n° 19946 | Fiche technique | 63035 caractères | 63035Temps de lecture estimé : 36 mn | 14/12/20 |
Résumé: Isabelle, à 44 ans, découvre l'infidélité dans des circonstances chaudes et inattendues. | ||||
Critères: f fhh extracon fête revede exhib noculotte lingerie fmast caresses intermast fellation pénétratio confession -extraconj | ||||
Auteur : Isabelle bcbg et si chaude Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Isabelle, premiers amants à 44 ans Chapitre 01 | Fin provisoire |
Isabelle petite bourgeoise, catho, mûre et provinciale découvre d’autres sexualités
À la demande pressante… disons d’un ami, ami ou plutôt amant, qui m’a fait découvrir ce site, je prends mon courage à deux mains et me décide enfin à écrire ici pour des motifs que j’espère vous faire deviner et surtout partager. J’aime écrire, mais n’y passe malheureusement pas assez de temps, aussi excusez-moi si je ne suis pas trop douée.
Faisons simple je me présente : Isabelle… ayant tout pour être heureuse, voire très heureuse : et quand ma « nouvelle vie amoureuse est née », j’avais alors quarante-quatre ans, mariée depuis vingt-quatre ans, trois enfants déjà bien grands et en très grande partie hors de la maison, un mari profession libérale qui gagne bien sa vie, mais qui est toujours surchargé de travail, des amis, des loisirs, bref tout allait bien.
Ne travaillant pas, je me suis énormément investie dans divers œuvres ou actions : surtout religieuses et catho, mais aussi chorales que j’adore, gymnastique et piscine pour me maintenir en forme.
Sans faire trop de complexes j’avoue ne jamais avoir été jeune une vraie beauté au sens fort du terme, mais en ce milieu de la quarantaine on me prête un charme certain, une sérénité extérieure visible et un physique qui me rend appétissante, ni petite ni grande (1,68 m), mais des rondeurs là où il faut sans être trop grosse même si je me trouve trop grassouillette. Seins en pommes encore fermes, mais, à la suite d’un très récent traitement hormonal, ma poitrine a forci !
Ce qui m’a fait changer tous mes soutiens-gorge et surtout faire des gros complexes, car je n’avais jamais véritablement connu auparavant cette sensation si forte que celle provoquée par le regard de tous ces mâles rivés avec autant d’insistance sur ma poitrine.
Du coup, j’ai alors quasiment renoncé à porter des chemisiers en général et surtout ceux qui étaient trop révélateurs en particulier… et honnêtement c’était vraiment dommage (pour moi et surtout pour les hommes). Côté pile, j’ai un fessier de rêve d’après mon époux et qui a toujours provoqué un désir fou chez lui, cul toujours aussi attirant à mon âge. Rajoutons des cuisses en chair, mais qui se tiennent bien, un visage sympathique, distingué et rieur, une coiffure fausse rousse cuivrée, courte bien en mouvement et honnêtement j’avais conscience d’avoir vraiment toujours de quoi plaire.
Mais je n’en abusais pas du tout, car jusque-là vraiment très heureuse avec mon époux, je n’avais jamais eu trop la tentation de regarder ailleurs, même si à certains moments je m’étais sentie attirée par certains hommes plus brillants ou plus gentils que mon conjoint. Ceci était resté du domaine de l’idée à peine pensée, non assumée et plus que platonique sans que je pense un seul instant tromper son mari un jour.
Petites confidences intimes sur notre couple : Daniel a été véritablement le premier homme de ma vie de femme, les autres ayant été juste des flirts disons assez poussés : échanges de caresses intimes, bites maladroitement au début branlées puis sucées par moi, doigts explorant ma petite chatte encore virginale et pour certains se servant très bien de mon clito pour déclencher chez moi des intenses spasmes de plaisir, j’ai aussi découvert en plus du plaisir d’embrasser celui de sentir tant mes petits seins que mes fesses explorés, pelotés, malaxés ou léchés, tétés, voire mordillés.
J’ai sauvegardé ma virginité de mes jeunes amours et relations sexuelles balbutiantes souvent en acceptant que le jeune mâle sûr de lui me demande ou m’impose, une pipe avec une éjaculation buccale, me laissant stupide et dégoulinante, car je me refusais à les avaler.
Non pas que j’ai été une Messaline, mais entre le lycée, la fac, l’école de musique, les amis et sorties, les fêtes et mariages sept jeunes hommes de mon âge et un nettement plus âgé peuvent se vanter de m’avoir donné du plaisir et d’avoir découvert ou s’être servi de tout ou partie de mon corps !
Deux « expériences » m’ont marquée :
La première, j’allais avoir dix-huit ans et à un mariage dans notre famille éloignée, mais dont je connaissais bien la mariée, j’étais témoin avec un homme de trente-deux ans superbe et célibataire, bref j’ai vite senti qu’il ne s’intéressait pas à moi comme à une ado en devenir.
On a discuté, bu, et surtout beaucoup danser, il était doué. Une promenade pour se rafraîchir dans le parc du petit château où cela se déroulait nous emmena vers un bosquet où j’échangeais avec lui mes premiers vrais profonds et passionnés baisers de femme. La barre dure que j’avais sentie contre mon ventre lors de certaines danses commençait à me tourner les sens, il avait déjà investi ma robe bustier et sorti mes petits seins en jouant comme je n’avais encore ressenti avec mes tétons.
Notre désir grossissait et je l’aidais à trousser ma robe pour qu’il caresse mes cuisses surtout au-dessus de mes dim-up et vite sur et dans ma jolie culotte de jeune fille. Je le laissai m’en débarrasser et écartai les cuisses pour que ses doigts me fouillent, mais j’avais moi aussi tellement envie de le découvrir ! Je palpais sa bosse à travers son smoking et quand il me susurra d’ouvrir sa braguette et de sortir son membre si dur, je le fis aussitôt. J’avais son bâton d’amour à pleine main et il me souleva pour me poser sur une table en pierre qui me fit froid aux fesses, car j’avais un volcan inondé entre mes cuisses écartées et en face son si bel engin qui se préparait à faire de la spéléologie profonde dans ma chatte de vierge et surtout de moi une vraie femme !
Un éclair de lucidité nous vint, je ne prenais pas la pilule et l’homme qui s’apprêtait à me déflorer me dit ne pas avoir de préservatif et visiblement il n’avait aucune envie de risquer d’engrosser la bécasse que j’étais encore. Il y eut une pose, je ne voulais rendre aucun risque, il me sourit sans rien dire et se mit à genoux entre mes cuisses pour me lécher la chatte, enfoncer sa langue, jouer et aspirer mon clito, je tenais sa tête et enfonçais mes doigts dans sa chevelure et commençais à jouir en déclamant une grosse série de « oui » et « encore » !
J’ai vraiment joui sur sa bouche, puis il s’est redressé et ses doigts se sont enfoncés à fond dans ma chatte, je tendais mon ventre pour qu’il entre plus loin en moi, non seulement j’ai joui, mais une petite douleur et des traces de sang sur ses doigts nous ont prouvé que s’il ne m’avait pas baisée au moins mon hymen n’était plus intact…
Il me fit alors descendre et mettre à genoux, et sans rien lui demander, je saisis son membre et glissai mes lèvres autour de son gland. Si je ne savais pas vraiment bien sucer avant ce jour, il m’a donné un cours complet : bien masquer mes jeunes dents avec mes lèvres, me servir de ma langue, déglutir et aspirer pour qu’il sente que le pompais… Et bien sûr, il s’est servi de ma bouche comme d’un vagin, tenant ma tête et donnant des coups de reins pour aller et venir, allant presque dans ma gorge. Si au début j’ai eu presque des hauts de cœur il n’alla pas trop loin avant d’exploser au fond de ma bouche, au point que je m’étranglais et que son foutre sorte par mon nez et inonde ma poitrine avec celui qui ressortait et coulait de ma bouche !
J’avais dû lui faire de l’effet vu la quantité qu’il a continué à éjaculer dans ma bouche me forçant à continuer d’avaler son sperme chaud au goût pas trop désagréable. Nous avons remis de l’ordre dans nos tenues, il m’a donné un mouchoir pour que je tapisse mon entrejambe avant de remettre ma culotte, puis nous sommes retournés séparément et dignement au mariage.
Mes parents étaient fatigués et nous sommes alors rentrés à notre hôtel, je n’ai plus jamais revu, mais je m’étais juré de ne plus avaler la semence d’aucun homme. Si j’avais su…
La seconde a été moins « dangereuse ». Je venais d’avoir dix-neuf ans, mon permis et ma première année de fac, nous sommes partis à quatre amis en camping en Vendée. J’étais la toute nouvelle petite copine d’un beau garçon, Bruno, un de ses copains Patrick était là, avec une amie à moi Christine, mais rien entre ces deux-là. Nous campions dans un petit champ laissé à notre disposition par de vieux amis de mes parents.
On dormait dans des tentes séparées, filles et garçons séparés, mais à la plage ma copine plus délurée que moi m’a vite convaincu de nous passer de soutien-gorge au départ pour juste bronzer. Puis comme c’était à la mode et banal, nous avons passé nos journées seins nus à la plage, puis au bar et petit restau de plage et finalement même dans notre petit camping…
L’ambiance est devenue plus érotique, mon petit ami m’embrassait et me caressait les seins à tout bout de champ, et quand nous sortions le soir, Christine et moi laissions nos poitrines libres puis mon amie me montra qu’elle osait sortit sans culotte le soir ! Prise pas l’ambiance, je l’imitai très vite et nous laissions par jeux coquins, sans aucune pudeur, les yeux exorbités de gentils garçons se régaler à la vue de nos buissons.
Nos deux compagnons de camping se régalaient aussi du spectacle de nos intimités et nous échangions mon amie et moi des sourires complices au vu des bosses bien visibles que nos charmes provoquaient chez eux.
À notre demande, Christine et moi avons décidé finalement de bronzer intégralement nues, et nous sommes tous allés au coin nudiste de la plage et j’ai découvert le plaisir de vivre nue aux vues de tous, du moins les filles, nos deux hommes étant restés très tradi et mal à l’aise… même s’ils louchaient comme beaucoup d’autres sur nos jeunes charmes.
Un soir, mon amie a été invitée par des connaissances de ses parents qui étaient en vacances pas loin et elle passa la nuit chez eux.
Je passai la soirée avec mon copain et son ami et on est sortis dans la petite station balnéaire et on a fait quelques bars et dancings en plein air, bref on a un peu trop picolé tous les trois, mon petit copain me caressait les fesses en remontant la main sous ma robe, mais n’ayant pas culotte je le laissais ainsi montrer mes fesses. Surprise par moment dans la foule dense, je sentis vite que d’autres mains prenaient par moment possession de mon jeune postérieur.
Un peu trop saoule, je les repoussais gentiment, mais par moment je laissais faire Bruno qui tenait ma robe soulevée, pour offrir ainsi à des inconnus de caresser… mon cul !
Quand nous sommes rentrés à nos tentes, j’étais, j’avoue, en chaleur et je me frottais à mon flirt comme la petite chatte que j’étais !
On a bu encore deux verres ou plus, on a mis de la musique, j’ai dansé avec mon copain, il m’a embrassée, caressée, puis Bruno a fait glisser ma robe et je suis retrouvée nue dans ses bras. Son copain Patrick était allongé et nous regardait, nu avec son sexe dressé, Bruno m’a glissé ma main dans son short et j’enrobai de mes doigts sa bite tout aussi dure.
La tête me tournait, je repris alors mes esprits dans la tente des garçons : on me suçotait la fente et le clito d’un côté, on me léchait les fesses de l’autre, mais surtout devant ma tête j’avais deux queues turgescentes et fièrement dressées !
Je réalisai que j’étais en 69 avec ces deux copains, et tout de suite on tint ma tête et je suçai une bite, laquelle ? Bruno, mon copain, ou Patrick son ami ? Peu importe, car trois minutes après on retirait ma tête de la première pour me présenter à la seconde et sans hésiter je me remis à pomper cette nouvelle queue !
Puis ce fut moi, excitée, qui vite passais toute seule d’un phallus à l’autre ne faisant qu’une mini interruption pour reprendre mon souffle et pour enfourner la queue suivante dans ma bouche.
Ces cochons ne s’occupaient plus de moi, j’étais à leur unique service, tel une p… avec des clients ! Et au bout de peu de temps ils explosèrent en moi et je les avalais, car ils me tenaient la tête à ces moments-là…
On a vraiment trop bu et les deux garçons s’endormirent comme des masses, moi aussi, mais je me réveillai peu avant l’aube, la fraîcheur de la nuit ou j’avais moins bu qu’eux ?
Je récupérai ma robe et me réfugiai dans ma tente, je m’enfermai et je m’endormis comme une masse la poitrine, le visage et les cheveux souillés de foutre.
Le lendemain vers midi je réalisai ce qui s’était passé, je vérifiai l’état de mon triangle et, ouf ! il n’avait visiblement pas été visité par l’un ou l’autre.
On se sentit tous les trois mal et Christine à son retour devina ce qui avait pu se passer, nous mîmes fin à nos vacances communes et je partis avec Christine finir nos vacances chez les amis de ses parents. J’ai refusé par la suite tous contacts avec Bruno, malgré ses excuses.
Quelques mois plus tard, je rencontrai en stage pro mon futur mari, Daniel, et ça a été un presque un coup de foudre, nous avons eu de la passion l’un pour l’autre presque aussitôt…
Nous avons fait l’amour moins de deux mois après nous être rencontrés et nous sommes mariés dix mois plus tard. Je lui ai expliqué que si mon hymen n’était plus là, ceci était dû à ma pratique pendant plusieurs années de la danse classique, le grand écart… et non un amoureux ! Lui avait déjà connu d’autres femmes et il m’a déclaré ne pas y attacher d’importance, ouf !
Question lit, il a su me faire découvrir beaucoup de plaisirs : varier les positions, me faire déguster la minette et il a toujours su me faire jouir comme ça. En retour et par le 69, il a adoré ma technique pour le sucer, même si j’ai refusé qu’il jouisse dans ma bouche, j’ai cependant accepté qu’il se branle et éjacule entre mes seins. Il adore mes fesses et m’a fait découvrir malgré mes préjugés la pénétration anale avec un ou deux doigts et le plaisir qu’elle procure, j’ai en revanche refusé d’être…
J’ai toujours aimé me caresser même quand il me pénétrait et il m’a toujours incitée à me toucher le plus souvent possible.
Questions dessous, il a toujours été attentif à ceux-ci et m’a poussé à être plus qu’érotique dans notre intimité et lors notamment de sorties « très habillées » : j’ai appris à me mettre aux bas et porte-jarretelles quand la mode en est revenue, guêpière aussi, puis strings plus communément. Il a aimé aussi par moment que j’ai la chatte soignée, voire lisse avec un triangle réduit.
Question pudeur, il n’a jamais rien fait pour que je sois plus ou moins aguichante, mais en vacances loin de chez nous, ça lui plaisait que je sois plus décolletée et que je porte des jupes sexy ou mini. Dans certaines circonstances il a pris visiblement du plaisir à ce que je sois contemplée plus jeune : seins nus sur les plages, et nudisme total pour moi au bord d’un lac du midi, à de nombreuses reprises.
Question jalousie : néant de sa part, mais je n’ai jamais ressenti le besoin ou l’envie d’aller voir ailleurs. La seule fois où j’ai eu un contact « hors normes » est vers trente-cinq ans, et paradoxalement dans une soirée dansante hyper BCBG, mais très arrosée, tard dans la soirée pendant une série de slows, dans la boîte de nuit d’un hôtel chic, boîte alors quasi noire où juste quelques faisceaux trouaient l’obscurité si chaude, un ami (qui me plaisait et m’amusait beaucoup en me draguant gentiment et discrètement) m’a emballée.
Cet ami était assez excité et ayant trop bu a commencé en douce à me peloter les fesses. Comme j’avais moi aussi beaucoup trop bu, je l’ai repoussé doucement pour ne pas faire de scandale… puis me suis laissée faire en riant discrètement et en résistant de plus en plus mollement… Pire : j’ai continué à danser avec lui et me suis même serrée très fort à lui, et là cette barre si dure contre mon ventre m’a fait alors totalement chavirer !
Ses mains me caressaient, quittant mes fesses pour mes cuisses et quand il a senti les attaches de mon porte-jarretelles il est devenu fou, me pelotant carrément. Rassurée par la quasi-obscurité, je lui laissais glisser une main sous ma robe et se plaquer contre ma si légère culotte avant de le repousser gentiment.
Mon mari ne m’avait jamais donné une telle sensation et je me suis alors délibérément frottée à son phallus que je faisais si bien bander retrouvant des bouffées de désir que je n’avais jamais ressenties en public depuis mes aventures de jeunesse. Je retrouvais dans ce noir un sentiment de liberté surtout un désir de plaisir charnel à satisfaire immédiatement ! Mais par souci de pudeur et par lucidité, j’ai fini par même remonter ses mains qui étaient à nouveau carrément sur mes fesses.
Au bout de trois slows, je n’avais plus que lui en tête et dans le ventre, et c’est alors qu’il m’a demandé de venir le rejoindre dehors sur le parking pour s’envoyer en l’air…
Je ne savais plus quoi faire, je suis allée voir mon mari qui était en pleine discussion avec des connaissances à lui pour lui demander de me faire danser, mais ayant horreur de ça, il m’a envoyée sur les roses.
Vexée j’ai attrapé mes cigarettes et lui ais dis que j’allais fumer dehors et suis sortie retrouver mon danseur. Face à cet ami, je voulais dire que je ne voulais pas… mais il m’a prise dans ses bras et je me suis laissée faire et vite entraîner dans un coin de parking heureusement désert entre deux voitures !
Là devenue folle je me suis laissée faire et retrouvée, robe totalement troussée, culotte sur les chevilles, sa langue dans ma bouche, les seins à l’air sortis de mon sous-tif ! Une main me pétrissant ma poitrine et l’autre dans ma fente plus qu’inondée me faisant aussitôt jouir, et moi qui le branlais comme une folle jusqu’à ce qu’il éjacule abondamment sur mes bas, mon porte-jarretelles et mes cuisses. Par chance cela nous a dégrisés et nous avons tous les deux eu honte, mais surtout peur d’être surprise, avec le scandale qui aurait été avec ! (J’ai réalisé après et avec un effroi rétroactif que si ce soir-là il m’avait assise sur le capot d’une voiture, j’aurais écarté aussitôt les cuisses pour me faire embrocher par lui tellement j’avais envie d’être baisée à ce moment-là !)
J’ai essuyé longuement méticuleusement les traces de son sperme avec ma minuscule culotte que mon ami a mise dans sa poche, et j’ai finis la soirée sagement au côté de mon mari et pour la première fois de ma vie d’épouse rangée : sans culotte, comme la petite allumeuse que j’étais beaucoup plus jeune lors de mes sorties hots en Vendée !
Heureusement ni mon mari (plus qu’éméché) ni l’épouse de notre ami n’ont rien remarqué, on ne s’est jamais revu intimement et je me suis juré de ne jamais me remettre dans une telle situation.
Mais ceci était déjà très loin et depuis quelque temps, Daniel, plus âgé que moi de huit ans, était devenu de plus en plus irritable : surcroît de travail, de soucis professionnels, de fatigue… il me négligeait de plus en plus et j’avais du mal à me retrouver régulièrement intime avec lui. En bref, Monsieur ne s’occupait plus de Madame qu’une à deux fois par mois et ce rythme allait en diminuant ! Cela durait depuis plus d’un an et malgré tous mes efforts pour émoustiller mon époux (port de strings, chemises de nuit hot, etc.) notre couple n’arrivait plus à se retrouver comme avant.
Et c’est juste à cette époque qu’ayant eu des troubles féminins, j’ai consulté un spécialiste qui m’avait prescrit un traitement hormonal adapté, mais qui selon lui, dans certains cas pouvait présenter un effet « physique et sensuel » prononcé. Il m’avait dit que certaines patientes retrouvaient ou découvraient un appétit au lit beaucoup plus exigeant qu’avant, en même temps qu’un développement mammaire tardif… assez volumineux ! Mais c’était très rare, et c’est à ce moment-là que j’ai dû abandonner mon petit 90 B pour un inattendu véritable 95 bonnets C toujours ferme, et que j’ai ressentis alors la découverte et la gêne du regard des hommes fichés sur mes seins dont je vous ai déjà parlé. Mais très honnêtement j’avais totalement oublié ce que m’avait dit ce docteur sur le développement également possible de mes besoins sexuels…
Pourtant depuis mon traitement hormonal, je ressentais vraiment un vide énorme en moi, vide qui partait de plus en plus de mon bas-ventre… Je me réveillai en sueur en pleine nuit et je découvris alors que je ne pouvais retrouver le sommeil qu’en glissant une main entre mes cuisses et en m’astiquant comme une folle en pensant à des caresses, puis à certains hommes de plus en plus précisément, pendant que Daniel dormait à mes côtés ! Si j’en avais eu intérieurement honte au début, j’avais vite assumé ce besoin et n’hésitais plus à me donner du plaisir le soir alors que son mari venait juste de commencer à ronfler, ou même dans mon bain en fin de matinée ou de journée… Et très vite, un certain flacon de gel douche à la forme phallique est venu de plus en plus souvent et profondément en moi remplacer le membre défaillant de mon époux…
Malgré mes multiples tentatives de dialogue, mon mari restait insensible à mon état de femme, avouons-le, insatisfaite ! Du coup je n’arrêtais pas de râler, de lui faire des reproches sous tous les prétextes, et lui répliquant : notre couple s’engueulait de plus en plus alors que cet égoïste total aurait pu facilement deviner mon insatisfaction… affective… et sexuelle de plus en plus grande !
Par conséquent et ne me sentant plus épanouie chez moi, je sortais de plus en plus de la maison, même le week-end, car entre mes occupations bénévoles et la chorale les occasions ne manquaient pas ! Et notre couple retrouva paradoxalement et extérieurement un certain équilibre même si sur le plan sexuel cela ne s’améliorait pas entre nous !
Daniel manifestant en plus des pannes de bandaison en plein milieu du coït, et je ne faisais volontairement plus rien pour aider mon mari à retrouver de la vigueur, trop excédée par son comportement non pas en général, mais au lit en particulier. Il se refusait à toute aide d’un célèbre médicament arguant que compte tenu de problèmes de tension, il ne pouvait le prendre sans risque pour sa chère santé qui passait avant tout !
Puisqu’il refusait au moins d’essayer, je me refusais notamment et dorénavant à le sucer ou à mettre entre mes seins la bite molle de ce Monsieur, si chiant à force d’ignorer mes besoins et maintenant de plus en plus mou, alors que je le faisais assez facilement avant !
J’ai alors dans mes sorties lié et développé des amitiés que ne partageait pas mon mari, et notamment je me rendis compte un jour que j’étais bel et bien en train de minauder et même de commencer à flirter avec deux hommes très différents que je côtoyais une à deux fois par semaine à ma chorale.
J’éprouvais du plaisir à être avec eux, à bavarder, échanger des idées, des réflexions, puis des confidences anodines puis gentilles, amusantes, grivoises, voir plus « chaudes » ! Et j’attendais nos rencontres de plus en plus impatiemment et assez vite plutôt avec eux qu’avec les autres choristes, même si nos contacts étaient très discrets.
Sans vraiment y réfléchir et naturellement, je m’aperçus que voulais changer certaines de mes habitudes… inspirée inconsciemment par eux deux. J’allais dorénavant chez le coiffeur le mercredi matin, car je répétais les chants avec eux le soir ; je mettais systématiquement un string plutôt qu’une culotte quand j’allais sortir et les rencontrer, et surtout je découvris que mes strings étaient bien souvent trempés quand je les retirais chez moi le soir ! Et je me caressais dans le lit conjugal en pensant à eux, l’un, l’autre, les deux…
Ceci me conduisit à penser également à eux quand, en vue d’un concert de notre chorale un peu avant Noël, j’achetais des bottes ultra sexy, et je craquais pour une paire noire avec des talons aiguilles assez hauts, je n’avais plus porté ça depuis une bonne quinzaine d’années. Pire en achetant une jupe noire toujours pour notre concert, je me décidai finalement pour un modèle nettement plus court que ce que je portais normalement et en plus d’un cuir ultrafin et incroyablement souple. C’est toujours en pensant à eux, et quand je l’ai essayée chez moi, je me jugeais certes encore distinguée, mais très sexy, limite provocatrice !
Moi qui étais ultra jalouse et qui n’avait jamais songé et envisagé un jour de tromper mon mari, j’étais de plus en plus déboussolée. Je m’en ouvris sous le sceau du secret à une amie proche, et là comble de l’histoire, celle-ci m’avoue qu’elle ne fait plus rien avec son époux et qu’elle à un amant discret et régulier beaucoup plus jeune qu’elle qui l’envoie au ciel comme elle n’a jamais connu avant ! Vous parlez d’un réconfort moral !
Redevenant pire qu’une gamine inconsciente, je flirtais toujours très discrètement, mais encore plus avec ces deux admirateurs, car cela était non dépourvu d’avantages :
• Nous voir pour des raisons d’organisation de la chorale assez souvent avec ces deux hommes évitait de faire naître les rumeurs qui seraient arrivées si j’étais restée seule en tête-à-tête avec l’un d’eux.
• Le fait qu’ils soient deux et bien élevés me fournissait un barrage contre un risque de dérapage que je ne voulais sincèrement pas, mais du coup je mis beaucoup moins d’interdits dans nos conversations de plus en plus coquines, et qui alors dérapèrent beaucoup plus loin qu’il n’aurait été raisonnable
Et ce fut le cas lors d’un retour commun en voiture, fin novembre, d’une séance de préparation de notre concert de Noël, si important pour notre chorale et donc prévu mi-décembre dans une église à trente kilomètres de notre ville. Après avoir mis au point le déroulement de ce concert avec un homme de cette paroisse dans la bonne quarantaine et originaire d’Afrique, qui tenait le rôle de sacristain bénévole et qui gérait tout cela, nous avons tous les trois dîner dans un petit restaurant quasi désertique, mais très sympathique ; repas très bon, mais un peu arrosé, après avoir mis au point tous les détails rébarbatifs de genre de concert.
La conversation vint sur les dessous féminins qu’Olivier aimait… mais que son épouse se refusait de porter. Interrogée, puis poussée par Pierrot, j’avouais que j’aimais porter des strings, mais ces cochons me firent admettre que cela n’avait de sens que si c’était porté avec des bas Dim-up ou, encore mieux, des porte-jarretelles pour bien laisser comme en été les fesses vraiment à l’air sous une jupe ou une robe sage ou… moins sage.
Ces deux complices veillaient à ce que mon verre soit toujours plein, et le vin était si bon… J’ai craqué et en riant finis par leur avouer aussi que j’avais déjà porté des porte-jarretelles et pire, que j’avais fait déjà l’amour avec mon mari Daniel nue sauf bien entendu lesdits porte-jarretelles et des bas ! Pire que nous avions fait cela quelques fois dans des lieux… cinéma, parking routier, bois… Cela les excita encore plus et ils furent si entreprenants que je dus leur promettre en riant de porter pour le concert un vrai porte-jarretelles avec des bas à coutures… et leur montrer mes dessous !
Rien que leur promettre ça m’avait mis en chaleur, je me sentais toute troublée et ils s’en amusaient ouvertement. Bref ils me dirent qu’avec un chemisier j’aurais eu moins chaud… et qu’ils auraient également pu se régaler encore plus les yeux.
Pierrot me dit se rappeler encore la forme de mon soutien-gorge porté lors de notre concert d’été… et qu’il en avait été tout dur. J’aurais dû faire au moins semblant de ne pas comprendre, mais trop excitée, j’en ris avec eux. Je me surpris alors à leur promettre d’en mettre un nettement plus coquin pour notre concert et d’ouvrir le gilet qui seraient dessus, mais après que quand nous serions que tous les trois. Quand je suis rentrée chez moi, mon string et mon collant en étaient trempés !
• Troisième avantage, je ne pouvais imaginer que mon mari puisse être jaloux de deux autres mâles, surtout de Pierrot, vu son âge. À cet égard, permettez-moi de vous présenter mes deux amis :
Pierre, dit Pierrot, ténor dans la chorale est nettement plus âgé que moi, soixante-dix ans à l’époque (vingt-six ans au moins de plus que moi), artisan à la retraite. Jovial, discret, disponible, il est loin d’être amorti et je le connaissais depuis plus de vingt ans. Assez grand, un peu enveloppé, mais très cultivé et ayant beaucoup de goût pour la littérature, nous avons vite sympathisé et toujours beaucoup discuté. Il est marié, mais son épouse très effacée, si elle a l’air gentille, ressent beaucoup plus que lui les effets de l’âge. Je l’ai toujours beaucoup appréciée.
Olivier également ténor est beaucoup plus jeune : cinquante et un ans, cadre bancaire, il est très distingué, brillant, hyper gentil et très complice avec Pierrot. Physiquement grand et sec, une épouse totalement quelconque, très orgueilleuse et vraie pimbêche. C’est de lui que je me méfiais, à tort, le plus au vu de son côté séducteur discret.
La veille du samedi de notre fameux concert arriva enfin, j’allai chez le coiffeur et l’esthéticienne en début d’après-midi, je demandai à cette dernière des soins de visage et une épilation, y compris de ma chatte. Je choisis d’abord une épilation maillot très prononcée, puis prise d’une envie irrésistible de me sentir encore plus… femelle, je lui demandai d’être lisse sauf un minuscule rectangle taillé très court. En bonne professionnelle la jeune femme ne parut pas étonnée et au contraire elle me félicita pour ce choix qui devrait plaire à, curieusement elle dit alors non pas « à votre mari », mais « aux hommes ».
Cela me troubla, aurait-on jasé dans notre petite ville provinciale ? Elle comprit mon interrogation et rit :
Elle, si fière de son statut de commerçante et de sa vie publique, se laissait aller à la confidence, j’en étais stupéfaite et je l’interrogeai :
Elle vérifia que personne n’était dans la partie magasin et me répondit :
Je restai un peu ébahie de cette confidence si intime et de sa part, mais quand elle me montra le résultat dans un miroir, je réalisai alors que j’avais maintenant entre les cuisses un véritable appel ouvert à la bite… ou aux bites !
J’en rentrais chez moi un peu honteuse d’imaginer que…
Le lendemain, mon mari étant sorti, il fallut me décider, deux heures avant de partir au concert et quand je m’habillai après mon bain, bain où pendant dix bonnes minutes ma main droite explora ma fente lisse, mais sans arriver à me donner vraiment du plaisir, ni me calmer.
Je me rendis devant ma commode et en sortis, enfoui sous mes dessous, un porte-jarretelles blanc nacré, ancien, mais confortable et hyper sexy, j’y attachai rapidement des bas noirs très fins et à coutures que je possédais déjà, puis je sortis d’un sachet chic le soutien-gorge et le string que je m’étais achetés la veille dans une belle boutique de lingerie : dentelle blanche ultra fine et sexy allant très bien avec le porte-jarretelles, mais surtout totalement indiscrète et qui révélaient pour le haut parfaitement mes tétons et pour le bas que ma fente était bien lisse ! Comme derrière la simple ficelle disparaissait entre mes fesses, j’avais bel et bien le cul absolument nu.
Mon chemisier blanc était aussi indiscret que le soutien-gorge et heureusement le gilet noir sauvait les apparences, et mon manteau noir dissimulait aussi ma jupe qui dévoilait presque la naissance de mes cuisses mises en valeur par mes bottes neuves au cuir noir fin et aux fameux talons aiguilles (L’église dans laquelle notre chorale donnait son concert étant très froide, nous gardions nos manteaux pour chanter sinon je n’aurais pas osé porter cette jupe si courte dans un tel lieu).
Je crois que je n’avais jamais aussi bien chanté depuis que je faisais partie de cette chorale, d’ailleurs notre chef de chœur et des amis choristes, que des hommes, m’ont félicitée très chaleureusement ! Malgré le froid, j’avais chaud de partout et surtout dans le bas du ventre, après avoir posé mon manteau, je me précipitai pour faire pipi dans les toilettes de la salle paroissiale qui était donc réservée pour la petite soirée habituelle après le concert.
Faire pipi avec un porte-jarretelles et une jupe certes courte, mais étroite n’est pas la chose la plus facile du monde. Heureusement le cuir était si souple que j’arrivai à me trousser et j’en profitai pour bien réajuster mes bas, les coutures et les jarretelles ce qui provoqua une nouvelle bouffée de chaleur en moi.
Je pris un apéritif, puis un autre, et finalement deux autres en bavardant gentiment avec tous nos amis, mais, bon sang, qu’il faisait chaud dans cette salle ! Mes deux chevaliers servants me félicitèrent à ma grande surprise pour mon porte-jarretelles, mais il faut avouer que même à travers le cuir noir et si fin de ma jupe les attaches des bas se devinaient très bien (de même que les jarretelles dès que je me penchais), et ces deux coquins ne devaient pas être les seuls à l’avoir remarqué. D’ailleurs j’attirais plus que d’habitude les regards et une copine me glissa à l’oreille :
Je lui expliquai alors que c’était ma tenue pour les fêtes de fin d’année et elle me félicita sur mon audace, mais que visiblement je cherchais un père Noël pour ramoner ma cheminée. Comme je savais qu’elle avait la cuisse légère et que son mari portait des cornes, cela déclencha chez nous une crise de fou rire qui leva encore plus mes interdits de femme mariée.
Inutile de vous dire qu’à ce moment-là une nouvelle bouffée de chaleur s’empara de moi au point que je décidai malgré le froid de sortir dans une petite cour intérieure pour griller une cigarette et me… refroidir. Je sentis alors que j’avais les seins durs et que mes tétons cherchaient à percer le soutien-gorge, le chemisier et le gilet de laine noire, car malgré ses trois épaisseurs, on les voyait distinctement bandés à travers !
J’étais tellement gênée que je croisais les bras pour dissimuler ma poitrine et retournai participer au buffet avec tous nos camarades. Je me détendis vite et grignotai de bon cœur, mais Pierrot me fit goûter à tout un tas de vins délicieux qui me firent un peu plus tourner la tête, aussi je m’amusais beaucoup et riais souvent. À un moment, dans le grand nombre de personnes présentes et agglutinées devant le buffet, je sentis une main m’effleurer discrètement les fesses puis rapidement les palper. Je restai digne et au lieu de fusiller du regard le malotru qui s’était permis ce geste, c’est amusée que je cherchai des yeux celui qui ne pouvait maintenant ignorer que j’étais bien en string et porte-jarretelles sous ma jupe trop courte et si peu BCBG.
C’était bien sûr Olivier qui s’était permis ce geste et qui me fit encore plus discrètement une œillade torride : nouvelle bouffée de chaleur chez moi, j’étais pivoine !
Heureusement dans ce tohu-bohu personne n’avait remarqué cette caresse.
Quelque temps après, Pierrot me glissa à l’oreille :
Je bredouillai alors une vague excuse et allai me réfugier auprès d’un groupe d’amies pour oublier ces deux cochons qui… qui étaient si charmants et auxquels le feu persistant dans mon bas-ventre me forçait insidieusement à leur faire plaisir. M’enhardissant après un verre de champagne, je me décidai et rejoignis alors Pierrot en lui susurrant :
Car notre petit groupe s’était porté volontaire pour terminer la fermeture de la salle paroissiale après que nous ayons tous ensemble fait le plus gros. La soirée s’éternisait et je me surpris à souhaiter le départ de tous ces gens qui m’empêchaient de me retrouver enfin seule avec mes deux si gentils amis. Je retournai faire pipi et là je constatai que mon string était à tordre, il m’est même venu l’idée de m’en débarrasser, mais je n’ai pas osé rester ainsi sans aucune culotte. Enfin le rangement commença, j’y participai de bon cœur et cela allait vite, je dis au revoir à un tel ou une telle quand soudain après le départ du dernier j’entendis la voix de Pierrot dire tout haut :
Paniquée je regardai autour de moi pour voir… Ouf ! il n’y avait vraiment plus que Pierrot, Olivier et moi, j’en fus tellement soulagée qu’abandonnant toute réflexion et telle une automate, je retirai aussitôt le gilet tant pour assumer cette envie irrépressible de me montrer que pour avoir moins chaud. Mes tétons crevaient le soutien-gorge et le chemisier blanc, ils m’en faisaient mal et dès que je sentis les yeux de mes deux partenaires les reluquer cette douleur si plaisante s’étendit à toute ma poitrine ! Les deux hommes étaient contre moi et Pierrot en siffla d’admiration :
Puis il me tendit un nouveau verre de champagne que je bus d’un trait, il me resservit puis s’en alla un court moment fermer la porte extérieure de la salle pour que nous soyons bien tranquilles. Olivier de son côté n’était pas resté inactif, il tamisa l’éclairage, vira les chants lyriques de Mozart qui faisaient l’ambiance en sourdine pour les remplacer par une série de slows plus forts et surtout langoureux à souhait. La salle paroissiale si chaste se transformait en boîte de nuit privée ! Pierrot quitta sa veste et sa cravate et m’invita à danser, je me laissai faire et rapidement me plaquai contre lui, tellement je me sentais un peu paf, mais si bien ! La salle tournait un peu autour de moi. Je sentis aussitôt une véritable barre bien dure s’appuyer contre le bas de mon ventre, je murmurai :
Et à ce moment-là, je réalisai qu’il était carrément en train de me peloter les fesses, mais j’avais trop bu, j’avais tellement envie et faim de caresses que je contentai de frotter mon ventre et le haut de mes cuisses à cette barre si dure, oui si dure. Je fermais les yeux, j’étais si bien, trop bien. J’ouvris les lèvres pour laisser sa langue me pénétrer, elle était si douce et chaude que je mélangeai aussitôt la mienne à la sienne. Puis je sentis deux autres mains sur mes fesses, c’était génial et je les reculai doucement pour les frotter à une autre barre tout aussi dure, mais que je sentais à la fois plus grosse et plus haute (normal vu la taille d’Olivier).
Nous ne bougions plus et j’avançais et reculais mon bassin pour frotter fermement et alternativement mon ventre et mes fesses à ces deux sexes mâles ; redécouvrant des sensations qui m’avaient tellement manquées et qui maintenant devenaient impératives : il me fallait jouir, et jouir vite et peu importe que ce fut avec deux hommes, j’étais prête à tout pour mon plaisir immédiat et tant attendu.
Je laissai sans hésitation Olivier dégrafer ma jupe qui tomba par terre et que j’enjambai avec leur aide, puis mes amis virèrent à deux mon chemisier et mon soutien-gorge. J’étais incapable de les aider, car une main devant et l’autre derrière, je serrais à pleines mains leurs deux bosses, énormes promesses de plaisir, et qui me faisaient des décharges électriques de plaisir dans les deux bras.
J’embrassai maintenant Pierrot à pleine bouche pendant qu’il me caressait les seins à pleine main, jouant avec mes tétons. Olivier me léchait la nuque et d’une main me caressait les fesses et de l’autre fouillait dans mon string lilliputien, ouvrant ma fente et s’amusant aussitôt avec mon clitoris provoquant en moi des montées de plaisir et de désir !
Je m’entendis répondre d’une voix rauque venant de mon ventre :
Jamais je ne m’étais exprimée ainsi avant et surtout pas avec Daniel, mon mari. Mais je n’avais plus le temps d’en avoir honte, car Pierrot ouvrant sa braguette guidait ma main dans son slip où je serrai enfin son pieu si chaud et si rigide. J’en avais des frissons et Olivier le remarqua puis il me dit :
Mais ça allait trop vite pour moi et je bredouillai :
Sans hésiter je me penchai, repoussai le pantalon de Pierrot puis son slip et déposai un baiser presque chaste sur son gland, avant de reposer mes lèvres dessus et doucement faire glisser sa bite si chaude dans ma bouche. Humm, je descendis alors très lentement le plus bas possible. Les frissons partaient de ma bouche et de ma langue au contact de ce membre si dur, si chaud et si désiré, ces frissons de désirs envahissaient tout mon corps… Enfin, la bite d’un homme entre mes lèvres, j’étais en train de redécouvrir le sexe et le plaisir qu’une femme peut donner et recevoir d’un homme qui mérite ce nom : amant !
Et là, il y en avait deux !
Et imaginez : à quarante-quatre ans, mariée, jusque-là fidèle, mère de trois enfants, petite bourgeoise BCBG, ayant une haute conscience, une vision de moi-même sûre et honnête, bonne catho et tout, j’étais à cet instant là uniquement fière qu’un homme plus âgé, que je connaissais depuis vingt ans aussi, me considère non pas comme une compagne de chorale moralement comme il faut, mais comme une vulgaire femelle, suceuse de bite douée !
Et j’en mouillais encore plus, d’autant plus qu’Olivier avait guidé ma main libre sur ma motte et que je m’astiquais le bouton devant ces deux hommes comme une folle pendant qu’Olivier explorait avec ses doigts ma grotte après m’avoir retiré délicatement mon string.
La tête me tournait, j’avais trop de plaisir avec ses quatre mains sur mon corps, avec mes propres doigts qui branlaient frénétiquement mon clitoris à m’en faire mal de jouissance, à sentir cette colonne de chaire douce et dure dans ma bouche que je suçais et aspirais en abandonnant toute pudeur et retenue. Mais quand j’entendis clairement ce mot de « salope » qui m’était destiné pour la première fois où je le méritais absolument, j’ai eu envie de me comporter vraiment comme telle.
Oui, j’avais trop de plaisir et surtout beaucoup trop faim de ce plaisir pour y voir une insulte. Non, au contraire, j’en étais fière, oui fière et sincèrement fière d’oser enfin assumer pour mon plaisir un rôle de vraie salope, et surtout LA SALOPE de mes deux amis qui devenaient à quarante-quatre ans mes deux premiers amants et faisaient ainsi de mon mari, pour moi et à cet instant-là où je n’avais plus aucune barrière : le cocu qu’il méritait vraiment d’être !
Au diable éducation, respect de soi-même, de notre couple, de mon image de femme et de mère respectable ! Après tout : nue avec seulement des bas et un porte-jarretelles de quasi-pute, perchée sur des hauts talons, j’étais en train de sucer un homme nettement plus âgé, et d’attendre avec une impatience totale que celui de mon âge me fourre enfin son gros chibre dans ma grotte d’amour inondée. Mon esprit, ce qui en restait totalement déboussolé, ne pensait plus qu’à cette deuxième pine en totale érection, et je m’entendis penser :
Fourre-moi, remplis-moi, défonce-moi, fais-moi jouir, vide-toi en moi que je déborde à nouveau de bon foutre bien chaud !
Je n’étais déjà plus, à mes propres yeux que le genre de femelle qualifiée par Olivier de salope, aussi déglutissant presque à regret le beau pieu de Pierrot, je m’entendis demander avec une voix encore plus grave, inconnue de moi, voix rauque de tigresse en chaleur :
Olivier rit alors en me filant une grande claque sur les fesses :
C’est ainsi que j’appris ainsi avoir été depuis des mois l’objet d’un complot des plus trivial entre ces deux hommes… et de paris entre eux sur le fait que oui ou non je sauterais le pas et ferais cocu un jour ou l’autre mon époux avec l’un d’entre eux.
Ils m’avouèrent plus tard que c’était Pierrot qui le premier avait parié que je me ferai sauter par l’un d’eux, en devinant en plus et avec justesse que c’était la première fois où je faisais mon mari cocu !
Cependant ils s’étaient donné à chacun les mêmes chances de me culbuter, car j’étais visiblement plus proche et rassurée par l’âge de Pierrot, et plus attirée par Olivier, ce qui était effectivement ce que je ressentais pour eux. Mais ils n’avaient jamais pensé au fait de pouvoir me baiser tous les deux ensemble !
Et moi qui croyais qu’en flirtant sagement avec eux deux justement ensemble ceci m’éviterait la tentation d’un dérapage extraconjugal, j’étais tombée tête baissée dans mon propre piège… sexuel où j’avais beaucoup trop excité ces deux mâles et dont j’avais maintenant à assumer toutes les conséquences… pour notre plus grand plaisir bestial et sensuel à tous les trois.
Pierrot s’était assis sur une chaise, il me retourna alors et m’écartant les cuisses, il me guida et je m’assis sur lui, impatiente de sentir enfin une verge bien rigide pénétrer mon puits d’amour si peu fréquenté depuis de trop longs mois. Je glissai une main entre mes cuisses pour bien guider son gland et me penchai en avant pour favoriser ma pénétration tant attendue, certainement encore plus par moi que par lui.
Au moment ultime Pierrot me dit :
L’entendre traiter mon mari de con déclencha en moi une envie encore plus folle d’être prise, tellement j’avais conscience que Daniel s’il m’avait correctement fait jouir je n’aurais jamais eu cette envie irrépressible du sexe de ces deux hommes !
Et c’est avec une grande libération en moi que d’un coup de reins intense, long et rapide je m’embrochai sans aucun remords et énergiquement sur la queue de mon tout premier amant… C’était fou, magique, éblouissant cette barre si grosse et si dure dans mon ventre de femme si bien rempli et sans m’occuper plus des deux hommes, je fis aussitôt une séance d’équitation dingue et rapide sur cette verge tant désirée, n’hésitant pas à me désaccoupler pour me retourner en le chevauchant face à lui pour pouvoir ainsi frotter mes seins sur la poitrine de mon premier amant, et cette position me permettait d’encore mieux de me pistonner à fond.
Je n’étais plus que ce fourreau hyper sensible, chaud, avide, enfin comblée par cette verge dure que j’aspirais littéralement dans mon bas-ventre avec l’envie folle et sans borne qu’elle grossisse encore plus et me pénètre encore plus loin ! Je projetais mon intimité à chaque fois encore plus bas pour que la pine de Pierrot soit encore plus profondément en moi, et qu’elle déclenche à chaque fois encore plus de plaisir dans tout mon corps. J’étais si impatiente et si demandeuse de cette pénétration chaude que je m’entendis déclarer d’une voix rauque et hachée :
Pierrot n’avait pas besoin de mes encouragements, mais il m’agrippa par les hanches et me força lui aussi à descendre encore plus profond sur sa verge, la séance dura, mais je perdis la notion du temps. Puis il me repoussa brutalement en arrière me remettant debout et penchée sur lui et me força ainsi à l’abandonner, je ne comprenais plus rien !
Mais Olivier me prit les hanches à pleine main à m’en faire mal, et d’un grand coup de reins il s’enfonça en moi me prenant tour debout, en levrette à son tour et vraiment sauvagement !
C’était fou cette nouvelle verge était en moi, un peu plus grosse et aussi dure que la précédente, mais Olivier me tenant si fermement par les hanches était en train de me dévaster encore plus fort le vagin, ceci pour mon plus grand plaisir :
Olivier si distingué me traitait pire qu’une fille ou une pute et j’aimais ça. Oui, j’aimais ça, autant que sa queue qui me fendait en deux, j’étais plus que plaisir :
Je sentais le membre d’Olivier qui me dévastait de plaisir, déclenchant même des contractions de mon vagin sur toute la longueur de son engin et je ressentais des spasmes de jouissance qui m’irradiaient d’un plaisir non seulement retrouvé, mais largement dépassé. J’étais une femme comblée de jouissance et c’était la seule chose qui comptait pour moi, oui c’était trop bon, boonnnn…
Pierrot me tenait par les seins et moi je le branlais, puis Olivier sortit de moi et m’abaissa à nouveau sur la verge de Pierrot qui, à son tour, reprit place en moi… le petit jeu du changement de phallus dans mon con dura, dura… Puis je sentis la bite de l’un d’eux pénétrer ma bouche, je la pompai aussitôt, je n’étais plus alors que la salope debout courbée en deux dont un mâle la tient par les hanches et lui pistonne la chatte, et dont l’autre mâle lui tenant la tête, la baise en pleine bouche !
Par moment les yeux fermés, je ne savais même plus à qui était la pine qui me prenait et celle que je suçais ! J’en avais des spasmes de jouissance de plus en plus puissants, serrant le plus fort possible mon vagin et ma bouche sur chacune des deux verges ce qui plaisait énormément à mes amants.
Ce fut Olivier qui le premier se crispa, puis éjacula longuement en moi me remplissant le vagin de sa semence qui coula aussitôt sur mes cuisses, il se retira vite et Pierrot me pénétra illico comme une poupée sans réaction tellement ma jouissance était forte. Puis il se redressa et Olivier me prit dans ses bras tandis qu’à son tour Pierrot me prenait en levrette, j’aurais voulu être plus active, mais j’étais trop crevée et ne pouvais que me laisser faire encourageant verbalement mon amant :
Il redoubla d’ardeur dans mon ventre, me faisant décoller les deux pieds de terre et s’activa en moi à m’en faire mal, grâce à ce « pistonnage » déchaîné de mon plus vieil amant, je ressentis à nouveau une jouissance forte m’envahir !
Cela nous fit rire tous les trois, j’étais si bien avec ces deux hommes : l’un qui me traitait de salope et l’autre de pute et à ce moment-là j’en étais vraiment fière ! Oui, fière d’être et vivre comme la salope que je découvrais en moi, et la putain que je me sentais devenir un court moment.
Une jouissance extrême, absolue, m’envahit à nouveau totalement et je poussai un long cri de plaisir en sentant mon deuxième amant lâcher enfin comme le premier son sperme dans ma matrice. Je titubais soutenue par eux réalisant que de la chatte aux genoux, je n’étais plus qu’un tablier de foutre qui n’arrêtait plus de jaillir de ma chatte !
On s’assit tous les trois pour reprendre nos esprits et je répandis un flot de sperme sur la chaise, Pierrot me tendit alors une dernière flûte de champagne et je trinquais nue et épuisée avec mes deux amants.
Mais soudain la panique, le responsable que nous avions oublié, sonnait à l’heure convenue pour récupérer les clefs ! Olivier, qui s’était rhabillé, alla lui ouvrir le plus lentement possible, Pierrot se débrouilla, mais quant à moi je n’eus que le temps de renfiler ma jupe, remettre mon chemiser, glisser mon soutien-gorge dans mon sac à main, impossible de retrouver ce fichu string ni d’avoir le temps d’enfiler mon foutu gilet ! Ce fichu importun était déjà là.
Préoccupée par la perte de mon string, j’essuyai discrètement le foutre se trouvant sur la chaise puis finis de ranger les paniers qu’emportaient mes deux amants à la voiture, et c’est en déplaçant l’un d’eux plus lourd que les autres que je réalisais que ma poitrine ballottait librement sous ce fichu chemisier qui cachait rien du tout et surtout mes deux gros tétons si rouges et si durs !
Et cet homme louchait sans retenue sur mes seins si exposés… Il louchait aussi sur mes bas filés et maculés de foutre, il souriait ne cachant pas qu’il avait parfaitement compris ce qui venait de se passer entre nous trois !
Il me chuchota alors :
J’étais rouge de honte, mais je sentis que ce grand et beau noir distingué était en train de rallumer le feu dans ma chatte si ouverte par les deux bites de mes amants.
Il se alors pencha sur moi et profitant de l’occupation de mes partenaires, il prit mes seins dans ses grandes mains et il les malaxa doucement avant de me pincer les tétons à travers mon chemisier… Je me laissais faire tétanisée et en fermais les yeux, ma poitrine était à nouveau en feu !
Olivier et Pierrot revenant, il arrêta sa caresse et galamment décrocha mon manteau de son cintre avant de me le présenter pour que je l’enfile en hâte ne remettant pas mon gilet.
Nous avons alors terminé les chargements de nos véhicules, alors que mes deux amants ne savaient plus quelle tête faire, conscients comme moi que cet homme avait tout deviné.
Nous n’osions plus nous regarder, et nous nous fîmes bêtement et sagement la bise en nous souhaitant un très joyeux Noël… devant cette salle paroissiale et son sacristain alors que j’avais la chatte pleine de leurs deux spermes !
Nous échangeâmes des vœux avec ce si troublant sacristain et chacun repartit vers son foyer légitime.
Je démarrai la dernière ayant dû reprendre quelques minutes mes esprits à l’air frais de ma vitre moitié baissée, je fis demi-tour doucement et à ce moment je vis dans mon rétro notre ami sacristain se rapprocher de ma voiture. Il agitait… mon string !
J’entendis :
Je bredouillai piteusement :
Puis il retourna fermer la salle, je m’en allai crispant mon volant, hyper troublée et totalement désarçonnée.
Pour la première fois, mon avenir de femme, de mère de famille catholique et d’épouse m’inquiétait et je sentis alors que nous nous reverrions très vite avec cet homme, mais ceci sera une autre partie de mon récit, si celui-ci vous plaît ?
Épilogue provisoire
Je suis rentrée chez moi très tard, mon mari somnolait devant du sport à la télé, sans tourner la tête il me demanda si cela c’était bien passé, j’ai eu envie de lui crier :
Mais en réalité je me suis tue et j’ai filé prendre une douche en prenant soin de planquer mes dessous souillés et mes vêtements si sexy qu’il n’avait pas encore vus sur moi.
Et au lit, je m’endormis avant que mon… cocu se couche et ronfle.
Et cette année-là je reçus un texto charmant de Pierrot, le 25 décembre, que je ne montrai pas à mon mari et effaçai aussitôt, car il se terminait par :
« Je suis ravi que cette année il n’y ait pas eu que la dinde de fourrée chez toi pour Noël, on se revoit quand, Isabelle ? ».
Au milieu de ma famille : parents, enfants et amis, à côté de mon mari, je sentis mes joues devenir rouge pivoine, ma belle-mère le remarqua en premier et je reportai ça sur la chaleur et le vin et en profitai pour aller vite fumer seule une cigarette dans notre jardin, car je sentais mes seins gonflés qui allaient faire éclater mon soutien-gorge et mes tétons perçaient impudiquement la dentelle et ma robe !
Pire, ma culotte si sage ne contenait plus mon humidité qui se répandait dans mon collant de mère de famille BCBG. Je fermai alors les yeux et ressentis les pénétrations sans fin de la bite de Pierrot et de celle d’Olivier avec le visage du sacristain qui apparaissait en flash… Prétextant une tâche, je suis remontée dans notre chambre me changer, mais en face de la glace de notre salle de bains une de mes mains glissa ses doigts dans ma fente caressant mon clitoris en folie et l’autre pinçant à fond mes tétons… J’ai joui si vite… avant de redescendre finir le repas avec une robe beaucoup plus sage et épaisse sous laquelle je n’avais remis que mon porte-jarretelles toujours maculé de sperme séché et des bas à couture neufs. Je passai ainsi mon premier repas de Noël sans culotte ni soutien-gorge en rêvant par moment de…
J’ai même eu l’envie de crier à tous :
« Mon beau plus beau cadeau de Noël : les deux bites qui m’ont fait jouir ensemble comme jamais ! »
J’ai simplement regardé mon époux et je lui ai souri et on a échangé nos cadeaux…