ce n’est pas toujours le cas de son mari… Je la regarde s’occuper de mon sexe si gonflé, si raide que ça en fait mal. Après quelques instants, je lui propose :
Elle proteste mollement :
Elle s’assied sur le rebord de la table de cuisine, puis elle se penche en arrière, en appui sur ses coudes. Elle regarde en direction de la porte :
J’aurais pu éjaculer depuis bien longtemps, tellement cette femme m’excite, mais je veux tenter la bascule, c’est-à-dire donner à Ophélie le goût de recommencer, et pour cela, il faut que j’aille un peu plus loin, il faut que je l’excite et que je la comble pour qu’elle veuille y revenir.
Serrant les dents pour me contrôler, je frotte doucement ma tige bien raide sur son string. Pour l’instant, je me contente de faire glisse ma colonne contre ses lèvres, par-dessus le fin filet. Je constate avec plaisir qu’Ophélie semble apprécier cette caresse intime.
Lentement mais sûrement, ma colonne de chair s’en va frotter un peu plus haut, mon mouvement étant de plus en plus ample, allant de ma base à mon gland. Mon but avéré est de venir titiller son clitoris. Voyant qu’elle ne dit rien, je me focalise sur le haut de sa fente, utilisant mon gland pour masser, pour caresser son petit bouton rose à travers le tissu et sa touffe.
Elle ferme les yeux, se mordant les lèvres, signe évident que je suis sur la bonne voie. Il ne me reste plus qu’à espérer que Ludovic ne descendra pas trop vite. Là-haut, l’eau ruisselle, et ici, Ophélie mouille, je reconnais son odeur, celle des strings qu’elle abandonnait négligemment dans les toilettes.
Enivré par l’odeur, j’écarte délicatement la bande avant du string afin de révéler sa belle touffe en plein jour. Ophélie ne bronche pas. Je constate avec plaisir que sa fente est entrouverte et luisante. Je continue ma caresse sur son clitoris devenu nettement plus accessible. Mon gland se charge de plus en plus de cyprine, et ça devient de plus en plus difficile pour moi, mais faisant un gros effort sur moi-même, j’arrive à faire baisser ma tension d’un cran.
Les yeux toujours fermés, la tête renversée, Ophélie gémit un peu…
De plus en plus, mon gland s’égare à l’orée de ses lèvres pour ensuite remonter taquiner, exacerber son petit bouton si sensible. Elle me laisse faire, les yeux toujours clos. Là-haut, l’eau coule toujours, c’est mon jour de chance !
Souhaitant passer à l’étape supérieure, je place mon gland à l’entrée de sa chatte, puis je le pousse un peu vers l’intérieur, sans forcer. Sa respiration s’accélère un peu. Délicatement, je me retire. Puis je recommence, mais cette fois-ci, mon gland disparaît dans sa fente. Sa respiration s’accélère encore un peu plus.
Ophélie garde toujours les yeux fermés, la bouche ouverte, son souffle se fait plus court. Je me retire légèrement pour mieux m’enfoncer plus loin. Elle frémit. Je recommence, une fois, deux fois, trois fois. Je suis à présent en elle, c’est si bon, c’est si chaud ! J’accélère mon pistonnage en elle, son souffle se transforme en gémissements, puis en petits cris étouffés.
Soudain, elle murmure d’une voix rauque :
Nous avons franchi la frontière. À moi de faire en sorte que nous recommencions le plus souvent possible par la suite. Pour cela, il faut que je la fasse jouir. Je sens confusément qu’Ophélie est une chaudasse qui est mal tombée. Si elle est telle que je le devine, devenir son amant officiel sera un pur plaisir pour moi !
Mais en attendant des lendemains enchanteurs, au turbin !
Je caresse ses seins par-dessus le tissu, tandis que je la laboure, lui faisant sentir toute ma longueur. J’alterne les lentes introductions et les va-et-vient rapides. Je lui demande carrément :
Je tentai quelques mots cochons ce qui ne la choqua pas bien au contraire et eut pour effet de l’exciter encore plus. Elle se laisse même aller plusieurs :
Et autres mots qui décuplent mon désir pour elle !
Soudain tandis que je la pistonne vigoureusement, elle se met à trembler, puis elle étouffe tant bien que mal un grand cri de jouissance, enserrant mon bassin de ses jambes, serrant très fort pour m’attirer plus encore en elle. Vibrant, elle est en train d’avoir un puissant orgasme. Puis telle une poupée de chiffon, elle retombe en arrière, anéantie !
Moi aussi, je me laisse aller, j’éjacule de tout mon saoul en elle ! J’ai l’impression de me vider de tout mon sperme présent et à venir, tout mon sang jusqu’à la dernière goutte, de tout mon cerveau jusqu’à mon dernier neurone. Oui, j’ai déjà eu de sacrés orgasmes, mais aujourd’hui, j’ai décroché le gros lot !
Un peu embrumé, je réponds :
Là-haut, l’eau s’est arrêtée de couler. Ophélie bondit sur ses pieds et s’empare d’un rouleau d’essuie-tout afin de nettoyer les dégâts de mon éjaculation. Elle me lance :
En réalité, ce n’est pas tout à fait vrai, car j’ai couché deux fois, mais à chaque fois avec une capote. Et comparativement à aujourd’hui, ce furent plutôt des coups pour l’hygiène…
Je m’approche d’elle, posant mes mains sur ses hanches :
Elle s’étonne :
Je la serre délicatement contre moi :
Je l’embrasse, elle ne refuse pas mon baiser, bien qu’étant un peu passive.
Je sens qu’il est grand temps de ne plus s’attarder. Sur le seuil de sa porte, avant de repartir chez moi dans ma maison devenue trop vide, je me tourne vers elle, lui disant :
Elle me repousse gentiment, pour me chasser de chez elle :
Je suis reparti chez moi, le cœur plein d’allégresse. J’espère qu’Ophélie ne va pas culpabiliser, car avoir comme maîtresse une telle femme, c’est le pied intégral. Ce crétin de Ludovic a déniché Ophélie avant moi, c’est con, c’est totalement con ! La vie est décidément mal faite !
Mais j’espère bien rattraper le temps perdu…