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n° 19894Fiche technique55777 caractères55777
Temps de lecture estimé : 33 mn
09/11/20
Résumé:  Nouvelle vie pour un veuf.
Critères:  fh hplusag ascendant fsoumise hdomine voir hmast caresses fellation cunnilingu pénétratio fsodo -enfamille
Auteur : Roy Suffer  (Vieil épicurien)            Envoi mini-message
TGV




J’ai fait toute ma carrière à la SNCF, dans cette digne confrérie des cheminots, oui, les gens qui ont plein d’avantages, qui partent à la retraite à cinquante-cinq ans, qui voyagent gratos… Le pied, quoi ! Des privilégiés. Des privilégiés qui dorment chez eux trois fois par semaine, qui bossent le jour, la nuit, parfois au lever du jour, d’autres au coucher du soleil, par tous les temps. Sans compter les week-ends et les jours de fête. Non, je ne me plains pas, j’ai aimé ça. Le bruit, l’odeur des moteurs électriques, la vitesse, la lutte permanente contre le chrono pour essayer d’arriver dans les temps, le plaisir de juguler cette fabuleuse puissance qui n’a rien de comparable même avec un puissant poids lourd. Il n’y a qu’un pilote d’A480 qui puisse avoir la même sensation, ou un pilote de Formule 1 qui ne roule pas plus vite qu’un TGV et bien moins longtemps.


Bon, mais maintenant c’est du passé, presque un lointain passé. Pourtant, je n’ai pris ma retraite qu’il y a deux ans, mais les trois dernières années je les ai passées sans bouger, bureau, guichet, poste de contrôle… De l’occupationnel pour ne pas me virer, parce que le toubib du travail m’a trouvé dépressif après la mort de ma femme. Trop dangereux de me laisser conduire ces lourds bolides avec des tendances suicidaires, comme le pilote allemand qui s’est crashé par déprime, suicidant je ne sais combien de gens non dépressifs avec lui. Pourtant je n’aurais jamais fait ça, mais ils n’ont pas voulu l’entendre, ou prendre le risque. Pourtant le risque zéro n’existe pas. Alors, quant à traîner dans des activités de merde, la retraite fut bienvenue. Quoique… Quoique se retrouver seul dans la maison où l’on a toujours vécu à deux, qu’on a construite à deux, à trois même quand le petit est né, certains jours c’est dur-dur. Tous les jours, même. Au début les copains passent te voir, on discute, on boit un coup, et puis ils passent moins souvent, puis plus du tout. Et tu tournes en rond en te demandant à quoi sert la vie, t’as plus envie de rien, et en plus la télé est là pour te casser un peu plus le moral en même temps que les couilles.


Il n’y en a qu’une qui passe régulièrement trois fois par semaine, c’est ma petite bru. Une vraie mignonne qui ne rate jamais ni un jour ni une heure. Elle vient le lundi, le mercredi et le vendredi, à dix heures sonnantes. Elle a fait quelques courses que je lui rembourse avec plaisir parce qu’elle me donne toujours les tickets de caisse. Elle est honnête jusqu’au bout des ongles, bonne cuisinière et courageuse avec ça. Mon fiston a bien de la chance. En plus, elle est bien mignonnette : grande, un visage ovale assez fin, un gentil sourire, les cheveux châtains bien coiffés qui lui enveloppent la tête jusqu’à la naissance du cou. Juste une chose, mais ça reste entre nous, je trouve que sa taille n’est pas assez marquée, c’est un peu tout droit de sous les bras jusqu’aux hanches. Ma femme avait une taille très fine, j’aimais bien la prendre par la taille pour la faire valser… On ne peut pas tout avoir, Chloé n’a pas trop de taille, mais d’autres arguments qui la font vite oublier : les rondeurs de sa poitrine et de ses fesses compensent largement ce petit défaut. Elle est au chômage, la pauvrette, pourtant une fille intelligente et qui a fait des études. Elle est préparatrice en pharmacie. Elle a travaillé plusieurs années, et puis sa boutique a fermé. Vous y croyez, vous, à ça ? En dix ans, il y a neuf cents pharmacies qui ont fermé dans ce pays de merde, comme si on n’était plus malades, non, mais… Et la cocotte ne retrouve pas de boulot. Elle espère juste qu’un supermarché du coin va ouvrir un rayon parapharmacie où elle pourrait retrouver du boulot, mais c’est pas gagné.


Heureusement que mon fils a une bonne situation. Devinez où ? À la SNCF, bien sûr, comme papa, il conduit des TGV. Alors la petite Chloé a du temps, et elle vient me faire un peu de ménage et à manger. Je ne sais pas faire la cuisine, je n’ai jamais su et ça ne m’intéresse pas, je n’y peux rien. C’est comme le jardinage, j’ai horreur de ça. C’est pourquoi j’ai fait construire une maison de ville, bien coincée entre deux autres, mais pas loin du parc. Si j’ai envie de verdure, un tour au parc, je profite et c’est d’autres gars qui sont payés pour jardiner que je regarde s’activer depuis mon banc. Alors le lundi, Chloé fait ma lessive et à manger pour deux jours, le mercredi elle fait le ménage et à manger pour deux jours, et le vendredi elle fait le repassage et à manger pour trois jours. C’est long sans elle jusqu’au lundi. Mais quelquefois, ils viennent tous les deux le dimanche, pour les fêtes, les anniversaires. Ils sont vraiment très mignons et ils n’ont que moi, les parents de Chloé se sont tués dans un accident de bagnole. Ah la bagnole ! Prenez donc le train, vous arriverez plus vite et en toute sécurité. Est-ce que j’ai une voiture, moi ? Jamais !


Ils ont bien vu que je déprimais, les petits, alors ils ont décidé ça tout seuls. En fait, je déprimais et je ne mangeais rien. Une boîte de sardines, un paquet de chips, n’importe quoi qui ne se cuisine pas. Même un œuf, je crève de faim en le regardant, mais je ne sais pas quoi en faire. Alors que la petite mignonne me prépare des petits plats prêts à réchauffer dans des casseroles ou dans des plats à mettre au four. Elle écrit des petits post-its : « 10 minutes thermostat 6 ». Ça je peux faire, le temps et le réglage, c’est comme conduire un train. Et ça marche ! Et c’est bon ! Quand elle vient, elle reste déjeuner avec moi, c’est moi qui lui offre, c’est contenu dans notre convention tacite. Et puis elle part quand la lessive est finie, ou quand elle a terminé le ménage. Parfois c’est plus ou moins long selon ce qu’elle entreprend, grand ménage ou juste petit coup d’entretien. C’est agréable, on discute de tout, elle a beaucoup de bon sens, et ça me plaît.


Un jour, elle est arrivée tourmentée, j’ai vu ça tout de suite. Plus pâle, moins souriante, moins causante que d’habitude. Je l’ai un peu questionnée, mais elle a éludé, pourtant ça n’allait pas. Au déjeuner, elle a chipoté, baladant ses aliments avec sa fourchette sans vraiment les manger. Alors je lui ai pris la main et je lui ai dit :



Elle a posé son front sur nos mains et elle a éclaté en sanglots.



Le dimanche suivant, effectivement, ils sont venus tous les deux pour le déjeuner. Chloé avait tout apporté, surtout ce que j’aimais bien : un poulet rôti et de la purée maison, juste à réchauffer. Antoine était nerveux. Nous sommes allés faire une promenade digestive dans le parc, et puis nous nous sommes installés autour de la table de salle à manger pour discuter sérieusement.



Je me lève en regardant au ciel.



Mon épouse s’appelait Maryse. La meilleure de l’année : mon propre fils me colle sa femme dans les bras ! Je n’en reviens pas. Arriver à cinquante-sept ans pour vivre ça…



Je nous sers un apéro et je me prends un whisky bien tassé. Puis je me rassieds pour déballer des choses que je suis seul à connaître.



Ben ça, si je m’attendais. Ils repartirent peut-être un peu déçus, mais… Je n’allais pas non plus sauter sur l’occasion trop belle de baiser ma bru. C’est vrai qu’il faudrait être difficile pour ne pas en avoir envie, surtout à mon âge. Je n’étais pas obligé de leur dire le nombre de fois que je me suis branlé en pensant à elle. Je savais bien qu’il fonctionnait encore, mon engin. Tiens, la dernière fois qu’elle a décroché les rideaux pour les laver, je lui tenais l’escabeau, elle avait peur là-dessus. Le nez au niveau de ses cuisses, à mater sa petite culotte avec sa jupe courte et serrée. Sa fragrance de femme, la chaleur de sa peau qui irradiait mon visage. Quand elle est partie, je me la suis secouée trois fois de suite, fou comme un cerf au mois de septembre. Bien sûr que j’avais envie de la sauter, mais je m’en empêchais depuis si longtemps qu’il fallait m’habituer à l’idée, comme dirait Lætitia (Halliday). Ce ne sera peut-être pas le plus difficile. Et puis je pensais à mon fiston, quel courage pour me demander ça. Rien que pour cela, je me devais au moins de tester mon jus et de lui rendre ce service.


Mais cette conversation m’a fait avancer. Qu’est-ce que je foutais ici à glander à l’année en remâchant ma solitude plutôt que d’aller vivre à Valence avec la petite Jocelyne ? Si elle était toujours libre… Et si elle voulait bien encore de moi… Il faudra que je l’appelle, un jour, après tout ça… J’avais le trac comme un ado de me taper cette grande et belle jeune femme qu’était ma bru. J’ai laissé passer une semaine et puis je lui ai dit :



Elle se déshabilla lentement, en rougissant. Putain, le canon ! Je l’imaginais pas mal foutue, mais pas sublime à ce point…



Elle procède, assez timidement d’abord, visiblement impressionnée par la taille de ma queue, que je ne trouvais pourtant pas spécialement balaise. Les jeunes seraient-ils sous-équipés ? Je dois l’inciter à faire mieux, à y mettre du sien, à utiliser sa langue, sa bouche, ses seins. Petit à petit, elle se lâche. Elle oublie que je suis son beau-père, elle n’est plus qu’en tête à tête avec une belle queue. La petite salope se met alors à me faire une turlute d’enfer. Cette fille a d’énormes potentialités, c’est certain. À exploiter. Au paroxysme de cet ébat, et c’est ce qui déclenche mon orgasme, son minou goutte sur le tapis. Quel bonheur ! Je la préviens, elle débouche le tube et me le colle sur le gland, le coup part en quatre belles reprises. Elle m’a déclenché une belle dose. Elle rebouche et me le tend.



J’obéis, pensant qu’elle allait se rhabiller. Mais non, la mignonne se penche de nouveau et me fait une toilette parfaite de la queue, suçant jusqu’à la dernière goutte. Un vrai potentiel, je vous dis. Puis elle s’habille prestement, me prend le tube des mains et fonce au labo. Une branlette-pipe de cette classe, ça s’arrose, c’est pas tous les jours. Je me tape un bon whisky et je vais me faire une toilette méritée, malgré la bouche gourmande de Chloé. Elle revient une petite heure plus tard, excitée comme une puce sur un teckel.



Dans la chambre où son mari a été conçu, la belle Chloé retire une nouvelle fois ses vêtements. J’attends pour retirer les miens, juste pour mater et profiter pleinement de son effeuillage. Il y a des instants spéciaux dans ce genre d’exercice, des flashes qu’il faut savoir saisir : l’instant précis où la dame détache son soutien-gorge, mettant ses deux mains dans le dos et ainsi projetant sa poitrine vers l’avant. Juste après, c’est foutu, elle baisse les bretelles et pose les bonnets en se courbant en avant, en général. Et ce bref instant, lorsqu’elle pose sa culotte en la faisant glisser sur ses hanches, où le fond prend du retard et reste collé à la chatte humide. Je trouve ça merveilleux. Elle s’étend sur le lit en m’attendant, posée sur le côté, une joue sur sa main portée par le coude. L’ovale parfait de ses hanches se prolonge d’un creux accentué par le torse semi-relevé. La ligne de la colonne dessinait une courbe superbe que le sillon fessier prolonge magnifiquement. Juste au niveau du bassin, deux fossettes encadrent ce tracé parfait, qui va se perdre ensuite entre les cuisses inégalement pliées. J’adore. Mais c’est par-devant que j’attaque, simplement du bout des doigts, suivant ces courbes parfaites comme un peintre le ferait sur une toile vierge. Elle frémit en souriant légèrement.



Enhardi par son compliment, je mets la bouche sur ses seins pointés. Elle se laisse aller sur le dos, je la suis, passant des seins à sa bouche, de sa bouche à son sexe, de son sexe à ses pieds, très jolis, sans veines ni os apparents. Je les prends et me branle avec ses petons, avant d’en sucer les orteils, de couvrir l’intérieur de ses jambes de petits bisous jusqu’à son sexe. Cette fois, je l’attaque à pleine bouche, dévorant, suçant, lapant. Elle mouille à tout va, une cyprine aigrelette et musquée, délicieuse. Tout y passe, même sa petite rondelle plissée et je m’attarde longuement sur son clitoris. Elle respire fort et gémit doucement. Mes doigts rejoignent ma langue pour danser la sarabande dans ses orifices. Ses cuisses sont grandes ouvertes, genoux levés, elle se donne sans restriction. Quand deux de mes doigts font « par ici mignonne » dans son vagin pendant que ma langue fouette son bouton coincé entre mes lèvres, ses longues cuisses se referment violemment et elle s’agite de soubresauts. Je la laisse reprendre son souffle.



Je continue donc à la caresser, à frotter ma peau contre la sienne, si lisse, si douce, si blanche, à aller chercher ses parfums originels dans les creux de ses genoux, de ses coudes et sous ses bras, là où ils ne sont pas pollués par le parfum ou l’eau de toilette. Je lui donne mon sexe à sucer, puisqu’elle le fait si bien, pendant que je m’occupe du sien. Je la laisse à quatre pattes avant de la pénétrer en levrette, profitant de la magnificence de son superbe cul, dilaté par les jambes pliées, superbe fruit où se perd ma queue. Son vagin est assez étroit, mais très humide, je sens rapidement contre mon gland le bourrelet du col de son utérus.



Tiens, elle me tutoie, elle commence à ne plus savoir où elle est. Ça m’excite, je me déchaîne, la bourrant sans délicatesse. Elle gronde et rugit parfois, frappant le plumard de ses poings. Je sors de sa chatte pour mieux y retourner d’un coup de reins, provoquant des pets humides qui me mouillent le ventre et les couilles. Je lui titille tantôt les seins, tantôt le clitoris, parfois j’enfonce mon pouce dans sa rondelle palpitante. Elle tétanise deux fois avant que je ne me laisse aller en elle, déclenchant un troisième orgasme paroxystique. Elle s’écroule sur le lit, je me laisse choir près d’elle, nous sommes trempés de sueur, cheveux collés. Elle souffle comme un phoque, essuie la salive qui coule de ses lèvres, rouge, les yeux injectés de sang.



Oh oui, elle a aimé ça. Chaque jour elle arrive un peu plus pressée de me retrouver et de se faire sauter. Elle se jette à mon cou, fouille ma bouche de sa langue, tandis que mes mains gourmandes pressent déjà ses seins, ses fesses, et explorent sa culotte. Nos corps semblent se reconnaître et déclenchent une urgence absolue de se pénétrer. Il nous arrive fréquemment de baiser derrière la porte à peine refermée, debout, dans une invraisemblable frénésie sexuelle. Je n’ai jamais autant baisé de ma vie. Je vais tout de même voir mon toubib, lui décrivant vaguement la situation, car je crains pour mon vieux cœur. Quoique mourir de cette façon-là paraisse assez sympathique. Il me dit que c’est excellent pour le palpitant. Je lui demande cependant un fortifiant permettant de récupérer plus vite, il croit que j’ai du mal à bander et veut me refiler du Viagra.



Il fouille dans ses placards et me trouve tout de même un petit fascicule décrivant tout ce qu’il faut manger et éviter pour améliorer la quantité et la qualité du sperme, une sorte de régime en somme. Viande rouge, huîtres, bananes, pastèques, amandes, noix, etc., et pas de pain, pas de sucre, pas de sel, et faire du sport ! Un régime de sportif, en gros. Je donne ça à ma cuisinière qui s’empresse de s’y conformer, intéressée au premier chef. Je me remets à faire un peu de vélo, de marche à pied, et à faire quotidiennement quelques pompes. C’est inouï comme le corps est capable de s’adapter.


Le premier jour, on s’écroule à la troisième pompe, le lendemain on en fait cinq et dix à la fin de la semaine. Pareil pour la marche : la première fois que j’ai fait tout le tour du parc, j’étais crevé. Depuis, j’ai acheté un short et des baskets et j’en fais trois fois le tour en courant. Je me sens rajeunir, maigrir, durcir en moins d’un mois. En plus, baiser à l’envie une jolie jeune femme, ça vous donne des ailes et un super moral. Ma déprime est vraiment très lointaine. Parfois, nos ébats s’interrompent, les week-ends qu’elle passe avec Antoine, et puis ses règles qui sont toujours là. Aubaine, il faut continuer, même si nous perdons un peu l’objectif final au profit du seul plaisir. Cependant, cette forme revenue me donne l’envie d’appeler Jocelyne. Elle est bien surprise.



Mais l’affaire ne se termine pas. Quand j’ai Chloé dans les bras, je ne pense plus à Jocelyne, évidemment. Désormais, juste pour me faire plaisir et pour m’exciter, elle accepte de rester nue pour vaquer à mon ménage. Je lui ai même demandé de porter de hauts talons, juste pour un côté pratique : quand je la baise debout, je ne suis plus obligé de plier les jambes, c’est moins pénible pour mes vieilles cuisses. Mais futé comme je suis devenu, probable que je ne l’aurais même plus senti. Peu importe, ça allonge encore sa silhouette, ça fait ressortir un peu plus ses fesses et ses seins et c’est très joli. Jouer avec elle me rend fou. On se poursuit dans le couloir comme des gamins et je la baise n’importe où : dans l’escalier, sous la douche, sur le canapé, la table de salle à manger, de la cuisine. Quand elle est aux toilettes, j’aime la regarder pisser, ça m’excite, et je lui donne ma queue à sucer. J’adore m’asseoir dans la cuisine et la regarder préparer le repas ou faire la vaisselle, le ventre protégé par un petit tablier laissant libre accès à ses fesses. Je la mate intensément, elle le sait, elle le sent, elle aime ça.



Et elle vient, se couche sur le dos, levant ses grandes jambes en l’air, l’intérieur de ses cuisses fuselées plein de coulures de mouille, plaçant sa chatte béante juste sous mon nez. Je lape son nectar avec avidité, laissant ma langue errer de sa rosette à son bouton. Elle tressaille, ronronne, cramponne le bord de la table. Sa cyprine coulant plus fort fait un petit filet ruisselant droit sur la cuvette de son anus. Je profite de l’aubaine pour y enfoncer un puis deux doigts bien lubrifiés.



Je cours à ma chambre. Dans la table de nuit, il y a encore des flacons de lubrifiant essayé quelques années auparavant avec Maryse. J’en prends un, au toucher ça semble être encore efficace. Je lui fais prendre ses genoux dans les mains pour bien relever le bassin vers le plafond, j’ouvre son trou de balle avec deux doigts et y verse le liquide visqueux.



Ma bite bien huilée également, la chose se passe beaucoup plus facilement que prévu, comme quoi ce gel est toujours bon. En une poussée je marque l’essai entre les poteaux. Elle fait un peu la grimace, mais ne braille pas comme supposé. Dès que j’active mon pouce sur son clito en lui intimant l’ordre de s’occuper de ses seins, elle passe en mode « jouissance en cours, ne pas déranger ». Le plaisir est inédit pour moi comme pour elle. Chaque passage de mon pouce faisant rouler son clitoris provoque une contraction de son anneau, fantastique massage qui bloque le sang dans mon gland. J’ai l’impression de bander comme jamais.



Elle n’est pas bien longue à déclencher un orgasme interminable, me laissant sur le bord de la route, un brin frustré. Alors je la fais relever et se retourner en appui sur la table, et je la pénètre à nouveau, bien décidé à lui inonder le boyau. Inexorablement, la table avance sous mes coups de reins, jusqu’à se caler contre l’évier. Je termine par une violente ruée en lui claquant les fesses assez rudement. Orgasme partagé cette fois. Elle pète des bulles, laminée, épuisée. Nous allons sous la douche ensemble, malgré l’étroitesse de la cabine. Mais son joli corps couvert de gel est savoureux contre le mien et nos baisers interminables.



Elle me fait l’amour avec l’énergie du désespoir, je dois dire que moi aussi, un peu. Dès qu’elle est partie, je me dis que ça ne pouvait pas durer, pour moi comme pour elle. Si elle venait toujours pour m’aider dans les tâches ménagères, je ne pourrais pas me retenir de lui sauter dessus, et je pense qu’elle non plus. Il faut que je mette de la distance entre nous. Alors j’appelle Jocelyne, je fais ma petite valise et je prends le TGV.


Les collègues sont sympas, ils me font entrer dans la cabine. Ah la vitesse, le pied ! Souvenirs, souvenirs. À l’arrivée, ma petite Jocelyne. C’est bien, elle n’a pas changé, toujours pimpante dans son petit tailleur, souriante et professionnelle à la fois, quel bonheur. Je n’ai hélas jamais su dessiner, mais pour dessiner Jocelyne, j’aurais commencé par faire un huit, un beau « 8 » auquel j’aurais ajouté une tête, deux bras et deux jambes bien galbées. Elle a presque du mal à me reconnaître sans mon uniforme.



Je lui raconte les cinq années passées, presque six, en omettant bien sûr de lui dire que j’ai bourré ma bru pendant près de six mois. Elle me raconte combien c’est de plus en plus difficile, des clients de plus en plus exigeants et sans gêne, l’hôtel vieillissant sans moyens pour le rénover à cause de l’emprunt à rembourser.



Le séjour est particulièrement délicieux. Jocelyne profite pleinement de mon… « entraînement » sexuel. Bien sûr, elle est un peu plus jeune que moi, mais nous sommes de la même génération, et ça colle bien, très bien, même. Très vite, c’est de l’amour qui s’exprime, librement accepté et ressenti par les deux. C’est elle qui me propose de m’installer définitivement chez elle, sans que j’aie besoin de lui dire que rien ne me retient à Mâcon et qu’au contraire, je souhaite mettre de la distance.



La fête se déroule merveilleusement bien. Je fais connaissance avec tout le personnel, des gens sympas qui ont bien conscience que défendre l’établissement, c’est défendre leurs emplois. Jocelyne me présente comme son compagnon, certains déjà là il y a cinq ans me connaissent un peu. Elle leur annonce qu’elle m’a chargé de bâtir un projet de rénovation. En même temps, elle s’affirme comme restant la patronne, ce qui est très bien. Je me sens bien parmi eux, avec elle, et de nouveau utile. Je remonte à Mâcon, le ventre de Chloé s’arrondit lentement mais sûrement et la grossesse se passe bien. Je les invite un dimanche pour leur annoncer que je vais déménager, Chloé se met à pleurer.





Deux ans plus tard, l’hôtel-bar-restaurant est rénové. Nous avons terminé par la façade, ce qui était le moins urgent. D’abord les chambres, étage par étage, puis la salle de restaurant et la cuisine en même temps, et enfin le bar et la réception. Maintenant, plus de clés, tout est informatisé et par cartes. Les personnels ont été très surpris que je passe autant de temps avec eux pour décider des travaux à effectuer, les couleurs, les revêtements, la disposition. Pour moi, c’est avant tout leur outil de travail, ils le connaissent, savent où se trouvent les défauts, autant y remédier. En deux années rendues difficiles par les travaux, personne n’est parti, personne n’est arrivé, ça a bien soudé l’équipe, et tout fonctionne mieux. On a gagné du temps sur à peu près tous les domaines, et c’est précieux. Le temps gagné, c’est du temps à consacrer à l’accueil et au bien-être des clients. Dès la façade rénovée et de bonnes appréciations sur Internet, la fréquentation est remontée en flèche. Un grand groupe, pourtant exigeant, nous a fait des appels du pied, et c’est une enseigne reconnue que nous affichons désormais, en ayant gagné deux crans au classement et légèrement augmenté les tarifs.


Antoine et Chloé viennent passer un mois de vacances chez nous, avec la petite Aurore. Ils trouvent la région magnifique, et Antoine passe beaucoup de temps à la pêche, seul dans les rivières à truites de l’Ardèche. Curieusement, ils annoncent quelques semaines plus tard que Chloé est de nouveau enceinte, espérant donner un petit frère à Aurore. Non ! Je n’ai pas trompé Jocelyne. Elle savait comment Aurore avait été conçue et elle m’a dit que j’avais très bien fait de rendre ce service à mon fils. Et elle était d’accord pour que je le lui rende une seconde fois. Chloé est restée une sacrée baiseuse…