Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 19887Fiche technique9090 caractères9090
Temps de lecture estimé : 6 mn
04/11/20
Résumé:  Je pensais savoir faire l'amour, mais Danièle m'a appris le contraire.
Critères:  fh fplusag vacances hotel amour fellation cunnilingu anulingus fsodo init -initiatiq
Auteur : Nesti  (Amateur, 70 ans, écrit depuis longtemps)      Envoi mini-message
Ma professeur d'amour

À Danièle…



Juillet 1976, nous étions quelques amis, de la région parisienne et moi, l’alsacien du groupe, je devais apporter la tente pour passer des vacances à Contrexéville où Patrick, l’un des membres du groupe, allait rejoindre son amie Babeth…


Arrivés au camping, grosse surprise : les piquets de la tente manquaient ! Mon neveu, je l’ai appris plus tard, avait sorti le paquet de ma voiture, car je ne voulais pas l’emmener !

Faisant mauvaise fortune bon cœur, nous nous sommes mis en quête d’un abri pour la nuit, pour chercher les piquets le lendemain !


Patrick s’installa chez Babeth, qui partageait une colocation avec Danièle, mi-trentaine, petite brune un peu ronde qui venait du midi. Gilles et moi nous avons trouvé une chambre.


Le lendemain, départ pour Colmar, Babeth nous accompagnait, mais Danièle avait rendez-vous avec un « vieux beau » qui lui faisait la cour.

Ce fut une partie de rigolade avec la visite de Colmar, une choucroute dans un resto où

j’avais mes habitudes et d’où je téléphonai à mes parents pour annoncer notre venue pour récupérer les piquets !


Nous retournâmes à Contrexéville, puis nous montâmes la tente… Ouf, nous n’étions plus que deux occupants, Patrick préférant rester avec Babeth. Le soir, nous nous retrouvâmes à l’hôtel pour l’apéro, puis le repas, Danièle toujours accompagnée de son compagnon. Après le repas, celui-ci nous proposa d’aller dans une boîte à strip-tease, chose non prévue dans notre budget de vacances. Il fit l’important et, sûrement pour impressionner Danièle, paya les entrées de tout le groupe. Le spectacle fut émoustillant, puis nous nous séparâmes, Danièle partant avec son cavalier. Patrick et Babeth à l’hôtel, Gilles et moi sous la tente…


Le lendemain ces dames étaient aux soins, nous nous sommes promenés dans la ville, repérant les jolies curistes (si, si, il y en avait, mais plutôt plus âgées que nous…). À midi, repas au resto de l’hôtel, nous avons, sur les instances des filles, pris pension là-bas pour les repas, pas trop chers. Patrick et Babeth s’éclipsèrent, Gille annonça qu’il allait faire la sieste et s’éloigna. Danièle me regarda et me dit :



Nous montâmes dans sa chambre, elle m’enlaça… Je la caressais un peu, pétris ses seins… Nous nous déshabillâmes, nous couchâmes sur le lit… Je re caressais ses seins, puis sa chatte peu poilue, puis je la pénétrai. Ah le temps béni où on ne parlait pas encore de MST, Sida ou autres, et où baiser sans capote était le plus courant, ces dames prenant la pilule. Je m’agitai, éjaculai, comme souvent. Je ressortis d’elle, satisfait. Danièle me regarda et demanda :



Je la regardai, ne sachant quoi dire… Elle eut un sourire puis me dit :



Je m’empressai de le faire.



Je voyais sa peau qui commençait à avoir la chair de poule.



Elle respirait d’une façon de plus en plus saccadée :



Je m’exécutai… je sentis sa chatte devenir vraiment humide, pas comme quand je caressais un peu ma partenaire avant de la pénétrer. Danièle gémissait. D’une main, elle attrapa mon sexe, le branlant légèrement.



Je la regardai, un peu étonné.



Devant mon air ahuri, elle prit les choses en main, me guidant sensuellement. Tout d’un coup, elle poussa un cri, se tendit, se cabra presque, puis retomba, ses yeux souriant.



Elle prit mon sexe dans sa bouche et entreprit de me faire une fellation, chose que la plupart des filles ne faisaient pas à l’époque. Une fois soulagé, nous nous regardâmes, nous nous embrassâmes.



Le brave Gilles eut la tente pour lui seul. Enfin seul ? Il fréquentait assidûment une des serveuses de l’hôtel.

Avec Danièle, j’appris beaucoup des choses, essayant même des positions « spéciales ». Elle m’enseigna des figures du kamasoutra, levrette, cavalière, nous fîmes l’amour dans la voiture, la forêt. Elle m’initia aussi à l’art de la sodomie.



Un peu ébahi je répliquai :



Mon sexe était tout dur à l’idée de cette nouvelle expérience. J’enlaçai Danièle, la caressant doucement, lui enlevai un à un ses habits. De son côté, elle me rendit les caresses, je fus vite nu, un short, un slip et un tee-shirt s’enlèvent si facilement !



De caresses en cunni, je la fis jouir. Elle me branlait doucement :



Après une légère résistance, mon doigt pénétra dans son anus.



Je lui léchais l’anus, essayant de pénétrer son petit trou avec ma langue. Le muscle s’assouplissait.



Danièle gémissait, l’intérieur de son anus était mouillé. Elle se mit à quatre pattes, s’agenouilla :



Une légère résistance, mon sexe se tordit.



D’un coup, je me retrouvai englouti dans son derrière. Elle laissa échapper un petit cri quand ma bite la pénétra. La sensation était différente, j’étais enserré dans la chair humide et tiède. Après quelques va-et-vient je ne pus me retenir et mon sperme se répandit dans son cul.



Elle se coucha sur le côté, moi suivant son mouvement. Ma bite se dégonfla et sortit naturellement de son fourreau. Elle saisit un mouchoir, me la nettoya et l’embrassa. Je serrai Danièle dans mes bras, l’embrassai. Nous nous réveillâmes à l’heure de l’apéro, nos amis nous attendaient déjà.


Mon séjour touchait à sa fin, je voulus la revoir, la rejoindre dans le Midi.



Je montai dans la voiture après un dernier baiser sage… mais le cœur gros.

Deux ans après, par Patrick et Babeth, j’ai appris le décès de « mon professeur d’Amour »