n° 19931 | Fiche technique | 38347 caractères | 38347Temps de lecture estimé : 21 mn | 07/12/20 corrigé 02/06/21 |
Résumé: Après avoir fait l'amour ensemble, Géraldine et moi sommes installées sur la terrasse, profitant à la fois du jardin et du soleil, allongées sur des transats. Il y a comme un air de vacances à l'arrière de ma maison. | ||||
Critères: ff grp jeunes couplus vacances collection exhib caresses intermast fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo jeu confession nostalgie -libercoup -jeux | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Collection : Blitz Stories |
Cette petite série propose des récits courts et indépendants les uns des autres, avec le même couple comme point commun.
Ces histoires relatent des événements libertins plutôt rapides, éclairs (d’où le titre).
C’est un épisode de « repos », volontairement soft, je préviens d’avance.
Bonne lecture :)
En temps normal, bien que libertine depuis quelques années, je suis en général une personne assez prude dans mes élans affectivo-sexuels, je ne m’offre pas comme ça à n’importe qui, mais parfois j’ai mes coups de cœur, ou plutôt de queue.
Les enfants étant partis du nid, mon mari et moi, nous nous offrons des extras ci et là. Depuis bientôt trente, je vis avec Gilles, mon époux. Je suis une italo-allemande, ce qui explique mon physique très méditerranéen et aussi ma grande taille. Mon germanique de père m’a prénommée Sandra et j’aime mon prénom, à prononcer à l’allemande, c’est-à-dire « sann-dra », avec la première syllabe qui rime avec Anne.
Depuis quelques temps, notre couple fricote avec un autre couple composé de Géraldine et de Bernard.
Installez-vous une fois de plus confortablement que je vous raconte rapidement tout ça.
Après avoir fait l’amour ensemble (cf. épisode précédent – Un si joli jardin – lecture non obligatoire), Géraldine et moi sommes installées sur la terrasse, profitant à la fois du jardin et du soleil, allongées sur des transats. Il y a comme un air de vacances à l’arrière de ma maison. Sans complexe, je me laisse dorer nue au soleil, ma copine faisant la même chose, copieusement enduite de crème solaire, une précaution nécessaire pour la rousse à peau blanchâtre qu’elle est.
Tandis que la brise souffle doucement sur nos corps tout chauds, Géraldine me confie :
Je reconnais que je n’y suis pas allée de main morte, une sorte de petite vengeance pour le fait que Géraldine et Gilles commencent à devenir trop proches. Je sais, je suis mal placée pour être jalouse, j’ai eu nettement plus d’aventures que mon mari, mais ce n’est pas une raison !
Mais la récente proximité de ces deux-là m’agace. Sans parler du fait qu’ils jouent à la domination-soumission, un truc qui n’est pas trop ma tasse de thé. Je parie que c’est ça qui attire mon homme auprès de cette rousse. Et comme Géraldine a un tempérament larvé de soumise, ça colle trop bien !
Je décide de changer de sujet, tourner en boucle sur celui-ci ne m’apportera rien de bon. Je me tourne vers ma voisine pour lui demander :
Géraldine se redresse un peu pour zieuter ostensiblement mon entrejambe :
Ma voisine rougit un peu :
Ma voisine et amante réfléchit un peu, puis lâche à voix basse :
Je vois bien qu’elle meurt d’envie de se confier, mais qu’en même temps, elle hésite. Alors je pose ma main sur sa chatounette, et mon doigt commence déjà à taquiner son petit bouton rose. Je lui susurre sensuellement :
Retirant ma main, je ris de bon cœur. Vicieusement, sous ses yeux étonnés, je suçote mon doigt déjà un peu imprégné de cyprine, attendant l’histoire promise.
Géraldine respire un grand coup :
Attentive, j’écoute, et avec Géraldine, je me plonge dans cette soirée comme si j’étais à ses côtés, tel un témoin invisible…
Nous sommes encore six ce soir-là, moitié hommes et moitié femmes, trois d’entre nous sont déjà hors service en train de joncher dans un coin, et un couple est reparti chez lui. Je suis plongée dans une sacrée brume et je perds doucement le sens de la réalité et des réalités. Soudain, Mathias lance à la cantonade :
- — Et… et si on… on se f-faisait un… un p-petit p-poker ?
- — Un poker ? Tu… tu p-parles, on… on n’a p-pas de s-sous s-sur nous !
- — On est p-peut-être f-fauché, mais on… on a des f-fringues s-sur nous !
- — Ah ! Un s-striiip-poker a-alors ?
- — Voilà, c-c’est ç-ça, un str-hip-p-poker !
Visiblement, ça semble être une bonne idée pour tout le monde, même pour moi puisque l’idée est adoptée à l’unanimité ! Je connais les bases de ce jeu, mais je suis loin d’être une grande joueuse. Parfois, je ne me rappelle plus si une combinaison est au-dessus ou en dessous d’une autre, comme la séquence ou la couleur, mais bon, ça ira.
Assis par terre en cercle, nous commençons à jouer. Très vite, David se retrouve en slip, ce qui fait rire tout le monde. Puis curieusement, il ne perd plus, la déveine ayant changé de camp. Petit à petit, nous perdons tous une bonne partie de nos vêtements. Les filles sont en sous-vêtements, et la plupart des garçons en slip, sauf Mathias qui reste habillé.
Quand Martine perd son soutien-gorge, c’est un concert de sifflements et d’acclamations de la part des garçons. Faut dire que Martine n’a pas été oubliée par Dame Nature et que ses lolos sont plutôt bien gros, bien que pendouillant déjà un peu. Ça rend un effet très lascif quand même, ces masses dodues qui vibrent au moindre mouvement.
C’est Jean qui perd son slip, révélant une bite de taille moyenne, mais qui commence à dresser, ce qui déclenche illico quelques fous rires. Quand je perds à mon tour mon soutif, ce sont des sifflements admiratifs que j’entends, ce qui me fait plaisir. J’ai peut-être des petits seins tout laiteux, mais ils rendent bien, surtout avec ma chevelure rousse qui dégouline dessus. Curieusement, tout le monde parle de mieux en mieux, sans trop bégayer, l’alcool étant sans doute remplacé par l’excitation de la situation.
Bref, très vite, tout le monde se retrouve plus ou moins à poil, sauf Mathias qui s’adresse alors à Martine :
- — T’as de sacrés nichons ! J-je peux les embrasser, j’en rêve depuis la p-première fois que je t’ai vue !
- — Ah oui ? Depuis la première fois ? Pourtant, tu passes ton temps à me chambrer !
- — Ben… parce que j’ai jamais eu le courage de te le dire… voilà…
- — Rhooo !
C’est à ce moment-là que la situation a commencé à déraper. Mathias se penche sur sa voisine et dépose un premier baiser entre les seins dénudés. Martine ne dit rien. Alors il s’enhardit, déposant d’autres baisers, puis léchant le bout de ses tétons, sous le regard de tout le monde. Martine a les yeux fermés, semblant beaucoup apprécier ce qui lui arrive…
Je ne sais plus qui d’entre nous lance soudain :
- — Ils ont raison ! Faisons comme eux !
C’est à ce moment-là que la situation a totalement dérapé.
Constatant une pause qui s’éternise, avide d’en savoir plus, je me décide d’intervenir dans le récit de ma voisine :
Mais elle continue quand même l’évocation de ce lointain souvenir…
Les garçons ne se font pas prier de lutiner leurs voisines. Moi-même, je me fais peloter les seins par un premier garçon, puis après embrasser les tétons par un autre ou une autre, je ne sais plus. Petit à petit, les corps se rapprochent, se serrent, se mêlent.
Emportée par le tourbillon baignant dans une sorte de brouillard opaque, je me rappelle avoir caressé et palpé des seins, saisi et branlé des bites, embrassé des lèvres dont je ne sais plus si elles sont féminines ou masculines.
J’entends des soupirs, des petits cris, des gémissements. Ma bouche est envahie d’autres goûts, d’autres saveurs. Mes mains sentent d’autres formes, parfois dures, parfois molles ou visqueuses. Je ne sais plus si je rêve ou non. Je me sens comme emportée par un puissant courant, sans rien maîtriser de tout ce qui m’entoure…
La chaleur des autres corps sur ma peau, nos enchevêtrements, cette douce torpeur me font sombrer dans un demi-sommeil, dans lequel je suis à la fois active et passive…
De plus en plus passive, à en devenir inerte, léthargique…
Quand je ré émerge, je constate avec effroi que j’ai plein de sperme sur moi, y compris dans la bouche ! Avec angoisse, je tâte l’intérieur de ma foufoune, je soupire de soulagement : rien par-là ! Tandis que tout le monde dort encore, je ramasse mes habits en hâte, puis je file en quatrième vitesse dans la salle de bain pour me nettoyer. Ma toilette terminée, sans dire au revoir, sans me retourner, je me suis sauvée dans le petit matin.
Plus jamais je n’ai revu les protagonistes de cette lamentable histoire, même si certains ont tenté de me contacter par la suite, mais je n’ai jamais donné suite, j’avais trop honte. Personne n’est venu me voir chez moi ou ailleurs, j’ai été aidée par les presque cent kilomètres entre la Fac et la maison de mes parents. Peu après, j’ai commencé à travailler, puis j’ai aussi rencontré Bernard dans la foulée.
Voilà toute l’histoire…
Un sourire amusé sur les lèvres, je lâche :
Géraldine rougit un peu :
Je rigole intérieurement :
Joyeusement, je m’esclaffe :
Je me redresse partiellement sur un coude :
Ma copine s’étonne :
Je me cale mieux dans mon transat, puis j’annonce :
Je me lance dans mon souvenir :
Jouant avec ses mèches rousses, Géraldine sourit :
C’est vers la fin du séjour, il pleut dehors, et pas qu’un peu, un orage d’été. Les cinq hommes décident tout à coup de faire un poker, avec des règles aménagées. Ils jouent des points, ces points sont convertibles en service, en cadeau, mais pas en argent, même si, à la louche, un point vaut un billet. De plus, ceux qui se couchent récupèrent néanmoins la moitié de leur mise. Il paraît que ça change en bien le jeu. Nous les femmes, nous les regardons jouer, tout en papotant.
Pour une meilleure compréhension de la suite, je vais citer tout le monde. Je commence d’abord par les deux autres couples : Babette et Greg, plus âgés, mariés depuis dix ans, puis Liliane et Paul, plutôt jeunots et plus prudes. Puis les deux célibataires : Lucas, mon garagiste, et Thomas, un gros nounours. Et bien sûr, Gilles et moi.
Alors que la partie bat son plein, Lucas propose soudain :
- — Et si on épiçait un peu les choses ?
- — Pourquoi ? Tu veux jouer du fric ?
- — Non, non ! Je songe à autre chose : et si nous jouions les charmes de nos femmes !
- — Ça te va bien de dire ça ! T’es célibataire, et Thomas aussi !
- — Oui, je sais, mais les célibataires augmenteront leurs mises. Comme par exemple, pour ma part, deux révisions gratuites de voiture à la place d’une seule, si je perds.
Thomas, l’autre célibataire, intervient :
- — Bonne idée. Moi, c’est quatre places de ciné à la place de deux !
Greg, le jeunot, demande à Lucas :
- — Et c’est quoi, miser les charmes de nos femmes ?
- — Commençons par simple : fonctionnons par palier de cinquante points. Qu’elles fassent voir leurs seins pour commencer, puis si leur légitime perd encore, elle reste torse nu ensuite et ainsi de suite.
Thomas intervient :
- — Cinquante ? C’est beaucoup trop ! Descendons à vingt !
- — Tu dis ça parce que t’es célibataire !
Fidèle à son habitude dans pareil cas, Gilles se tourne vers moi pour me demander :
- — Tu es d’accord, meine Liebling ?
- — Bah, mes lolos, tout le monde les a déjà vus quand nous étions sur la plage…
Babette est moins d’accord :
- — Ben voyons ! Et après le torse nu, ce sera quoi ?
Néanmoins, à ma grande surprise, après quelques palabres, toutes les femmes (Babette, Liliane et moi) acceptent de devenir l’enjeu des futures enchères de nos hommes. Je n’aurais pas cru ça de Liliane, pourtant si prude. Mais il est vrai que son mari perd très peu. Cependant, il peut perdre volontairement, les hommes sont assez vicieux pour faire ce genre de chose.
Les hommes se mettent d’accord sur trente-trois points par palier, car ils trouvent ce nombre amusant. Et pourquoi pas trente-six ou vingt-sept ? L’arrangement conclu, l’un d’eux s’exclame :
- — Et c’est parti pour une partie de poker nettement plus intéressante !
- — Tu l’as dit, bouffi !
Très vite, je constate que Lucas est très fort et que mon homme a la poisse au poker. À moins qu’il fasse semblant d’avoir de la déveine ! Toujours est-il que nous trois, les femmes, nous nous retrouvons assez vite seins à l’air, pour le plus grand plaisir des cinq hommes qui jouent et qui nous zyeutent avidement. Avoir les tétons dévoilés, ça ne me change pas trop de ce qui se passe sur la plage, y compris les regards, sauf pour Liliane, la spécialiste du maillot de bain une-pièce emprunté à sa grand-mère. Je constate qu’elle semble un peu pompette, ayant bu un peu de champagne après le changement de mise. Sans doute l’explication de son actuel et surprenant manque de pudeur.
C’est justement Liliane qui est la première condamnée à rester torse nu. Visiblement, ça lui plaît, c’est tout juste si elle ne parade pas ! Il n’y a pas à dire, le champagne, ça désinhibe !
Bientôt, Babette et moi la rejoignons. Curieusement, les deux célibataires ne perdent plus. Actuellement, Thomas et Paul se livrent un combat acharné, les autres ayant abandonné. Après plusieurs enchères, c’est enfin le moment de dévoiler les cartes.
- — Full avec trois Valets et deux As !
- — Dommage pour toi, Paul ! trois Dames et deux As !
- — Hein !
Thomas se tourne vers Liliane :
- — Désolé pour toi, Lili, mais ton mari a perdu de quatre relances !
- — Ah oui ? Et moi, je perds quoi ? Quatre trucs ?
- — Hmm… Non, une seule, ta culotte…
Un certain silence s’installe. Puis tranquillement, un peu chancelante, Liliane ôte sa culotte en toute simplicité. Tout le monde peut constater qu’elle entretient un petit bosquet en forme de triangle bien taillé. Elle devient momentanément l’attraction de la soirée, ce qui semble beaucoup la réjouir. Je constate au passage que son mari la regarde d’un autre œil.
Ensuite, c’est au tour de Babette de devoir danser une minute, tout en devant bien faire balancer ses seins sous le nez de chacun des hommes ravis de l’aubaine.
Peu après, Paul perd à nouveau contre Thomas. Je me demande si ce n’est pas truqué ou arrangé d’avance !
- — Encore désolé pour toi, Lili, mais ton mari a encore perdu !
- — Ah oui ? Et moi, je perds quoi maintenant ? Chuis déjà toute nue !
- — Hmm… Et si tu venais t’asseoir sur mes genoux ?
- — Oooh !
Ce qui ne l’empêche pas de le faire et même de mettre ses bras autour du cou de son gros nounours de gagnant, pressant ses seins sur le torse de Thomas qui doit regretter d’avoir conservé son T-shirt. Décidément, je ne m’attendais pas à ce que Liliane se laisse tant aller. Il est vrai qu’elle a bu au moins trois verres, elle qui d’habitude ne boit rien ou presque.
C’est alors que nous assistons à un dialogue qui mérite au moins un oscar :
- — Uh ! Y a un truc tout dur sous mes fesses !
- — Le contraire aurait été vexant, et pour toi, et pour moi !
- — Hihihi ! T’es con, toi !
Elle reste assise sur les larges genoux de Thomas durant le reste de la partie, celui-ci s’enhardissant de plus en plus avec ses grosses mains baladeuses, tandis qu’elle se colle de plus en plus à lui. Durant ce temps, Babette et moi sommes à présent nues.
C’est un duel entre Lucas et Gilles qui s’annonce. J’ai la curieuse sensation que mon mari va perdre. Comme je le craignais, mon homme perd. Je me demande ce que son vainqueur va exiger. Entre nous, c’est mi-grave, car Lucas est déjà mon amant, mais qui le sait parmi le groupe ici présent ? Mis à part mon mari, bien sûr.
Soudain Lucas se lève et s’approche posément vers moi. Devant tout le monde, il me capture dans ses bras, ses mains plaquées posément sur mes fesses, puis il dit calmement :
- — Je n’ai plus trop envie de faire semblant… Au fait, Sandra, presque tout le monde est au courant pour nous deux…
- — Hmm, je comprends mieux certaines choses, certains regards, Lulu… T’as pas pu t’empêcher de te vanter, n’est-ce pas ?
- — Avec une femme comme toi, c’est difficile de rester dans le secret !
Puis il m’embrasse, tout en me pelotant joyeusement un sein, le tout devant tout le monde. Quand nos lèvres se séparent, Lucas lance à la cantonade, philosophe :
- — Mes amis, la vie est trop courte, il convient de cueillir le jour qui passe…
C’est alors le signal implicite du début de la seconde partie de cette soirée.
Je marque une pause. Suspendue à mes lèvres, Géraldine est presque en train de saliver. Je me sers à boire. Parler beaucoup assèche la bouche. Ma voisine s’impatiente :
Je bois tranquillement mon verre, puis je reprends ma narration.
Pour ma part, je soupçonne que la partie de poker ne fut qu’un prétexte pour mettre en place ensuite une partie fine. Babette est visiblement dépassée par la situation, et Liliane semble être devenue une autre femme, collée contre Thomas qui la pelote sans vergogne.
Greg se jette sur sa femme qui ne refuse pas son baiser fougueux, mais celui-ci fini, elle met illico les choses au point à sa façon :
- — Écoutez-moi, vous tous ! Je sais qu’il ne faut pas mourir idiote, mais quand je dis non, c’est non. Compris ?
- — C’est tout à fait normal.
Elle se tourne vers les autres participants :
- — Et le seul homme qui soit autorisé à me faire vraiment l’amour, c’est mon mari ! En revanche…
- — En revanche ? (dixit son mari)
Babette hésite un peu :
- — Je… je peux m’amuser aussi avec d’autres hommes… Enfin, si c’est possible…
- — Tu as ma bénédiction, ma chère épouse !
- — Co… comment ça ?
- — Depuis le temps que j’espère que tu te libères un peu ! Je fantasme depuis longtemps de te voir donner et prendre du plaisir avec d’autres hommes que moi.
- — Première nouvelle !
- — Il y a des choses pas toujours évidentes à dire…
Pour Liliane, laquelle question se pose beaucoup moins, Thomas profite d’elle avec ardeur, et je constate que mon mari s’offre quelques libertés avec ses appas, sans qu’elle ne proteste. Il ne faut pas attendre bien longtemps pour que les deux hommes s’occupent en même temps de Lili qui est visiblement heureuse d’être la cible de tant de désir. Durant ce temps, silencieusement, Paul regarde sa femme se faire entreprendre par d’autres que lui, puis soudain il lorgne vers Babette.
Quant à moi, Lucas avait déjà passé la vitesse supérieure en me pénétrant devant tout le monde, carrément sur le fauteuil, en me faisant sentir à quel point sa queue a envie de moi ! Bref, ça a viré à l’orgie…
Penchée vers moi, le visage tendu, Géraldine est toujours suspendue à mes lèvres :
Je reprends le fil de mon souvenir :
Belle image, il faudra que je la recycle prochainement. Je poursuis :
Géraldine ouvre de grands yeux :
Ma voisine sourit vicieusement :
Me calant dans mon transat, je réponds à son sourire :
Petite vicieuse, va ! Je lève les yeux vers le ciel pour me souvenir :
Prenant mon temps, je souris :
Géraldine salive. Je passe à la suite :
Je marque volontairement une petite pause avant de répondre :
J’ai déjà vu des yeux ronds, mais ceux de ma copine sont ses soucoupes ! Je lui explique :
Je me moque un peu d’elle :
Sa curiosité reprend le dessus :
Je constate que ma voisine suit ce que je raconte :
J’énonce une évidence, mais que peu d’hommes appliquent :
Elle se met à rougir. Ce qui m’amuse beaucoup, car le jour où nous sommes rencontrées elle et moi, elle y était allée pourtant de bon cœur. Parfois, j’ai l’impression qu’elle a totalement oublié cet épisode lors du salon de l’érotisme !
Sur ma lancée, je continue :
Ma voisine devient écarlate :
L’histoire se répète. Magnanime, je réponds calmement :
Il y a moins d’une heure, j’avais presque oublié cette fameuse soirée d’été pourtant assez marquante. Il est vrai que j’ai fait plein d’autres choses coquines dans ma vie. Mais les détails sont vite revenus !
Alors que je me remémore cet épisode de ma vie, Géraldine s’exclame :
Je fouille dans mes souvenirs :
Je me mets à rire :
Lentement, lascivement, je me lève de mon transat sans rien dire. Une fois debout, je me poste juste à côté de ma copine de jeu, puis jambes légèrement écartées, je présente posément ma chatounette à la hauteur de son nez :
Ce qui ne l’empêche pas de s’exécuter, et moi de savourer à nouveau la langue de plus en plus agile de ma partenaire de débauche !
Quant à l’histoire de Lili, c’est une autre histoire !