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n° 19955Fiche technique15916 caractères15916
Temps de lecture estimé : 9 mn
19/12/20
Résumé:  À la faveur d'une visite dans un magasin, un couple se forme et partage son plaisir.
Critères:  fh fagée inconnu magasin parking revede intermast fellation préservati pénétratio -occasion
Auteur : Mauricebernard      Envoi mini-message
Pour un peu de lecture...

Pourquoi cette langueur retient-elle Patricia devant son miroir, cet après-midi ? Elle dispose d’un peu de temps libre et, soudain, elle s’abandonne à des souvenirs libertins qui l’émeuvent toujours. Laisser ses mains fines et douces glisser le long de sa poitrine menue ne peut que la mener à rester chez elle, pour se remémorer quelques-unes de ses aventures passées, les doigts jouant autour de son clito, allant chercher un peu de liqueur pour que le plaisir finisse par la gagner, surtout si elle y associe son gode préféré…


Non, elle a mieux à faire, se dit-elle. Après tout, avec sa soixantaine plutôt classe et élégante, elle sait qu’elle attire toujours les regards et les envies de certains… ou certaines. Elle choisit donc de se préparer à sortir pour fureter dans la ville, à faire quelques magasins. Par-dessus un ensemble très mini composé simplement d’un string et de bas autofixants, une jupe fluide dessine juste ce qu’il faut ses hanches et dévoile ses jolies jambes aux fines chevilles. Des escarpins bien adaptés à sa marche distinguée, un corsage qui dessine ses seins menus et sensibles sous une veste légère… voilà pour le décor, se dit-elle. Reste une touche discrète de maquillage pour souligner ses yeux bleus rieurs et coquins, quelques coups de brosse dans sa chevelure poivre et sel, courte et ondulée et elle s’estime prête pour, sinon l’Aventure, tout du moins, une aventure…


Elle a appris à déguster ce moment d’avant la rencontre avec un inconnu, quand elle sent l’envie gagner tout son corps et l’appréhension qui accélère les battements de son cœur. Depuis une dizaine d’années, seule ou avec son amant de cœur, elle a connu plusieurs dizaines d’hommes et de femmes, le plus souvent en club et apprécie ces moments d’abandon total au plaisir partagé. Et, justement aujourd’hui, elle a besoin de se laisser aller à un autre de ces moments, là où cela se présentera et avec qui lui conviendra, au hasard… Après, elle confiera à son ami le récit de cette nouvelle aventure, agrémentée, peut-être, de quelques images captées à son attention.


Ses pas l’emmènent doucement vers le centre de la grande ville, par les rues ensoleillées remplies de passants. Elle sait que les principaux magasins sont toujours peuplés de clients plus ou moins affairés, dont certains, à cette heure de la journée, n’hésiteront pas à observer avec intérêt une si charmante passante ; mais encore faudra-t-il qu’ils lui plaisent et qu’ils osent manifester leurs envies ! Dans le centre commercial, en montant à l’étage de la FNAC, Patricia laisse son imagination vagabonder de telle sorte que, déjà, son ventre se serre et son sexe s’humidifie, dans l’attente de l’inconnu. Elle ne veut pas brusquer les choses, car elle déteste le manque de distinction et a appris que l’apparente réserve qu’elle affiche attire suffisamment l’attention des hommes expérimentés et discrets. C’est dans cet état d’esprit et en contenant ses envies libertines qu’elle circule entre les rayons, jetant un coup d’œil aux articles, un peu au hasard.


Ce faisant, elle tourne son regard autour d’elle de temps en temps afin de vérifier si son allure et son petit jeu ont retenu l’attention de quelqu’un. Arrivée au rayon des livres, elle remarque qu’un homme mûr, d’aspect respectable, croise son chemin en la regardant sans insistance, mais, manifestement, avec intérêt. Pour elle, le jeu de la séduction s’engage comme elle l’aime : sans un mot, sans un geste déplacé, rien qu’en apparence, comme un ballet bien réglé. Les yeux baissés pour lire les fiches des livres présentés, elle s’assure que l’inconnu ne s’éloigne pas trop et manifeste son attention en tournant autour d’elle, à distance. Cet instant-là l’excite toujours énormément si bien que Patricia ne peut s’empêcher de serrer un peu les cuisses pour contenir les premières manifestations de son désir et elle respire profondément pour tenter de les maîtriser.


Innocemment, elle est arrivée à la hauteur du rayon de la littérature érotique et s’amuse à s’y arrêter pour faire semblant de chercher un ouvrage en particulier. Debout devant les étagères, une jambe légèrement avancée, elle sait qu’elle montre ainsi sa ligne élégante et la forme sensuelle de son mollet terminé par la courbure de l’escarpin. Elle joue alors avec son pied, le faisant remuer lentement en équilibre sur le talon fin, comme si cela devait lui donner une contenance pendant qu’elle feuillette un livre ou l’autre ; du coin de l’œil, elle s’assure que l’homme a poursuivi son approche et le voit d’ailleurs maintenant à quelques mètres d’elle. Il fait mine de chercher, lui aussi, un ouvrage érotique ce qui l’amène tout à côté de la coquine qui poursuit sa lecture, comme si de rien n’était. Elle respire déjà l’odeur de l’inconnu, une eau de toilette de marque mêlée à celle de sa peau… et cela accentue son trouble. Elle le fixe alors qu’il est maintenant près d’elle. Avec un léger sourire, il lui demande, plutôt banalement :



Et elle, trop tendue par ses envies, n’hésite pas à répondre tout aussi aimablement :



Dans un petit rire, il lui effleure le coude pour qu’elle lui montre le livre qu’elle a ouvert.



L’homme se baisse alors pour atteindre le bas des rayons en lui expliquant :



Et, accroupi au côté de Patricia, il essaie de sortir un livre du rayon… mais le geste le déséquilibre et, rapidement, il saisit le mollet tendu devant lui pour se retenir. D’un seul coup, il sent la fermeté de la courbe recouverte du bas fin et apprécie que la femme maintienne fermement sa jambe qu’il a ainsi saisie. Bien sûr, la libertine n’est pas dupe du petit traquenard tendu par l’inconnu et elle s’impatiente d’en connaître la suite, laquelle se présente sous la forme d’une légère caresse qui descend jusqu’à sa cheville, que les doigts enserrent à hauteur de la fine lanière de cuir attachée autour. L’homme tourne alors son regard vers elle, lui sourit, et fait remonter sa main le long de la jambe, derrière le genou, plus haut sur la cuisse…


Patricia vérifie alors d’un coup d’œil circulaire que personne ne peut remarquer leur petit jeu et, baissant ses yeux vers le coquin accroupi à ses pieds, elle écarte très légèrement ses jambes. L’autre comprend immédiatement le message et, sous la jupe, laisse filer lentement sa main au-delà de la bande du bas, sur la peau douce de la cuisse. Déjà il ressent la chaleur que dégage l’entrejambe qu’il découvre du bout des doigts, lesquels ont atteint le string gonflé par les lèvres humides. De son majeur, il dessine la forme humide et appuie doucement pour en ressentir l’ouverture, sous le voile fin. De très légers mouvements du bassin de sa complice accompagnent l’indiscrète caresse et il s’enhardit à passer la main sous le tissu mouillé et chaud.


Ses doigts sont comme absorbés par la chatte qui s’offre à lui et, l’avant-bras dressé entre ces jolies cuisses, il entame un lent massage, alternant la pénétration du sexe, puis, vers les fesses, de l’anus sur lequel a déjà coulé la mouille de la femme. Il parvient à plonger ses doigts dans les deux orifices et les agite légèrement, les uns pressant les autres à travers la paroi de chair, alors que le bassin roule de plus en plus vite, aussi discrètement que les lieux s’y prêtent. Devinant l’imminence de la jouissance qu’il a fait naître chez sa nouvelle conquête, il pose son pouce sous son clito, très fermement, et amène Patricia à une brève, mais violente jouissance qui la fait se courber sur le dos de son branleur, en grognant son plaisir. Il retire alors doucement sa main trempée et la lèche un peu en se redressant.



La femme est encore tremblante devant lui, mais approuve dans un sourire un peu fatigué.



Elle a trop envie de découvrir ce qu’il peut encore lui offrir pour se retenir et rentrer immédiatement chez elle, aussi, elle acquiesce et se dirige vers les caisses alors qu’il va l’attendre devant la sortie du magasin, juste auprès des ascenseurs. Rapidement, elle le rejoint en balançant légèrement ses hanches, perchée sur ses chaussures à talons qui lui donnent cette allure décidée et élégante.



Dès la porte de la cabine fermée, l’homme pose ses mains sur les épaules de Patricia et cherche à l’embrasser pour la première fois, mais elle évite ce baiser pour seulement lui tendre la pointe agile et fine de sa langue. Elle s’amuse ainsi à l’agacer un peu plus, le temps qu’ils arrivent au niveau du parking, jouant sur la bouche de son complice, comme elle aime le faire sur le sexe d’une femme ; finissant même par lui suçoter la langue comme s’il s’agissait d’un clitoris durci. En projetant son bassin vers l’avant, elle vérifie l’effet produit sur le sexe de l’homme et s’impatiente de le découvrir dans quelques instants. Une fois arrivés à destination, ils rejoignent la confortable limousine, judicieusement garée dans un coin peu fréquenté et, comme par hasard…, caché des caméras de surveillance.


Tiens, tiens, se dit alors Patricia, il ne doit pas en être à sa première tentative, le coquin… tant mieux !


Afin de lui permettre de se débarrasser de ses achats et de son sac à main, l’homme ouvre la porte arrière et dépose le tout sur la lunette, puis, d’emblée, il s’assoit sur la banquette de cuir, les jambes à l’extérieur et la femme debout devant lui. Il l’attrape alors par les hanches et l’approche de lui, puis descend ses mains sur les cuisses jusqu’au bord de la jupe qu’il soulève. Les doigts glissent à nouveau vers le haut, jusqu’à la fine ceinture du string et, adroitement, la saisissent pour pouvoir retirer le minuscule vêtement. Sa conquête devine la suite et vérifie que les abords de l’endroit restent déserts, puis elle pose tranquillement un bras sur le toit de la voiture, l’autre sur la porte ouverte, enfin elle lève une jambe pour mettre son pied sur la banquette, ouvrant tout grand sa chatte devant l’homme qui n’attendait que ce consentement.


La tenant par les fesses nues sous la jupe relevée, il glisse sa langue tout au long de la chatte qu’il ouvre, en dégustant la douce liqueur féminine. Longuement, il alterne les caresses sur les lèvres et les esquisses de pénétration, pour finir par embrasser largement la zone du clito, qu’il lape et suce au rythme des reins de Patricia qui s’abandonne à l’intrusion.


Trop excitée par ces événements successifs, elle s’écarte et découvre qu’il a profité du moment pour sortir son sexe, maintenant dressé et bandé devant elle. L’objet lui convient bien, assez large pour la remplir, chaud et doux au toucher, et dont le gland bien durci, lui fait penser à l’un de ses godes. Penchée en avant sur les cuisses de son amant occasionnel, elle tête la queue à petits coups de sa bouche entrouverte et dessine la forme des couilles pleines du bout de ses doigts fuselés. L’homme, comme elle, est déjà au bord de l’explosion et, bonne fille, elle souhaite le satisfaire comme il le mérite. Aussi, elle le laisse enfiler un préservatif alors qu’elle prend sa place sur la banquette, à genoux, son joli petit cul tourné vers l’extérieur.


Cette fois-ci, c’est son complice qui reste debout derrière elle, alors que d’une main jetée dans son dos, elle lui ouvre ses fesses, le laissant choisir l’intromission qu’il préférera. Trop impatient et craignant de ne pas pouvoir retenir sa jouissance suffisamment longtemps, l’homme choisit la chatte qu’il a branlée à deux reprises cet après-midi, et glisse dedans, lentement son gland rond. Patricia découvre alors la forme de ce sexe inconnu, sensation qu’elle adore par-dessus tout et profite de la lente pénétration jusqu’au fond de ventre. Là, alors, elle pousse fortement ses reins en arrière pour que la queue aille buter au fond de son vagin. Son baiseur accompagne le mouvement par de brefs et rapides coups de reins, alors que la femme s’offre en gémissant son plaisir. Après quelques instants d’intense baise, l’amant s’immobilise au fond du ventre et sa complice lui comprime plusieurs fois la queue raide par de petites et adroites contractions, résultat d’une longue expérience de baiseuse…


Elle ne tarde pas à sentir la chaleur des jets qui remplissent la capote et, décidée à en profiter un peu aussi, elle se dégage et se tourne vers le sexe bouillant et encore dressé. Le débarrassant de son enveloppe, elle récolte quelques dernières gouttes sur sa bouche et demande à son baiseur de lui prendre quelques photos, en souvenir, dit-elle. Il s’en acquitte volontiers et complète la série de prises de vues de Patricia allongée, sur la banquette, le corsage ouvert sur ses seins dont les pointes sont hérissées, cuisses ouvertes sur sa chatte luisante. Ceci fait, chacun remet de l’ordre dans ses vêtements et se prépare à la séparation. Discrètement, l’homme offre à la coquine ses coordonnées « au cas où »…et elle s’en va rejoindre sagement son domicile.




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Un peu plus tard, elle joint son amant de cœur par messagerie pour lui conter l’aventure et lui envoyer les photos.