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n° 19930Fiche technique9816 caractères9816
Temps de lecture estimé : 7 mn
06/12/20
Résumé:  Un bon repas et une occasion à saisir.
Critères:  fh cocus inconnu caférestau toilettes fsoumise exhib fellation préservati fsodo -occasion
Auteur : Mauricebernard  (Couple de complices libertins)      Envoi mini-message
Sortie au restaurant




Patricia et moi avons décidé d’occuper agréablement cette journée parisienne en escapades libertines, partagées avec le sourire et le plaisir de notre complicité. Elle, la soixantaine élégante, mince dans une robe apparemment sage, mais dont la ligne laisse deviner les courbes de son adorable petit cul, avant de découvrir ses jambes fines et agiles. Ses cheveux gris et courts mettent en valeur l’éclat de son regard bleu, toujours à l’affût d’une occasion à partager. De sa bouche fine et douce, à ses doigts fuselés, tout fait penser en elle au plaisir qu’elle sait si bien donner et recevoir. À la voir ainsi, un connaisseur devinerait ce qui se cache derrière son apparence classique et ne peut qu’être tenté de la séduire.


C’est ainsi que nous nous installons à une bonne table d’un restaurant de qualité. Le décor typique des grandes brasseries parisiennes incite aux plaisirs de la bouche… pour l’instant, tout du moins.


Assise devant moi, sur la banquette de velours sombre, Patricia a commencé à déguster son excellent repas quand je décèle dans ses yeux la petite lueur qu’allume toujours l’émergence d’une opportunité coquine. D’ailleurs, la pression tendre et continue qu’elle effectue du bout de son pied contre ma jambe est faite pour que je partage son début d’excitation.



Avec un regard appuyé vers l’homme, par-dessus mon épaule, Patricia me glisse à l’oreille, dans un souffle :



Tout en jouant avec l’inconnu, elle poursuit sa dégustation en prenant soin, de temps à autre, de passer son adorable petite langue sur ses lèvres.



Le repas tirant vers sa fin, il devient évident qu’une suite doit être donnée à cet épisode, qui a certes émoustillé ma chérie, mais qui doit la laisser insatisfaite, telle que je la connais. Nous aimons mettre en commun nos envies dans de telles circonstances et c’est avec fébrilité que je lui prends doucement une main et lui suggère :



Et, joignant le geste à la parole, Patricia glisse son autre main sous la table, s’agite un peu, et la ressort en me tendant ses doigts fins, luisants et légèrement gluants de sa chaleur. Je lèche et suce lentement son offrande et déguste sa liqueur tout en la fixant.



Tu te lèves alors en regardant dans la direction de l’homme et tu te diriges vers le petit escalier qui mène aux toilettes du restaurant. Peu de temps après, j’entends la chaise du type grincer sur le sol et je devine qu’il prend la même direction.

Les minutes suivantes sont toujours les plus fébriles lors de nos aventures : que fait-elle ? Que lui fait-il ? Mon ventre se crispe d’impatience et de la tentation de la rejoindre. Non, laissons-lui le temps de jouir de son aventure ! Le temps passe lentement, très lentement, et puis l’homme réapparaît, un peu gêné ; il retourne à sa place, saisit ses affaires et quitte le restaurant. Elle ne revient pas.

Je comprends le message silencieux qu’elle m’adresse ainsi et je descends à mon tour le petit escalier. Effectivement, elle est là, devant le lavabo et ajuste ses mèches courtes d’un geste doux et sensuel, le sourire avenant.



Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle a vécu son aventure. Une fois entrés et la porte close, elle s’assied sur la cuvette, me tend les mains à hauteur de mes cuisses et me fait revivre l’histoire.



Ma bite chaude et dure en main, elle poursuit son récit, tout en me caressant.



Il a bien compris combien j’aime ça aussi par là et il a commencé à assouplir mon anus du bout de son gland, puis il s’est penché et l’a ouvert avec sa langue… là j’ai joui une première fois !



Ce faisant, Patricia se relève et reprend la même position qu’il y a quelques minutes avec son baiseur. Son « petit trou » est resté dilaté par sa baise récente et je m’y glisse sans difficulté, tout en branlant sa chatte de mes doigts, comme si nous faisions une de ces doubles pénétrations qu’elle affectionne tant.