n° 19952 | Fiche technique | 27131 caractères | 27131Temps de lecture estimé : 14 mn | 18/12/20 |
Résumé: Pour son anniversaire, une jeune fille peut se choisir des sous-vêtements dans un magasin de lingerie. | ||||
Critères: fh ffh hplusag fplusag jeunes essayage fsoumise voir lingerie caresses fellation nopéné init -initiat | ||||
Auteur : Vixera |
C’est à l’occasion d’un job d’été que Bénédicte était devenue vendeuse dans un magasin de lingerie. Rapidement, ses qualités humaines et son savoir-faire commercial l’avaient placée au-dessus du lot. Après maintenant quatre ans d’expérience, elle était devenue un rouage incontournable de la boutique et sa patronne n’hésitait pas à lui confier les clés du magasin certains jours. De plus, d’un esprit coquin, elle savait habillement diriger les clientes vers des modèles osés qu’elles n’auraient pas envisagés sans ses conseils. Et comme ces derniers n’étaient pas les moins chers… la boutique avait renforcé sa stabilité financière.
Ce jour-là, une mère autoritaire était arrivée dans le magasin de lingerie avec sa fille qui venait d’avoir dix-huit ans. La maîtresse femme avait alors expliqué à haute voix que la dernière lubie de sa fille était de se faire offrir, pour sa majorité, un ensemble de sous-vêtements qui fasse plus « adulte » que ceux en coton qu’elle portait habituellement. Bénédicte avait immédiatement deviné la gêne de cette jeune devant cette confession quasi publique. Elle était manifestement totalement sous l’emprise de sa génitrice. Elle se dit que les pensionnats avaient dû finalement être créés pour cette raison : permettre aux jeunes de s’échapper de ses structures familiales trop rigides.
La mère confia donc sa fille à la boutique pendant qu’elle filait se faire coiffer dans le salon qui, par chance, ne fermait pas entre midi et deux.
Les deux clientes qui étaient dans la boutique à ce moment-là regardaient la pauvre enfant avec une certaine pitié, face à ce carcan familial. Bénédicte, seule vendeuse comme tous les jeudis après-midi, proposa de s’occuper de la fille. Celle-ci s’appelait Virginie. Elle lui suggéra de se promener dans les rayons pour voir si un article lui plaisait plus particulièrement. Trop contente de ce moment de liberté, Virginie ne se fit pas prier et commença par déambuler dans le magasin. Elle regarda tout d’abord des ensembles assez sages, mais Bénédicte s’aperçut vite que ses yeux louchaient vers une ligne de lingerie plus osée. Elle s’amusa à observer ce manège. Après quelques minutes, la jeune cliente arrêta son choix sur un ensemble rose pâle en fine dentelle. Bénédicte remarqua qu’après avoir touché à de nombreuses reprises les tangas et les strings, elle avait finalement choisi une sage culotte. Elle se dirigea alors sur la demoiselle et la conduisit vers l’une des cabines d’essayage.
Pendant que Virginie s’isolait dans cet espace, Bénédicte rejoignit les deux clientes qui l’attendaient à la caisse. Ces dernières réglèrent leurs achats et quittèrent la boutique. Bénédicte retourna alors vers les cabines sans faire de bruit. Elle s’amusait déjà à l’idée de surprendre une proie sans défense dans un environnement que manifestement elle ne maîtrisait pas. Elle se colla derrière le rideau et lui dit :
Virginie sursauta.
Bénédicte avait menti. Elle avait déjà pris la taille au-dessus qu’elle tenait dans ses mains. Elle resta silencieuse quelques secondes puis tira brusquement le rideau. Virginie sursauta à nouveau. Elle se retrouvait seins nus devant Bénédicte qui la fixait du regard. Maladroitement, elle tenta de masquer sa poitrine.
Virginie s’exécuta rougissante.
Elle en profita pour lui frôler, du dos de ses doigts, la pointe du sein droit. Ce dernier réagit dans l’instant.
Virginie ne savait plus où se mettre. Ce contact volé l’avait électrisée. Elle sentait ses extrémités se durcir malgré elle. Bénédicte lui tendit le soutien-gorge adapté tout en regardant son entrejambe.
Bénédicte s’éloigna, contente de jouer avec sa proie. Elle entendit rapidement le rideau se fermer à nouveau.
Bénédicte entendit alors le rideau se rouvrir lentement. Elle sourit… c’était si facile… Quelques instants plus tard, elle arriva avec le string dans les mains. Virginie, à présent, tentait gauchement de masquer son intimité avec une main. Elle rougissait.
Le visage de Virginie devint cramoisi. Elle voulut remettre la main sur son pubis glabre.
Elle s’était rapprochée de Virginie. Cette dernière avait la tête baissée. Elle n’osait pas affronter son regard. Bénédicte se mit à genoux et ouvrit le string.
Virginie souleva un pied, puis l’autre. Bénédicte remonta lentement le tissu vers le haut en prenant soin de lui frôler les mollets. Arrivée à mi-cuisses, elle le lâcha soudain et son index droit remonta rapidement l’entrejambe de la jeune cliente jusqu’à son extrémité. Il caressait à présent les douces lèvres de la jeune fille. Celle-ci ferma les yeux en soupirant silencieusement. Bénédicte lui dit alors :
Virginie, toujours rouge de honte, continuer de ne rien dire. Elle aurait aimé subir encore cette torture plusieurs minutes.
Virginie ouvrit les yeux et se trouva effectivement fort attirante. Par ailleurs, les douces caresses intimes qu’elle avait subies, l’interdit de la situation et le port d’un string – pour la première fois de sa vie – lui faisaient bouillir le bas-ventre.
Bénédicte partit quelques instants. Virginie se regardait dans la glace avec son ensemble. Elle se trouvait désirable. Elle aurait voulu le montrer à son voisin de palier, l’étudiant de vingt-sept ans qu’elle aimait secrètement. Juste pour lui prouver qu’elle n’était plus une gamine. Plus d’une fois, elle s’était imaginée seule avec lui. Leurs mains parcourant réciproquement leurs corps. Plus d’une fois, le soir, ses doigts étaient descendus jouer entre ses cuisses ; s’y attardant en imaginant que c’était cet homme qui la touchait. Plus d’une fois, il avait fallu qu’elle morde son oreiller pour étouffer un cri…
Bénédicte arriva avec une guêpière rouge et noir.
Virginie s’exécuta.
Comme, avec ce modèle, les seins étaient censés être nus, elle n’eut pas besoin d’enlever son soutien-gorge de dentelle. Bénédicte ferma la fermeture éclair sur le côté. La taille était parfaite et affinait encore la silhouette de la jeune fille.
Elle fit glisser les attaches sous le string. Ce contact électrisa Virginie qui se laissait faire. Rapidement la jeune se retrouva dans une tenue particulièrement sexy, pour ne pas dire érotique. Elle aimait cette nouvelle sensation…
***********
Une voix masculine résonna dans le magasin désert…
Virginie fut prise de panique ! Elle regarda, affolée, celle qui l’avait mise dans cette situation si embarrassante. Il fallait fermer le rideau au plus vite, se cacher !
La voix se rapprochait à présent. Bénédicte prit les mains apeurées de Virginie.
La voix faisait demi-tour. Les deux filles entendirent un bruit de clés, récupérées manifestement sur le comptoir, puis quelques instants plus tard, le bruit caractéristique de la clenche dans la serrure confirmant la fermeture de la porte du magasin.
Elle lui tenait fermement les mains à présent pour l’empêcher de réagir.
Embarrassé par la vue de la jeune, Antoine voulait tourner les yeux, mais tentait en même temps de voler quelques images de ce spectacle imprévu.
Antoine reposa ses yeux sur le visage de Virginie. Elle était tétanisée.
Ce sera ? Bénédicte avait noté le futur dans la phrase. Virginie aussi et du coup avait levé des yeux interrogateurs sur Antoine. Mince, ce n’était plus une gamine, quoi ! Elle avait la majorité !
Les deux filles auraient pu répondre en même temps.
Virginie, elle, n’avait pas pensé à cela. Cependant, elle n’eut pas le temps de réfléchir. L’ordre tomba sèchement :
Virginie redevint rouge pivoine.
Comme une automate, Virginie dégrafa son haut. Elle le retira ensuite en prenant soin de mettre ses mains devant sa poitrine. Le regard d’Antoine avait changé…
Maladroitement, timidement, Virginie s’exécuta. Ses yeux croisèrent ceux d’Antoine. Elle crut y lire de l’envie. Cela l’excita imperceptiblement :
Alors, comme deux robots serviles commandés par Bénédicte, deux esclaves d’une tension érotique incontrôlée, Antoine s’approcha doucement de Virginie qui se laissa faire et, après lui avoir caressé ses seins, il lui pinça délicatement leur extrémité. Cette dernière, par défi, le fixait dans les yeux. Sa bouche s’ouvrit légèrement. Elle aimait, malgré elle, cette sensation nouvelle, ce premier contact de mains masculines sur ses seins. Bénédicte, sournoisement, profita de ce moment pour descendre d’un trait le string :
Antoine s’exécuta. Ses yeux scannèrent d’une manière impudique le corps de la jeune fille qui s’exposait totalement à présent, malgré elle. Cependant, l’innocente victime avait conscience qu’elle aurait presque pu compter ses palpitations cardiaques qui battaient leur rythme endiablé sur la lisière de sa vulve. Son pubis s’était effectivement gonflé d’envie. Elle découvrait lentement le plaisir de s’exhiber devant un homme. Elle s’imaginait dans cette situation avec son cher voisin…
Bénédicte se cala derrière Antoine, rapprochant sa tête de celle de son compagnon. Ensemble ils regardaient Virginie. La nudité de son intimité et de ses seins était accentuée par le contraste entre la peau claire et la guêpière bi-couleur.
Alors Virginie baissa lentement les yeux pour la première fois dans cette direction intime. Elle aperçut effectivement une bosse qui était apparue en haut des jambes du garçon.
Virginie, dans un état second, s’exécuta.
Virginie comprit immédiatement que si elle exécutait l’ordre de son bourreau, elle s’exposerait. Mais au fond d’elle, elle avait envie de le faire. Alors, lentement, en fermant les yeux, elle commença sa descente. Elle sentit sa peau se tendre. Puis doucement ses fesses s’ouvrir légèrement. Ses lèvres intimes se séparèrent de quelques millimètres. Plus elle descendait, plus l’entrée de sa grotte se découvrait, devenait visible. Elle n’avait jamais fait l’amour, mais se sentait pourtant au bord de l’explosion. Elle aurait presque supplié que l’on vienne lui fouiller ses entrailles, là, maintenant. Elle sentait sa cyprine se répandre sur ses parois intimes. Encore un peu et une goutte finirait par glisser le long d’une de ses lèvres pour aller défier la gravité. Les seins tendus, pointant vers le sol, la tête baissée entre ses jambes, elle apercevait à présent Bénédicte masser la grosseur d’Antoine à travers le pantalon. Oui, elle faisait le bander et elle aimait cette sensation.
Bénédicte avait posé sa question sans retenue, en croisant son regard. Virginie s’était relevée aussitôt. Elle avait hoché timidement la tête d’un signe négatif et fixait les mains de Bénédicte qui défaisait la ceinture de son homme. Puis elle continua son agression en écartant d’un geste brusque les deux pans du pantalon masculin. Ce mouvement sec fit sauter l’intégralité des boutons de la braguette de son jeans.
Bénédicte ne répondit pas. Elle baissa le caleçon en même temps que le pantalon… et le sexe d’Antoine surgit. Virginie ne pouvait se résoudre à détacher ses yeux de l’appareil masculin. Certes, elle en avait vu sur internet, lors de ses recherches nocturnes avec son portable, mais là c’était réel. Il était à deux mètres d’elle. Il était vivant. Il bougeait. Maintenant libéré, il grossissait encore. Se redressait.
Virginie, honteuse d’être autant excitée par la situation, telle une junkie ne contrôlant plus ses mouvements, se rapprocha de Bénédicte qui était à présent à genoux.
Elle entreprit une lente masturbation…
Tandis qu’Antoine fermait les yeux, Virginie n’en perdait pas une miette. Jamais elle n’avait été aussi studieuse à un cours.
Elle pressa encore le sexe fortement en descendant la main. Une énorme goutte sortit du gland. Bénédicte la récupéra avec son index et tendit ce dernier à Virginie.
Virginie s’exécuta et suça le doigt de Bénédicte. Cette dernière le rentrait et le sortait doucement de la bouche de la jeune majeure. Elle suçait avec application, les yeux mi-clos.
Virginie s’exécuta. Bénédicte masturbait lentement le membre d’Antoine.
Virginie, le cœur battant, avait à présent sa bouche à quelques centimètres de la virilité dressée. Bénédicte la prit en bouche en fixant Virginie du regard. Elle l’avalait avant de le faire ressortir au trois quarts. Elle entreprit ensuite de le lécher de bas en haut. Virginie avait la bouche ouverte, comme un enfant qui attend sa cuillerée.
Virginie s’approcha encore et sortit une langue timide. Elle toucha le membre. Elle découvrait cette nouvelle sensation. Grâce à son appendice buccal, elle caressait à présent la tête du sexe en se plaisant à détecter sa réaction. Elle approcha lentement sa main. Elle voulait également la frôler de ses doigts. Elle regarda Bénédicte. Cette dernière approcha sa langue à son tour. Les deux langues ondulaient sur le membre. Elles se touchèrent. Elles se retirèrent en même temps puis s’avancèrent jusqu’au contact. Elles s’embrassèrent. Les salives partageaient le goût du nectar masculin récolté. Bénédicte recula et lui murmura, en lâchant le sexe :
Cette dernière attrapa alors délicatement le membre à pleine main, puis en descendit la peau avec une grande précaution. Bien que sans aucune expérience, elle essayait de reproduire les gestes de Bénédicte. Son absence totale d’habitude renforçait l’érotisme de la scène. Elle entama un lent mouvement de va-et-vient tout en apposant sa langue sur l’extrémité de la queue gonflée. Elle leva les yeux. Elle déchiffra immédiatement l’excitation d’Antoine. Il posa délicatement sa main sur sa tête en soupirant.
Le visage d’Antoine s’effaça lentement de son imaginaire pour laisser apparaître celui de son amour secret. C’était la verge de son voisin de palier qu’elle avait entre ses mains. Cette pensée décupla encore son excitation. Sans même sans rendre compte, elle accentua la pression sur la tige virile. Lorsque sa main fut en bas de celle-ci, que la tête du gland, dominée par l’action féminine, se cambra en arrière tout en lâchant une nouvelle perle, alors Virginie, totalement en feu, l’engagea dans sa bouche avec une gourmande passion et commença à sucer cette queue si tentante. Antoine répondit à cet assaut en grognant.
Perdue dans ses pensées, s’imaginant à genoux derrière la porte d’entrée de l’appartement de son amant virtuel, excitée par l’idée d’être surprise dans cette tenue qui la rendait si vicieuse, Virginie se répétait dans sa tête : Attends, mon amour, je vais te montrer que je sais sucer une queue avec passion… tu vas voir, j’aime te sucer, cela m’excite, cela me fait mouiller, je veux t’enfoncer dans ma gorge comme tu t’enfonceras un jour dans ma chatte…
Elle ouvrit les yeux de surprise. Bénédicte venait de la pénétrer avec deux doigts et commençait à la branler lentement, mais sans aucune pudeur. Virginie referma les yeux de plaisir…
Antoine se retira in extremis… mais la main de Virginie continuait le mouvement de masturbation, frustrée de perdre le contact buccal avec son nouveau jouet.
En revanche ce geste inattendu lui permit de découvrir la puissance d’un orgasme masculin, de voir les contractions incontrôlées d’un sexe d’homme durant les longs jets qui sortaient de ses entrailles. Elle vit son propriétaire incapable de se maîtriser, émettant juste un râle continu. Contre toute attente, cette découverte de l’éjaculation lui plut. Elle était excitée et voulait poursuivre le mouvement encore et encore pour vider totalement le propriétaire de sa semence.
Elle ne vit cependant pas les dernières sorties du sperme. En effet, les mouvements experts et réguliers de Bénédicte dans son intimité eurent finalement raison d’elle. Trop d’excitation… elle offrit alors, en toute indécence, le spectacle de son propre orgasme. Il était puissant, il était violent, il venait du plus profond de son être, de la salle obscure de ses fantasmes secrets. Elle tremblait l’explosion de son plaisir, à quatre pattes, seins oscillants, pointes tendues, à proximité des cabines d’essayage d’un magasin de lingerie.
Moins de dix minutes plus tard, la scène du délit avait totalement disparu. Virginie finissait de se rhabiller dans la cabine et Antoine tentait, dans l’arrière-boutique, de nettoyer quelques taches suspectes sur son tee-shirt, lorsque la mère apparut.
Bénédicte la reçut directement aux caisses. Elle finissait de mettre les sous-vêtements dans le petit sac en papier.
La femme hésitait :
En bonne professionnelle, Bénédicte le vit.
Le comportement s’était radouci. Bon, eh bien si vous me faites un prix, dans ce cas…
Et elle paya sous l’œil ravi de sa fille qui arrivait. Elle était admirative de la technique de la vendeuse.
Bénédicte était joueuse : elle tendit directement le sac à la mère.
Celle-ci, à nouveau timide et soumise, s’exécuta. Les deux personnes quittèrent la boutique. En arrivant sur le seuil, Bénédicte l’apostropha :
Virginie s’arrêta et ouvrit le sac. Elle vit la brochure, mais surtout : elle découvrit un objet au fond du sac qui semblait être… un petit vibromasseur dans son étui ! Elle devint rouge écarlate referma brusquement le sac comme s’il contenait une bombe et regarda Bénédicte avec angoisse :