n° 19904 | Fiche technique | 30848 caractères | 30848Temps de lecture estimé : 16 mn | 16/11/20 |
Résumé: J'ai déjà participé à des enquêtes, mais des comme celle-là, jamais ! | ||||
Critères: fh inconnu uniforme grossexe voir vidéox fmast fellation pénétratio échange init humour policier -humour -policier | ||||
Auteur : radagast Envoi mini-message |
Madeline Saint-Saulve tambourina à la porte de l’appartement pendant quelques secondes, puis appuya de nouveau sur la sonnette, et enfin se mit à vociférer sur le palier.
La porte ne s’ouvrit point, au grand désarroi de Madeline. Par contre, celle de l’appartement voisin s’ouvrit avec fracas, un quinquagénaire bedonnant en sortit, simplement vêtu d’un pantalon de pyjama vert fluo, les cheveux hérissés et le regard du type qui vient de se réveiller en sursaut et pas content.
Affolée, Madeline appela son mari, Gaspard.
Quelques minutes plus tard une dizaine de pompiers et quatre policiers s’activaient sur la porte d’entrée de l’appartement de la disparue. Sitôt ouvert, ils fouillèrent les locaux sous le regard inquiet d’une Madeline éplorée.
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Gaspard Saint-Saulve, patron d’une des plus grandes chaînes hôtelières et d’une agence de voyage réputée, ce géant mondial du secteur possédait des relations dans les ministères et même à l’Élysée, aussi lorsque Gaspard demandait un service, il l’obtenait dans les minutes qui suivaient.
Quand le patron du groupe Saint-Saulve téléphona au ministre de l’intérieur, les deux meilleurs flics du Bastion furent diligentés pour élucider cette disparition mystérieuse.
Réunis dans le petit salon de la résidence des Saint-Saulve – salon qui pouvait organiser un match de hand-ball – les policiers et la famille tentaient de retrouver la trace de Joséphine. Le commandant Fourvière et le capitaine Furdenheim écoutaient les parents de Joséphine, Gaspard, Madeline et Agathe, la sœur aînée de la disparue.
La grande sœur envoya aussitôt sur le portable des policiers une dizaine de photos récentes de la jeune femme, qu’ils examinèrent aussitôt avec intérêt.
Ils découvrirent une jolie blonde aux cheveux longs, souriante, de remarquables yeux ambre et un petit nez mutin. Ils purent aussi admirer sa silhouette alors qu’elle posait en bikini avec sa sœur. Joséphine Saint-Saulve ne faisait pas dans le genre top model anorexique, mais plutôt dans le style déesse du stade. Longues jambes musclées, ventre plat, poitrine rebondie, épaules larges et taille fine.
Pendant que le capitaine Furdenheim s’occupait d’organiser les recherches, le commandant Fourvière téléphonait à ses connaissances. La première étant le petit ami.
Hubert Fourvière raccrocha, dubitatif.
Les deux femmes haussèrent les épaules et levèrent les yeux au ciel, si Philou Ravaga pensait avec sa queue, Gaspard ne pensait qu’avec son portefeuille.
Les flics avaient fouillé l’appartement de Joséphine sans rien trouver de bien spectaculaire. Ils fouillèrent aussi la chambre que la jeune femme occupait encore de temps en temps dans la demeure des parents. Puis ils convoquèrent les amies.
Un hurlement de louve en détresse retentit alors.
Un policier de l’équipe entra en trombe dans le salon.
Aussitôt branché sur le réseau le grand écran de la télé montra aux parents et aux flics une scène qui les glaça d’effroi.
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Joséphine se réveilla avec l’impression qu’un troupeau d’Auvergnats dansaient la bourrée dans son crâne. Elle essaya de décoller sa langue de son palais, en vain. En plus elle se traînait une haleine de chacal qui aurait bouffé trop de durian farci au Maroilles et au Munster.
Elle ouvrit un œil avec difficulté, geignit alors qu’une ampoule allumée lui vrillait la rétine. Une certitude, elle ne se trouvait pas dans sa chambre mais dans une grande pièce aux murs blancs, sans meubles à part un canapé sur lequel elle était allongée et une petite table basse où trônaient bien en évidence un verre, une bouteille de jus d’orange et une plaquette de paracétamol. Une caméra sur un trépied l’observait de son œil noir.
Puis elle remarqua, effrayée, qu’elle ne portait plus que son soutien-gorge et sa petite culotte en dentelle. Pas de trace de son top et sa jupe Valentino. Dans quel guêpier se retrouvait-elle ? Par un fait étrange, on ne lui avait pas retiré sa montre Cartier, ni ses boucles d’oreilles.
La porte s’ouvrit et un mystérieux personnage entra, lui faisant remonter un frisson glacé de l’anus à la nuque.
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Sur l’écran géant le fond noir devint gris, puis blanc, pour enfin se transformer en une image qui fit frémir les différents observateurs.
Joséphine, presque nue, se tenait assise sur un canapé Ikéa. Un grand type debout à ses côtés tenait entre ses mains le journal Le Dauphiné Libéré du jour. Il arborait un masque de Salvador Dali, comme on en voit dans la série La Casa de Papel.
La jolie jeune femme semblait terrifiée, la feuille qu’elle tenait serrée entre ses doigts tremblait… comme une feuille.
Joséphine entama la lecture de la lettre de revendication du kidnappeur, car maintenant il ne faisait plus aucun doute que la belle héritière venait de se faire enlever.
Alors que sur l’écran, et donc dans la mystérieuse pièce où était retenue l’otage, se déroulait une autre scène d’une grande intensité dramatique.
Elle regarda la caméra en pointant un index rageur vers l’objectif :
Et elle sortit du cadre, mais on l’entendait rouspéter au loin. Salvador Dali se tourna lui aussi vers la caméra, leva les bras en un geste d’impuissance et quitta l’écran, pour y revenir quelques secondes plus tard.
Sur l’écran on ne voyait plus qu’un mur blanc et le canapé.
On ne voyait plus rien, mais on entendait une engueulade qui se rapprochait. Soudain le couple improbable réapparut. La jolie blonde semblait hors d’elle.
Et elle éclata en sanglots, la tête sur l’épaule de son ravisseur qui la prit gauchement entre ses bras et lui caressa les cheveux.
Le commandant reçu une communication de son équipe technique.
Dans la pièce, la conversation battait son plein.
Ils allèrent s’asseoir sur le canapé.
Il soupira un grand coup.
Il reniflait, pleurant sous son masque.
Mais si les flics ne disaient rien, ils n’en pensaient pas moins, de même que sa fille Agathe.
Joséphine réfléchit quelques instants avant de réagir, bouche bée d’étonnement.
Le gars opina du chef.
Joséphine semblait partager le même point de vue que sa sœur.
Autre hochement de tête honteux.
Les policiers haussèrent les épaules, impuissants.
Allongé sur le canapé, le ravisseur, un bras posé sur le masque laissait faire Joséphine qui bataillait sur la ceinture et la braguette.
Puis elle se pencha sur le ventre de Salvador pour y déposer des baisers, cachant aux spectateurs la chose si étrange.
Sur l’écran on pouvait voir mademoiselle Saint-Saulve se démener sur l’entre-jambe de son ravisseur.
Madeline Saint-Saulve attrapa la main du commandant, son voisin, et la serra très fort en murmurant, ébahie : Mon bébé.
Ils venaient de découvrir le sexe du type, un engin d’une taille exceptionnelle, qui semblait-il n’avait pas encore atteint sa pleine capacité.
Joséphine léchait, suçait, embouchait avec application cet engin digne du Guinness des records.
Tout en philosophant, elle continuait de lui pomper le dard avec ardeur. Elle n’en absorbait qu’une partie, mais elle mettait tellement de cœur à l’ouvrage, faisant virevolter sa langue autour du gland, l’aspirant et le titillant du bout des lèvres, cajolant les bourses, qu’il ne résista guère longtemps à ce traitement.
Elle le sentit se tendre encore plus, elle éprouvait quelque peine à en faire le tour avec ses doigts mais elle le sentit vibrer, tel le sol sous les pieds, lorsqu’un geyser remonte des entrailles de la terre.
Puis le geyser jaillit à plus d’un mètre de hauteur, la substantifique moelle aspergea tout aux alentours, le canapé, les mains, le visage et la poitrine de Joséphine
C’était son premier puceau, elle comptait bien en profiter. D’ailleurs une tache d’humidité sur son fond de culotte annonçait la couleur.
Le soutien-gorge et le slip voltigèrent à travers la pièce, Jo se plaça à califourchon au-dessus du gars et se caressa l’asticot pour se mettre en conditions optimales.
L’engin commençait à peine son périple dans son intimité qu’elle murmurait des incantations :
Oh putain, ouh la vache, merci doux Jésus
Dans le salon des Saint-Saulve, l’atmosphère devenait irrespirable, les deux flics n’osaient regarder leurs voisines.
Madeline se mordait le poing, puis quand elle vit l’énorme mandrin perforer son bébé, alors que cette dernière souriait aux anges en murmurant un Maman si tu savais, elle n’y tint plus. Elle attrapa le bras de Fourvière et l’entraîna derrière le canapé, ôta sa robe et sa culotte, s’appuya, ventre contre le dossier du siège, jambes écartées et intima l’ordre au policier de lui faire pareil.
Un ordre est un ordre, aussi Fourvière s’y plia de bonne grâce et enfila madame Saint-Saulve aussi sec, à sec.
Alors que Joséphine poussait un petit cri de jouissance en criant maman, Madeline gémit un mon bébé, en un orgasme solidaire en quelque sorte.
Agathe Saint-Saulve interpella Furdenheim en le regardant droit dans les yeux :
Dix secondes plus tard, à poil et dans la même position que sa maman, Agathe se faisait trousser. Cette position permettait à tous de suivre le programme télé. Ils voyaient le joli fessier immaculé s’agiter et onduler devant leurs yeux, avec cet énorme dard planté au centre de la cible.
Quand les fesses de Joséphine se posèrent sur les cuisses de son ravisseur certainement ravissant, elle sut qu’elle venait de réaliser un exploit de classe internationale, digne d’une médaille d’or aux JO.
Surtout qu’entre-temps elle avait déjà joui trois fois. Une première fois lorsque le gland lui avait gratouillé le point G, une autre fois quand son ravisseur lui avait caressé les seins et les tétons d’une main délicate, une troisième fois quand il pressa avec le pouce le clitoris érigé en demandant innocemment : Qu’est-ce que c’est que ce truc ?.
Et enfin une dernière fois quand, au terme d’une chevauchée héroïque Joséphine hurla son plaisir à en faire péter les tympans.
En sueur, le séquestreur venait de faire tomber le masque, et pour fêter ça, Joséphine le remit en forme par d’habiles jeux de mains et de bouche. Car le type était vraiment trop mignon et trop craquant, elle voulait le regarder prendre son plaisir, son puceau à elle !
Pas Di Caprio, pas Bradley Cooper, pas Niney ni Hemsworth, mais mieux.
Affamée, elle remit le couvert, à la grande joie de l’ex-puceau.
Dans le salon, les femmes échevelées et ravies se remettaient difficilement de leurs émotions. Il faut dire que le spectacle offert par la jolie blonde et le sur-membré valait tous les aphrodisiaques de la terre. Elles venaient de jouir autant de fois que Jo.
Pour varier les plaisirs, les deux hommes s’étaient échangé leurs partenaires. Ils ne valaient pas mieux que leurs cavalières, essoufflés et chancelants sur leurs jambes.
À cet instant le lieutenant Poilalà entra en trombe, avisa les corps nus et emmêlés, gêné il se tourna vers le mur et fit son annonce :
Les deux femmes se rhabillèrent en omettant de remettre leur culotte, pour gagner du temps.
Pendant qu’ils enfilaient leurs chaussures, ils surprirent une discussion entre les deux principaux protagonistes, par écran interposés.
En sortant de la maison comme des furies, les policiers suivis d’Agathe et Madeline faillirent entrer en collision avec Gaspard.
Ces quelques orgasmes venaient de lui donner un tonus d’enfer. Le mari se fit petit, comme demandé.
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Les deux groupes se croisèrent devant le 104 rue du Général Ratapoil.
Quand les policiers firent mine de menotter le dénommé Jean-Pierre Burot, alias El Professor, ou encore Pine de Mammouth selon Furdenheim, Joséphine se dressa devant eux, telle une furie.
Les policiers ricanèrent devant cette jeune fille vêtue d’un drap à la manière d’une toge, plantée devant ce grand escogriffe de près de deux mètres, comme pour le protéger. Ils rirent moins quand l’un d’eux se fit savater les burnes.
Tout le monde grimpa dans les véhicules à disposition, Jo agrippée à son ravisseur, non menotté, comme une moule à son rocher.
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Aucune poursuite ne fut engagée contre Jean-Pierre Burot. Le commandant Fourvière et le capitaine Furdenheim nièrent farouchement toute négociation pour une remise de rançon. Mademoiselle Joséphine s’était tout simplement réfugiée chez un ami suite à une peine de cœur, déclarèrent-ils à leur hiérarchie.
Le capitaine et le commandant rendaient d’ailleurs de fréquentes visites de courtoisies à madame Madeline et mademoiselle Agathe.
Monsieur et Madame Burot se virent remboursé leur voyage raté, et Saint-Saulve Voyages leur offrit gracieusement quinze jours dans les îles de Pubis et Foufouna, tous frais payés et billets d’avion compris.
Jean-Pierre Burot fut embauché par l’agence Saint-Saulve Voyages au service communication.
Là, les petites culottes commencèrent à fumer.
Joséphine sourit aux anges et fit une réponse qui désintégra leurs strings :