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n° 19933Fiche technique23031 caractères23031
Temps de lecture estimé : 12 mn
07/12/20
corrigé 02/06/21
Résumé:  Une aide a domicile doit intervenir chez un patient de retour d'hospitalisation COVID avec une tenue minimum.
Critères:  fh hplusag médical douche fdomine voir noculotte hmast confession -médical
Auteur : Normande76  (Un nouveau symptome du COVID un peu genant , vu autrement)      Envoi mini-message

Série : Covid

Chapitre 02 / 05
Une aide a domicile intervient chez un client Covid

Ce récit relate les mêmes événements que ceux publiés dans « Un nouveau symptôme du Covid un peu gênant », mais cette fois-ci, vus du côté de l’aide à domicile.




Je suis aide à domicile et je tenais à vous raconter ce qui m’est arrivé suite à une intervention particulière liée à la Covid19.


Suite à cette pandémie, nous avons été formés aux nouvelles procédures d’hygiène et de protection pour intervenir chez les clients.

Mais ma direction a décidé de se spécialiser également pour les interventions chez les patients qui ont été hospitalisés pour Covid.

Pour les toilettes et des soins pour des symptômes particuliers de la Covid.


Lundi, ma responsable me convoque pour me confier une prestation chez ce type de patient, car je suis la seule à avoir suivi la formation complète.



J’arrive donc le lendemain à 10 h chez le client.


« Je vais vérifier avant que c’est bien la bonne personne et qu’il n’a pas de visite avant de me changer, cela pourrait être gênant. »


À 10 h, je sonne à la porte,



« Ça va, il a l’air sympathique, mais j’espère qu’il ne va pas trop me regarder, car il y a peu de différence d’âge. »


Je monte dans ma camionnette et commence à me déshabiller complètement.


« Je garderai bien mes sous-vêtements, cela ne se verra pas avec la blouse. »


Je déballe cette blouse.

« J’espère que c’est ma taille, car je n’ai pas vérifié avant. Ouf ! Oui, ça va, mais c’est un peu translucide cette blouse ! On voit mes sous-vêtements à travers, je crois que je dois oublier de les garder. »

Je retire donc ma culotte et mon soutien-gorge


« Que va-t-il penser, avec mes gros seins qui tombent un peu ? Surtout ne pas pointer ! Et j’aurais dû me raser totalement, on distingue ma petite touffe noire au-dessus de mon clitoris. Mais bon, trop tard ! Allons-y, après tout, tout cela est professionnel, je ne vais pas à un rendez-vous galant. »


Je reviens cinq minutes plus tard et resonne à la porte.

Je suis terrifié par son regard, il vérifie bien que je n’ai pas de sous-vêtements. « J’ai bien fait de ne pas les garder. Ça y est, il a vu ma touffe et mes gros seins, il a souri. »


Le monsieur porte une robe de chambre et un tee-shirt.



Il n’ose pas me répondre, il faut que je m’impose malgré ma gêne.



Il retire sa robe de chambre et son tee-shirt et, en effet, c’est une très belle bite en érection qui apparaît ; elle est moyenne, mais plutôt belle. Je sens que je rougis.



« Il faut que je vérifie que tout cela est bien médical comme m’a demandé ma responsable. »



Je le décalotte complètement.



« Je vais devoir appliquer le protocole. On va tester si la formation était bonne. »



Je hausse le ton :



Au bout de cinq minutes, il commence à s’arrêter. Je reviens dans la pièce.



Il se lève et en profite pour s’arrêter.



Il me propose un café, j’accepte volontiers.


C’est rigolo de le voir se branler. « Mais il faut que je le surveille, il va s’arrêter. Je ne vais pas rester debout une demi-heure, je fatigue. »



Dans cette petite salle de bain, je n’ai pas le choix que de me mettre en face de lui.


« Je suis sûre qu’il va mater ma chatte, cette blouse est à moitié transparente et pas assez longue une fois assise, mais tant pis pour lui, cela va augmenter sa douleur. Je suis sûre aussi qu’il a déjà maté mes grosses fesses à moitié nues, ce cochon. »



On savait tous les deux, où était le problème !


Les trente minutes s’étant écoulées :



Il arrête de se masturber.



Je lui lave les cheveux, mais à cause de sa perfusion, je suis obligée d’être baissée face à lui avec mes seins devant son visage.


« Quelle honte avec mes gros seins, ils sont juste au-dessus de son front, je suis sûre qu’il les sent se ballotter et qu’il les voit par le haut de la blouse quand je me baisse.

Il a le gland tout rouge maintenant. Heureusement qu’il ne peut pas éjaculer, sinon je prends tout dans la figure. »



Soudain, en voulant le rincer, la douchette me glisse des mains et une gerbe d’eau arrose tout le haut de ma blouse.



« Oh la la, ce coup-là, j’ai tout gagné, la blouse est maintenant transparente, c’est comme si j’avais plus rien ; deux grosses loches a l’air. »



Je lui savonne le dos et les fesses et lave bien son petit anus (avec les gants et le savon, ça rentre tout seul !) Oups !



Je recouvre son sexe, tendu et douloureux, de savon et le branle pendant que, de l’autre main, je lave précautionnèrent ses testicules.


« Il a une belle bite et de belles petites boules, dommage que tout cela ne soit pas épilé. Il faut que je me reconcentre sur mon travail, ce n’est pas trop professionnel tout ça. »


Ma blouse n’ayant pas apprécié l’eau et à cause de la fraîcheur de l’humidité, mes énormes tétons ont durci et commencent à percer la blouse ramollie.


« Oh non, pas mes tétons il va croire que je suis excitée, je vais essayer de changer de conversation. »



« C’est dommage, j’adore décalotter les bites. »



Ma blouse est maintenant toute mouillée, l’eau de la poitrine a coulé jusqu’en bas et un téton a maintenant percé la blouse.


« Je crois que la masturbation ne va pas suffire. Avec un pareil téton dehors, le pauvre, il doit bien souffrir. »



« Ça va lui reposer l’esprit. »


Après vingt minutes, je termine le nettoyage de la salle de bain. Il appelle :



« Si le protocole est exact, ça va sortir bientôt. »



Je lui prends la verge et le branle violemment.



Je ne sais pas s’il jouit ou s’il crie.

Ça dure pendant au moins une minute. Le pauvre, j’ai pitié, mais je continue.



Et soudain !



« Ça réchauffe le téton, ça fait du bien. »



Quand il n’y a plus rien qui sort, au bout d’une à deux minutes, j’arrête.



Je m’assois en face de lui et étale avec délicatesse la pommade.



Il pouvait voir mes jambes écartées, car les boutons du bas avaient lâché. Il voyait maintenant ma chatte bien ouverte.


« Quelle honte, j’ai le téton recouvert de sperme et la chatte trempée qui coule après l’avoir branlé. Et il voit tout ça, plus mes gros seins qui ballottent. »



Je n’ose pas me lever, la blouse est maintenant mouillée derrière.


« Dur métier plutôt. Pour finir, il va pouvoir mater mes grosses fesses. »


Je repars dans mon camion me changer avec la blouse remplie de sperme où l’on voyait tout à travers et le téton sorti. J’espère ne croiser personne dans la cour.


« Ça va, mission réussie, mais quelle honte ! C’est bon la honte ! »


Une fois rhabillée, je dois rappeler ma responsable pour lui faire mon rapport comme convenu.



« La honte ! »



« Je vais me faire licencier pour un téton trop gros. »



« Si elle savait que le client a vu aussi ma vulve dégoulinante et mes grosses fesses ! »



« Je comprends, mais je ne pense pas qu’il porte plainte, je ne suis si désagréable à regarder. »



La gérante raccroche et se dit :


« J’aurais dû intervenir moi-même, elle a dû bien se profiter cette cochonne aux gros seins.

Elle a pas dû tout me dire, cela doit être très jouissif de faire masturber cet homme pendant deux heures.

Elle devait avoir la chatte en feu, malgré tout ce qui lui est arrivé.

Je vais rappeler le client et lui proposer des heures de ménage, il doit en avoir besoin. Je vérifiai son travail en même temps. Cette histoire m’a excitée, je mouille comme une salope. »



À suivre…