n° 19876 | Fiche technique | 18653 caractères | 18653Temps de lecture estimé : 12 mn | 29/10/20 |
Résumé: Deux jeunes découvrent de nouveaux horizons. | ||||
Critères: fh jeunes inconnu fépilée fête jalousie voir noculotte cunnilingu 69 fsodo init -voyeur | ||||
Auteur : Lord of Sitges Envoi mini-message |
Quand j’avais 20 ans, j’avais une copine de tout juste 18 ans, Charlotte, avec qui je sortais depuis déjà 6 mois. Elle me plaisait beaucoup car elle était assez mignonne et enjouée. Je m’amusais pas mal avec elle. Nous n’avions pas couché ensemble à proprement parler. Son credo était un air connu : « Je dois me réserver pour mon futur mari ». Ce n’était pour autant pas totalement chaste. Je pouvais non seulement mettre ma main dans sa culotte autant que je le voulais, mais elle ne se privait pas de faire de même, et de temps en temps elle prenait un vrai plaisir à me sucer la queue sans rechigner à aller jusqu’au bout.
En contrepartie, je lui avais fait découvrir les plaisirs que pouvait lui apporter ma langue entre ses cuisses. Je lui avais même procuré une après-midi complète de jouissances ainsi, sans quitter sa chatte pendant plusieurs heures.
Un jour, nous avions convenu d’aller ensemble à une soirée organisée chez une vague amie d’une connaissance entre Nantes et Saint-Nazaire. Je disposais du permis et de la voiture de ma mère, et j’avais obtenu de ses parents l’autorisation de l’emmener si je ne buvais pas et la ramenais en "parfait état".
Trop content, j’acceptai et nous voilà partis en fin d’après-midi. Le printemps était assez avancé et elle était habillée de saison, à savoir une jolie robe légère avec des dessous de dentelle assez classiques, mais assez efficaces pour que je la sache très belle. Elle avait aussi probablement obtenu le feu vert de sa mère pour se maquiller plus que d’habitude. J’avais ainsi le sentiment d’avoir vieilli de quelques années en un jour et de sortir avec une femme adulte.
La maison de notre hôte était vaste, entourée d’un grand terrain et d’un jardin parfaitement entretenu. Les moyens ne manquaient pas apparemment, pas plus que l’alcool qui coulait à flot. Les invités étaient déjà nombreux, je n’en connaissais que très peu. Qu’à cela ne tienne : Charlotte n’était pas timide et ne se sentait pas tenue par ma promesse sur l’alcool. Elle abordait tout le monde et m’a rapidement entraîné sur la piste de danse avant de visiter les lieux.
Au versant sud de la maison, il y avait une piscine. C’est con, mais je n’y avais pas pensé et nous n’avions pas anticipé que nous pourrions nous baigner.
D’ailleurs, peu d’entre nous ne l’avaient fait, et seuls les initiés avaient leur tenue de bain. Il y avait au final plus de voyeurs, verre à la main, que de plongeurs. Je repérai quand même un grand type, probablement un peu plus âgé que moi d’un ou deux ans, et qui jouait la star. Voix forte, blagues lourdes, très fier de lui et sans complexes. J’ai immédiatement eu du mépris pour lui. Ce mépris était d’autant plus grand que son attitude semblait lui attirer les regards amusés des filles. Lui non plus n’avait apparemment pas prévu de maillot et haranguait les autres pour se baigner nus. Les sourires ne compensaient pas le manque d’enthousiasme pour cette bravade, mais lui commençait à se désaper sous le regard incrédule de l’assistance et en particulier des filles.
Ce fut rapide, mais il est allé jusqu’au bout de sa promesse et a plongé dans le plus simple appareil, rehaussant le niveau de bruit et de chahut dans le bassin. Charlotte riait aussi de son audace et appréciait l’ambiance, ce qui ne manquait pas d’ajouter à mon agacement. Après quelques minutes, il est sorti avec les autres, et a cherché une serviette qu’il n’avait évidemment pas prévue non plus. Le temps qu’une âme charitable le serve j’avais pu noter que le bougre était bien équipé. Poilu, certes, mais surtout membré et de façon épaisse. Je croyais encore avoir une queue dans la moyenne jusque-là. Tout cela m’apparut moins évident.
Je regardais Charlotte. Elle avait le regard fixé dans sa direction. Pas de doute, elle avait relevé la même particularité chez le braillard sans gêne et avait les yeux qui brillaient tant que je décidai de l’éloigner de cette zone dangereuse.
Nous sommes repartis vers le bar et je me suis fait alpaguer par probablement le seul vrai copain que je connaissais là. Nous nous sommes mis à causer de la fac et, je dois bien reconnaître, j’ai eu le tort de me désintéresser de Charlotte qui m’a juste dit qu’elle allait danser un peu.
Environ un quart d’heure plus tard, je la repérai à nouveau sur la piste, dansant visiblement avec le braillard, en tout cas, s’il ne dansait pas, il avait ses mains sur les hanches de ma copine qui lui souriait béatement. C’était ma faute, et je ne me voyais pas de la tirer par le bras au milieu de la foule. J’ai eu le sentiment qu’ils allaient s’embrasser quand j’ai été bousculé par une furie qui titubait en faisant tomber son verre de whisky Coca. Cette conne m’en renverse la moitié dessus et se casse la gueule sur une table basse qui n’avait rien demandé.
Le raffut est tel que malgré la musique, les autre invités s’en inquiètent et m’engagent à la relever. Son œil était chargé, elle relève ses paupières et… me gerbe dessus !
C’est pas vrai ! J’en avais partout. Deux personnes habituées des lieux nous indiquent la salle de bain à l’étage et nous accompagnent pour nous trouver de quoi nous remettre en état. L’abrutie qui m’avait renversé était à moitié dans le coltard et a pris la direction d’une chambre pour dessaouler. Mon copain s’est retrouvé seul à m’aider pour tenter de récupérer mes fringues dans l’eau du lavabo. L’odeur était immonde. J’étais l’exemple de la sobriété et je ressemblais pourtant au pire poivrot du port. Un comble !
Quand je suis redescendu, mon premier souhait fut de retrouver Charlotte, mais la piste évoluait sans elle, ni le salopard qui la reluquait. J’ai erré dans le jardin, près de la piscine et jusqu’à ma voiture, sans succès.
Cela faisait maintenant presque une heure que je n’avais plus vu ma copine, et je me suis résolu à rentrer pour monter dans les étages de la maison poursuivre mes recherches.
Le calme relatif de cette zone interdite me stressait. J’avais la haine et honte en même temps de m’autoriser cette incursion dans une maison qui m’était inconnue. Des gloussements se sont fait entendre et j’ai cessé d’avancer pour tendre l’oreille. Les bruits venaient d’un couloir en face de moi, j’y suis entré à pas de loup avec la conviction que c’était bien la voix étouffée de Charlotte qui me parvenait. La porte était fermée et je vérifiai avant toute chose que je ne me trompais pas. En effet, c’était bien Charlotte, j’en étais sûr, mais elle n’était bien sûr pas seule.
L’autre voix, grave, lui parlait de son joli petit cul et de la douceur de ses seins. Elle, lui décrivait sa surprise de manipuler la plus grosse queue qui lui avait été donnée et confessait son envie de la sucer. Je ne voulais pas le croire. En moins d’une heure, ce type avait mis ma nana dans un pieu et goûtait ses charmes. J’étais en fureur, sans vraiment savoir contre lequel des deux. Lui, que je haïssais déjà ou elle, qui m’avait si vite oublié. Quoiqu’il en soit, je sentais monter une trique terrible à l’idée que ma Charlotte tenait dans sa bouche une bite qui n’était pas la mienne. Cette gaule devenait encore plus dure quand j’ajoutai au tableau la vue de la chatte de ma petite amie offerte aux doigts du gros dégueulasse qui pelotait.
Après quelques minutes de calme, j’ai alors entendu ses gémissements augmenter et, profitant du couloir éteint, j’ai osé lentement baisser la poignée de la porte pour en avoir le cœur net. L’opération a été couronnée de succès et j’entendais maintenant clairement les voix en même temps que la lumière de la lune, entrant par la fenêtre, me permettait d’entrevoir la scène.
Charlotte était en 69 sur lui, je ne voyais que son dos, et lui qui plongeait sa tête entre ses fesses qu’il écartait au maximum. Elle, par ses va-et-vient ne laissait aucun doute sur le fait qu’elle avait la bouche pleine. Lui, tout en se régalant de sa raie, se plaignait d’avoir l’impression de se taper une tarte aux poils plus qu’une chatte sexy.
Ce goujat critiquait la pilosité de ma douce en plus ! Au fond de moi, je partageais son point de vue et je me demandais aussi depuis un moment comment demander à Charlotte de tailler son buisson. J’étais dépassé, trompé, renié, et je repris aussi discrètement que possible le chemin du retour vers le brouhaha.
Au milieu de ces inconnus, j’ai erré un temps incertain, seul dans mon monde et abandonné de la terre. Seul le visage de Charlotte me revenait en tête, et l’image de son joli postérieur léché par un sinistre bellâtre. Le pire, c’est que cette dernière image me faisait bander. Je l’enviais lui, d’avoir réussi si rapidement à la capturer et je l’enviais elle pour sa liberté et sa légèreté.
J’avais besoin d’eux, de les voir, de suivre leur expérience, et je remontai en vitesse pour suivre ce film qui me concernait mais dont je n’étais plus acteur. Arrivé sur le palier de l’étage où je les avais quittés, je repris mon souffle et guettai le moindre son venant de leur chambre. Leur conversation était soutenue et j’ai d’abord pensé qu’ils avaient déjà fini, mais avec plus d’attention, j’ai compris qu’il s’agissait toujours de pilosité.
Mon petit ange s’étonnait de la nouvelle sensation qu’elle éprouvait en touchant sa chatte "de gamine". L’autre avait profité du temps de mon absence pour ôter tous les poils de sa cramouille et il partait maintenant à l’assaut de sa virginité, proposant ses services pour déflorer Charlotte. Mon ventre se noua instantanément. Cela faisait presque deux ans que ma chérie me refusait cette conquête, et je serai mort de honte si elle cédait en moins de deux heures à celui-là.
J’étais tout de même à moitié rassuré qu’elle lui ait résisté jusque-là, mais il avait apparemment anticipé la soirée en apportant des préservatifs, et lui faisait savoir. Il insistait en plaisantant sur le fait que Charlotte était une vraie fontaine et que sa mouille sans ses poils rendait tout son entre-jambe glissant.
Elle devait mouiller, tremper ses cuisses et les doigts de son amant, et cette image, que je ne pouvais malheureusement pas voir, m’excitait excessivement. Il l’a alors couchée sur le dos et s’est allongé sur elle pour sans doute, la forcer à l’accepter. Le ton montait tellement que j’ai craint d’être rejoint par un autre voyeur mais Charlotte résistait encore, pour ma plus grande fierté.
Soudain, j’ai compris dans leur chahut qu’il avait relevé les jambes de ma jolie vierge et avait commencé à placer sa queue en plaidant qu’elle était toute trempée et prête à la pénétrer. Elle, répondait sans faiblesse "Non ! je t’ai dit non. Je ne veux pas que tu me prennes la chatte !"
Tout a basculé quand il a seulement répondu "Bon, ben alors, j’irai par là. " avant que le silence revienne. Je n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait vraiment jusqu’à ce qu’un soupir précède une complainte plus bizarre que les autres. Une sorte de gémissement accompagnée d’une phrase hachée de soupirs.
Trop tard, le pire pour moi se déroulait dans le noir et je ne pouvais rien voir. Mon sang se vidait : elle se faisait enculer.
Je ne voulais pas le croire, mais le rythme de leurs échanges vocaux et les mots utilisés ne laissaient pas vraiment de place à l’erreur. Après l’avoir gentiment traitée de petite salope, il lui a déclaré qu’elle était serrée et lui a demandé de ne pas lutter. De son côté, elle, lui a demandé s’il était rentré entièrement, ce qui n’était évidemment pas le cas.
Leur niveau sonore a augmenté rapidement jusqu’à ce que je craignais arrive. Dans la pénombre, un autre invité est arrivé derrière moi pour jouer les voyeurs. Il a vite pris le film en route et n’a pas eu besoin de sous-titres. Une fille nous a ensuite rejoint alors que la cavalcade de l’enculée et de son sodomite prenait un rythme de croisière.
Sans attendre que cette séance devenue insupportable pour moi s’achève j’ai tourné les talons et suis reparti errer au rez-de-chaussée. Je me disais que Charlotte ne m’avait pas vu et que je l’aimais toujours. J’avais même plus envie d’elle que jamais. Elle m’avait trompé. Elle prenait son pied en se faisant enculer par un inconnu. Elle était peut être devenue une vraie pute, mais je l’aimais plus qu’à notre arrivée.
J’ai alors pris la décision de ne rien dire, de ne rien faire. J’ai simulé être surpris quand elle m’a rejoint un peu plus tard, et qu’elle a prétendu m’avoir cherché partout. Elle a feint d’être fatiguée et de vouloir rentrer et je l’ai laissé partir devant moi vers la voiture.
Visiblement un peu dans un autre monde, elle n’a pas réalisé que les spots de lumière rendaient parfois sa robe un peu transparente. Je voyais comme d’autres probablement qu’elle n’avait plus de culotte et ses fesses étaient un appel au viol.
Je n’en ai bien sûr rien fait et j’ai même poussé le vice à lui ouvrir la porte en vrai gentleman. En s’asseyant, elle n’a pu retenir ni un petit cri de douleur, ni un cri du cœur "Aïe ! J’ai mal au cul. " Réalisant sans doute qu’elle avait dit une connerie, elle s’est empressée de me raconter comment elle s’était cassé la figure dans l’escalier et qu’elle était tombée sur les fesses.
J’ai prétendu gober l’histoire et je l’ai même plainte. Rendus sur l’autoroute elle m’a demandé de m’arrêter pour une envie pressante dans une aire d’autoroute et est sortie avant même que je prétende l’accompagner.
Sous l’éclairage de la station, j’ai vu que le dos de sa robe était tout mouillé. J’ai regardé le siège de la passagère. Il était maculé de ce qui devait être du sperme mélangé à de la mouille. Pas étanche la gamine ! Je finissais presque de m’inquiéter quand elle est revenue à contre-jour des éclairages de la station, et s’est engouffrée dans la voiture. Il est très probable qu’à ce moment-là, elle a retrouvé le contact humide du fauteuil, ce qui a dû la stresser. Elle est restée silencieuse un bon moment. J’ai alors commencé à lui caresser la cuisse comme j’aimais le faire. Sa main a tenté de m’empêcher d’aller trop haut, mais je savais déjà ce que j’y trouverais.
Par surprise j’ai soulevé d’un coup sa jupe sous la ceinture de sécurité et j’ai dévoilé son trésor imberbe et brillant.
Son regard s’est troublé et elle est partie en longs sanglots en me priant de l’excuser. Elle s’est penchée sur moi et m’a agrippé comme si j’allais la jeter par la porte ouverte. Elle a tenté de dire que ce n’était pas sa faute, mais à défaut d’arguments valables elle a prudemment cherché les circonstances atténuantes.
Il m’a fallu ressortir à l’aire suivante, incapable de conduire dans ces conditions en sécurité. Ce n’était cette fois qu’une simple aire de repos et il n’y avait d’autre véhicule qu’un camion sur la partie réservée aux camionneurs.
J’ai alors questionné Charlotte et je l’ai sommée de me raconter ce qui s’était passé. N’ayant pas manqué grand-chose, je connaissais l’histoire, mais l’entendre de sa bouche était source d’une nouvelle bouffée d’excitation. Seule information croustillante nouvelle, la façon dont il s’est occupé de son minou. Elle a prétendu dévier ses avances en acceptant de se faire raccourcir les poils, mais elle n’avait pas imaginé qu’il la rendrait totalement glabre. Il lui avait même fait la raie des fesses et avait déjà, à ce moment-là titillé son anus. Bien que protestant contre ses tentatives, elle avait trouvé cela excitant, ce qui a aidé à la suite. Ainsi, elle était déjà assez détendue du cul quand il a vraiment tenté sa chance.
Son histoire s’achevait par la confiscation de sa culotte et sa contrainte de lui sucer la queue après la sodomie, ce qui l’a révoltée. J’en rajoutai un dose en l’accusant d’être vraiment une pute, une dépravée, une traînée, et j’exigeai de vérifier l’état de sa chatte. Le ton est monté car je voulais qu’elle soulève elle-même sa jupe pour me montrer son intimité. Quand elle a accepté, après au moins cinq minutes d’injonctions, sa moule était ouverte et gluante de mouille. Cette petite salope avait visiblement pris son pied à se faire traiter de tous les noms. Elle mouillait de m’avoir raconté sa soirée de stupre et je voulais qu’elle l’avoue aussi.
Le sang m’a quitté. J’étais donc démasqué. Je n’avais même pas les bonnes cartes en main… Elle m’a pris la tête, l’a pressée contre son bas-ventre et m’a ordonné :
Je l’ai léchée, du clitoris jusqu’au vagin, puis du vagin jusqu’à son petit trou du cul. Je l’ai nettoyée ce soir-là, pour la première fois, mais pas pour la dernière.