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n° 19901Fiche technique58906 caractères58906
Temps de lecture estimé : 32 mn
14/11/20
corrigé 02/06/21
Résumé:  D'après l'heure qui s'affiche en petit sur l'écran de mon ordinateur, il est grand temps que je lance le logiciel de visio-conférence.
Critères:  fh fhh extracon voir caresses pénétratio sandwich fsodo -couplea3
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Bonjour Philippe

Je reconnais n’avoir pas eu à faire un énorme effort d’imagination pour rédiger cette petite histoire fort simple.

Bonne lecture :)




Visio conférence




D’après l’heure qui s’affiche en petit sur l’écran de mon ordinateur, il est grand temps que je lance le logiciel de visio-conférence. Mon interlocuteur se connecte quelques secondes après moi. Voyant sa tête apparaître, je lui lance joyeusement :



Un large sourire se dessine sur le visage de mon interlocuteur :



Nous discutons d’un peu de tout. Entre-temps, je lui communique quelques photos récentes de nous deux, mais je sais fort bien qu’il préfère celles sur lesquelles on trouve ma femme, surtout si elle n’est pas trop habillée.


À ce propos, je viens de lui envoyer quelques photos de nos dernières vacances d’été. En les voyant, Philippe demande :



Sa réponse est spontanée :



Philippe demande :



Comme je peux le constater sur l’écran, Philippe en salive presque :



J’abonde dans son sens :



Après avoir retrouvé le bon dossier sur mon disque dur, je balance une première photo de ma femme à l’écran. Cette image-là est particulière : c’est la première fois où elle a daigné mettre un mignon décolleté à l’extérieur. Philippe s’exclame :



Il marque une courte pause pour ajouter aussitôt :



Je souris, c’est parti pour les souvenirs…




Nos débuts



Sa phrase rituelle, quand je lui disais qu’elle était une femme désirable, était : « oui, mais toi, tu me vois avec les yeux de l’amour » (texto)..


Alors un jour, je lui propose de faire une petite expérience, celle de la photographier en tenue sexy, visage censuré et de publier les photos de façon strictement anonyme sur un site spécialisé afin de recueillir les commentaires des différents visiteurs.


J’en profite pour afficher quelques photos de cette séance.

Philippe apprécie beaucoup, le contraire m’eut étonné !


Elle balance entre le oui et le non :



Elle accepte, sachant que son visage sera gommé, annulant toute identification, ainsi que certains détails. Elle joue très bien le jeu durant la séance de pose, elle propose même des postures que je trouve un peu osées parfois. Je me dis que, pour une personne qui hésitait à poser, elle se laisse bien aller, mais je ne vais certainement pas l’empêcher d’être moins pudique !


Ensemble, nous choisissons les meilleures photos que je traite aussitôt sur mon ordinateur, ce qui me prend un certain temps. Quand c’est fini, je l’appelle afin de lui montrer les clichés retouchés et censurés. Elle les examine soigneusement, puis elle me donne son accord final :



Les jours s’écoulent. Volontairement, nous n’allons pas consulter tout de suite s’il y a eu des retours. Quand nous nous décidons, nous constatons que les résultats sont très positifs, elle découvre alors que d’autres personnes la trouvaient bien, et même plus.


Agréablement surprise, Caro est en train de lire les commentaires :



De ce fait, l’expérience continue. Petit à petit, elle va de plus en plus loin dans l’exhib. Et pour afficher toutes ces photos, nous ouvrons un premier blog. Nous avons alors décidé de concrétiser un de ses vieux rêves : les serre-tailles et les corsets, ceux qui dégagent la poitrine. Nous en avons acheté un premier. Ce fut l’expérience « Corsetta » avec deux T, le pseudo qu’elle s’est choisi, un nom au double-sens, car sa mère est corse et fière de l’être.


Philipe intervient :



Je continue ma plongée dans les années précédentes.




Toujours un peu plus loin



Puis, un beau jour, Caro découvre d’autres sites et en particulier la Domination/soumission avec ses Maîtres et ses soumises. Ce qui lui plaît alors est l’esthétique de la chose, ce qui se traduit aussitôt par l’achat de divers vêtements spécialisés et peu trouvables dans les magasins classiques. Merci Internet.


Faire des photos de soumises, de soubrettes, de femmes corsetées est donc l’étape suivante. Puis dans la mise en scène, arrivent d’autres détails afin de faire plus véridique. C’est ainsi que nous en arrivons tout naturellement ou presque à la Domination/soumission soft et surtout ludique. Car il s’agit bien d’un jeu, pas d’une façon de vivre. Ceci se précisant de plus en plus, nous sommes vraiment devenus « Corsetta » (elle) et « Corsetto » (moi, faisons simple pour le pseudo), et nous ouvrons de ce fait un autre blog bien distinct du premier.


Pour parfaire sa connaissance, Caro dialogue avec diverses soumises, puis petit à petit, elle se prend au jeu. Elle se découvre alors une forte attirance à se faire gentiment dominer, toujours par jeu. De mon côté, je me documente, et ça me plaît beaucoup. Doucement, nous expérimentons diverses choses, certaines plurent, d’autres moins.


Sur l’écran, Philippe prend momentanément la main :



Arrive l’invitation pour le Réveillon du Nouvel An de la part d’un couple réputé dans le domaine, Ensorcelina et Maître Dimitri. Je comprends très vite que Caro désire y aller, mais qu’elle hésite. Un pas en avant puis un autre en arrière. C’est alors que je prends la décision d’accepter et de la mettre devant le fait accompli.



Elle n’en dort de toutes les nuits précédentes. Le jour J, au matin, elle ne veut plus y aller. Mais je réussis à la persuader, sans devoir recourir à mon statut officieux de Maître. Elle s’habille, mettant un bustier couvrant ses seins (et non un corset, contrairement à son pseudo) sous sa robe noire. Durant le trajet jusqu’à Paris, elle balise.


Quand nous sommes arrivés sur place, stressée à fond, ma femme lance :



Flegmatiquement, je sors de la voiture, j’ouvre sa portière. Elle obéit quand même.


Arrivée dans la demeure, face à Ensorcelina (la soumise qui nous avait invités), elle se détend totalement, notre hôtesse sachant la mettre à l’aise. Nous aidons un peu aux préparatifs, et nous nous retrouvons en compagnie de quatre autres couples et trois soumis qui font le service.


Une fois de plus, Philippe intervient, faisant remarquer un point de détail :



C’est alors que tout s’enchaîne naturellement et qu’elle joue la soumise comme les quatre autres femmes, l’émulation aidant. Bien sûr, elle va moins loin que certaines, mais elle s’investit vraiment et elle aime ce qu’elle découvre. Le déclic vient de se faire.


Je le prouve avec une première photo, puis une autre. Mon interlocuteur réagit :



Ajoutant d’autres photos de cette fameuse soirée, je cesse le récit de ce souvenir de nos débuts. Philippe prend visiblement plaisir à contempler longuement les images que j’envoie en partage sur l’écran. Je reprends la parole :



Philippe se lance dans sa série de questions :



Je marque une légère pause avant de répondre :



Mettant à l’écran d’autres photos, je confirme :



Montrant en partage d’autres photos ayant des cadres des arrière-plans divers, je poursuis :



Je lui fais voir ma main, les doigts bien écartés :



Me rapprochant de l’objectif, je lui souris :



Alors, je lui explique ce que j’ai imaginé pour lui.




Le franchissement du gué



La maison est plongée dans le noir, sauf quelques bougies posées ci et là, donnant à notre salon une atmosphère assez irréelle. Je vérifie une dernière fois, tout est OK. Caro est un peu inquiète, mais très excitée :



Elle proteste à sa façon :



Elle soupire, mais elle met quand même son bandeau en soie sur les yeux. Caroline connaît notre invité, mais pensera-t-elle que ce soit lui ? Elle ne l’a pas revu depuis son départ pour les USA, ce qui commence à dater. Pour fausser les choses, depuis notre arrangement en webcam, il y a presque un mois, Philippe s’est laissé pousser la barbe et il mettra des fausses lunettes. Quant à la voix, nos essais en cam ont été concluants, il arrive assez bien à la déguiser.


Comme je suis un peu myope, je possède un grand avantage sur ma femme, car je vois nettement mieux dans le noir qu’elle.


Pour mettre notre invité tout de suite dans le bain, Caro est vêtue d’un corset noir et gris argent très BDSM qui présente ses seins en plateau, et qui s’arrête plus bas que le nombril, révélant son pubis lisse et ses lèvres bien dessinées, ainsi que ses fesses dodues. Pour le reste, c’est le grand classique avec des bas reliés par des jarretelles au corset et des talons aiguilles très haut perchés, le tout assorti à la robe. Bleu à paupière, rouge à lèvres et rouge à ongles complètent son habillement.


Moi-même, je bande, alors que je devrais être habité à la voir habillée sexy de la sorte ! Je pense que Philippe va avoir un petit choc en la voyant. En attendant, ma femme tourne la tête à droite et à gauche pour s’habituer. Elle fait quelques pas :



Toujours inquiète, ma femme enchaîne :



On sonne. Oui, j’avais bien entendu, c’est Philippe, je ne vois pas qui d’autre à cette heure. Avant d’aller ouvrir, je lance :



Sans répondre, je quitte momentanément une Caro peu rassurée, pour accueillir Philippe. Nous nous saluons à voix basse. La courte barbe et les lunettes changent beaucoup sa physionomie, je dirais même qu’il est mieux ainsi. Je demande à mon invité de dire quelques mots pour vérifier si sa voix est bien déguisée. Il s’exécute, le résultat est concluant. Je lui dis :



Entre-temps, je passe une tête pour vérifier si ma femme joue le jeu. Oui, elle a toujours son bandeau sur les yeux. Le but de cette soirée est de faire mieux basculer ma femme dans le libertinage. Elle a largement fait ses preuves dans la Domination/soumission, quoiqu’il soit toujours possible d’aller plus loin. Actuellement, j’aimerais un peu changer de terrain de jeu, et je pense que Philippe est à même de m’aider, d’autant que je sais qu’il a envie de ma femme tout en étant respectueux, et que Caro adore qu’on la désire. Donc, je pense que tout ira bien.


Philippe s’étant habitué à la pénombre, nous passons ensemble dans le salon. Il s’arrête instantanément quand il découvre Caro en petite tenue :



Ce cri du cœur fait rougir un peu ma femme qui semble plutôt satisfaite de cette bonne entrée en matière. Elle tente néanmoins un truc vicieux :



Il laisse sa phrase en suspens avant de compléter :



Philippe se tourne vers moi :



Caroline s’invite dans notre échange :



Philippe s’approche à petits pas de son hôtesse :



Lentement, il fait plusieurs fois le tour de ma femme, la dévorant quasiment du regard. Caro doit sentir cette adulation, car son sourire s’élargit doucement, mais sûrement. Se plantant à mes côtés, Philippe reprend la parole :



Ma femme lui répond :



Il se tourne vers moi :



C’est Caro qui répond à son admirateur :



D’une voix suave, Caroline demande :



Connaissant son vrai prénom, je me creuse un peu la cervelle. Je suppose qu’il fait allusion à Philippe II, le père d’Alexandre le Grand. Il faudra que je lui demande tout à l’heure. C’est vrai que ni lui ni moi n’avions songé à un autre prénom. Pourtant, c’était évident ! Mais bon…




Les pieds dans l’eau



Je constate avec amusement que Philippe est en train de vivre une sorte de rêve éveillé, il contemple, il admire ma femme qui se rend parfaitement compte de l’attrait qu’elle provoque chez ce grand barbu à lunettes qu’elle n’a toujours pas identifié. À moins qu’elle ne se taise, jouant le jeu. Mais je n’y crois pas trop.


Pour l’instant, Philippe hésite sur l’attitude à prendre pour les minutes qui suivent. Je le comprends : moi-même, j’aurais du mal à savoir par où commencer !


Ma femme se laisse marivauder. Il est vrai que, trop souvent, les hommes qui la désirent vont à l’essentiel, sans chercher à en savoir plus sur elle. Pour eux, elle est simplement un objet de désir, et il est rare qu’on s’informe de la santé ou de l’humeur d’une poupée sexuelle vivante. C’est donc avec un certain amusement que j’écoute la conversation des deux autres personnes présentes dans le salon. L’éclairage des bougies offre en plus une atmosphère surannée que le vouvoiement accentue. Pour un peu, j’imaginerais bien le couple, qui est face à moi, en costumes et perruques !


Philippe a manifestement les mains qui le démangent, les seins dénudés de ma femme étant juste sous son nez. De plus, grâce au corset, ils sont carrément présentés en plateau ! Ces deux doux fruits sont fort tentants, c’est incontestable !


Ma femme s’en aperçoit, et comme elle est constituée d’une bonne nature, elle lui propose :



Je crois qu’en pareil cas, même un sourd aurait entendu ! Avec délicatesse, Philippe pose ses doigts sur la chair molle et pulpeuse de la poitrine offerte qu’il tâtonne, qu’il palpe avec une évidente satisfaction. On dirait un gamin qui peut enfin jouer avec le train électrique dont il a rêvé durant toute l’année. Attendrie, ma femme se laisse tripatouiller avec un évident plaisir.



Elle se met à rire. Tout doucement, Philippe pose ses lèvres sur un premier sein et dépose ci et là quelques baisers de plus en plus appuyés. Caro frisonne. Puis, se laissant aller, il capture les deux seins entre ses larges mains pour mieux les étreindre, les embrasser, les lécher. Tandis qu’il soupèse un sein, il suçote à présent un téton, tel un gros bébé. Il est aux anges. Avec un sourire de Madone, Caro lui caresse délicatement les cheveux. Ce n’est pas tout à fait ce que j’avais prévu, mais si ça leur convient ainsi à l’un comme à l’autre, pourquoi pas…


À présent, ce n’est plus de l’adoration, c’est de la dévoration ! Philippe se laisse totalement aller sur les délicats seins de ma femme qui apprécie visiblement cette marque de grand intérêt pour sa personne. Elle respire de plus en plus fortement, signe évident chez elle que le désir s’installe dans son corps. Quelque chose me dit que la séance d’aujourd’hui va être très jouissive aussi bien pour Caroline et pour Philippe.


Reprenant son souffle, Philippe se redresse de toute sa hauteur, enlaçant ma femme, ses larges mains autour de sa fine taille :



Je constate que Philippe reprend de plus en plus sa voix naturelle. Avec une pointe de surprise dans la voix, ma femme demande :



Je décide d’intervenir :



Philippe pose son front sur celui de ma femme :



À travers le bandeau qui masque toujours ses yeux, Caro semble scruter les yeux de son nouveau partenaire, cachés derrière les lunettes factices. Puis elle finit par répondre :



Aie, ma femme s’approche de plus en plus de la vérité. Si elle continue dans cette voie, elle va finir par deviner qui est notre invité. Se penchant sur elle, Philippe murmure :



Puis il capture les lèvres de ma femme dans un premier baiser assez soft. Puis voyant que Caro ne proteste pas, il enchaîne sur un second qui est beaucoup plus possessif et torride ! Reprenant ses esprits, sa comparse le repousse gentiment :



Elle marque une petite pause avant de réponde :



La serrant toujours contre lui, peu convaincu, Philippe lui adresse un large sourire :



Ne cherchant pas à s’évader des bras qui l’enlacent, elle soupire :



Soudain, elle fronce des sourcils :



Caroline se tourne vers moi. Je la prends de vitesse :



Philippe intervient :



Amusée, Caroline s’ajoute :



Levant son nez vers son ravisseur dont le visage reste en contre-jour de la lueur des bougies, ce qui n’aide pas à l’identification, elle déroule sa pensée :



Philippe l’attire un peu plus contre lui, pour mieux sentir son corps contre le sien :



Il desserre un peu son étreinte. Caro respire mieux :



Si ce n’est pas une invitation de la part de ma femme, ça y ressemble beaucoup. Philippe ne s’y trompe pas, puisqu’il commence à couvrir le cou, les épaules puis les seins de Caroline qui se laisse faire avec un évident ravissement.


De mon côté, je pars m’installer dans un fauteuil afin d’assister au spectacle. Je sens que je ne vais plus exister durant un petit moment. De ce fait, autant attendre de façon confortable, comme si j’étais au cinéma.




Elle et lui



Fébrile, Philippe est en train de dévorer les seins offerts de Caro. Elle se laisse faire avec un évident plaisir. Au bout d’un certain temps, afin de reprendre son souffle, Philippe éloigne un peu sa bouche des mamelons érigés de ma femme, il contemple longuement les seins arrogants aux tétons mouillés et pointus qui paradent sous son nez.


Un peu intriguée par cette pause, Caro demande :



Puis serrant fortement ma femme contre lui, pour mieux la câliner, étrangement, Philippe se tourne vers moi :



La serrant toujours contre lui, il penche sa tête vers Caro :



Les seins nus de Caro contre son torse, Philippe l’embrasse à nouveau dans le cou, pour ensuite capturer les lèvres rosées de ma femme qui répond à ses baisers. Un peu trop facilement.


Je constate que Philippe a vraiment une folle envie de Caro, et que celle-ci se laisse faire avec une grande complaisance, une énorme complaisance. J’ai l’impression d’assister à un film au scénario bien défini qui se déroule tout seul, à la seule différence que ça ne se passe pas sur un écran, mais sous mes yeux.



Philippe s’emballe, comme une boule de neige qui dévale des cimes. Les choses s’accélèrent, mon invité vient de se déshabiller en un tour de main. Ce salaud a réussi à conserver un corps de premier choix. Il faut dire qu’il pratique divers sports. Ce qui est une bonne surprise pour ma femme qui balade à présent ses mains partout sur ses muscles, sur sa peau.



Caro se frotte contre ce corps viril qu’elle ne connaît pas, elle patine, elle frôle, elle glisse dessus. Puis, très vite, ses mains aux ongles rouges descendent puis s’emparent d’un sexe déjà bien dur. Ma femme commence alors une douce, mais efficace branlette comme elle sait si bien les faire pour me mettre en condition.


Philippe est à la fois surpris et ravi :



Aussitôt, Philippe joue franc jeu :



Tandis qu’elle continue de le branler, Philippe la couvre à nouveau de baisers, tout en baladant ses mains partout sur le corps offert de ma femme. Assis dans mon fauteuil, je constate une certaine harmonie entre ces deux amants d’un soir.


Entre deux caresses, ma femme murmure :



Je constate de cette réponse amuse beaucoup ma femme. Elle se détend encore plus, se laissant glisser dans la volupté. Philippe continue d’embrasser et de caresser le corps offert, visage, cou, poitrine, pubis, cuisses, fesses… Partout, longuement, passionnément, amoureusement…


Depuis quelques instants, ma femme tortille du bassin, serrant et desserrant ses cuisses, un signe que je connais très bien : elle a visiblement le feu à la chatte, et elle aime l’éteindre à sa façon. Échappant momentanément à l’étreinte de son amant, Caro désigne le rebord du canapé :



Ses fesses posées au bord du canapé, Philippe est en bonne position, sa verge bien raide. Ma femme s’approche lascivement de lui, puis arrivée face à lui, elle s’agenouille sur les coussins, de part et d’autre des cuisses de notre invité du soir. Aussitôt, Philippe saisit les hanches dénudées de ma femme, juste en dessus du corset, laissant échapper un cri du cœur :



Caro se penche un peu sur le côté, glissant sa main manucurée derrière elle. Puis elle saisit la verge raide et déjà palpitante, la dirigeant sans hésitation vers l’entrée bordée de ses lèvres toutes lisses, nichées entre ses cuisses.


Ses mains toujours rivées sur les hanches de ma femme, Philippe retient sa respiration, moi aussi.


Caro remue du popotin, sans doute pour mieux se placer. Il est étrange de contempler une queue qui n’est pas la sienne et qui va bientôt s’enfoncer dans des profondeurs qui me sont habituellement réservées ! De son côté, Philippe semble figé.


Soudain, ma femme se laisse choir sur le pieu de chair, l’engouffrant presque jusqu’au fond, tout en poussant un long soupir de soulagement et d’aise :



Philippe l’accompagne dans un long souffle. Le couple reste immobile, statufié, profitant du moment. Puis lentement, ses mains toujours rivées sur ses amples hanches, Philippe commence à bouger, coulissant en elle. Caro l’accompagne sans réserve :



À présent, notre invité la pistonne joyeusement, le corps de ma femme tressaille sous les coups de boutoir, ses chairs frémissent, oscillent, gélatineuses. Devant ce spectacle lascif et impudique, je bande comme un âne ! Caro s’envole dans une longue litanie :



Toujours en mode cavalcade, Philippe fait littéralement sauter ma femme sur ses cuisses, sa verge entrant et sortant avec facilité, luisante de cyprine.



Depuis que je la connais, Caro a toujours été expressive quand sa jouissance est proche. Au moins, contrairement à certaines femmes, elle ne joue pas les étoiles de mer et elle ne fait pas semblant. Et là, ce soir, je ne pense pas du tout qu’elle joue la comédie !



Soudain, Caroline se jette en arrière, je sais ce que cela signifie : elle est à deux doigts de la jouissance. De son côté, Philippe abandonne les hanches de ma femme pour s’agripper à ses seins qui valsent carrément sous ses yeux avides. N’y tenant plus, sa bouche croque carrément dans les masses molles oscillantes. La chevauchée devient de plus en plus passionnée, déchaînée, fantastique. Caro danse carrément sur les cuisses agitées de son amant, coulissant avec fureur le long de sa colonne de chair. Elle est en train de déchaîner, il n’y a pas d’autres mots !



Philipe explose, éjaculant dans ma femme, tout en continuant de la pistonner fougueusement, mettant du sperme partout, celui-ci s’échappant en cascades de la grotte. À son tour, ma dévergondée de Caro éclate en mille petits cris. Une belle réussite !


Et ce n’est que leur première fois…




Elle, lui et moi



Quelques jouissances plus tard, tandis que Caro chevauche à nouveau son nouvel amant qui est maintenant complètement allongé sur le canapé, je décide de m’inviter au bal, car je suis au bout de ma résistance. Ma femme m’entend arriver avant que je ne la touche :



Je m’installe comme je peux, puis je lubrifie mon sexe du mieux que je peux. Caroline s’affale sur Philippe, pressant ses seins sur son torse. Coquine, elle murmure à son nouvel amant :



De mon côté, je me positionne. Toujours vautrée sur Philippe, ma femme écarte une fesse de sa main libre. C’est largement suffisant pour que son entrée interdite soit dégagée. Cette adorable salope aime se faire pénétrer par deux hommes. La première fois, elle avait eu quelques craintes. Puis l’acte achevé, elle avait beaucoup apprécié. Depuis, nous avons recommencé plus d’une fois, mais en général dans une ambiance BDSM, ma femme dans le rôle de la pauvre soumise devant accepter l’infamie de la chose…



Je viens d’entrer mon gland en elle. Caro pousse toujours un petit cri quand on force sa rondelle. Un petit cri étouffé fort sexy, à faire bander dur les trop mous cherchant à se faufilent par cette entrée obscure, dont l’accès demande quand même un minimum de dureté.


Profitant de me sentir au chaud, je demande à mon comparse :



Tandis que Philippe commence son léger va-et-vient dans ma femme, j’en profite pour introduire la moitié de ma verge dans le rectum offert. Oui, j’adore être là, au chaud, bien serré, dans ses profondeurs interdites.



Bien agrippé à ses hanches, je donne un coup de reins pour entrer un peu plus en elle. Se redressant à moitié, elle crie un peu :



Implacable, je m’enfonce en elle jusqu’à ce toute ma longueur disparaisse en elle, mes testicules s’écrasant contre ses fesses. Je suis bien calé dans ce conduit cannelé, possédant vraiment ma femme. J’aime ce sentiment de puissance que j’éprouve en pareil cas.



L’instant d’après, Philippe et moi la pistonnons en parfaite synchronisation. C’est facile d’y arriver, c’est juste une question purement mécanique et loi du moins effort. J’adore ce moment, quand ma femme se fait prendre simultanément devant et derrière, c’est en quelque sorte ma drogue. Haletante, ma femme est actuellement bien remplie devant comme derrière, le corps secoué, ses seins ballottant sous nos coups de piston.


Plus bas, son ventre plaqué sur celui de ma femme, Philippe capture ses seins oscillants à pleines mains, et les pétrit avidement. Doublement investie, Caro gémit de plus en plus fort. La tension comme la température montent. Pour ma part, je commence à avoir du mal à me contenir, mais il faut que je résiste encore un peu.



Parfois, je me laisse aller à certains mots, tant la tension est forte. Dire ces mots me libère, dire ces mots m’excite encore plus. Parfois, je demande à ma femme d’en dire, et elle ne s’en prive pas, ce qui accélère souvent encore plus les choses, et fortifiant notre jouissance commune.



Caro est en train de chanter, littéralement ! De sa bouche sort une étrange mélopée, tandis que son corps est en train de vibrer intensément. Plus bas, Philippe résiste de plus en plus mal.



Dans un long cri, Caro déflagre, son plaisir s’emparant totalement d’elle. La voyant sous l’emprise du plaisir, Philippe n’arrive plus à se retenir. À son tour, il explose, expulsant son foutre dans les profondeurs de ma femme. Alors je l’accompagne dans sa jouissance.



Une tripe jouissance, un accord parfait, une harmonie enchanteresse des corps…


Avant de sombrer dans une demi-mort, je me dis que je me souviendrais longtemps, très longtemps de cette soirée. Ce n’est pas la première fois que je fais des trios, mais celui d’aujourd’hui restera dans les annales (ou dans les « anales », c’est selon).


Puis toujours fiché vicieusement en elle, je sombre définitivement.




Mise au point cuisine



Comme Caro souhaitait me parler en privé, nous sommes dans la cuisine, Philippe étant resté dans le salon, en train de récupérer. Avec un soulagement évident, Caro ôte son bandeau, elle secoue la tête. Puis elle allume la lumière, elle cligne des yeux, moi aussi, puis elle attaque :



Elle acquiesce de la tête, s’appuyant contre le réfrigérateur :



Les yeux rivés au plafond, elle devient pensive :



Lentement, je m’approche d’elle :



Rassurante, elle pose sa main sur ma joue :



Je capture sa main pour y déposer un baiser :



Avançant un pion, je suggère :



Elle se met à sourire :



Se décollant du réfrigérateur, elle se dirige posément vers la porte :



Et avant que je puisse la retenir, elle a déjà disparu de la cuisine.




Mise au point salon



D’un pas altier, elle revient dans le salon toujours éclairé que par les bougies, avec moi sur ses talons. Philippe est étonné de la voir revenir sans bandeau. Caro se plante face au canapé où il est resté assis. Elle plisse des yeux, puis elle s’exclame :



Elle s’approche un peu plus de lui, se penchant sur son visage :



Son visage très proche de celui de ma femme, avec une vue imprenable sur des seins bien en évidence, Philippe proteste :



Toujours penchée sur son nouvel amant, le surplombant, elle se tait, le contemplant. Puis elle reprend la parole :



Je suis étonné de voir que ma femme prend délibérément les rênes dans une attitude plutôt dominatrice, elle qui joue souvent les soumises afin de se laisser porter par le courant. Fébrile, Philippe attend la suite :



Les femmes savent être terriblement pragmatiques. La repoussant légèrement, Fabrice se relève et enlace lascivement ma femme qui ne proteste pas du tout. Elle lui sourit même :



Et pour confirmer ce nouvel état de fait, il l’embrasse sensuellement tandis qu’elle se laisse complètement aller contre lui. Décidément, cette soirée ne s’est pas tout à fait déroulée comme prévu, mais elle ouvre bien des champs du possible à explorer.


À moi de faire attention et de ne pas me retrouver dépassé par cette nouvelle situation…