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n° 19916Fiche technique165509 caractères165509
Temps de lecture estimé : 91 mn
27/11/20
corrigé 02/06/21
Résumé:  Cinq heures du matin, aéroport de Bruxelles-Zaventem, diverses personnes attendent comme nous leur embarquement pour Corfou.
Critères:  fh hplusag fplusag couplus vacances plage hotel exhib fmast caresses fellation cunnilingu préservati pénétratio échange -libercoup
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Échanges phaéciens

Les lieux décrits sont véridiques, l’histoire un peu moins…

Une fois de plus, ne pas confondre narrateur et auteur.

Bonne lecture :)




Samedi très tôt au matin, à l’aéroport



Cinq heures du matin, aéroport de Bruxelles-Zaventem, diverses personnes attendent comme nous leur embarquement pour Corfou. Ce n’est pas la première fois que ma femme et moi allons là-bas, nous aimons bien aller nous reposer au nord de cette île. J’avise des places libres où nous nous posons. Un couple, un peu plus jeune que nous, est déjà installé un peu plus à droite. Il est visible que ces deux-là sont un peu stressés. Au journal que tient la femme en main, j’en déduis que j’ai affaire à des francophones. Comme je suis d’un naturel sociable, je leur adresse aussitôt la parole :



Je m’esclaffe gentiment :



Et c’est ainsi que ma femme et moi avons commencé à causer avec Blandine et Barnabé, les bébés comme nous les avons rapidement surnommés. Point de vue "initiale des prénoms", mon propre couple est dominé par la lettre A, puisque ma femme se prénomme Amandine, et moi Alain.


C’est ainsi que nous avons découvert que nous avions tous les quatre le même hôtel pour destination finale. Ma femme les rassure :



Puis arrive l’heure d’embarquer. L’intérêt, avec un départ avant six heures du matin, est qu’il est rare que l’avion ait du retard. Nous découvrons avec amusement que nous sommes placés les uns derrière les autres, le jeune couple étant devant nous, ce qui nous permet de continuer notre conversation durant le vol.


C’est ainsi que nous apprenons que c’est la première fois que ce couple part à deux, sans leurs enfants maintenant partis du nid, et en avion. Les autres années, ils louaient en général un bungalow sur une côte, et s’y rendaient en voiture.


Arrivés sur place, nous franchissons ensemble les diverses formalités, puis nous dénichons le bon autobus. Précisons que, dans ces contrées, le français est une langue quasiment inconnue. Si on ne connaît pas le grec, il vaut mieux employer d’abord l’allemand, puis l’anglais, et éventuellement l’italien. Barnabé me confie :



Après avoir desservi quelques hôtels avant le nôtre, nous arrivons enfin à destination. Comme les personnes de l’accueil ne parlent pas un mot de français, je m’occupe des formalités pour nous quatre, car ma connaissance de l’allemand reste bonne. C’est alors que nous découvrons avec amusement que nous avons des chambres voisines.



Nous posons nos valises, nous faisons un rapide tour pour vérifier si tout est OK dans notre chambre et dans la salle de bain. Mis à part l’évacuation des eaux de la douche qui est toujours aussi bordélique, tout va bien. La vue à partir du balcon n’est pas vilaine, je le reconnais aisément. Ma femme approuve :



Puis après un ultime tour de vérification, nous sortons pour embarquer avec nous nos voisins. Eux aussi sont contents de leur chambre et de la vue.




Samedi, arrivée à Corfou



L’horloge indique presque onze heures (merci le faible décalage horaire), nous sommes à présent sur la terrasse couverte proche de la première piscine et jouxtant le restaurant, mais les portes de celui-ci n’ouvrent qu’à midi pile. Nous en profitons pour prendre un verre bien frais. Mais nous commençons tous à crier famine, car le petit déjeuner servi dans l’avion était riquiqui, et nous sommes réveillés depuis des heures. Il était environ deux heures du matin quand nous avons quitté la maison.


Soudain, je me rappelle un point de détail :



Ce que nous faisons tous les quatre. Non, rien de nouveau à prime vue. Toujours les mêmes bâtiments, la même seconde piscine, le petit ruisseau et le pont qui le franchit. La troisième piscine est plus éloignée. Sans oublier l’autre bar et ses divers spectacles en soirée. Nous ne serons pas dépaysés ni dérangés dans nos habitudes. Puis nous retournons vers la terrasse couverte, proche de la première piscine.


En effet, peu après, au bout du bar, puisque le snack est à présent ouvert, nous constatons que nous pourrons nous sustenter un peu avant d’aller manger dans la grande salle aux divers buffets. Le kebab-frites que nous mangeons n’est peut-être pas de la haute gastronomie, mais ça cale un peu. Nous en profitons pour discuter d’un peu de tout et de n’importe quoi, le tout en allant de temps à autre chercher des verres au bar. Puis, quand les portes s’ouvrent, nous sommes parmi les premiers à pouvoir nous servir aux buffets. Rien de nouveau là aussi, toujours les mêmes plats, avec en prime deux types de soupe du jour, sans oublier les monts de fêta blanche.


Même si personne ne parle le français parmi les membres, les plats possèdent tous une petite étiquette rédigée en quatre langues, dont la nôtre, ce qui est pratique. Mais c’est quasiment le seul endroit où on trouvera des choses rédigées dans notre langue maternelle. Parfois, la traduction m’amuse, je peux comparer avec l’allemand et l’anglais.


Une fois le déjeuner fini, je propose :



Ma blondinette de femme répond aussitôt :



Quelques instants plus tard, nous cheminons tous les quatre vers la plage du fond de la baie. Quand elle découvre le paysage, Blandine s’exclame :



Nous nous installons, je pars chercher quatre parasols dans la grande malle située en bout de plage, près des arbres. Peu après, ma femme dévoile un maillot, une pièce, assez échancré, ce qui étonne beaucoup Blandine. En souriant, Amandine lui demande carrément :



Blandine porte bien son prénom d’oie blanche, ce qui m’amuse beaucoup, ainsi que ma chère femme qui est nettement plus libérée que sa voisine. De son côté, en homme à peu près normal qu’il est, son mari semble nettement apprécier la tenue estivale d’Amandine, mais il n’ose pas trop la regarder franchement en face, se contentant de furtifs coups d’œil. Il est vrai que le maillot une pièce trop sage de sa femme n’a rien de très folichon.


Ce qui ne nous empêche pas d’aller dans l’eau tous les quatre. Tandis que je nage paisiblement dans l’eau chaude, j’entends assez distinctement la conversation des deux femmes, les Didines comme je les surnomme déjà :



Je m’éloigne un peu. C’est vrai que j’aime acheter les habits de ma femme. Comme celle-ci est assez libérée, je peux m’offrir le luxe de lui proposer des vêtements assez échancrés, ainsi que de la belle lingerie. J’entends Blandine répondre :



Sa voisine proteste :



Ma femme n’a pas été infirmière puéricultrice pour rien. Mais après quelques années de métier, elle a préféré bifurquer vers un métier de bureau, plus calme. C’est ainsi qu’elle s’occupe des relations avec les divers laboratoires et les universités, ce qui est fort différent. À chacun ses choix professionnels, de plus, elle est plus épanouie ainsi.


Je m’éloigne un peu plus, allant rejoindre Barnabé qui nage plus au large. Me voyant arriver, celui-ci me demande :



Barnabé nage un peu avant de répondre :



Je tente d’en savoir plus :



Il cède beaucoup plus rapidement que je ne l’aurais cru :



Il tourne son regard vers nos compagnes :



Puis nous rigolons tous les deux. Barnabé ne dit plus rien au sujet de sa femme, mais je constate qu’il louche souvent sur la mienne ! L’après-midi se déroule très bien, avec un petit retour à l’hôtel pour le goûter et boire quelques boissons fraîches. Puis nous avons fini l’après-midi au fond de la baie où nous avions laissé quelques affaires pour réserver nos transats.




Samedi soir



Après le dîner que nous avons pris ensemble, nous décidons (ou plutôt, j’ai aidé à décider) de bavarder un peu ensemble autour d’un verre avant d’aller se coucher assez tôt, car pour ma part, je n’ai pas beaucoup dormi la nuit précédente, et je n’ai plus la même forme qu’à mes vingt ans qui sont déjà bien loin, hélas.


À un moment, je me lève pour aller au bar :



Je reviens avec quatre petits verres remplis d’une liqueur orange. Blandine est dubitative, tandis que son mari ne fait aucun problème pour vider son verre. Alors elle trempe ses lèvres, elle semble apprécier puis elle finit par vider son verre en trois fois :



Nous discutons d’un peu de tout et de n’importe quoi durant une bonne heure, puis nous partons dans nos chambres pour aller dormir, car la journée avait été longue. Néanmoins, j’en profite pour faire quand même un gros câlin à ma femme, ayant dans l’idée de rattraper demain matin au réveil le temps perdu !




Dimanche matin



Ce matin, après le petit déjeuner que nous avons pris à quatre, sur la plage, allongées sur des transats, les deux Didines causent de leur vie privée respective. Armé de son masque à tube, Barnabé est parti admirer les petits poissons. Pour ma part, je suis resté avec les femmes.


Se faisant dorer au soleil, Amandine explique à sa voisine :



Blandine bafouille :



À peine ces mots sortis de sa bouche qu’elle se relève à moitié, se tournant vers moi :



Elle ne répond pas, se tournant à nouveau vers sa voisine :



Amandine vérifie que Barnabé n’est pas dans les parages ; il est toujours dans l’eau avec son tuba, en train de regarder les petits poissons. Ma femme la questionne :



Puis elle devient pensive, réfléchissant à voix haute :



Puis soudain, Blandine s’inquiète :



Toujours allongé dans mon transat, je confirme :



Blandine soupire. Puis, s’adressant à sa voisine, elle change soudain de conversation :



Elle rougit un peu :



Ma femme se redresse aussitôt, la dévisageant :



Surprise par cette question, Blandine rougit un peu plus :



Blandine pique un fard. Néanmoins elle demande :



Je ne sais pas ce que Blandine imagine, mais elle doit être assez loin du compte, car nous sommes ce qu’on appelle un couple assez libéré. Amandine projette ses mains dans son dos :



Peu après, sans complexe, ôtant le haut, ma femme dévoile ses deux beaux seins que j’adore peloter, câliner, bisouter. Sa voisine s’en étonne :



Blandine ne répond rien. Puis les deux femmes passent à un autre sujet. Du coin de l’œil, je constate que Barnabé est en train de bien regarder dans notre direction. Je suppose que les seins de ma femme y sont pour quelque chose…


Puis, à la suite de l’initiative de Blandine, la conversation revient sur le thème du topless :



Blandine objecte faiblement :



Barnabé est en train de sortir de l’eau. Je constate qu’il ne regarde pas ma femme, mais plutôt qu’il la dévore des yeux. Tout ceci m’amuse. Et, telle que je la connais, ça doit aussi égayer ma femme. En revanche, on dirait que Blandine ne remarque rien. Ou bien, elle fait semblant.


Quelques aller et retour et autres bronzages recto verso plus tard, il est à présent l’heure d’aller se sustenter. Je remarque au passage qu’à chaque fois que ma femme part se servir aux buffets, Barnabé se fait un plaisir de l’accompagner.




Dimanche après-midi sieste



Puis le repas fini, nous regagnons nos chambres pour une petite sieste bien méritée. À peine la porte refermée, je lance à ma femme :



Elle se déshabille devant moi. Je m’amuse à lui dire :



Ah, je n’avais pas remarqué la chose. Il est vrai que je ne cherchais pas à flirter. Je réfléchis un peu, puis j’annonce :



J’attends deux-trois secondes avant de proposer :



Amandine vient se planter devant moi, nue, les mains sur les hanches :



Et c’est ainsi que nous avons décidé de mettre un piment dans nos vacances. Mais avant, il est urgent que je démontre à ma femme à quel point elle me fait de l’effet. Et tant pis pour le bruit ! Ça donnera peut-être des idées à nos voisins…


Je connais ma femme depuis bien des années, je connais ses moindres coins et recoins de son beau corps. Je peux même deviner ses prochains gestes, ses prochaines paroles. Certains diront que ça manque d’imprévu, mais un peu comme une fugue qui est toujours la même, il y a un grand plaisir de la jouer, de l’interpréter encore et encore, et découvrir ci et là de nouvelles subtilités.


Après de suaves préliminaires, c’est en levrette que je décide de jouir dans Amandine, tandis qu’elle se masturbe fiévreusement, le cul bien en buse, le nez plongé dans l’oreiller. Oui, c’est assez bestial, mais c’est très bon !


Tandis que j’agrippe fermement ses hanches, je la pistonne fiévreusement. J’adore être en elle, ma verge bien au chaud dans son intimité, et savoir que dans peu de temps, je vais aller me déverser en elle, la remplir, la combler, afin qu’elle déborde. J’ai toujours eu une fascination pour le foutre qui ruisselle sur des cuisses féminines.



À ces mots, je m’active encore plus, agité, fébrile, mes doigts crispés dans sa chair, dans ses hanches mouvantes qui pivotent autour de ma colonne de chair plantée dans ses profondeurs si accueillantes et chaudes.



Je serre des dents, la tête renversée. Je freine comme je peux. J’ai beau avoir un certain contrôle, ce n’est pas évident, surtout avec une femme si sensuelle, si libérée, si bandante !



C’est de façon presque synchrone que nous jouissons, charnellement, totalement, elle et moi comme fusionnés. J’adore entendre ses cris de jouissance alors que je flotte ailleurs, loin, très loin.


Dieu que c’est bon ! Oh oui ! Il faudrait inventer une religion dans laquelle la prière serait remplacée par une bonne baise !


Oui ! Dieu que c’est bon !




Dimanche après-midi plage



À l’heure dite, nous retrouvons l’autre couple. Finalement, pas de détour par le magasin pour un éventuel achat de bikini. Peut-être que ce sera d’actualité une autre fois, Blandine ayant décidé de mettre quand même son bikini. Tandis que nous longeons la mer, Barnabé se penche sur moi et me dit en catimini :



Comme je constate qu’il a les yeux rivés sur le popotin dansant de ma femme, je comprends qu’il n’a pas trop l’esprit à lutiner sa femme. L’usure du temps ? Qui sait. C’est vrai qu’ils se connaissent depuis environ deux fois plus longtemps que ma femme et moi. Pourtant, je n’imagine pas être lassé d’Amandine dans dix ans, dans vingt ans et plus.


Aussitôt arrivés sur place, nous nous installons aux mêmes places que ce matin. Amandine enlève sa robe d’été et apparaît aussitôt seins nus, habillée d’un simple string ébène. À cette vision, Barnabé ressemble au loup de Tex Avery, avec sa langue pendante et ses yeux exorbités. Il faut dire que ma femme est quasiment nue, surtout de dos, mis à part une petite ficelle entre les fesses. Quant à la partie anatomique qui est devant, le petit triangle de tissu noir peut prêter à confusion, surtout vu de loin. De son côté, Blandine est soufflée par la décontraction sexy de ma femme. Amusée par la situation, celle-ci houspille gentiment sa timide voisine :



C’est vrai que son bikini est un peu juste, et que ça déborde un peu, mais c’est bien là tout l’intérêt du jeu. C’est vrai que Blandine est un tantinet gironde, mais ça lui va bien. Je sens que si je réussis mon coup, je ne serais pas déçu de l’effort prodigué !


La prenant par la main, Amandine entraîne Blandine vers le rivage. Barnabé n’arrive pas à décrocher ses yeux des fesses nues de ma femme. C’est ensemble que nous contemplons nos femmes en train de barboter dans l’eau.


Soudain, mon voisin dit à mi-voix :



Les femmes reviennent quelques minutes plus tard. Nous faisons bronzette tout en causant de tout et de rien. Au bout d’un quart d’heure, Amandine souhaite retourner dans l’eau. Blandine n’est pas très partisane d’aller se mouiller. Allongée sur le dos, elle somnole à moitié. Bondissant sur l’occasion, son mari se propose.


Tandis que Barnabé et Amandine sont en train de faire trempette, je propose à Blandine de l’enduire de crème bronzante. Elle acquiesce, s’allongeant sur le ventre, ce qui me permet d’avoir une jolie vue sur ses fesses. Elle dégrafe son haut pour m’offrir tout son dos sans entrave. Délicatement, je répands la crème sur le haut de son dos, puis je passe en mode massage, une de mes spécialités. Blandine se laisse faire, il faut dire que je sais m’y prendre pour que ce soit agréable. Je lui demande quand même :



Puis je passe directement aux jambes. Celles-ci sont un peu molles, sans doute par manque d’exercices. Il est vrai que ma femme s’entretient, nous avons d’ailleurs quelques instruments de torture à la maison. Mais la mollesse peut être aussi synonyme de sensualité…



Toujours délicatement, je la masse avec la crème, insistant insidieusement sur ses hanches. Puis je glisse vers ses reins et le haut de ses fesses. Elle ne dit rien, à moitié assoupie. Alors je m’offre le luxe de retrousser par inadvertance le haut de son maillot pour dévoiler le commencement de son sillon fessier. Mais je préfère prudemment ne pas aller plus loin. Agenouillé à ses côtés, je répands à nouveau un peu de crème, je la masse comme il se doit.



Et machinalement, je lui mets une petite tapette sur la fesse qui vibre un peu sous mes doigts. Je m’en excuse tout de suite :



Un peu endormie, elle tourne puis lève son visage vers moi :



Je m’assieds près de sa tête, puis je regarde mieux le couple qui s’amuse dans l’eau pour finalement admettre :



Toujours allongée sur le ventre, son menton posé sur ses avant-bras, elle me dévisage :



Tout en souriant, Blandine soupire :



Elle rougit, j’aime bien quand elle rougit. Elle poursuit maladroitement :



Je constate que j’ai comme une ouverture qui se dessine. Faut-il que j’essaye ou que j’attende encore un peu ? Bonne question. Amandine est en train de se mettre Barnabé dans la poche, ou plutôt dans le string, vu qu’elle n’a que ça comme vêtement. Je dirais que ces deux-là, c’est juste la question d’un jour ou deux, voire même d’heures. Cependant, avec Blandine, ça va être plus compliqué, je navigue en eaux troubles ou dans le brouillard. Je sens confusément que c’est possible, mais comme je n’y vois pas grand-chose, c’est quasiment du quitte ou double.


Je suis joueur par nature, mais les coups aventureux de poker, très peu pour moi. Ce n’est pas pour rien si j’aime jouer aux échecs ou à tous les jeux dans lesquels le hasard est absent ou très faible. Au moins, je sais où je mets les pieds.


Afin de tâter le terrain, je me lance :



Je désigne le sac de plage :



Elle pose sur moi un regard interrogateur :



Elle écarquille fortement les yeux, ce qui ne l’empêche pas de me répondre :



Elle laisse passer un peu de temps avant de demander :



Je me creuse la tête, il va falloir que j’improvise. Je commence par une situation classique, du moins pour ma femme et moi :



Je souris :



Fataliste et désabusée, son menton toujours sur ses avant-bras, les yeux levés vers moi, elle répond :



Elle me jette un coup d’œil intrigué, puis répond malicieusement :



Je n’avais pas prévu ce genre de bifurcation. Je soupire :



Avec un large sourire, je lui réplique illico :



Elle rougit, elle déglutit, puis elle lâche :



Elle devient cramoisie. Je reconnais que j’ai un peu poussé le bouchon, mais ça m’amuse d’effaroucher les femmes assez prudes, c’est une volupté de gourmet. J’essaye une autre approche, il convient de savoir changer d’aiguillage :



À nouveau, j’enduis le creux de son dos, puis j’étale doucement la crème en rayonnant. Je la masse avec la crème, remontant aux épaules pu faire un mini-massage relaxant. Elle soupire d’aise. Je m’égare sur le côté, caressant furtivement au passage du bout des doigts la masse écrasée de ses seins. Elle ne dit rien. Je persévère. Belles masses, je le concède. Puis sans cesser de la masser, je glisse lentement plus bas, vers ses hanches.



Puis à nouveau, comme tout à l’heure, je glisse vers ses reins et le haut de ses fesses. Elle ne bronche pas, à moitié assoupie. Alors je m’égare posément sur ses fesses, ayant repoussé le tissu de son maillot vers son sillon fessier. Je pétris son popotin avec conviction. C’est vrai qu’elle a un beau petit cul… Puis je descends vers ses jambes.


Je décide d’en finir là, ça va faire quelques minutes que je la masse, mes mains en savent quelque chose. Je repars m’asseoir. Elle grommelle :



Disant ceci, elle ouvre un œil et découvre que c’est plutôt tendu dans mon maillot de bain. Elle rougit sans dire un seul mot. Son expression est étrange, un mélange entre confusion et satisfaction. Je n’ai pas trop le temps d’approfondir, car à ce moment, Amandine et Barnabé sortent de l’eau et viennent vers nous.




Dimanche soir



Après le repas, nous allons nous installer dans un coin tranquille, mais pas éloigné du bar. Une fois tout le monde installé, la sortant de mon sac, je pose une boîte bleutée sur la table :



Comme je m’y attendais, Blandine et Barnabé accrochent très vite, et tout le monde s’amuse sans retenue. En effet, ce jeu est simple à comprendre, il comporte une part de prise de risque, mais aussi de vacherie en pouvant piquer les dominos des autres joueurs, ce qui met de l’animation.


Un bon moment plus tard, Barnabé me demande :



Nous continuons à faire plein de parties, entrecoupées d’allers-retours au bar pour y chercher des boissons. Blandine semble avoir un gros faible pour cette liqueur orangée ! Après avoir vidé son verre, elle s’exclame :



Son mari intervient :



Je suis étonné par cette répartie. Il est assez flagrant que ma voisine est un peu pompette. C’est vrai que cette boisson est traîtresse. En général, je me limite à un verre, parfois deux, puis je bascule à la limonade ou aux jus de fruit. Ou éventuellement au coca quand j’ai des problèmes de digestion.


Il commence à être tard, les langues se délient. Quand Barnabé daigne lâcher du regard ma femme, il sait s’impliquer dans la conversation, surtout que celle-ci a pris un tour coquin :



Blandine ouvre de grands yeux, mais ne dit rien. J’explique le point de vue de notre couple :



Barnabé se tourne vers Amandine :



Barnabé cherche un mot dans sa tête, puis le trouve :



Amandine soupire :



Voyant que ma femme prend un air un peu ennuyé, je prends le relais :



J’affiche un large sourire :



Il marque une courte pause puis demande :



Je le vois arriver, alors je décide de lui tendre la perche :



Barnabé se montre très intéressé, quant à sa femme, elle semble un peu absente, sans doute l’effet du kumquat. Je regarde Amandine, l’interrogeant du regard. Elle acquiesce silencieusement. Alors je continue :



Tous les regards convergent vers Blandine. Elle finit par dire :



Ça étonne beaucoup son mari, qui ne répond rien. Je constate à son expression qu’il espère sans y croire vraiment. Je reprends la main :



Je me tourne vers le mari de Blandine, plutôt ravi de la réponse de ma femme :



Le cri du cœur ! Il met sa main sur sa bouche et s’excuse platement. Je lui souris :



Je me tourne vers elle. Je pose délibérément mes larges mains sur les siennes, elle ne bronche pas. Alors je pose la question en l’enrobant un peu plus :



Étape une franchie. Je décide de forcer un peu les choses, alors je me lève. Sous l’œil étonné de Barnabé et de sa femme, je contourne la table pour venir me poster derrière Blandine, posant mes mains sur ses épaules. Elle frissonne un peu. Je continue en marchant sur des œufs, mettant mes lèvres à la hauteur de son oreille :



Barnabé me regarde d’un air assez étonné. Est-ce parce que j’ai dit que sa femme me plaisait, ou bien est-ce que sa femme semble accepter. Blandine rougit un peu :



Les joies du conditionnel sont faites pour qu’on les exploite. C’est un petit truc que j’avais remarqué, auquel les femmes sont souvent sensibles, et que j’utilise à mon avantage depuis bien des années. La serrant un peu plus, je dépose un délicat baiser sur sa tempe en disant simplement :



Je me tourne vers Barnabé :



La soirée prend alors une tout autre tournure, car je m’occupe de Blandine, comme si les autres personnes n’existaient plus. Quant à Amandine, elle fait pareil avec Barnabé, qui sourit béatement comme un gros bébé. Par trois fois, ma nouvelle conquête réclame un petit verre de liqueur, comme pour s’étourdir. Elle ne refuse pas ma main autour de sa taille ni sur sa cuisse, mais je devine qu’elle ne fera certainement pas le premier pas. Elle est comme dépassée par la situation.


Peu après, main dans la main, Amandine et Barnabé regagnent les chambres. Un bras autour de la taille de Blandine, j’en fais de même, ma compagne ne sachant plus marcher très droit. Je tique un peu, car c’est une demi-victoire, je préfère quand la femme reste lucide.


N’arrivant pas trop à croire en sa bonne chance, Barnabé s’empresse de disparaître dans sa chambre où l’a déjà précédé ma femme. De mon côté, délicatement, je pousse Blandine dans la nôtre, ou plutôt dans la mienne. Elle est toujours absente, dépassée.


Pour s’asseoir, elle se laisse choir sur le rebord du lit. Elle avoue :



C’est alors qu’elle a une réaction qui me surprend, mais qui me ravit en même temps :



Il y a des choses à ne pas révéler à un homme comme moi… Mais je vais jouer à fond le jeu, en lui faisant un simple gros câlin. Pour commencer !




Dimanche soir très tard



J’ai bien commencé par un simple câlin en m’allongeant sur le lit avec Blandine. Au début, je me contentais de la serrer un peu, puis mes mains ont commencé à se balader, lentement. Bien que n’étant pas endormie, Blandine n’a rien dit, se laissant faire. Et de fil en aiguille, nous avons ôté nos vêtements…


Je découvre une mignonne petite touffe au niveau de son pubis, ce qui change agréablement de la mode du trop lisse. Je constate que le corps de Blandine est voluptueux, mais moins beau que celui de ma femme. Ma nouvelle compagne de lit s’est laissé aller au fil des ans, mais rien d’irrémédiable. Néanmoins, il suffirait de quelques exercices pour que sa plastique soit un appel définitif au crime.


Blandine ferme les yeux tandis que je le caresse, que j’embrasse ses seins. Elle est très passive. J’ignore si c’est son comportement habituel, si c’est le kumquat, ou si elle a honte. Ou un mélange des trois.


Tandis que je suce suavement son mamelon, j’en profite pour m’encapuchonner discrètement d’un préservatif. J’ai l’impression qu’elle ne s’est rendu compte de rien. Sous ma bouche rivée à son sein, elle frémit toujours, elle vibre légèrement…


Je décide d’aller glisser ma tête entre ses jambes, je connais très peu de femmes qui détestent qu’on les lèche entre les cuisses. Elle oppose une faible résistance, puis accepte que ma langue aille s’insinuer dans sa fente. Je l’entends respirer très fortement au fur et à mesure que je poursuis mon insidieuse caresse. Elle mouille de plus en plus, signe évident que son corps réagit positivement.


Je continue mon assaut, faisant virevolter la pointe de ma langue sur divers endroits stratégiques. Blandine se soupire de plus en plus. Je lance un bras pour venir capturer un sein, le malaxer, jouer avec son téton.



De sa bouche sort un faible murmure. On dirait qu’elle se retient de crier. J’ôte ma bouche de son sexe pour lui dire :



Pour toute réponse, j’accentue mon léchage dans sa fente à présent détrempée, taquinant au mieux son petit bouton rose si sensible. Blandine frémit, tangue, se tend, mais ne repousse pas ma tête…



Sera le seul son que j’entends sortir de ses lèvres quand elle se met à jouir. Je sens distinctement des contractions sous ma langue. Fier de moi, je continue un peu, mais là, elle me repousse. Alors je retire mes lèvres de son sexe attendant un peu, la regardant jouir, car c’est un spectacle dont je ne me lasse pas !


Puis quand j’estime que c’est le bon moment, écartant ses jambes de mes mains, verge en avant, je plonge carrément en elle. Elle a un petit hoquet quand je la pénètre, mais déjà je la pistonne vigoureusement en me frottant bien sur elle.


Les yeux toujours fermés, elle ahane, se laissant faire. Puis soudain, je sens ses mains dans mon dos. Elle se laisse enfin aller. Alors j’augmente mes va-et-vient en elle. Blandine ouvre plus largement ses cuisses comme pour mieux m’attirer en elle. Je ne me fais pas prier d’exaucer son souhait muet.


Durant les instants qui suivent, une folle cavalcade nous lie, elle et moi. Je la vois qui transpire, la bouche ouverte, les yeux toujours clos, les narines dilatées. Mes mains dans mon dos deviennent plus possessives, à la limite des griffes.


Puis soudain, dans un bruit étranglé, elle jouit profondément. Je sens ses palpitations sur ma verge que son vagin compresse sur elle. Alors moi aussi, je décide de me laisser aller. J’éjacule, étant plus bruyant que mon amante, je me laisse totalement aller, sans frein, comme dans une longue chute sans fin.


Oui, sans fin…

J’aimerais que cet instant soit éternel…

Peut-être est-ce ça le paradis ?


Comme elle est totalement épuisée, elle s’endort aussitôt. J’aurais préféré recommencer, mais à bien y réfléchir, le bilan n’est pas du tout négatif. Avec un peu de chance, je réveillerais bientôt la cochonne qui sommeille en elle et dont elle ignore tout !




Lundi matin



Ce matin, je me réveille avec une autre femme que la mienne dans mon lit. Peu après, celle-ci ouvre un œil, puis un peu affolée, elle regarde à droite puis à gauche pour demander :



Je me penche sur elle pour embrasser le bout de son nez :



Puis elle ajoute en catimini :



Elle pique un fard monumental. Je souris :



Elle ouvre de grands yeux :



Puis elle se radoucit :



Machinalement, elle remonte le drap, puis bafouille en rougissant :



Elle me regarde avec des grands yeux ronds :



Un peu inquiète, elle obéit. Je plonge ma tête entre ses cuisses, le nez dans ses poils bouclés, lui offrant un premier cunnilinctus de haute volée !



Elle ne me repousse pas, ses poings agrippant les draps. Avec application, j’y mets toute ma science, ma langue virevolte, lapant, câlinant, léchant voluptueusement sa fente et son petit bouton rose. Peu après, Blandine se met à jouir comme pas possible, voulant à la fois chasser ma tête ou la plaquer contre ses lèvres intimes détrempées… Elle pousse des petits gémissements entrecoupés de "non" et de "oui". Il lui faut quelques minutes pour récupérer de cette friandise.


Attendri, je contemple mon amante en train de récupérer de sa jouissance. Puis quelque temps après, je lui souris :



Clignant des yeux, elle rougit :



Puis mes lèvres toujours maculées de ses fluides, je l’embrasse tout en la caressant voluptueusement. Elle n’oppose aucune résistance, répondant même timidement à mon baiser.


Quand nous arrivons dans la grande salle de restauration, ma femme et son amant sont déjà là. Je salue Amandine d’un petit bisou sur les lèvres, tandis que l’autre couple n’ose pas trop se regarder. C’est souvent ainsi, les premières fois, puis après ça passe. Nous nous installons à la même table.


Barnabé est parti chercher un supplément de café. Je vois que Blandine est gênée vis-à-vis de ma femme. Fidèle à son habitude, Amandine met les pieds dans le plat en demandant à sa voisine de table :



Blandine s’étonne :



Amandine continue sa démonstration imagée :



Blandine s’exclame :



Barnabé revenant, Amandine change de conversation. Je suis curieux de savoir ce que Blandine va confier et avouer à ma femme. Mais, hélas, je ne le saurais pas tout de suite, car je présume que ma nouvelle conquête ne se confiera pas si je suis présent. J’espère que ma femme m’en dira assez pour mieux m’occuper de ma nouvelle conquête.


Bien sûr, nos femmes ont fait causette tandis que nous, les hommes, étions en train de nous baigner. Comme Blandine restait un peu gênée, elle et moi avons déménagé de transat pour mettre un peu de distance entre nos deux nouveaux couples. Je la comprends un peu. Voir son homme batifoler sous son nez avec une quasi-inconnue, ce n’est pas toujours facile à admettre. Et se faire tripoter par un quasi-inconnu sous le regard de son mari légitime, ce n’est pas non plus évident à assumer.


Avec plein de parasols et d’autres personnes entre nous, Blandine s’est peu à peu décrispée, même si je sens bien qu’elle est un peu dépassée par la situation. Néanmoins, elle a fini par accepter que je l’embrasse de temps à autre, sans oublier mon massage à la crème solaire fort émoustillant, mes mains s’égarant facilement sur ses courbes.


C’est main dans la main que nous allons nous baigner. La première fois, elle était visiblement mal à l’aise. Puis elle a fini par trouver ça naturel. Je pense que mes baisers ardents, enlacés dans l’eau, ont aidé à ôter quelques chaînes.



Une fois de plus, elle rougit, démontrant de cette façon que son prénom de Blandine est mal adapté. Je tente d’avoir une explication :



Elle n’ajoute rien, fermant les yeux. Je prends ça pour une invitation à d’autres baisers.


Néanmoins, nous ne mangeons pas ensemble tous les quatre lors du midi, afin de nous préserver un peu d’intimité. Nous nous sommes mis d’accord sur le sujet avant de plier bagage vers l’hôtel. Alors que nous sommes attablés face à face, je demande à Blandine :



J’attaque mon fromage blanc après y avoir mis du miel :



Elle rougit un peu :



Elle rougit encore plus :



Je me contente de sourire, puis, sous son œil étonné, je me lève un peu de mon siège. Par-dessus la table, j’en profite pour l’embrasser délicatement. Elle ne proteste pas du tout.


Comme elle ne proteste pas du tout quand, fiévreux, je la déshabille pour faire la sieste. Elle n’a pas le même corps que ma femme, mais un peu de diversité ne fait pas de mal. Une fois de plus, tandis que je l’embrasse dans le cou, mes mains se baladent partout sur ses courbes, agaçant ses tétons, câlinant ses seins et l’arrondi de son ventre, ainsi que celui de son pubis.


Visiblement, Blandine aime le traitement que je lui fais subir, elle frisonne agréablement, et elle minaude de temps en autre, prononçant des "non" et des "arrête" qui veulent dire le contraire. S’aventurant plus bas, un de mes doigts plonge avec délice dans une fente déjà bien humide, au grand soupir de plaisir de sa propriétaire.


Durant ce temps, je pose ma verge bien en forme sur le côté de son ventre, afin de lui faire voir qu’elle ne me laisse pas indifférent. Je constate que de temps à temps, elle y jette un coup d’œil, mais n’ose pas y mettre la main.


Je décide pour elle :



Elle se mord un peu les lèvres, mais s’exécute. Elle est un peu maladroite, parfois elle serre trop fort, ou elle rabaisse de trop, mais comme je la guide, je pense qu’elle apprendra vite.



Visiblement, Blandine aime ce que mes doigts lui font depuis tout à l’heure. Elle serre souvent les dents ainsi que les cuisses, mais ça ne m’empêche pas de continuer. Pour accélérer un peu les choses, je capture son téton entre mes lèvres, et ma langue commence à jouer avec son mamelon. Elle soupire. Je continue mon double jeu, elle se tend de plus en plus.


Délaissant son sein, je murmure à son oreille :



Pour stopper ses protestations, je l’embrasse fougueusement, accélérant vicieusement les cajoleries autour de son clitoris détrempé. Elle se cabre, mais ne cherche pas à fuir mes lèvres. Cette femme est tiraillée entre sa morale et son désir de jouir.


Comme en général les femmes sont sensibles du cou, je quitte ses lèvres pour couvrir cet endroit de mille baisers brûlants. La bouche ouverte, elle respire de façon entrecoupée. Je change alors ma façon de la masturber. Elle se raidit complètement, puis explose en plein de petits cris inarticulés. Alors, laissant mon pouce sur son clitoris en feu, j’introduis deux doigts en elle, ce qui augmente la fréquence de ses gémissements de jouissance.



Je continue jusqu’à ce qu’elle me chasse. Puis, je la laisse se reposer un peu. Une à deux minutes plus tard, je m’agenouille à côté d’elle. Je commence à me masturber au-dessus de son ventre. Avachie sur le lit, épuisée par sa jouissance, elle me regarde faire entre ses yeux mi-clos. Je me rapproche de ses seins, elle ne dit rien.



Une première salve jaillit de ma verge pour venir s’aplatir entre ses seins. Une autre vient s’écraser sur un téton, et ainsi de suite. Je me vide sur elle, posément. Ça fait un bien fou. J’aime marquer mon territoire de la sorte. Il y a une jouissance intellectuelle de contempler son propre sperme sur le corps d’une femme. Je me contrefiche des aspects psychologiques, tout ce que je sais, c’est que j’aime ça. Et Blandine ne semble pas détester !


Sans complexe, j’essuie carrément mon gland sur son sein tout mou, elle ne dit rien. Je m’affale à côté d’elle :



C’est d’une étrange petite voix qu’elle me répond :



Je sens que je vais vouloir beaucoup, mais sans brûler les étapes…




Lundi après-midi et soir



Au grand étonnement de son mari, Blandine profite de la plage pour faire une petite sieste. Il faut bien que je lui explique un peu le pourquoi :



Barnabé ne répond rien, se contentant d’une grimace. C’est un peu plus tard qu’il m’avoue, alors que Blandine est réveillée et que ma femme l’a entraînée dans la mer, nous laissant seuls entre hommes :



Nos deux femmes batifolent toujours dans l’eau. Je propose à Barnabé :



Je me lance dans une petite explication :



Nous en parlons aux femmes. Amandine est tout de suite d’accord. Blandine semble un peu dépassée. Est-ce pour cause de marche à pied, ou le fait de vraiment passer pour ma femme ? Ou le fait que cet échange de couple se fasse sans heurt, comme sur des roulettes ?


Je continue à flirter outrageusement sur la plage avec Blandine, et elle aime ça. Elle m’avoue au passage que ça la fait rajeunir de vingt ans. Alors je redouble d’ardeur pour lui faire rattraper le temps perdu.


Chose que je fais à nouveau quand nous revenons dans notre chambre pour y prendre une douche. Bien que ce n’était pas dans les projets de Blandine, nous l’avons prise à deux, collés l’un à l’autre, puis à peine séchés, je l’ai emmenée vers le lit pour lui faire subir quelques avanies. Je connais peu de femmes qui refusent qu’on leur fasse un petit cunni. Blandine se laisse entreprendre, les jambes bien écartées, tandis que je lèche suavement sa fente humide, mélange d’eau et de cyprine. Comme à mon habitude, je virevolte joyeusement, alternant exacerbation de son clitoris et exploration de sa fente.


Après avoir bien joui, elle accepte de me rendre la pareille en m’offrant une belle fellation. Bien qu’elle soit un peu maladroite dans sa façon de faire, il ne me faut pas longtemps pour éjaculer sur ses seins, car je comprends vite qu’elle ne souhaite pas que je me vide dans sa bouche.


Contemplant mon sperme qui macule ses seins et un peu son menton, je lui fais savoir ma satisfaction :



Elle rougit :



Le repas du soir est joyeux, mais je sens bien que Barnabé est pressé d’entreprendre ma femme, sans perdre de temps. Je suis installé face à Blandine, et je la regarde manger. Il y a une petite trace luisante près du creux de ses seins. Je sais parfaitement ce que c’est. Impression étrange, mais singulièrement jouissive.


Ce soir, exceptionnellement, il y a un spectacle typiquement grec. Nous y assistons tous les quatre, Blandine est carrément assise sur me genoux, au grand étonnement de son mari, qui en profite pour peloter sans vergogne ma femme !


Le spectacle fini, après une courte balade, nous sommes de retour dans notre chambre. Après avoir stimulé Blandine par de nombreuses caresses, et aussi deux cunnilingus bien appliqués, je décide de profiter d’elle d’une façon un peu plus leste :



Un peu craintive, elle obéit, se mettant à quatre pattes comme indiqué. Je lui demande :



Une fois qu’elle est en position, je caresse ses belles fesses rondouillettes tout en y déposant plein de baisers bien sonores. Blandine possède un popotin que je peux qualifier de somptueux. Après quelques agaceries, je lui demande d’écarter un peu les cuisses, puis aussitôt, je donne un petit coup de langue bien vicieux dans sa fente toujours bien détrempée. Une fois de plus, elle apprécie cette caresse.


Pas de préservatif ce soir, j’ai assuré à Blandine que j’étais clean, et j’ai appris que de son côté, elle avait un stérilet depuis de nombreuses années.


Je dirige mon vit vers son entrée intime, j’introduis légèrement mon gland entre ses lèvres mouillées. Elle tressaille un peu. Je me retire pour venir caresser son clitoris si sensible du bout de ma verge. Je coulisse longuement, me frottant impudiquement sur son petit bouton rose. Les soupirs que j’entends m’indiquent que mon amante apprécie aussi cette méthode.


C’est alors que je décide de passer aux choses sérieuses. Je plonge en elle, enfournant la totalité de ma queue dans son antre si accueillant. Puis agrippant fermement ses hanches, je commence à la pistonner pour bien lui faire sentir toute ma longueur en elle. Mon bas-ventre claque lubriquement contre ses fesses. Parfois, je me retire quelques instants pour venir à nouveau me frotter sur son clitoris en feu. Il ne me faut pas longtemps pour qu’elle cède, son corps assailli de mille tremblements, partant dans un long râle jouissif.


Et ça ne fait que commencer, car j’escompte bien revenir en elle plusieurs fois cette nuit, afin de lui démontrer qu’elle est mienne et que je veux la posséder encore et encore !




Mardi matin tôt



Ce matin, au réveil, sans lui laisser le temps de quoi que ce fut, je me vautre sur son dos, ma queue bien raide contre ses fesses. Elle proteste mollement :



Je capture ses seins dans mes mains :



Je l’embrasse dans le cou, ce qui la fait ruer. J’en profite vicieusement pour caser mon gland entre ses lèvres intimes. Elle me demande d’une voix ingénue :



Elle murmure faiblement :



Et nous avons fait tel que je l’ai ordonné. Elle a joui à la fois de ses doigts dans sa chatte et de ma verge en elle. Cependant, elle a marqué une petite hésitation quand il a fallu qu’elle lèche un premier doigt. Puis elle s’est exécutée en rougissant.


C’est un beau et singulier spectacle que de voir une femme lécher ses doigts maculés de sperme et aussi de cyprine. Je constate avec satisfaction qu’elle s’applique, telle une élève studieuse. Parfois je me demande si je n’ai pas affaire à une toute jeune-fille plutôt qu’une femme mature qui pourrait largement être sa mère. Étrange situation, mais pas déplaisante.


Alors j’abuse de mon pouvoir. Alors qu’elle est agenouillée sur le lit souillé, je me mets debout, présentant sous son nez mon sexe flasque et gluant de cyprine et de sperme. Elle lève les yeux vers moi, indécise.



Hésitante, elle capture ma verge entre ses doigts, puis me donne un timide coup de langue dessus. Puis elle s’enhardit en enfournant ma bite avachie dans sa bouche. Sa fellation est un peu gauche et maladroite, mais j’apprécie beaucoup. À tel point que mon engin reprend du poil de la bête !




Mardi matin et midi à Roda



Contrairement aux craintes de son époux, Blandine ne fait pas de manière pour marcher jusqu’à la ville, même s’il y en a pour plus d’une demi-heure de trajet. La balade est plaisante, il ne fait pas trop chaud, l’ombre est presque partout présente et le paysage est bucolique. De plus, à mi-parcours, la route descend vers Roda, ce qui facilite la marche. Accompagnée par mon amante, je marche devant, main dans la main, l’autre couple nous suivant dix mètres derrière nous.


Nous nous comportons comme deux couples normaux, mis à part que nous ne sommes pas avec les bons conjoints. Personne ne peut soupçonner l’échange. Nous déambulons dans les quelques rues commençantes de Roda, faisant quelques emplettes dans diverses boutiques. Barnabé me dit :



Vers midi, nous avisons un restaurant quasiment installé sur la plage, dont le thème est l’univers des pirates. Sa carte est fournie et les prix sont largement abordables. La terrasse ombragée offre une vue imprenable sur la mer et les montagnes neigeuses albanaises. Bien que ma femme et moi n’ayons pas testé ce restaurant les autres fois où nous sommes venus, nous décidons de l’expérimenter.


C’est alors que je me dis que si j’étais avec ma vraie femme, j’aurais exigé d’elle qu’elle soit sans rien en dessous de sa robe. J’aurais dû tenter le coup avec Blandine. Qui sait…


Je préfère songer à autre chose. Pour commencer, les cocktails sont à la hauteur, rien à redire. Une petite brise souffle pour nous rafraîchir en même temps. Je porte un toast :



Le mari de Blandine répond aussitôt :



Blandine s’exclame :



Nous avons tous éclaté de rire. La bonne humeur est de mise entre nous quatre, la conversation est joyeusement animée. Le repas est bon et copieux, il est surtout différent de ce que nous mangeons au club. Quant aux desserts, c’est clair et net : rien de comparable ! Une adresse à retenir, c’est indubitable !


Après avoir payé, lorsque nous sortons du restaurant, nous nous sentons assez lourds. Il faut dire que nous avons bien mangé, le tout pour un prix relativement modique. Néanmoins, nous complétons nos achats dans deux boutiques avoisinantes. Quand nous sommes à nouveau dans la rue, Amandine confie :



Blandine enchérit :



Je regarde ma montre :



Quelques minutes plus tard, la navette ramène tranquillement au Pamela Beach. C’est en effet plus simple ainsi, surtout avec toutes nos courses.




Mardi en fin d’après-midi



Nous sommes de retour dans nos chambres pour une petite sieste bien méritée. Bien sûr, je me suis offert le doux luxe de lutiner ma nouvelle compagne.


Il est plaisant de jouer les initiateurs, mais je pense que ça me lasserait de le faire tout le temps. De ce côté-là, aucune crainte à avoir avec ma femme, elle sait ce qu’elle veut, comment elle le veut, même si parfois, elle me laisse les rênes.


De son côté, Amandine est en train de s’amuser à sa façon avec Barnabé, son nouveau jouet. Tout à l’heure, quand nous étions à Roda en train de faire les magasins, elle m’a confié :



Je souris en lui répondant :



Elle s’exclame :



Puis nous retournons auprès de nos nouveaux partenaires de jeu. Inutile de leur dire ce que nous nous sommes confié, ma femme et moi.


En fin d’après-midi, sur la plage, Blandine accepte d’ôter son haut quand elle est dans l’eau. Ce qui me permet d’avoir le plaisir de la serrer parfois contre moi, et de sentir sa poitrine plaquée contre la mienne. Elle semble apprécier ce genre de démonstration, à moins que ce ne soit la raideur de mon sexe qui l’émoustille. Moi, j’apprécie ses tétons qui durcissent si mignonnement.


Après le repas, nous jouons à nouveau ensemble, Amandine collée à Barnabé et Blandine serrée contre moi. Ma nouvelle compagne se laisse aller à son nouveau penchant pour une certaine liqueur. Je la gronde gentiment :



Pour la faire taire à ma façon, je l’embrasse.


Le soir, avant de nous endormir, je lui fais la démonstration que mon sexe est toujours raide, en ce qui la concerne… Et comme je suis assez résistant, je la pénètre plusieurs fois, tout en alternant les séances avec des préliminaires de plus en plus poussés.


Le but avéré est de consolider mes acquis et avancées envers Blandine, lui faire admettre petit à petit que s’occuper d’un homme, c’est normal, c’est évident, comme me branler, comme me lécher, sans toutefois en exiger de trop. Tout est dans la mesure. En revanche, elle est beaucoup ouverte au fait que ce soit moi qui lui fasse des cochonneries, ce dont je ne me prive pas !


Je suis même assez étonné de la permissivité qu’elle fait preuve à mon égard ! Mon côté mâle alpha, si j’en crois une certaine confidence…




Mercredi en journée



Raconter en détail cette journée de mercredi n’apporterait rien, puisqu’elle ressemble fortement à celle de lundi. Pas d’exploit notable à signaler. Informatiquement, c’est un copier-coller, avec quelques retouches, avec le fait que Blandine s’enhardit et se lâche un peu plus, et qu’elle rougit un peu moins. Je m’aventure un peu plus loin à chaque fois que je l’enduis de crème. Mais pour les choses du sexe, elle reste quand même assez passive, attendant que ce soit moi qui dirige les événements, même si elle se laisse faire de bon cœur.


Je vais plutôt vous narrer ma conversation impromptue avec un autre vacancier.


Alors je suis dans la petite boutique du rez-de-chaussée en train de choisir quelques cartes postales, un quidam s’approche de moi. Je le reconnais, il était dans le même avion que nous, sa femme est une petite rousse si je ne me trompe pas. Je les vois tous les deux assez souvent sur la plage. Nous nous saluons, nous échangeons quelques banalités d’usage.

Puis après un rapide coup d’œil circulaire, il se penche vers moi et me demande à voix basse :



Il semble étonné par ma réponse directe :



J’ai déjà vu des personnes étonnées, mais là, je crois que c’est réussi. Il bafouille :



Le bonhomme se gratte la tête en me regardant d’un air presque admiratif :



Il lève les yeux au ciel :



Je pose ma main sur son épaule :



Mon interlocuteur hoche de la tête :



Incrédule, il s’exclame :



Il me regarde d’un air très dubitatif. J’en profite pour le saluer et m’éclipser.

Quand plus tard, je relate la totalité de cette rencontre à ma (vraie) femme, ça la divertit beaucoup. Elle en tire aussitôt une maxime :



Je souris :



Spontanément, je capture dans mes bras ma femme, la plaquant contre mon corps, et l’embrassant passionnément. Elle se coule contre moi, répondant à mes baisers. Quelques longs instants plus tard, quand nos lèvres se séparent, elle me gronde gentiment :



Que voulez-vous répondre à ça ?




Mercredi soir



Le soir venu, après une balade romantique pour se mettre dans l’ambiance, je décide de décharger à ma façon de ma frustration sur cette pauvre Blandine. Je me montre plus exigeant, décidant de montrer d’un cran dans nos pratiques intimes. Je vois bien à son air qu’elle est à la fois intimidée et émoustillée. La chanson de Madona me revient en tête : Like a virgin, touched for the very first time. Une vierge finalement allègrement consentante et qui semble avoir soif de découvrir bien des nouveautés.

Ça tombe bien, je me sens d’humeur doctorale ce soir !


Afin de la mettre en confiance, je la lutine tendrement pour commencer. Très vite, elle entrouvre ses jambes pour que ma main puisse lui donner plein de plaisir. Puis je me glisse entre ses cuisses restées largement ouvertes afin d’avoir la joie de plonger en elle et de la posséder. Une fois de plus, elle décolle dans mille petits cris étouffés, car elle ne sait pas encore se lâcher complètement, bien qu’elle n’en est plus trop loin. Tandis que son corps est secoué de tremblements, j’en profite pour l’inonder, afin de prendre totalement possession d’elle, tout en me vidant avec délectation.

Nous récupérons petit à petit. Blandine est lovée contre moi, telle une chatte. Elle ronronne :



Sous l’œil étonné de mon amante, je m’écarte un peu d’elle, je m’allonge posément sur le dos, verge pointée vers le plafond :



Elle ne dit rien, rougit un peu, mais s’exécute. Peu après, elle est totalement empalée sur ma queue sur laquelle elle tressaille, s’agite, tourbillonne, tandis que je masse ses seins voluptueusement. Elle gémit doucement :



Il ne lui faut pas longtemps pour jouir sans retenue, explosant dans mille petits cris inarticulés. Puis vaincue, elle s’affale sur moi, nichant son nez dans le creux de mon cou. Après un certain temps, elle finit par murmurer :



Délicatement, je caresse son dos et ses fesses :



Elle réfléchit un peu avant d’avouer :



Elle se remet dans la même position. J’en profite pour m’emparer du lubrifiant pour en badigeonner allègrement mon pal de chair. Alors qu’elle présente l’entrée de sa fente sur mon gland luisant, je l’arrête :



Elle s’exclame :



Elle me regarde avec des grands yeux :



Je pense l’avoir rassurée. Maintenant, il faut assumer, tout en doigté ! À moi de savoir la guider comme il le faut et lui faire apprécier cette pratique. Avec un doigt englué de lubrifiant, je taquine délicatement son petit trou :



Peu après, je cale mon gland contre la cuvette légèrement évasée. J’explique :



Je la regarde droit dans les yeux :



Je sens son poids sur le bout de ma verge, preuve évidente qu’elle obéit. Je glisse mes deux mains sous ses fesses pour les écarter un peu plus et aussi pour la porter à moitié. Je lis un peu de peur dans son regard, mais aussi de la curiosité.



J’écarte mieux encore ses fesses pour faciliter l’introduction. Soudain son cul descend un peu, je pense qu’elle a trouvé le bon angle. Je la complimente :



Tandis que ma colonne de chair disparaît peu à peu, je câline sa chatte, lui offrant du plaisir par-devant. Sa peur disparaît, laissant la curiosité et le plaisir remplir son regard. Le temps s’écoule lentement, je pénètre doucement dans ses entrailles inexplorées. Le fait d’être le premier à les visiter est fort jouissif.


Toute ma tige vient de disparaître, ses fesses reposent à présent sur mes cuisses. Elle s’exclame :



Ôtant mes doigts poisseux d’où ils sont, je joins l’acte à la parole, Blandine me regarde droit dans les yeux, figée, immobile. Je la conseille :



Elle s’exécute. Elle oscille lentement. Vu son expression, ça l’étonne et ça semble lui plaire. Alors elle s’enhardit, ondulant plus largement.



Elle sourit faiblement, comprenant l’allusion. Puis je recommence à la masturber. Peu après, elle gémit, toujours figée sur mon pieu de chair qui la farfouille allègrement, grâce à ses mouvements de plus en plus hard et hardis ! Je décide de passer à l’étape suivante en commençant un lent pistonnage. Je constate avec plaisir qu’elle m’accompagne dans ce va-et-vient qui devient de plus en plus fort. Ses cris deviennent plus rauques. Je capture fermement ses seins qui ballottent afin de les posséder avidement.


Soudain, beaucoup plus vite que je ne le pensais, ses contractions s’intensifient, elle décolle, elle jouit intensément. Je décide à mon tour de me relâcher, envoyant mon sperme dans ses sombres entrailles. Je perds pied, car ma jouissance a été très forte, à la fois due à son étroit conduit, mais aussi du fait que je l’ai dévirginisée du cul, ce qui n’est pas une mince affaire à réussir dans les règles de l’art pour la plus grande satisfaction des deux parties.


Avant de sombrer complètement, je me dis que les prochaines séances de baise vont revêtir un aspect de plus en plus hardcore, comme le disent si bien les Anglo-saxons.




Jeudi matin



Au petit matin, Blandine et moi avons discuté de ce qui s’est passé hier. Elle m’avoue que ça lui a beaucoup plu, et qu’elle n’aurait jamais osé penser que ça puisse procurer tant de plaisir. Je lui explique que, si on brûle les étapes, ça peut parfois très mal se passer. Mais si on fait les choses dans les règles de l’art, tout ira pour le mieux, la plus évidente preuve fut hier soir.


Se faisant câline, blottie contre moi, elle me complimente :



Je sens qu’elle a envie de rajouter quelque chose. Je lui demande :



Je la serre tendrement contre moi. Puis, délicatement, nous faisons l’amour tout en douceur. Il faut savoir jouer les montagnes russes et contraster. Le noir s’apprécie en fonction du blanc, et vice-versa.


Une heure plus tard, nous sommes à nouveau tous les quatre sur la plage où nous avons pu dénicher quatre places disponibles, les unes à côté des autres. Les Didines sont dans l’eau, nénés à l’air, et nous, les hommes nous les regardons s’ébattre. Barnabé me confie :



En entendant ma réponse, il exclame aussitôt :



Je ne mens pas, mais j’ai bien précisé : avec un couple rencontré en vacances. En revanche, en dehors des vacances, ce n’est plus un chiffre, mais un nombre à deux chiffres que je devrais indiquer. Néanmoins, Barnabé s’étonne d’un autre point de ma réponse :



J’explique cette différence de nombres :



Nous continuons à regarder nos femmes s’amuser dans l’eau, toutes les deux, seins nus. Barnabé rompt le silence :



Il me sourit :



Il semble songer à quelque chose, je le laisse cogiter. Il me demande :



Barnabé soupire :



Devant cette constatation linguistique, je rigole :



S’il y a encore, de la place, est-ce que nous jouons les prolongations, ou bien, on s’en tient au calendrier initial ? Amandine ne va-t-elle pas se lasser de son nouveau jouet. Idem pour moi avec Blandine ? Je vais aller poser la question et on verra. Comme Barnabé est nul en langues étrangères, même si je lui mens, il n’en saura rien. Sauf s’il demande à la personne de l’agence qui sera de passage demain.


En attendant, je préfère contempler les deux naïades qui sortent de l’eau, un beau spectacle comme je les aime, leurs seins nus et humides accrochant la lumière du soleil et oscillant à chaque pas !




Jeudi après-midi et soir



Rien de particulier à mentionner pour l’après-midi, qui s’est déroulé à la plage. Pour changer, Barnabé et Amandine ont loué un gros scooter de mer et sont partis en balade. Ils sont revenus juste à temps avant la fermeture du restaurant. Nous les avons croisés en coup de vent alors que nous étions attablés près de la piscine et du bar, Blandine sacrifiant à son rituel à base de boisson orangée et sucrée.


Ah oui, j’oubliais un point de détail : non, pas de possibilité de jouer les prolongations, l’hôtel est plein à craquer, ce qui arrange un peu mes affaires, je le reconnais. Mais si nous avions décalé notre séjour quinze jours plus tard, ç’aurait pu se faire sans problème. Barnabé a été déçu, très déçu. Nous avons décidé de ne rien dire à nos femmes.


C’est alors que repensant à Roda, j’ai avisé les quads à louer, garés près de l’accueil. Je propose à Blandine :



Il n’empêche que dix minutes plus tard, nous partons sur un quad, afin de longer le bord de mer. Blandine s’accroche fortement à moi. L’intérêt est que je sens très bien ses seins écrasés contre mon dos. L’inconvénient est qu’elle va finir par m’étouffer.


Soudain, elle enlève une main. Je lui demande :



Et je continue à rouler en bordure de mer, faisant jaillir des jets, au grand amusement de Blandine. Quelques minutes plus tard, je constate que le bout de la baie s’arrête sur des tas de rochers infranchissables. Un peu à l’écart, j’arrête le quad, puis j’aide ma passagère à descendre. J’annonce :



Elle proteste :



Quelques secondes plus tard, nous sommes dans l’eau, tous les deux nus. J’en profite pour lui faire des câlins. Elle ne proteste absolument pas. Alors que je me fais de plus en plus entreprenant, elle me demande :



Ce qui ne nous empêche pas de nous embrasser. Elle s’offre même le luxe de se frotter contre mon sexe. J’adore sentir sa touffe sur la peau de ma verge !


Nous ressortons de l’eau, Blandine fait un peu de nudisme, dans les rochers, cachée de la plage. Parfois j’ai l’impression d’avoir affaire à une ado qui souhaite passer de l’enfance à l’âge adulte. Bien sûr, j’en profite pour la câliner un peu. Puis nous repartons, direction l’intérieur des terres et le Pamela Beach, ses seins toujours écrasés contre mon dos. Si j’avais su, j’aurais loué plus tôt un quad pour une demi-journée ou plus, et j’en aurais profité pour lutiner Blandine dans le moindre endroit adéquat. Mais comme demain, il est convenu qu’on passe la journée à quatre…


Vingt heures, toujours personne. Nous décidons d’aller manger sans Amandine et Barnabé. C’est vers presque vingt et une heures trente que l’autre couple pointe le bout de son nez alors que nous sommes installés dans la partie-bar. Ma femme m’explique :



Tandis que l’autre couple part dîner, je demande incidemment à ma voisine tout en désignant son verre à moitié vide :



Je rigole posément :



Elle fait un petit geste comme pour chasser ma fausse question :



Puis elle finit son verre, elle se lève et m’annonce :



Elle chancelle un peu, je la prends par la taille pour retourner à notre chambre. Devant la porte, elle me lance :



J’ouvre la porte, puis je l’assieds sur le lit :



Toujours un peu chancelante, elle semble réfléchir, puis elle dit :



Elle lève la tête pour mieux me regarder :



Je constate que le kumquat libère sa parole :



Elle plisse un peu les yeux :



Je ne m’attendais pas à cette question ! Je réponds pragmatiquement :



Je me mets à rire :



Elle marque un gros temps d’arrêt, ayant visiblement quelque chose à me dire, sans oser le dire. Je préfère ne rien dire pour l’instant. Je m’assieds à côté d’elle, puis je l’attire contre moi, sa tête sous mon menton.



Je souris, elle ose enfin demander certaines choses. Je vais donc me faire un plaisir de la satisfaire, mais avec un léger changement de programme. M’étant dévêtu, je m’allonge sur le lit, verge pointée vers le plafond :



En un rien de temps, elle est nue, tandis que je l’embrasse partout, laissant courir mes mains sur tout son corps. Elle participe un peu plus que d’habitude, elle se décoince, c’est très bien. Après quelques préliminaires, je lui demande :



Se redressant sur un coude, elle hésite un peu. Puis, me dévisageant, elle lâche :



Je lui décroche un large sourire :



Elle s’exécute, m’exposant son beau popotin. Je m’exclame :



Maintenant, tout est en place. À nouveau, il va falloir assumer, tout en doigté ! Je taquine délicatement son petit trou afin de le lubrifier comme il se doit. Blandine soupire et frissonne d’aise, c’est évident.



Peu après, abaissant ses fesses vers ma verge bien raide et lubrifiée, je cale mon gland contre la cuvette délicatement évasée.



Elle s’empare du bout des doigts de ma verge, tandis que, de mes deux mains, j’écarte ses fesses pour bien dégager son sillon. Peu après, une grosse pression s’exerce sur le bout de ma verge.



Tout en les soutenant, j’écarte mieux encore ses fesses pour faciliter l’introduction. Ma tige s’engloutit petit à petit dans son long tunnel sombre. Je lui dis :



Blandine lâche ma verge et retire sa main, comme je lui ai demandé. Quelques centimètres disparaissent encore, elle soupire :



Intriguée, elle me demande :



Mon pieu de chair disparaît peu à peu en elle. Nous en sommes à un peu plus de la moitié. Elle me demande :



Ma tige continue de s’engloutir entre ses fesses. Je soutiens toujours ses fesses. Soudain, elle lâche une de mes jambes, je comprends vite qu’elle a envie de se masturber.



Nous y sommes presque. Dans peu de temps, ses fesses vont reposer sur mon pubis. Ça y est, toute ma tige vient de disparaître. Elle soupire abondamment :



Elle reste immobile, la tête penchée vers mes pieds. Puis faiblement, elle remue du bassin, comme pour mieux me sentir en elle. Elle oscille lentement, elle se penche un peu en arrière. Puis elle commence à onduler autour du pieu rivé en elle.



Puis elle recommence à se masturber. Presque tout de suite, elle gémit. Mes mouvements en elle se font de plus en plus puissants et hardis ! Tandis que mon pitonnage augmente, ses cris deviennent plus voilés. Je constate avec plaisir que ses seins ballottent en même temps de mes coups de boutoir.



Ses contractions s’intensifient, ma verge les ressent nettement. Soudain, elle jouit ardemment dans un long cri rauque. Mes mains rivées à ses hanches, je continue mon pistonnage :



À mon tour, je jouis, propulsant ma semence au plus profond. Après que je me sois carrément vidé, je ne sais plus trop bien, j’ai droit à un aller direct pour la petite mort sans phase intermédiaire. Peut-être l’excitation de dévoyer à fond cette petite oie blanche et de la faire glisser sur la pente de la perversion…


Nous sommes allongés l’un à côté de l’autre, en train de récupérer. Je lui demande :



Caressant mon torse, elle met un peu de temps à répondre :



Elle rougit :



Très gênée, elle tergiverse beaucoup :



Puis elle se niche un peu plus contre moi. Je la serre un peu plus pour mieux ressentir son corps et ses courbes. Je constate vite qu’elle fait une fixette sur mon sexe avachi. Je lui demande :



Elle rougit. Plissant des yeux, elle continue de regarder attentivement mon sexe tout flasque. Je crois deviner sa pensée :



Je la contemple avec un large sourire :



Elle ne répond rien, toujours fascinée par mon sexe maculé de sperme. Je décide de donner un petit coup de pouce :



Docile, elle s’approche de mon bas-ventre, puis donne un furtif coup de langue. Elle marque une petite pause, puis donne un deuxième coup de langue. Puis d’autres…


Peu de temps après, je suis à nouveau en pleine forme, à nouveau disposé à faire bien des cochonneries avec Blandine. C’est notre avant-dernière nuit, ici en vacances, autant en profiter allègrement avant de repartir chacun chez nous.


Quand nous nous sommes endormis, nous avions fait l’amour cinq fois. La résistance de Blandine augmente. Tout en la tenant serrée contre moi, tandis qu’elle dormait déjà, je me suis plu à imaginer ma Didine parachutée dans un gang-bang, afin qu’elle aille jusqu’au bout d’elle-même…


J’ai souvenir d’avoir lu qu’une actrice X avait dépassé les neuf cents partenaires ou rapports, je ne sais plus ! Jusqu’où Blandine aurait-elle pu aller ?




Vendredi matin



Rien de spécial ou de marquant ce vendredi, si ce n’est comme une sorte d’urgence devant le départ qui est prévu pour demain.


Blandine est fébrile, je vois bien qu’elle veut emmagasiner un maximum de plaisir, de découvertes, d’expériences, mais qu’elle reste tiraillée entre son côté prude et son côté aventure. Il est vrai qu’il n’est pas facile de faire une croix sur une mentalité de toute une vie.


Elle se refuse d’évoquer ce qui pourrait se passer, une fois tout le monde rentré à la maison. Je suppose qu’elle attend de voir ce que donnera la vie en couple avec son mari. Si Amandine a bien fait son boulot, ce dont je ne doute pas, Barnabé devrait se révéler meilleur amant. Mais le petit souci est que l’anatomie et les aptitudes de Blandine sont quand même en dessous de celles de ma femme. Ou pour faire simple, le comparatif ne tourne pas en faveur de Blandine. Mais pas question de me séparer de ma femme ! J’accepte qu’elle s’amuse ailleurs de temps à autre, mais sans plus.


Je reconnais que Blandine est un agréable en-cas. Ça me change, ça me rajeunit même, me replongeant à une époque où, moi aussi, je tergiversais. De plus, j’avoue que ça m’amuse de jouer les professeurs et de dévergonder allègrement une prude femme timide. C’est assurément une jouissance de gourmet !


En attendant, je suis vautré sur son dos, en train de frotter ma verge sur ses fesses. Blandine a déjà joui deux fois ce matin, et elle m’a carrément demandé de me vider sur elle avant d’aller déjeuner. J’ai donc décidé de le faire ainsi.


Pour m’aider, elle remue posément du popotin, chose impensable il y a quelques jours. C’est alors qu’une idée germe dans ma tête :



Je continue de me frotter sur les fesses de Blandine, m’égarant parfois dans son sillon. Je continue à dérouler mon idée :



Peu après, j’éjacule entre ses fesses, je m’offre même le luxe de forcer légèrement son petit trou pour en déposer un peu dedans. Obéissante, Blandine met une jupe sans rien d’autre, sauf un top léger. Puis nous descendons manger. En chemin, elle me dit :



Soulevant carrément sa jupe, je jette un coup d’œil :



Elle ne répond rien, mais son sourire parle pour elle.


À la plage, Blandine se laisse aller, elle a emprunté un string à Amandine, et ça lui va très bien ! Même s’il dévore toujours du regard ma femme, Barnabé semble porter un peu plus d’attention à sa propre femme. Et il n’est pas le seul sur cette plage. Je me demande ce que Blandine sera capable d’oser lors de ses prochaines vacances…


En clair, je suis fier de moi, et il y a de quoi l’être quand j’admire le spectacle qu’offrent nos épouses. Une fois de plus, Barnabé me félicite :



Même topo l’après-midi, nos deux femmes en tenue riquiqui qui s’ébattent dans l’eau puis qui se font dorer recto verso au soleil. De temps à autre, je caresse ou j’embrasse les fesses, les seins, le dos, le ventre de ma fausse épouse qui apprécie l’hommage. Barnabé se fait un plaisir de m’imiter, mais sur ma femme. Par deux fois, j’ai pu apercevoir fugacement un petit rictus sur le visage de Blandine tandis que son homme bisoutait Amandine. Peut-être aurions-nous dû nous séparer et occuper des emplacements différents et éloignés.


Dommage que je ne puisse pas faire l’amour à Blandine, ici sur la plage. Il y a beaucoup trop de monde, sans parler des enfants.




Vendredi soir



Le soir dans la chambre, je la félicite :



Posant mon T-shirt sur une chaise, je la relance :



Elle se contente de sourire. Je lui fais signe d’approcher :



Je la capture dans mes bras, et mes lèvres lui font vite comprendre que je la désire. Il est vrai que demain, nous repartons chez nous, chacun de notre côté. Tout au plus, demain matin, je pourrais encore lui faire l’amour, mais pas plus, je suppose.


Nos lèvres se détachent, elle prend la parole :



Elle me repousse un peu, alors je la libère. Libre de ses mouvements, elle demande :



Elle pouffe de rire :



Je me déshabille complètement. Mon sexe bien raide pointe vers Blandine. Je lui demande :



Je vois bien qu’elle hésite sur la suite à donner. Alors je décide de prendre les rênes en ordonnant d’une voix sans réplique :



Parfois, il faut savoir donner un petit coup de pouce…


Elle ôte tous ses vêtements tandis que je m’assieds au bord du lit, jambes écartées. Préparant la suite, je dépose à mes pieds un oreiller. Contrairement à quelques jours, elle se déshabille sans trop minauder, comme si c’était devenu naturel, le tout sous mon regard. Je lui explique la suite :



Elle rougit un peu, mais elle s’agenouille quand même sur l’oreiller.


Ça va faire quatre-cinq minutes qu’elle me suce, agenouillée devant le lit. Parfois, il faut que je la dirige, mais dans l’ensemble, c’est une élève appliquée.



Je capture sa tête entre mes mains :



Je la sens frémir sous mes doigts, mais elle ne proteste pas, elle ne tente pas de se dégager. Depuis dimanche, Blandine a fait des progrès. Avec une ou deux semaines de plus, elle aurait pu devenir une sacrée dévergondée. Mais il lui resterait un bon bout de chemin pour égaler ma femme.


Je sens que je ne vais plus savoir résister bien longtemps, je le fais savoir :



Encore quelques lècheries dans sa bouche bien chaude, puis je me laisse aller, j’éjacule, lançant un premier jet. Blandine a un petit sursaut, mais elle garde ma verge entre ses lèvres et vaillamment, elle avale mot flot de semence. Tandis que je mollis dans sa bouche, elle continue de me servir, ayant compris qu’il convient à présent de me nettoyer. Puis je relâche mon étreinte.


Peu après, nous sommes allongés sur le lit, elle lovée contre moi :



Dégoûtée, elle frissonne :



Par la suite, plusieurs fois, je l’ai fait jouir en la pénétrant à chaque fois de façon classique. Vers la fin, je me suis offert le luxe de lui demander de me sucer alors que j’avais éjaculé en elle. Elle s’est exécutée sans difficulté. Il est vrai qu’elle était assez fatiguée de toutes ses jouissances, n’ayant pas une grande résistance à ce niveau.


Épuisée, rompue, repue, elle s’est endormie, lovée contre moi. J’avais encore de la réserve pour l’honorer encore plusieurs fois, ma femme m’ayant habitué à des joutes plus longues. Mais un bon sommeil réparateur, c’est très bien aussi.




Samedi matin



Ce matin, au réveil, Blandine fait la moue :



Se redressant dans le lit, elle met carrément ses seins sous mon nez :



Capturant un sein, je dis :



Il ne faut jamais contrarier une femme quand elle est dans de bonnes dispositions.


C’est une sacrée baise, c’est le moins que je puisse en dire ! Blandine est tellement vraiment, du moins à l’aune de son échelle. À titre de comparaison, Amandine m’en a fait voir beaucoup plus, et elle m’a mis plus d’une fois sur les genoux, alors qu’actuellement, j’arrive à contrôler la situation.


Fourbue, en sueur, Blandine est allongée sur le ventre, en train de récupérer alors que je garde une assez bonne forme générale, mais pas assez pour un marathon. Je suis en train de dévorer les fesses dodues de mon amante qui ne s’y oppose pas. Puis écartant ses fesses, je commence à léchouiller son petit trou qui s’évase légèrement.


Je me redresse afin de lubrifier mon sexe. Tandis je le lubrifie, je dis à Blandine :



Je tapote sa fesse :



Je saisis la base de ma verge afin de bien la diriger vers la bonne cible. Blandine pousse un petit cri étranglé quand je dépose une grosse noisette au bord de son petit trou. Puis ceci fait, je pose mon gland qui épouse sa cuvette ourlée.



Lentement, j’enfonce mon bout qui s’engouffre dans son petit trou qui se referme autour de ma tige. J’aime être ainsi au bord, avant qu’aller disparaître totalement dans ses profondeurs. Elle ahane tandis que je m’enfonce voluptueusement en elle, centimètre par centimètre pour arriver enfin tout au fond, mes testicules reposants sur ses fesses. Alors je me vautre sur elle, en appui sur mes coudes afin de ne pas l’écraser sous mon poids. Je glisse à son oreille :



Tandis que ses doigts s’agitent plus bas et frôlent souvent mes testicules, elle réplique :



Je commence à remuer en elle :



Je la pistonne longuement, puissamment :



J’accélère le mouvement. Elle gémit, se masturbant comme une petite folle. J’essaye alors quelque chose de nouveau :



Je continue ma torture :



Elle gémit, puis elle explose à la fois en paroles et en jouissance :



À mon tour j’explose, mêlant les cris aux siens. Avant de sombrer, je me dis que, finalement, les remparts de cette belle cochonne en puissance étaient assez faibles. Dommage que nous soyons déjà samedi, je ne saurais pas jusqu’à quelles turpitudes j’aurais pu la pousser…


Non, je ne saurais pas… sauf si je continue de la voir… Mais est-ce une bonne idée ?


Je m’en fiche, je suis en train de me perdre dans des nuages cotonneux, entouré de blancheur câline, de tiédeur apaisante, de quiétude rassurante…




Samedi matin – Intermède



Sortant de la chambre, je laisse Blandine se reposer un peu. En allant voir à l’accueil, je me fais accoster par la même personne que mercredi, c’est-à-dire le mari de la rousse.



Il rentre tout de suite dans le vif du sujet :



L’homme fait une petite grimace :



Je prends la carte. Ce nom ne m’est pas inconnu. Je réalise alors qu’il s’agit peut-être d’un garagiste proche de chez moi. Je lui demande :



Nous convenons de nous téléphoner au milieu de la semaine prochaine, pour ensuite convenir d’un rendez-vous. Ce monsieur souhaite que je devienne en quelque sorte son conseiller technique, car il a décidé de profiter un peu plus de la vie et des femmes qu’on croise.


Je fais ce que j’ai à faire, puis je remonte chercher Blandine pour profiter une dernière fois de la plage et aussi de ma fausse femme.




Samedi après-midi



Juste après le repas du midi, le bus nous attend pour nous conduire à l’aéroport. Une fois sur place, les formalités accomplies, nous en profitons pour acheter divers souvenirs, car l’année dernière, nous avions constaté avec étonnement que, pour certaines choses, c’était finalement souvent moins cher ici que dans la plupart des boutiques de Roda.


Dans l’avion, je m’installe à côté de Blandine. Barnabé fait de même avec Amandine. Mais cette fois-ci, nous sommes séparés. Ma compagne de voyage se confie :



Blandine s’agrippe à mon bras :



À cet aveu direct et franc, je ris :



Puis nous nous faisons des petits câlins durant tout le trajet. Blandine n’hésite pas à poser carrément sa main sur mon pantalon, à son endroit le plus stratégique, ce qui me fait réagir comme tout mâle normalement constitué. Et je constate que ça l’amuse beaucoup. Oui, elle a bien changé en une semaine, je crois même revoir ma femme à nos débuts. Quoiqu’Amandine était déjà bien délurée quand je l’ai rencontrée.


À l’arrivée, une fois sortis de l’avion, alors que nous nous dirigeons pour récupérer nos valises, Blandine s’approche de Barnabé, et lui prend la main :



Son mari la regarde, interloqué :



Aussitôt, il la coupe :



Pour toute réponse, il l’embrasse passionnément. Visiblement ravie, elle se laisse faire. Les regardant faire, Amandine et moi sommes très contents pour eux deux. Un peu plus tard, visiblement ravie et émue, Blandine nous confie :



Je m’esclaffe joyeusement :



Malicieuse, ma femme ajoute :



Nos valises récupérées, nous nous séparons simplement, sans chichi. Puis ma femme et moi, nous les regardons s’éloigner petit à petit, main dans la main. Amandine soupire :



Serrant ma femme contre moi, j’opine du chef :



Traînant nos valises à roulettes, nous avançons paisiblement vers l’endroit indiqué par la société de navettes. Je demande :



Amandine acquiesce :



Nous éclatons de rire. Puis bras dessus, bras dessous, nous avançons d’un pas joyeux vers le point de rencontre. Oui, j’ai eu un bol monstrueux en rencontrant Amandine, c’est même pour ça que je l’ai épousée malgré diverses expériences malheureuses avec d’autres femmes, et je compte bien profiter de ma femme pour le reste de mes jours.