n° 19875 | Fiche technique | 9307 caractères | 9307Temps de lecture estimé : 6 mn | 28/10/20 |
Résumé: Échanges sexuels entre collègues de travail. | ||||
Critères: fhh collègues travail fsoumise noculotte fellation pénétratio double sandwich -occasion -extraconj | ||||
Auteur : Nesti (Amateur, 70 ans, écrit depuis longtemps) Envoi mini-message |
Armelle est une « belle plante ». Quand je fus muté au service maintenance, elle était en congé parental, ce qui fait que nous ne nous connaissions pas quand elle est revenue travailler. Gentille, vive et souriante, elle plaisait à tous les gars du service, suscitant parfois la jalousie chez ses collègues féminines.
Cela se tassa, jusqu’à ce qu’elle se mette à flirter avec Jean-Marie, un de nos techniciens, beau parleur… Leurs regards énamourés, leurs petits « rituels », thé en tête à tête dans notre salle de repos où nous avions l’impression d’être (et nous l’étions) des intrus, etc. Bref, l’ambiance n’était pas à la joie, d’autant plus que Jean-Marie négligeait aussi le suivi de son travail. Les amoureux sont seuls au monde…
Un soir je me suis rendu dans la réserve pour chercher une pièce manquante et j’y ai vu Armelle qui tentait de se saisir de quelque chose sur une étagère un peu plus élevée. Tout le monde était parti, il n’y avait dans le service que mon collègue Pierre, et moi-même qui assurions la permanence et Armelle qui travaillait en horaires décalés. Elle avait sûrement du travail à rattraper, le thé avait, ce jour-là, duré plus d’une heure !
Sur la pointe des pieds; elle s’étirait au maximum et son pull, relevé, laissait voir ses hanches et son ventre dénudés.
Je rentrais dans la réserve.
Et, joignant le geste à la parole, je la pris par la taille et la soulevai.
Elle prit l’objet et je la fis redescendre, la serrant contre moi, elle ne protesta pas. En la lâchant, je frôlais sa poitrine. Elle me regarda et sourit :
Elle me planta là et partit. Le lendemain soir, Pierre était allé manger quand Armelle m’appela pour lui donner un coup de main. Ce jour elle était vêtue d’une jupe ample et de son pull. La pièce à chercher se trouvait une étagère plus haut, aussi je dus la soulever par les fesses. Au mépris de toutes les consignes de sécurité, elle était debout sur le bord de l’étagère et je la maintenais. Palpant un peu, je sentis qu’elle n’avait pas de culotte et je mis une main sous sa jupe. Effectivement elle était nue.
Les pieds sur le plancher, je m’emparai de sa bouche. Elle se laissa faire avec complaisance, ses mains partant à la recherche de ma braguette. Moi-même je la caressais partout, lui soulevant le pull… Elle avait aussi ôté son soutien-gorge, preuve suprême de la préméditation ! Toujours enlacés, elle ouvrit ma braguette et sortit mon sexe déjà en état d’attaque puis descendit mon pantalon. Je lui relevai la jupe et l’assis sur le bureau. Je commençais à lui caresser le sexe, écartant les pétales de son vagin avec mes doigts, Armelle continuait un branle régulier sur ma bite. D’une main je fouillai les poches de ma blouse et sortis un préservatif (prémédité, non ?).
Armelle en défit l’emballage et m’emballa le sexe. Elle se pencha en arrière sur le bureau, écarta les cuisses :
Je la pénétrai d’un coup sec, la faisant sursauter. Contre mon pubis je sentais ses poils trempés. Une houle régulière nous agitait, elle gémissait doucement. Ma bouche mordillait ses tétons, son pull étant relevé jusque sous son menton. Armelle se tendit, un long râle sortit de sa gorge, elle jouit longuement. Je continuais mon pilonnage, et, au bout d’un moment, elle jouit pour la seconde fois, je me relâchai et éjaculai à fond…
Je me retirai de son vagin. « Oh ! » fit-elle en regardant derrière moi ; je me retournai : sur le seuil de la porte, Pierre nous observait. J’embrassai Armelle, la regardai dans les yeux et dis :
Armelle se releva et se mit nue, donnant ainsi son consentement.
Pierre s’approcha d’Armelle, lui caressa les seins et la chatte, puis il dit :
Il sortit de la pièce non sans avoir pris les fesses d’Armelle à deux mains. Restés seuls je la caressais pour entretenir son ardeur… Je lui demandai :
Pierre revint, tout guilleret, torse nu ; il s’approcha de nous et nous nous mîmes à palper, pétrir Armelle sur chaque recoin de son corps. Elle gémissait, disait des mots sans suite, ses mains nous masturbaient. Je me dégageais, me mis à côté de Pierre et dis :
Notre collègue s’agenouilla et entreprit de nous faire une fellation, prenant alternativement chaque bite dans sa bouche. Je rebandais ferme et sentais ma jouissance revenir. Comme j’avais « déjà donné », je m’écartai en suggérant à Armelle de terminer Pierre, ce qu’elle fit avec des mines gourmandes, salivant, ronronnant, lui caressant les couilles… Pendant ce temps j’étalais du papier sur la table de travail. Pierre explosa :
Armelle se releva, je la fis étendre sur la table. Alors commença pour elle un véritable festival de caresses, léchages, suçons et autres agaceries. Pierre et moi nous nous en donnions à cœur joie, festival à 4 mains et deux langues. Ni ses seins, ni son anus, rien ne fut épargné. Armelle coulait littéralement, plus d’un orgasme l’avait déjà fauchée. Avec ses mains elle essayait de nous masturber, nos bites étaient tendues, gonflées. Je relevai Armelle et m’assis sur la table :
Pour moi un vieux fantasme allait se réaliser, pour Pierre aussi, d’ailleurs. Notre amante se mit sur moi, son vagin était mouillé, trempé même. Une fois bien au fond, je la couchai sur moi, exposant le petit trou à la bite de Pierre ; j’écartai les fesses d’Armelle pour faciliter la pénétration. Armelle eut un petit sursaut de rejet, de peur :
Elle poussa juste un petit cri et je sentis, au travers des parois du vagin, un objet dur qui pressait aussi ma bite.
Alors commença un mouvement de houle, un va-et-vient ponctué de gémissements, de râles ; la sueur rendait nos corps moites, les seins d’Armelle se frottaient contre ma poitrine. Je ne pus me retenir longtemps ; au moment où Armelle s’écria « Je jouis, c’est fabuleux » mon sperme jaillit et remplit la capote. Le contact de la bite de Pierre me laissait cependant dans un état d’érection satisfaisant, me permettant de ne pas sortir du trou accueillant où elle se trouvait. Pierre continuait ses va-et-vient, comme un métronome ; sur moi Armelle gémissait de plaisir, la douleur du premier enculage estompée depuis longtemps. Pierre s’écria :
À son tour il jouit et quitta le petit trou de cul, maintenant dilaté. Il retira son préservatif, le montra, plein de foutre, à Armelle en disant :
Armelle se dégagea de moi et se releva lentement, elle s’assit, comme sortant d’un rêve puis des larmes jaillirent :
Nous nous rhabillâmes tous les trois, Armelle nous laissa pour rentrer chez elle, mais nous nous étions déjà promis de recommencer.