Patricia et moi avons décidé d’occuper agréablement cette journée parisienne en escapades libertines, partagées avec le sourire et le plaisir de notre complicité. Elle, la soixantaine élégante, mince dans une robe apparemment sage, mais dont la ligne laisse deviner les courbes de son adorable petit cul, avant de découvrir ses jambes fines et agiles. Ses cheveux gris et courts mettent en valeur l’éclat de son regard bleu, toujours à l’affût d’une occasion à partager. De sa bouche fine et douce, à ses doigts fuselés, tout fait penser en elle au plaisir qu’elle sait si bien donner et recevoir. À la voir ainsi, un connaisseur devinerait ce qui se cache derrière son apparence classique et ne peut qu’être tenté de la séduire.
C’est ainsi que nous nous installons à une bonne table d’un restaurant de qualité. Le décor typique des grandes brasseries parisiennes incite aux plaisirs de la bouche… pour l’instant, tout du moins.
Assise devant moi, sur la banquette de velours sombre, Patricia a commencé à déguster son excellent repas quand je décèle dans ses yeux la petite lueur qu’allume toujours l’émergence d’une opportunité coquine. D’ailleurs, la pression tendre et continue qu’elle effectue du bout de son pied contre ma jambe est faite pour que je partage son début d’excitation.
- — Aurais-tu quelque intention malsaine, ma chère coquine ?
- — C’est-à-dire qu’un type pas mal du tout me regarde depuis un moment et me sourit quand je le fixe… c’est bon signe, non ? me répond-elle dans un sourire.
- — Il t’a remarquée rien qu’en admirant ton élégance et le charme de ton visage ; c’est un esthète à n’en pas douter ! Voit-il plus de toi aussi ?
- — Eh bien… dit-elle en gigotant légèrement sur la banquette, je crois qu’il doit deviner un peu mes jambes, sur le côté. En tout cas, j’essaie de lui faire apercevoir.
- — Il est derrière moi et je ne vois pas sa réaction. Alors, dis-moi tout, comment réagit-il ?
Avec un regard appuyé vers l’homme, par-dessus mon épaule, Patricia me glisse à l’oreille, dans un souffle :
- — Il a vu et apprécie en m’envoyant de charmants sourires de connivence…
- — Hummm, j’imagine qu’il doit commencer à comprendre à qui il a affaire et toi aussi, peut-être ?
- — Je crois, et quelques sensations se manifestent au creux de mon ventre, tu sais.
Tout en jouant avec l’inconnu, elle poursuit sa dégustation en prenant soin, de temps à autre, de passer son adorable petite langue sur ses lèvres.
- — Tu vas le faire rêver de profiter de cette bouche si fine !
- — J’espère bien ! dit-elle dans un petit rire d’excitation.
Le repas tirant vers sa fin, il devient évident qu’une suite doit être donnée à cet épisode, qui a certes émoustillé ma chérie, mais qui doit la laisser insatisfaite, telle que je la connais. Nous aimons mettre en commun nos envies dans de telles circonstances et c’est avec fébrilité que je lui prends doucement une main et lui suggère :
- — Vas-tu le laisser s’en aller ainsi, coquine ? Dans quel état va-t-il devoir partir !
- — Oh, je me dis bien qu’il doit bander maintenant, autant que je mouille moi-même…
Et, joignant le geste à la parole, Patricia glisse son autre main sous la table, s’agite un peu, et la ressort en me tendant ses doigts fins, luisants et légèrement gluants de sa chaleur. Je lèche et suce lentement son offrande et déguste sa liqueur tout en la fixant.
- — Il a vu ! me lance-t-elle en retour.
- — Alors, que fais-tu maintenant, canaille adorée ?
- — Que faire, sinon descendre aux toilettes ? Il comprendra sans doute, non ? me demandes-tu en souriant.
Tu te lèves alors en regardant dans la direction de l’homme et tu te diriges vers le petit escalier qui mène aux toilettes du restaurant. Peu de temps après, j’entends la chaise du type grincer sur le sol et je devine qu’il prend la même direction.
Les minutes suivantes sont toujours les plus fébriles lors de nos aventures : que fait-elle ? Que lui fait-il ? Mon ventre se crispe d’impatience et de la tentation de la rejoindre. Non, laissons-lui le temps de jouir de son aventure ! Le temps passe lentement, très lentement, et puis l’homme réapparaît, un peu gêné ; il retourne à sa place, saisit ses affaires et quitte le restaurant. Elle ne revient pas.
Je comprends le message silencieux qu’elle m’adresse ainsi et je descends à mon tour le petit escalier. Effectivement, elle est là, devant le lavabo et ajuste ses mèches courtes d’un geste doux et sensuel, le sourire avenant.
- — Hummm, fit-elle, c’était bon ! Tu aurais pu venir, tu sais.
- — Non, je préférais te laisser faire. Alors, raconte !
- — Attends, viens avec moi dans la cabine où nous étions, je serai plus à l’aise pour te faire vivre toute l’histoire…
Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle a vécu son aventure. Une fois entrés et la porte close, elle s’assied sur la cuvette, me tend les mains à hauteur de mes cuisses et me fait revivre l’histoire.
- — Il m’a vite rejointe, tu sais, et sans un mot, il m’a suivie ici. Nous étions d’accord sur tout sans avoir à parler, nos yeux l’avaient fait pour nous ! Je l’ai tenu comme toi, là, par les hanches et, en le fixant son regard, je lui ai demandé d’ouvrir lui-même sa braguette, qui m’apparaissait bien remplie et tendue. Rapidement, il a glissé sa queue hors du pantalon et j’ai pu constater que mon petit jeu dans le resto avait fait son effet… Son sexe était en pleine érection, le gland tendu et ses couilles remontaient, gonflées. Tout en le maintenant devant moi, j’ai titillé légèrement sa queue du bout de ma langue, puis l’ai fait glisser tout du long, vers le bas, lentement, très lentement.
- — Hummm, fais-m’en autant alors !
- — J’y compte bien, donne-la-moi aussi maintenant…
Ma bite chaude et dure en main, elle poursuit son récit, tout en me caressant.
- — Je n’ai pas pu me retenir plus, tu me connais, alors j’ai ouvert la bouche et j’ai glissé son gland dedans, comme ça… hummm… bien au fond, tout en lui massant les couilles entre les cuisses. Je le sentais se tendre et rouler des hanches, je l’avais à ma merci.
- — Et toi ? Comment te sentais-tu ?
- — Oh, eh bien j’avais écarté mon string d’une main et je glissais mes doigts tout au long de ma chatte, évidemment. J’ai senti alors que son sexe se gonflait entre mes lèvres et il m’avertit qu’il aurait du mal à se retenir encore.
- — Tu m’étonnes, avec tes talents de suceuse, il n’allait pas tenir le coup longtemps !
- — Alors, je me suis levée et j’ai fait glisser mon string le long de mes dim-up, tout en me retournant, et lui, il s’est enfilé un préservatif et est venu se poster derrière mon « petit cul », comme tu dis. D’une main, j’ai écarté mes fesses pour bien lui ouvrir ma chatte et il s’est contenté de la tapoter du bout de sa queue. Tu sais comme j’aime ça, j’ai cru que j’allais jouir tout de suite… il étalait ma mouille en même temps entre mes lèvres et remontait aussi jusqu’à mon petit trou, si sensible aussi.
Il a bien compris combien j’aime ça aussi par là et il a commencé à assouplir mon anus du bout de son gland, puis il s’est penché et l’a ouvert avec sa langue… là j’ai joui une première fois !
- — Tu étais prête pour sa pénétration, alors.
- — Ouiiiiii ! Il s’est relevé et a poussé très lentement sa queue dans mon cul ; il savait fort bien s’y prendre de telle sorte que c’est entré sans douleur, d’abord son gland, puis tout son sexe jusqu’à ce que ses couilles touchent mes fesses. J’aurais aimé que tu voies ça, tu sais ! Tiens, fais-le-moi en même temps, maintenant…
Ce faisant, Patricia se relève et reprend la même position qu’il y a quelques minutes avec son baiseur. Son « petit trou » est resté dilaté par sa baise récente et je m’y glisse sans difficulté, tout en branlant sa chatte de mes doigts, comme si nous faisions une de ces doubles pénétrations qu’elle affectionne tant.
- — Dis-moi, lui soufflai-je à l’oreille tout en la prenant en levrette, où est donc passé ton string avec tout ça ?
- — Euh… c’était comme avec toi là, il m’a bien baisée et fait jouir par le cul et m’a demandé ce que je voulais pour finir. Je lui ai demandé de gicler sur mes fesses et mes reins, tu sais ! J’ai alors senti les jets s’étaler lourdement sur ma peau, ils me brûlaient presque, tellement il était chaud… puis il m’a essuyée justement avec le string et je lui en ai fait cadeau, en souvenir !
- — Toujours le cœur sur la main, ma petite chérie ! Tu as bien fait, car cela va lui rappeler un excellent moment, n’en doute pas.
- — À moi aussi, mon chéri, donne-moi ton gland que je te lèche encore un peu… humm !