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n° 19918Fiche technique10447 caractères10447
Temps de lecture estimé : 7 mn
28/11/20
Résumé:  Une séance de kiné qui finit en baise dans les bois.
Critères:  fh médical nympho forêt fsoumise hdomine voir noculotte fsodo
Auteur : Sensuel(le)      Envoi mini-message
Excitée par une visite chez le kiné

Ma femme n’a pas de culotte, elle n’en porte jamais, et moi jamais de slip.

Elle en porte uniquement pour aller chez le médecin, et la jette après, donc elle prend une culotte toute simple à deux sous, elle s’arrange toujours pour l’enlever rapidement et la jeter dans une poubelle… parfois elle va dans les toilettes, parfois elle s’arrête dans un coin et l’enlève rapidement. Quand elle n’y arrive pas, c’est dès qu’elle est assise dans la voiture qu’elle l’enlève.


Il y a peu, juste entre deux confinements, elle s’est exhibée sans le vouloir. L’exhibition n’est pas notre tasse de thé, même si parfois nous percevons des regards qui en disent long sur ce qu’ils voient.


Ma chérie, Chantal, est une jolie femme, blonde, mince et très féminine.

Déjà quinqua, elle attire encore de très nombreux regards. Elle a du sex appeal, comme on me dit. Jamais provocante, juste élégante et féminine. Les soutiens en dentelle ou balconnets ne sont que pour me plaire, ainsi que les porte-jarretelles et ses bas noirs.


La pauvre ressentait des douleurs dans le dos. Son médecin a décelé un petit problème de lombalgie.



De retour à la maison, elle prend rendez-vous chez un kiné de la région. Rendez-vous qu’elle obtient rapidement, dès le lendemain.


Le lendemain, nous profitons de ce voyage forcé pour nous arrêter dans l’un ou l’autre commerce de détail. Comme à son habitude, elle est en jupe.



Elle m’interrompt :



Nous voici donc dans le cabinet du praticien. Elle lui explique quels sont les maux ressentis.

Le kiné :



J’étais avec elle et je promets que c’est vrai.

Elle s’est levée et m’a regardé.

Je comprenais son regard, à la fois interrogatif et effrayé…

J’ai haussé les sourcils et les épaules, signifiant de la sorte qu’elle fasse comme elle voulait… bien qu’elle n’ait pas beaucoup de choix.

Derrière un petit paravent, elle s’est déshabillée rapidement, juste un tee-shirt et sa jupe à enlever.

Elle s’est couchée en soutien, et a dit d’une voix étranglée :



Et elle termine par un petit rire.

Le kiné, respectueux a posé une serviette sur ses fesses. Il l’a massée, longuement, avant d’apposer une compresse de lin dans le creux des reins, délicatement, en prévenant que c’était chaud.



Et le brave a quitté la pièce, nous laissant seuls…



Ma petite femme était bien les yeux clos, pas de bruit.


À son retour :



Il a ôté la compresse et :



Elle a dit « oups » et s’est exécutée, prenant garde de se couvrir le pubis avec la serviette.

Elle serrait les jambes, bien étendues, je voyais le début de sa petite chatte… belle petite ligne bien nette de son charmant entrejambe.


Continuant sa séance de soins, le kiné lui a fait fléchir les jambes, puis jambe après jambe, il les faisait étendre puis redresser sur la poitrine. Ma petite chérie se mordait un peu la lèvre inférieure et me regardait, évaluant ma réaction.

La serviette devenait désuète


Je voyais les yeux du kiné qui allaient vers sa chatte totalement épilée. Avec les mouvements, les lèvres s’ouvraient et j’ai remarqué qu’elle mouillait. En a-t-il fait plus que ce qu’il devait, je ne sais pas, mais les mouvements me paraissaient bien longs. Les soins finis, on est sortis…

J’ai dit :



Réponse spontanée :



Ce qu’on a fait…

Le cabinet est situé dans un domaine résidentiel portant le nom de « bois de l’abbaye ». Un très bel endroit où je croyais qu’elle voulait se promener.


Malgré l’heure (après-midi), elle m’a très vite mené vers un buisson, disant :



Elle s’est dépêchée de détacher ma ceinture et m’a demandé :



J’ai baissé mon pantalon, et elle s’est tournée remontant sa jupe au-dessus de la taille et s’est penchée.



Ma queue à peine dressée s’enfonça dans sa chatte résolument trempée. J’ai donné deux trois mouvements de va-et-vient puis j’ai été obligé d’arrêter. Déjà elle avait éjecté mon sexe sans changer de position.



Je l’avais donc à peine pénétrée dans la chatte qu’elle la voulait dans son cul.

Je n’allais pas assez vite, elle suppliait



Elle écartait ses fesses. Elle poussait et retirait son anus, tout sec, façon d’appeler ma queue en elle. Ses jolies fesses bien rondes, sa jupe troussée, j’étais excité. Ses propos me commandaient de la prendre violemment, ce qui n’était pas pour me déplaire, je l’avoue.


Cette fois, j’ai placé mon gland contre son petit trou, j’ai tenu une de ses épaules et je l’ai sodomisée d’un coup. Ma queue est entrée jusqu’aux couilles, je l’ai enfoncée sans ménagement, sans hésiter bien profondément.



Elle a arraché son soutien vers le haut, faisant balancer ses seins.



J’ai empoigné ses seins, et je les ai écrasés, enfonçant les doigts dans les tétons, puis je les ai tirés vers le bas et les côtés. Je faisais tout ce que je pensais, frapper, pincer ses bouts bien durs, les tordre sans retenue. Elle voulait avoir mal, je ne la ménageais pas.

Je profitais totalement d’une baise sauvage, je prenais plaisir autant qu’elle a lui faire mal aux seins. Les coups de boutoir se sont accélérés. Je la remplissais à fond, ses cris et gémissements attestaient qu’elle avait mal et qu’elle en éprouvait du plaisir.


Ça a été très vite, ses « oui, encore, oui » ont fini de m’achever et j’ai déchargé dans son cul, bien au fond une giclée de sperme, « mmm, dieu que c’était bon ! » Puis j’ai terminé par de gros coups de queue violents dans son petit trou…


Elle s’est bougée et se retournant, sans se redresser, a pompé ma queue jusqu’à ce qu’elle mollisse.

Relevée, elle a remis son soutien en place.



Je te demande pardon que le kiné a vu ma chatte qui n’est qu’à toi.



Moi non, et pendant ce non, elle avait glissé sa main sous sa jupe et essuyé le sperme avec sa main, qu’elle a ensuite léchée…

Nous sommes repartis et, dans la voiture, elle m’a demandé si j’avais aimé, puis annoncé :



Inutile de vous dire la réponse (je pourrais vous narrer cette soirée… une autre fois)

Depuis cette récente date, parfois on commence gentiment, et l’un ou l’autre dit « on fait comme au bois »…

Ce récit est véridique, il manque des mots, des expressions, mais j’ai retransmis au plus fidèle.


Étant adepte du sans-culotte, elle essaie au plus que ce soit notre jardin secret.

Elle n’est pas exhibe, mais se doute que certains auront déjà vu ou deviné sa petite chatte… à n’en pas douter, car j’ai déjà eu l’occasion, étant devant elle, assise, en société, malgré une belle pose, je voyais son entrejambe. Si je le vois, d’autres le voient… et si je lui fais un bisou volant et un clin d’œil, c’est notre signe pour dire « on le voit »… et souvent elle regarde autour, et s’il n’y a pas de regards ennuyeux, elle se dandine un peu pour écarter un peu ses jambes, pour mon meilleur plaisir.


C’est notre petite plage privée, notre jardin secret.

Dans un autre récit, je vous narrerai comment nous y sommes arrivés et les premiers jeux érotiques qui en ont découlé…

J’avoue que j’ai une femme extraordinairement belle, amoureuse, et coquine…