n° 19865 | Fiche technique | 39816 caractères | 39816Temps de lecture estimé : 23 mn | 23/10/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Ça va faire maintenant six ans que je suis avec Cédric, et presque quatre ans que nous sommes en couple. Grosso modo, je me considère comme une femme fidèle, mais je ne déteste pas les flirts un peu poussés. | ||||
Critères: fh copains voiture voir caresses fellation cunnilingu nopéné | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Voici venir une petite histoire plutôt mignonne sans beaucoup de sexe, et avec une moralité un peu tangentielle.
Bonne lecture soft :)
Ça va faire maintenant six ans que je suis avec Cédric, depuis mes dix-neuf ans, et presque quatre ans que nous sommes en couple vivant dans le même appartement. Grosso modo, je me considère comme une femme fidèle, mais je ne déteste pas les flirts un peu poussés. J’aime me savoir désirée et convoitée, même si je me refuse à aller trop loin. Les garçons ne peuvent pas me traiter d’allumeuse, car je mets tout de suite les points sur les i, et je trace fermement les frontières avant de commencer quoi que ce soit.
C’est à prendre ou à laisser.
Je veux bien jouer, mais dans tout jeu, il existe une règle. Si on commence à jouer au Monopoly avec les règles du Mille Bornes ou du Risk, on risque la déroute.
Mon chéri sait comment je suis, et il s’en arrange. Il est vrai que, lui aussi, il aime séduire, mais on ne peut pas dire que ses approches plutôt pataudes soient de franches réussites auprès de la gent féminine ! D’ailleurs, souvent, nous en rions, lui et moi.
Quand nous nous sommes mis en couple, nous nous sommes mis d’accord sur le fait qu’il y a une ligne rouge à ne pas franchir, aussi bien pour lui que pour moi. Ainsi nous savons jusqu’où aller et aussi jusqu’où ne pas aller. Les choses sont claires et nettes.
Pour des raisons de boulot, mon chéri a été envoyé en mission pour un bon mois du côté de Bordeaux, ce qui n’est pas précisément la porte d’à côté pour la Strasbourgeoise que je suis. Ça fait déjà trois semaines que Cédric est loin de moi, et je commence à être en manque.
Chaque soir, Cédric me téléphone rituellement vers vingt heures, après le repas. Parfois, nous nous faisons une petite webcam coquine. Aujourd’hui, mercredi, après les grosses déclarations passionnées, mon chum me dit :
Je lui fais remarquer :
Je proteste :
Oui, je connais bien Daniel. C’est le grand copain d’enfance de Cédric, ils se fréquentent depuis la maternelle, c’est dire ! Ils vivaient dans la même rue, et ils ont fait bien des choses ensemble. Même s’ils ne me l’ont jamais avoué, j’ai cru comprendre qu’ils avaient parfois partagé les mêmes petites copines… Et pas forcément l’un après l’autre, mais en même temps !
Daniel n’est pas moche de sa personne, c’est certain. Il a indéniablement du succès avec les femmes. Moi-même, j’ai parfois flirtouillé avec lui, en tout bien tout honneur. Mais je le trouve trop volage, un vrai cœur d’artichaut ! De ce point de vue, Cédric est beaucoup plus stable et rassurant.
N’empêche que, plusieurs fois, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le même lit, la première fois, ce fut sous une tente en bord de mer. Mais ne sautez pas trop vite aux conclusions. Oui, j’avoue que j’avais bien aimé sentir la verge toute dure de Daniel sur mes fesses à travers le tissu, juste avant que je m’endorme. Une chose que je fais souvent avec mon chéri, et un peu de changement ne fait pas de mal…
Ce matin-là, comme de coutume chez les mecs, les deux hommes avaient la gaule, surtout avec une fille en nuisette à côté d’eux, mais il n’y a eu que mon chum ait eu droit de me faire des privautés. Si j’avais laissé faire Cédric, il m’aurait carrément fait l’amour sous les yeux de son copain ! Je suis une fille assez libérée, soit. Mais quand même pas à ce point !
Ce qui n’a pas empêché Daniel de faire des allusions graveleuses, comme si j’avais vraiment franchi le pas. Bon, on a rigolé avec ça, on s’est bien amusé. Puis, par la suite, cette situation ambiguë s’est reproduite à nouveau.
Parfois, après le départ de Daniel, mon chéri insinuait diverses petites choses :
Assez loin, oui, c’est le moins que je pouvais en dire. Car vu la teneur de certaines de nos conversations, je ne suis pas certaine que la plupart des filles de mon âge en auraient toléré le dixième. Quant à ma grand-mère maternelle, il y a belle lurette qu’elle aurait tiré dans le tas à la chevrotine avec le fusil de chasse de son défunt mari !
Ça va faire deux heures que Daniel est passé me prendre au pied de mon immeuble. Depuis, nous discutons d’un peu de tout et de n’importe quoi. Comme il faut chaud dans sa cabine, j’ai dû enlever mon pull. Je porte actuellement un petit T-shirt assez fin. Ce n’est pas pire que quand nous faisions du camping en plein été, mis à part que ce n’est plus trop la saison en cette fin d’automne.
Soudain, Daniel lâche :
Je n’ai pas trop réalisé que j’étais comme en vitrine. Bah, ce n’est pas grave, je suis certaine que les routiers et les automobilistes que nous avons croisés ne sauraient pas me reconnaître si je les rencontrais ensuite avec un manteau sur le dos.
Le ton employé semble un peu rêveur. Comme je suis assez curieuse, j’en profite pour demander des précisions à mon conducteur :
Je suis assez étonnée de cet aveu, je me sens plutôt flattée :
Amusée, je persifle :
Je fronce un peu des sourcils, mais je ne lui demanderai pas à qui il fait allusion. S’il prononce mon prénom, je serais à la fois flattée et gênée. Mais s’il prononce un autre prénom, je serais à la fois soulagée et vexée. Donc, dans le doute…
La conversation s’engage sur d’autres sujets. Le camion roule encore une bonne flopée de kilomètres, je commence à fatiguer. Me voyant résister au sommeil, Daniel me désigne la couchette située derrière nos sièges :
Je passe derrière mon siège, tirant le rideau qui s’arrête à mi-course. Je me pose au bout de la couchette, derrière le tissu, ce qui n’empêche pas le conducteur de jeter un petit coup d’œil dans ma direction tandis que je me déshabille. Mais il n’en verra pas plus de ce qu’il connaît déjà.
Je m’endors assez vite, bercée par le ronron du moteur.
Plus tard, dans un demi-sommeil, je comprends que le camion vient de s’arrêter, sans doute sur une aire d’autoroute. Peu après, Daniel vient s’allonger délicatement sous la couette à côté de moi. Au trois quarts dans les bras de Morphée, je ne bouge pas. Comme de coutume, il se plaque contre moi. Il a visiblement conservé son caleçon, ce qui n’empêche pas son machin d’être bien dur, le contraire eut été étonnant.
Daniel s’offre le luxe de me faire un fugace bisou sur la joue :
Puis il se plaque encore plus contre moi, comme si j’étais son doudou, la peluche de son enfance, mis à part un assez gros détail situé entre ses jambes. Je recommence à m’endormir. Une main vient saisir mon sein. Ce n’est pas la première fois que ça arrive, Daniel le fait parfois avant de s’endormir, mais cette fois-ci, cette main ne reste pas immobile.
À moitié endormie, je laisse faire, ça lui passera. Mais voilà, les secondes s’écoulent tandis que ces doigts s’agitent toujours, puis une autre main caresse à présent mes hanches. Soudain, Daniel m’embrasse dans le cou. Je réagis violemment, en l’éjectant à moitié de la couchette :
Je remonte la couverture sur moi tandis qu’il s’éloigne, mettant un peu de distance entre nous. Puis il lâche :
Je scrute son visage, il ne semble pas qu’il mente. Je pourrais en avoir le cœur net en téléphonant à Cédric comme il me le propose. Me calmant un peu, je demande :
Plusieurs fois, Cédric m’a parfois demandé si Daniel me plaisait, c’est vrai. Oui, Daniel n’est pas déplaisant comme bonhomme, il est même mieux foutu que mon chum, mais il papillonne un peu trop pour qu’on lui fasse confiance. Je suis déçu, je pensais que Cédric était plus adulte que ça. Je me fâche à moitié :
Je suis ébahie :
Je plisse des yeux :
C’est avec un certain sourire qu’il me répond :
Un certain silence s’installe entre nous. C’est moi qui le brise :
Daniel s’approche un peu de moi :
Maintenant toujours la couverture contre moi, je désigne mon sac resté au sol :
Je m’empare du smartphone qu’il vient de me tendre. Je veux en avoir le cœur net. Tant pis si ça risque de foutre en l’air mon couple. Mais je préfère une situation tranchée dans le vif, même si ça fait mal, à quelque chose de bancal qui suppure et qui se nécrose petit à petit.
Je respire un grand coup puis j’appelle mon homme. Je bascule en mode haut-parleur pour que Daniel entende. Quelques secondes plus tard, la voix de mon homme résonne à mon oreille. Je coupe court :
Un certain silence puis la réponse :
Je remonte un peu la couverture sur mon corps :
Dans son coin, Daniel sourit. Pas de réponse de Cédric, je continue :
Daniel s’approche et lance :
Le routier se penche sur mon smartphone :
J’interviens illico :
Je soupire, puis je me lance :
Cédric affirme un peu plus sa voix :
Il hoche la tête :
Je décide de mettre les pieds dans le plat :
Un certain silence s’installe, puis mon compagnon répond :
Je ne savais pas que mon homme était un peu tordu. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? J’exprime mes doutes :
Assez surprise, je marque une petite pause avant de répondre :
La réponse fuse, spontanée :
Ainsi, mon mec est l’homme d’une seule femme ? Bon à savoir. Je m’amuse :
Je réfléchis à toute allure. J’expose ce que je crois comprendre :
Je plisse quelques instants mes lèvres :
Une porte est devant moi, il me suffit de poser la main sur la poignée pour l’ouvrir…
Je rapproche le smartphone de mes lèvres, puis je prends une voix suave :
Et sans attendre sa réponse, je coupe la communication et aussi mon smartphone. Assez étonné, Daniel me dit :
Assez intrigué par mon ton, il s’exécute. Ceci fait, je laisse alors tomber la couverture qui cachait mes seins, me révélant nue à Daniel. En costume d’Ève, je m’allonge sur la couchette, disant à mon chauffeur :
Je constate qu’il est figé, ne croyant pas à ce qu’il voit, à ce qui semble advenir. Décidément, les hommes sont des grands enfants, il faut tout leur expliquer :
Fébrilement, il s’allonge à son tour sur la couchette, ne sachant pas bien par où commencer. Mais son hésitation est de courte durée. Il m’embrasse d’abord dans le cou, tout en baladant ses mains voraces sur tout mon corps offert. Peu après, ses lèvres visitent avidement le moindre centimètre carré de ma peau, ce qui me procure de doux frissons.
Sa bouche brûlante me dévore, ses mains affamées me caressent voluptueusement, j’adore ça. Peu après, je m’enhardis à caresser la bosse de son caleçon. D’un geste, Daniel révèle sa tige bien raide à l’air libre, je m’en empare pour commencer une douce branlette. Ce n’est pas la même verge que celle de mon homme, mais elle n’est pas mal non plus, ça change agréablement. Je me surprends à penser que ce soit si facile de franchir le pont qui sépare les deux rives…
Doucement sarcastique, je le coupe en pleine énumération :
Je m’amuse de sa réponse :
Tout en continuant de le branler fermement, je m’exclame :
Pour être doux, il me démontre qu’il sait être doux, ce qui m’étonne un peu de lui, je l’aurais cru un peu plus bourrin. Comme quoi qu’on peut se tromper sur les gens qu’on connaît pourtant depuis des années…
Il me câline, il me caresse, il me cajole, il éveille tous mes sens, ma peau frissonne, mon cœur s’emballe comme si j’étais une collégienne en train de vivre son premier baiser ! Non, je ne regrette pas ce qui est en train de m’arriver. J’espère qu’il en sera ainsi tout du long, sans dérapage de la part de Daniel ou de la mienne.
Nous nous donnons beaucoup de plaisir, c’est indéniable. Plusieurs fois, sous la langue nichée entre mes cuisses, je décolle vers le septième ciel, ayant divers orgasmes bien sentis. Je m’étonne moi-même de cette facilité à l’extase. Est-ce le goût de la nouveauté et la saveur de l’interdit qui me font cet effet-là ?
Lui-même éjacule sur mon ventre, sur mes seins, son sperme luisant s’étalant sur moi, dégoulinant un peu. J’adore cette douce chaleur sur ma peau. Je flotte, je suis une autre moi-même. Pourtant, il y a plus romantique que la couchette d’un camion ! Sans doute suis-je subjuguée par le désir qu’a Daniel de moi…
Par deux fois, Daniel éjacule dans ma bouche, une pratique dont je ne suis pourtant pas fan. Au bout d’un certain temps, nous gisons sur la couchette, enlacés, épuisés, vidés. J’aime énormément ces moments de tendresse, de câlin…
Caressant délicatement mon dos et mes fesses, Daniel murmure :
Il me serre un peu plus contre lui, possessivement :
Peu après, Daniel dans mon dos, une main sur mon sein et l’autre sur mon ventre, je m’endors. Ce gros filou bande encore un peu, bien qu’il soit pourtant vidé. Je sens distinctement sa verge entre mes fesses. Deux-trois centimètres plus bas, son gland pourrait venir taquiner ma rondelle…
Je pense que je peux faire confiance à Daniel, et qu’il ne me violera pas durant mon sommeil. Le pire est que je ne sais même pas si je l’empêcherais ou si je le laisserais faire. Mais il ne vaut mieux pas qu’il s’en doute.
Quand je me réveille, le camion est en train de rouler.
Il se met à rire. J’émerge doucement de mon sommeil. Je m’habille sans hâte, puis je m’installe sur le siège passager. Daniel en profite pour poser sa main sur ma cuisse. Je ne dis rien, c’est si naturel et évident…
Peu après, nous nous arrêtons dans une grande aire autoroutière. Une fois le camion arrêté, mon chauffeur se tourne vers moi :
Je le regarde d’un œil soupçonneux :
Main dans la main, nous nous dirigeons vers la cafétéria. Je frissonne un peu, il fait froid, il est un peu plus de six heures du matin. Nous avons en effet l’air d’un couple normal. Quelque part, c’est un peu dérangeant. Daniel se laisse aller en capturant ma taille d’un bras possessif. Je le regarde du coin de l’œil : on dirait un gamin heureux de son tout nouveau jouet ! Durant le trajet sur le parking, j’ai droit à quelques bisous sur la joue et le front.
Tandis que nous déjeunons, j’ai droit à des « ma chérie » prononcés spontanément. Ça me fait quelque chose, je sens que Daniel ne se force absolument pas. Peut-être est-il comme ça avec les autres femmes, mais je sens au fond de moi-même qu’aujourd’hui, il y a une nuance. Et ça me met un peu mal à l’aise, même si j’adore me faire chouchouter comme il est en train de le faire.
Aie, Daniel m’a l’air bien pincé ! Je réponds doucement :
Je mets à rire :
Avant de ressortir, Daniel me coince contre le mur, il capture mes lèvres et m’embrasse voluptueusement. C’est un peu ostensible, mais je ne déteste pas ces marques débordantes d’affection. Il est vrai que c’est la dernière ligne droite et qu’il ne pourra plus me faire ce genre de très gros bisou.
Dans le froid du petit matin, nous remontons dans le camion bien chaud, il reste environ deux heures de route. Daniel se comporte avec moi comme s’il était vraiment mon petit ami. Je ressens toujours ce mélange de satisfaction et de gêne. J’en viens même à me demander fugacement qui de Cédric et de Daniel est l’homme qu’il me faut !
Nous arrivons à l’hôtel où réside Cédric qui nous attend impatiemment sur le parking. La parenthèse avec Daniel se referme. Je vais laisser les deux hommes se débrouiller ensemble. De toute façon, ce sont bien eux qui ont déclenché tout ce chambardement dans ma petite vie bien sage…
J’ai vécu un très bon week-end avec un Cédric aux petits soins pour moi et très amoureux. Au retour, Daniel a été aussi entreprenant et gentleman qu’à l’aller. Inutile de préciser que nous avons fait la même chose au retour que comme à l’aller. La grosse différence fut que ça me semblait aller de soi que je m’abandonne à nouveau dans ses bras.
Depuis ce trajet en camion, deux gros mois se sont écoulés. Je sais que les deux hommes ont souvent causé ensemble de cet épisode. Je ne sais pas ce que Daniel a raconté exactement à Cédric, mais j’ai constaté un certain changement chez mon homme, et en mieux. Cédric s’ouvre un peu plus qu’avant, et m’a réaffirmé que j’étais bien celle avec qui il voulait fonder une famille. Je pense que je vais lui donner satisfaction, mais pas tout de suite.
Parfois, je me laisse aller dans les bras de Daniel, sans toutefois franchir la fameuse ligne rouge.
De temps à autre, Daniel et moi parlons de l’épisode du camion et de ceux d’après. Je vois bien qu’il a le regret que nous ne soyons pas allés plus loin, même s’il n’a pas eu à se plaindre, car je lui laisse faire des choses que même mon homme ne me fait pas ! Pour ma part, je reconnais que je me pose parfois la question. Oui, j’aurais peut-être aimé sentir sa verge bien raide dans ma chatte, qu’il aurait inondée à fond de son sperme bien juteux…
Mais il n’en a pas été ainsi. Je ne sais pas si, finalement, Cédric aurait accepté qu’on aille aussi loin. Il a bien compris que, sur ce coup-là, il avait royalement foiré et que je me suis vengée à ma façon, mais sans toutefois franchir une certaine ligne rouge. Une douce vengeance… Je constate que notre couple s’est renforcé, alors qu’il aurait pu exploser.
J’ai aussi admis que Daniel était sérieux, que je ne semblais pas être une passade pour lui, ce qui est rassurant, mais aussi embarrassant. C’est bien d’être aimée par deux hommes, mais ça a un côté assez inconfortable, le cul entre deux chaises, comme dirait ma grand-mère, celle au fusil de chasse. Je comprends mieux certaines choses, comme aimer sincèrement un homme, vivre avec lui, avoir des enfants avec lui, mais parfois s’envoyer quand même en l’air avec un autre mâle et apprécier s’endormir dans d’autres bras.
Dans la vie, il faut savoir faire des choix.
Même si, un jour peut-être, je mélangerai les genres et les hommes…