Je suis aide à domicile et je tenais à vous raconter ce qui m’est arrivé suite à une intervention particulière liée à la Covid19.
Suite à cette pandémie, nous avons été formés aux nouvelles procédures d’hygiène et de protection pour intervenir chez les clients.
Mais ma direction a décidé de se spécialiser également pour les interventions chez les patients qui ont été hospitalisés pour Covid.
Pour les toilettes et des soins pour des symptômes particuliers de la Covid.
Lundi, ma responsable me convoque pour me confier une prestation chez ce type de patient, car je suis la seule à avoir suivi la formation complète.
- — Sylvie, nous avons une prestation pour un client en post Covid, j’aurais besoin que vous interveniez.
- — Pas de soucis.
- — Vous avez bien suivi la formation.
- — Oui.
- — Est-ce qu’il vous ont parlé de ces patients qui risquent de se réinfecter.
- — Oui, il y a une procédure d’intervention particulière, je crois, dans la tenue.
- — Oui, je vais devoir vous imposer cela.
- — C’est gênant, mais nous nous sommes engagés à faire ce type de prestation. Vous vous rappelez la tenue nécessaire ?
- — Oui, une charlotte, un masque et des gants et, bien sûr, pas d’habits personnels pour ne pas ramener de virus.
- — Oui, juste une blouse jetable est autorisée.
- — On peut garder les sous-vêtements ?
- — Malheureusement non. Je viens de recevoir le nouveau protocole, l’ARS a supprimé cette possibilité pour éviter tout risque. En plus, le client est au courant et a très peur de se recontaminer.
- — Cela change tout… surtout avec ma grosse poitrine.
- — C’est vrai que vous avez une poitrine avantageuse. Vous avez la blouse, vous êtes protégée.
- — Oui, c’est vrai, de toute façon, je n’ai pas le choix.
- — Non, pas vraiment et vous avez l’habitude des toilettes.
- — Oui, mais avec les personnes âgées particulièrement.
- — Le client a cinquante ans, quelques années de plus que vous, je suis confiante. Par contre, vous devrez surveiller un autre point.
- — Quoi donc ?
- — Il a un symptôme post-Covid gênant
- — J’espère que ce n’est pas le symptôme érectile ?
- — Malheureusement si, il faudra surveiller cela, car ça peut être dangereux pour lui, vous ont-ils appris la procédure d’apaisement en formation ?
- — Oui, mais j’ai jamais testé.
- — Appliquez-la, et tenez-moi au courant.
- — D’accord.
- — Par contre, vérifiez bien que c’est lié au Covid et non une perversion, bien que le monsieur ait eu l’air plutôt gêné et embarrassé que pervers.
- — Oui, je vérifierai avant. Le gland doit être gonflé, rouge et enflammé et l’éjaculation difficile alors que les érections sont soudaines et prolongées.
- — C’est une intervention journalière pendant sept jours. Prenez sept blouses. Surtout, changez-vous dans votre camionnette et pas d’habits personnels.
- — Bien madame
J’arrive donc le lendemain à 10 h chez le client.
« Je vais vérifier avant que c’est bien la bonne personne et qu’il n’a pas de visite avant de me changer, cela pourrait être gênant. »
À 10 h, je sonne à la porte,
- — Bonjour, Monsieur, c’est bien pour vous la toilette à domicile ? Vous êtes isolée pour la Covid ?
- — Oui, tout à fait.
- — Vous êtes seul ?
- — Oui, ma femme est isolée aussi.
- — Je me prépare dans mon camion et je reviens. Vous a-t-on mis au courant du protocole ?
- — Oui, en partie, pour la tenue.
- — C’est parfait, je reviens.
« Ça va, il a l’air sympathique, mais j’espère qu’il ne va pas trop me regarder, car il y a peu de différence d’âge. »
Je monte dans ma camionnette et commence à me déshabiller complètement.
« Je garderai bien mes sous-vêtements, cela ne se verra pas avec la blouse. »
Je déballe cette blouse.
« J’espère que c’est ma taille, car je n’ai pas vérifié avant. Ouf ! Oui, ça va, mais c’est un peu translucide cette blouse ! On voit mes sous-vêtements à travers, je crois que je dois oublier de les garder. »
Je retire donc ma culotte et mon soutien-gorge
« Que va-t-il penser, avec mes gros seins qui tombent un peu ? Surtout ne pas pointer ! Et j’aurais dû me raser totalement, on distingue ma petite touffe noire au-dessus de mon clitoris. Mais bon, trop tard ! Allons-y, après tout, tout cela est professionnel, je ne vais pas à un rendez-vous galant. »
Je reviens cinq minutes plus tard et resonne à la porte.
Je suis terrifié par son regard, il vérifie bien que je n’ai pas de sous-vêtements. « J’ai bien fait de ne pas les garder. Ça y est, il a vu ma touffe et mes gros seins, il a souri. »
Le monsieur porte une robe de chambre et un tee-shirt.
- — Je vous explique comment cela va se passer ?
- — Oui, je veux bien.
- — Je vais préparer votre bain et je vous appelle quand c’est prêt. Ma responsable m’a prévenue que vous aviez un symptôme post Covid gênant.
- — Oui comme vous dites, c’est très gênant. Ça vient de se déclencher et c’est douloureux.
- — Je comprends, et ma tenue n’arrange rien…
Il n’ose pas me répondre, il faut que je m’impose malgré ma gêne.
- — Dans ce cas, déshabillez-vous maintenant, lui dis-je d’une voix autoritaire.
- — Déjà maintenant ?
- — Oui, maintenant.
Il retire sa robe de chambre et son tee-shirt et, en effet, c’est une très belle bite en érection qui apparaît ; elle est moyenne, mais plutôt belle. Je sens que je rougis.
- — Asseyez-vous dans le canapé en attendant, je reviens. Ah, vous avez une perfusion dans le bras droit. Ça doit être gênant, également.
- — Oui, je ne peux pas me servir de ce bras, je ne peux pas le plier.
- — Vous n’avez pas mal au bras gauche ?
- — Non.
- — Tant mieux, car on va en avoir besoin, mais cela va être plus fatigant pour vous. Bon, je vois. C’est une grosse érection.
« Il faut que je vérifie que tout cela est bien médical comme m’a demandé ma responsable. »
- — Est-ce que je peux me permettre de vérifier quelque chose ?
- — Oui, bien sûr.
- — Je mets une paire de gants. J’aimerais vérifier l’état de votre gland.
Je le décalotte complètement.
- — Ah oui, il est bien rouge et enflammé. C’est bien le symptôme du Covid.
- — Et c’est grave ?
- — Disons qu’à force d’être en érection, le gland gonfle et rougit. Aviez-vous remarqué ?
- — Non, mais ce doit être pour cela que c’est douloureux
- — Oui. On va essayer d’améliorer cela.
- — Comment ?
- — Je vous en dirais plus après, mais il faut le désengorger.
« Je vais devoir appliquer le protocole. On va tester si la formation était bonne. »
- — Pendant que l’eau coule, masturbez-vous avec votre main gauche
- — Vous êtes sûre ? Devant vous ?
- — Oui, cela fait partie de notre protocole pour soulager la douleur.
Je hausse le ton :
- — Et ne vous arrêtez pas.
Au bout de cinq minutes, il commence à s’arrêter. Je reviens dans la pièce.
- — Je vous l’ai dit, on continue, et surtout, on n’arrête pas !
- — Mais combien de temps dois-je le faire ?
- — Pendant toute l’intervention. Est-ce que cela vous soulage ?
- — Oui, mais deux heures, ça va être long !
- — C’est le protocole, vous me direz merci après. Je vous surveille pendant une demi-heure. Et venez dans votre bain, c’est prêt.
Il se lève et en profite pour s’arrêter.
- — On n’arrête pas de se masturber, combien de fois dois-je vous le dire ? Plus vous arrêtez, plus ce sera long. Montez dans la baignoire. Écoutez-moi bien, détendez-vous et masturbez-vous encore pendant trente minutes, sans vous arrêter surtout ! Je vous surveille…
Il me propose un café, j’accepte volontiers.
C’est rigolo de le voir se branler. « Mais il faut que je le surveille, il va s’arrêter. Je ne vais pas rester debout une demi-heure, je fatigue. »
- — Je vais chercher une chaise et je vous regarde.
Dans cette petite salle de bain, je n’ai pas le choix que de me mettre en face de lui.
« Je suis sûre qu’il va mater ma chatte, cette blouse est à moitié transparente et pas assez longue une fois assise, mais tant pis pour lui, cela va augmenter sa douleur. Je suis sûre aussi qu’il a déjà maté mes grosses fesses à moitié nues, ce cochon. »
- — C’est bien Monsieur, continuez comme ça.
- — Je ne comprends pas, c’est plus douloureux.
- — Je m’en doutais, quelque chose vous perturbe.
- — Non ! me dit-il d’un air gêné.
- — Le problème est que je dois vous surveiller de près, vous vous arrêtez tout le temps.
- — C’est vrai, c’est de ma faute.
On savait tous les deux, où était le problème !
Les trente minutes s’étant écoulées :
- — Maintenant, on va faire la toilette. D’abord les cheveux.
Il arrête de se masturber.
- — Oulala ! On ne s’arrête pas ! Je lave les cheveux, mais vous, vous vous masturbez.
- — Mais vous êtes juste au-dessus de moi !
- — Ne vous inquiétez pas, je suis équipée.
- — Oui, mais c’est fatigant et je ne comprends pas que l’éjaculation ne veuille pas venir.
- — C’est la maladie, mais ça va venir, faites-moi confiance. Masturbez-vous !
Je lui lave les cheveux, mais à cause de sa perfusion, je suis obligée d’être baissée face à lui avec mes seins devant son visage.
« Quelle honte avec mes gros seins, ils sont juste au-dessus de son front, je suis sûre qu’il les sent se ballotter et qu’il les voit par le haut de la blouse quand je me baisse.
Il a le gland tout rouge maintenant. Heureusement qu’il ne peut pas éjaculer, sinon je prends tout dans la figure. »
- — Attention, on va rincer avec la douchette. Fermez les yeux…
Soudain, en voulant le rincer, la douchette me glisse des mains et une gerbe d’eau arrose tout le haut de ma blouse.
- — Oh, mince !
- — Que vous arrive-t-il
- — Je me suis éclaboussée, gardez les yeux fermés.
« Oh la la, ce coup-là, j’ai tout gagné, la blouse est maintenant transparente, c’est comme si j’avais plus rien ; deux grosses loches a l’air. »
- — Ouvrez les yeux, mais doucement. Je suis désolée, je vous impose la vue de mes seins dans votre situation.
- — Ça ne me gêne pas. Ils sont magnifiques, mais cela amplifie ma crise, d’autant que vos tétons sont énormes.
- — Je comprends, tournez-vous alors et mettez-vous debout, je vais laver votre corps. Continuez la masturbation plus vite, ce n’est pas le moment d’arrêter.
Je lui savonne le dos et les fesses et lave bien son petit anus (avec les gants et le savon, ça rentre tout seul !) Oups !
- — Tournez-vous maintenant et n’arrêtez pas. Je vais laver le devant. Je vous autorise d’arrêter la masturbation quelques instants. Je vais prendre le relais, le temps de laver votre sexe.
Je recouvre son sexe, tendu et douloureux, de savon et le branle pendant que, de l’autre main, je lave précautionnèrent ses testicules.
« Il a une belle bite et de belles petites boules, dommage que tout cela ne soit pas épilé. Il faut que je me reconcentre sur mon travail, ce n’est pas trop professionnel tout ça. »
Ma blouse n’ayant pas apprécié l’eau et à cause de la fraîcheur de l’humidité, mes énormes tétons ont durci et commencent à percer la blouse ramollie.
« Oh non, pas mes tétons il va croire que je suis excitée, je vais essayer de changer de conversation. »
- — Ça fait du bien, une petite pause pour la main gauche ?
- — Oui, tout à fait !
- — Au moins je n’ai pas besoin de vous décalotter, c’est déjà fait.
« C’est dommage, j’adore décalotter les bites. »
- — Voilà, c’est fait, continuez maintenant.
- — Ça va être encore long cette masturbation ? Car je fatigue.
- — Cela fait maintenant, une heure et demie que vous vous masturbez, encore vingt minutes. Normalement, au bout d’une heure trois quarts de masturbation, nous nous sommes aperçus que l’éjaculation arrive. Je vais vous rincer et ensuite vous sécher.
- — Je peux m’arrêter ?
- — Non surtout pas ! On continue et on y croit.
Ma blouse est maintenant toute mouillée, l’eau de la poitrine a coulé jusqu’en bas et un téton a maintenant percé la blouse.
« Je crois que la masturbation ne va pas suffire. Avec un pareil téton dehors, le pauvre, il doit bien souffrir. »
- — Bon maintenant, vous allez dans le canapé et vous vous masturbez bien en accélérant pendant que je nettoie la douche. Et que je ne vous vois pas arrêter !
« Ça va lui reposer l’esprit. »
Après vingt minutes, je termine le nettoyage de la salle de bain. Il appelle :
- — Pouvez-vous venir ? c’est urgent !
- — Que se passe-t-il ?
- — Je sens que ça gonfle, au niveau du gland.
- — C’est bon signe. Continuez, ça va sortir. Je reste pour surveiller.
« Si le protocole est exact, ça va sortir bientôt. »
- — Non, ça ne veut pas. J’ai l’impression que ça gonfle à l’intérieur et ça ne sort pas.
- — Il faut branler plus vite.
- — Je ne peux pas je n’ai plus de force
- — Je vais vous aider, je vais chercher des gants.
Je lui prends la verge et le branle violemment.
- — Ça va ?
- — La jouissance est trop grande, ça ne sort pas.
- — N’ayez pas peur de jouir, c’est naturel. Ça va aider.
- — Pas devant vous !
- — Ne vous inquiétez pas, jouissez !
Je ne sais pas s’il jouit ou s’il crie.
Ça dure pendant au moins une minute. Le pauvre, j’ai pitié, mais je continue.
- — AH ! mon gland !
- — Qu’est-ce qu’il y a ?
- — J’ai l’impression qu’il va exploser…
Et soudain !
- — AHH ! AHH ! », une douleur immense et un jet énorme sort se répandre sur ma blouse déjà bien mal en point et sur mon téton qui dépasse.
« Ça réchauffe le téton, ça fait du bien. »
- — Ah ! vous voyez que ça sort, et en quantité. Ça fait combien de temps que vous n’aviez pas éjaculé ?
- — Plus d’un mois, avec l’hospitalisation.
- — Ça va mieux ?
- — Oui, mais ça pique un peu
- — Il doit en rester. Je vais vous la masturber quelques minutes pour bien vider pour que vous soyez tranquille pour vingt-quatre heures.
- — Vingt-quatre heures seulement ?
- — Oui, malheureusement les symptômes reviennent ensuite.
Quand il n’y a plus rien qui sort, au bout d’une à deux minutes, j’arrête.
- — Alors vous trouvez-vous soulagé ?
- — Oui, c’est parfait, je ne bande plus, cela fait du bien. Votre protocole est excellent, je n’y croyais pas.
- — C’est notre métier, on a été formé pour cela. Si vous saviez… vous êtes mon premier client syndrome érectile. Je suis fière de moi.
- — Par contre, j’ai le pénis en feu avec cette masturbation.
- — Je vous nettoie et je vais vous mettre une petite pommade apaisante.
Je m’assois en face de lui et étale avec délicatesse la pommade.
- — Vous savez, ce sont vos poils qui vous irritent aussi. Je vous conseillerais d’épiler tout ça, car vous ne tiendrez pas la semaine.
- — Mais je ne peux pas en ce moment…
- — Ne vous inquiétez pas, on verra cela demain.
Il pouvait voir mes jambes écartées, car les boutons du bas avaient lâché. Il voyait maintenant ma chatte bien ouverte.
« Quelle honte, j’ai le téton recouvert de sperme et la chatte trempée qui coule après l’avoir branlé. Et il voit tout ça, plus mes gros seins qui ballottent. »
- — Voilà, j’ai terminé ma prestation. Est-ce que ça va mieux ?
- — Oui, un grand merci.
- — Je vous dis à demain, même heure.
- — Je crois que vous pouvez jeter votre blouse.
- — Oui, elle a souffert, mais c’est du jetable.
- — J’espère que je ne vous ai pas trop compliqué la vie.
- — C’est mon métier, ne vous inquiétez pas.
Je n’ose pas me lever, la blouse est maintenant mouillée derrière.
« Dur métier plutôt. Pour finir, il va pouvoir mater mes grosses fesses. »
Je repars dans mon camion me changer avec la blouse remplie de sperme où l’on voyait tout à travers et le téton sorti. J’espère ne croiser personne dans la cour.
« Ça va, mission réussie, mais quelle honte ! C’est bon la honte ! »
Une fois rhabillée, je dois rappeler ma responsable pour lui faire mon rapport comme convenu.
- — Bonjour Madame.
- — Alors, comment s’est passée l’intervention ?
- — Bien dans l’ensemble.
- — Comment était le client ?
- — Très correct.
- — Parfait. Avait-il bien le symptôme post Covid ?
- — Ah oui ! Un gland bien rouge et gonflé.
- — Avez-vous appliqué le protocole ?
- — Oui pendant 1 h 45 et il a fonctionné, mais il faut relancer le client, car il veut tout le temps s’arrêter.
- — Et a-t-il éjaculé ?
- — Oui, en grande quantité et aussi sur moi.
- — C’est parfait pour lui, mais sur vous c’est gênant. Le sperme peut encore être porteur du virus. Sur votre blouse uniquement ?
- — Euh… non
- — Où ça ?
« La honte ! »
- — Sur mon téton.
- — Comment ça ?
« Je vais me faire licencier pour un téton trop gros. »
- — C’est à cause de la blouse, je voulais vous en parler, elle est trop fine. On voit tout à travers, et il m’est arrivé un accident avec la douchette pendant sa douche. Du coup, la blouse s’est détériorée et comme j’ai un énorme téton, il est passé au travers.
- — Si je comprends bien, le client a vu vos seins, vos tétons et c’est tout ?
- — Non, mon sexe aussi, les boutons du bas ont lâché aussi.
- — Bon, c’est gênant vis-à-vis du client, mais vu sa pathologie, il a dû souffrir.
- — Oui, j’étais très gênée avec mes gros seins qui ballottaient, mais le protocole a corrigé tout ça.
- — Par contre pour votre téton arrosé, je suis inquiète pour vous. Il va falloir faire une analyse de son sperme pour voir s’il est infecté.
- — Comment ça ?
- — Demain de ce fait, vous y retournerez et en fin de protocole, vous récupérerez son sperme dans un flacon pour le faire analyser.
- — Et pour les blouses, en avez-vous des plus résistantes ?
- — Non, ce sont les plus résistantes, mais maintenant qu’il a vu vos gros seins, vos gros tétons et votre sexe, ça va aller. Et faites attention à l’eau.
« Si elle savait que le client a vu aussi ma vulve dégoulinante et mes grosses fesses ! »
- — Je ferai attention, promis.
- — Oui, je veux bien, je ne voudrais pas que le client porte plainte.
« Je comprends, mais je ne pense pas qu’il porte plainte, je ne suis si désagréable à regarder. »
- — Je compte sur vous, pour demain, ramenez-moi l’échantillon.
La gérante raccroche et se dit :
« J’aurais dû intervenir moi-même, elle a dû bien se profiter cette cochonne aux gros seins.
Elle a pas dû tout me dire, cela doit être très jouissif de faire masturber cet homme pendant deux heures.
Elle devait avoir la chatte en feu, malgré tout ce qui lui est arrivé.
Je vais rappeler le client et lui proposer des heures de ménage, il doit en avoir besoin. Je vérifiai son travail en même temps. Cette histoire m’a excitée, je mouille comme une salope. »
À suivre…