n° 19872 | Fiche technique | 17789 caractères | 17789Temps de lecture estimé : 11 mn | 27/10/20 |
Résumé: Apprentissage de la sexualité pour un jeune homme, par la mère de son amie d'enfance. | ||||
Critères: fh fplusag jeunes exhib entreseins facial fellation | ||||
Auteur : Sebas45 (Homme aimant lire et écrire des récits érotique) Envoi mini-message |
Bonjour à tous ! Inscrit sur le site depuis plusieurs années, je me décide à mon tour à me lancer dans l’écriture de récits et de morceaux de vie.
Je me prénomme Seb et j’aimerais vous raconter un moment de ma vie que j’ai vécu et même partagé avec la mère d’une amie.
À l’époque j’avais dix-huit ans, j’étais un jeune homme de 1,73 m, 75 kg, musclé, je pratiquais le sport à haut niveau. J’avais une amie d’enfance, Catherine, du même âge que moi. Nous nous connaissions depuis la petite enfance et lorsque nous manquions l’école, l’un ou l’autre rapportait les devoirs. Il nous arrivait aussi de passer du temps ensemble en dehors de l’école et avec les années nous sommes devenus complices et confidents. Catherine était une jeune femme blonde, un peu ronde, timide et pas tellement féminine, mais naïve.
Elle habitait dans la commune voisine de quelques kilomètres à vélo, ses parents avaient acheté une petite maison sur sous-sol. D’ailleurs la chambre de Catherine était justement au sous-sol, ses parents, Guy et Chantal, lui avaient aménagé une chambre individuelle pour qu’elle soit tranquille et qu’ainsi elle ne partage plus sa chambre avec son frère qui était plus jeune que nous. À côté de sa chambre, il y avait une pièce servant de salle TV et également de buanderie où sa mère faisait son repassage. Donc il m’arrivait parfois de passer la soirée chez eux. Lorsque c’était le cas, je dormais dans cette pièce qui servait de buanderie.
Que je vous décrive Chantal. La maman de Catherine, et aussi mon fantasme, était une femme d’une très grande classe, quarante et un ans, 1,75 m, brune, des yeux verts, un physique à rendre dingue tous les ados du quartier, des fesses rebondies et une cambrure superbe, des seins volumineux et fermes. Elle travaillait dans des bureaux comme chef de service et était toujours habillée avec beaucoup de classe : tailleur jupe, tailleur pantalon ou robe. Toujours maquillée et très sexy. Bref, il me suffisait de la voir pour être tout émoustillé, elle se plaisait à m’appeler son chouchou.
Comme beaucoup d’entre nous, lorsque je dormais chez Catherine, je profitais du moment où je prenais ma douche pour visiter le bac à linge sale qui était devenu la source de mes plus belles surprises et découvertes. La première fois que cela s’est produit, j’allais prendre ma douche, une fois dans la salle de bain, déshabillé, prêt à rentrer dans la douche. Mon regard fut attiré par un bout de tissu rose qui dépassait du bac à linge. Je tirai dessus et me retrouvai avec un tanga dans les mains ; vu la taille, il ne pouvait être qu’à Chantal. Je le regardai et vis quelques traces, les humai et ainsi je sentis pour la première fois l’odeur intime de la belle Chantal. Je ne pus m’empêcher de me caresser avec et me branler dans son tanga rose jusqu’à la jouissance, laissant une copieuse dose de sperme. Ce manège dura pendant un certain temps, du moins à chaque fois que je venais vois Catherine, il m’arrivait même de venir la voir dans la journée pendant nos vacances et je trouvais toujours prétexte pour aller aux toilettes en passant par la salle de bain pour y piquer soit une culotte, soit un tanga, soit un soutien-gorge (d’ailleurs du 100C), même d’être tombé sur des bas, des guêpières, etc., elle avait une très belle lingerie. Je me branlais dans tout ce qui appartenait à Chantal tant elle me rendait dingue. Comme je ne me faisais pas choper, je prenais confiance, je me branlais et laissais toujours un souvenir. J’espérais secrètement qu’elle s’en rendrait compte, mais toujours en redoutant sa réaction. Donc j’appréhendais, quand j’arrivais chez Catherine, de me faire attraper pour une remontée de bretelles. Mais rien.
Un jour où j’étais venu voir mon amie, ne nous rendant pas compte de l’heure, il se faisait tard lorsque Chantal descendit nous voir pour me dire :
Je ne pus que dire oui, mais que je précisai que je n’avais pas de vêtements pour dormir, ni de change. Elle me répond que ce n’est rien, elle trouvera bien un tee-shirt et caleçon à me prêter.
Le dîner terminé, nous descendîmes au sous-sol avec Catherine et nous installâmes dans le grand canapé, qui me servira de couchage pour la nuit, pour regarder la TV. Chantal et le petit frère de Catherine restèrent au rez-de-chaussée pour regarder un autre programme. Arrivée à une heure assez tardive de la soirée, Catherine étant déjà couchée depuis un petit moment, j’étais seul dans le canapé. Je tournai la tête quand je vis une panière de linge propre à portée de main. Je me levai et commençai à fouiller dedans. Vu l’heure je pensais que tout le monde était couché. Je fouillai dans le panier et je reniflai les vêtements et les sous-vêtements de Chantal. Je glissai ma main dans mon short et commençai à me caresser le sexe qui durcit dès qu’il sentit l’odeur de Chantal. Quand soudain une voix qui me fit sursauter, me dit :
Chantal se dressait derrière moi, vêtue d’une chemise de nuit en satin noir qui faisait encore plus ressortir ses formes.
Elle s’approcha de moi, me prit des mains le tissu que je reniflais quelques secondes plus tôt puis elle me plaqua sa culotte sous le nez. Son parfum m’enivra et je sentis mon cœur battre très fort jusque dans mon sexe qui était déjà très dur et je me sentis très serré dans caleçon. Elle retira sa culotte de mon visage, se pencha, déposa un baiser sur mes lèvres, prit ma main et me tira pour me faire monter les escaliers et m’emmener dans sa chambre. Elle ferma la porte par un tour de clé derrière moi, tira sur le nœud de la ceinture de sa robe de chambre qui s’écarta automatiquement pour laisser apparaître une nuisette violette dont la broderie laissait voir sa peau qui sentait si bon et je pouvais voir ses seins si gros. Elle me demanda de m’asseoir au pied du lit, je m’exécutai sans discuter tant j’étais impressionné. Elle glissa ses mains sous sa nuisette, saisit les côtés de son tanga pour le faire glisser jusqu’à ses chevilles, le prit dans sa main droite et vint me le coller sous le nez. Je sentis son intimité toute chaude et le tissu, mouillé de son excitation, et elle me dit :
Puis elle laissa tomber son tanga sur le sol, me prit la main gauche pour l’amener sur son sexe lisse, se pencha pour m’embrasser langoureusement, et nos langues partirent dans une danse folle. Elle se recula pour reprendre son souffle :
Elle saisit mon caleçon par les côtés et le fit glisser jusqu’à mes chevilles, j’étais toujours assis au pied du lit. Elle m’embrassa à nouveau follement et s’agenouilla entre mes cuisses.
Elle la renifla, lui fit des bisous et se mit à la lécher sur sa longueur en me malaxant les couilles. Elle releva la tête pour me regarder, me fixer droit dans les yeux, en même temps, et je vis ma queue disparaître dans sa bouche. Elle avala mes 18 cm sans hoqueter, elle les ressortit, me sourit et reprit sa fellation, tantôt en mode gorge profonde, tantôt en mode succion pour m’aspirer le gland toujours en me massant les couilles. Je ressentais des sensations de dingue et j’étais en train de réaliser mon fantasme, ce qui augmentait mon excitation. Après une dizaine de minutes de ce traitement et je sentais que j’allais exploser.
Je ne pus tenir bien longtemps et je jouis en lui remplissant la bouche, même si quelques jets atterrirent sur son visage, qu’elle s’empressa de retirer avec ses doigts pour ne pas en perdre une goutte. Elle avala tout en ronronnant.
Elle se releva, m’embrassa fougueusement, me fit sentir le goût de mon sperme que je ne trouvai pas désagréable. Elle fit glisser sa robe de chambre sur le sol et fit coulisser les bretelles de sa nuisette pour que celle-ci finisse à ses pieds. Je la voyais nue pour la première fois et mes rêves les plus fous devenaient réalité.
Je m’exécutai, pris un sein dans chaque main pour malaxer chacun sans ménagement et elle aimait ça. Je lui suçais les tétons qui étaient bandés, les mordillais, sa respiration s’accélérait de plus en plus. Je l’entendis couiner. Ma main droite glissa entre ses cuisses pour titiller sa petite chatte, j’humidifiai mes doigts avec sa mouille pour caresser son clito durci. Je la sentais faiblir et ne tenant plus trop sur ses jambes, me serrant contre sa poitrine, elle me tenait ses seins pour que je les suce, pendant que mes doigts se frayaient un chemin dans son conduit d’amour. Où je commençais un léger va-et-vient ce qui la fit couiner en de plus belle en laissant partir de grands jets de cyprine sur le parquet.
Elle s’allongea sur le lit, écarta ses jambes et m’invita à déguster son bouton d’amour. C’était mon premier cunnilingus et elle me guida en me saisissant la tête. Je lui titillai le clito, ce qui eut pour effet de la faire frémir, je suçai son bouton, sa fente et enfonçai trois doigts pour faire des va-et-vient de plus en plus rapides. Puis tout en continuant de la limer sans ménagement, je décidai de descendre et de lui lécher la rondelle.
Je la sentis se raidir, se cambrer, plaquer ma tête contre sa chatte, quand soudain des jets de cyprine atterrirent sur mon visage et me mouillèrent abondamment.
Je remontai le long de son corps, sans oublier de passer par ses seins que je léchai à nouveau et elle me prit dans ses bras avec tendresse comme deux jeunes amants pour m’embrasser langoureusement et ainsi goûter son jus éparpillé sur mon visage. Pendant que nous nous embrassions, elle passa ses jambes autour de mon corps pour serrer mon bassin contre le sien, elle glissa sa main entre nos corps, saisit ma bite, fit quelques va-et-vient, la frotta sur sa chatte et la guida dans sa grotte humide. Alors elle prit mes fesses à pleine main et appuya pour me faire enfoncer ma queue le plus loin possible. Alors je me redressai, elle posa ses chevilles sur mes épaules, je la tins par les chevilles et la limai de plus en plus fort.
Je sortis de sa chatte, me relevai et me positionnai au-dessus d’elle. Chantal prit ma bite et la branla vigoureusement pour faire sortir mon sperme.
Après quelques instants à nous caresser et nous embrasser, je regagnai le sous-sol où je me couchai, la tête pleine d’images coquines et cochonnes.
Après une nuit très courte, le réveil fut dur, car Chantal me ramenait chez moi en partant travailler. Une fois arrivés devant chez moi, elle se gara un peu plus loin que la maison de mes parents, détacha sa ceinture, releva ses fesses et fit glisser son tanga jusqu’à ses chevilles, elle m’embrassa sensuellement, me tendit son tanga et dis :
Je sortis de la voiture, non sans un dernier baiser et je vis la voiture de ma maîtresse s’éloigner avec la hâte de pouvoir la retrouver rapidement et poursuivre mon apprentissage.
Voilà un premier récit, d’un brin de vie, en espérant que cela vous ait plu ? Si c’est le cas, avec vos encouragements, d’autres suivront.
À bientôt peut-être ?