n° 19980 | Fiche technique | 23000 caractères | 23000Temps de lecture estimé : 13 mn | 29/12/20 |
Résumé: La soirée la plus chiante de l'année rattrapée par le plus exquis des fruits. | ||||
Critères: fh jeunes extracon collègues médical caresses fellation cunnilingu préservati pénétratio -occasion | ||||
Auteur : Lavay (Meilleur lecteur qu'auteur) Envoi mini-message |
Cette présentation est d’un ennui mortel. Comme je suis arrivé légèrement en retard, j’ai dû me mettre en bout de table, le serveur a rajouté une assiette pour moi. Julie, la commerciale d’Actelion nous présente pour la cinquième fois en cinq ans les recommandations de l’hypertension artérielle pulmonaire. Je m’endors un peu, je les connais par cœur. Je zieute le chef de service qui est à une dizaine de places de moi. Initialement c’était lui, ma cible, il fallait qu’on parle de mon futur poste en pneumologie, mais je pense que c’est cuit. La nourriture du Pullman me servira de réconfort tout comme la plastique de la visiteuse médicale.
Julie, je l’ai déjà aperçue quelques fois lors de congrès ou de présentations dans le service. Les commerciaux sont tous beaux et ils en jouent beaucoup pour nous orienter à prescrire ce qui sort de leur laboratoire. Je crois que le boss n’est pas insensible aux charmes de Julie, ça doit être sa seule stimulation sexuelle de l’année. Comme la présentation est inintéressante et que mon voisin de table de droite est un vieux médecin du service que je connais à peine, je prends une pause bien méritée en contemplant de belles cuisses serrées dans une jupe de tailleur. En plus le serveur vient de me servir l’apéritif.
De timides applaudissements retentissent, elle vient de terminer. Elle se dirige tout sourire vers mon bout de table et s’assoit à ma gauche.
Elle a fait semblant d’hésiter. Je sais l’effet que je fais à certaines femmes. Elle connaissait sûrement bien mon nom. Je vois bien qu’elle n’a pas été insensible lors de nos précédentes rencontres.
J’acquiesce avec un petit sourire, la discussion est rapidement interrompue par les entrées. J’ai peu l’habitude de la pitance de luxe, mais Julie semble savoir quoi faire avec les couverts. Étant les seuls jeunes gens de ce côté de la table, la conversation se fait quasiment exclusivement entre nous deux. D’abord méfiant, je me laisse aller à la conversation. Finalement elle semble plutôt sincère, est assez drôle, ne me fatigue pas avec son traitement à la con et a plein d’histoires sympathiques à raconter. On se ressert des verres comme de vieux copains et à mesure que le repas avance mes joues rosissent et se réchauffent. De son côté, elle semble commencer à avoir chaud aussi, elle défait un bouton de son chemisier, me laissant apercevoir la naissance de ses seins. Je reluque quelques secondes ce délicieux entremets puis lève à nouveau les yeux pour apercevoir un sourire mutin surplombé d’une paire d’yeux noisette rieurs.
On ne dit rien, on se regarde quelques secondes, moi aussi en souriant d’un air coupable.
Elle est vraiment jolie. Elle a tout de la jolie fille du sud, châtain, bronzée même en hiver, les traits fins et le regard chaud. Finalement c’est moi qui perds ce duel de regard en m’étendant pour attraper la bouteille de vin rouge. Après l’avoir servie, je la regarde à nouveau et je vois qu’un nouveau bouton a sauté et que le sourire s’est fait plus badin encore. Je suis un peu décontenancé, je l’avoue. Le sang afflue dans mes pommettes, mais aussi dans mon bas-ventre. Cette fille a quelque chose de terriblement sensuel. J’ai la sensation d’être une proie.
Je retire ma veste et déboutonne à mon tour deux boutons de ma chemise.
Je l’ai chuchoté à Julie en me penchant légèrement tout en risquant ma main sur le haut de sa cuisse. Je l’ai sentie frémir doucement et un imperceptible mouvement d’ouverture des cuisses de l’ordre du nanomètre m’a assuré dans mon approche. Je laisse ma main posée quelques secondes, il ne se passe pas grand-chose à part une respiration un peu plus haletante des deux côtés. Mon bas-ventre est en feu, je bande à m’en faire mal. J’ai des images qui défilent dans ma tête et en trois secondes je m’imagine lui léchant le sexe, elle, les jambes écartées, allongée sur la table en train de hurler son plaisir, puis la prenant violemment par les fesses dans les toilettes, puis la doigtant encore assis à table. Puis, je lâche sa cuisse, les serveurs arrivent pour le dessert.
Je me ressers un verre essayant de relancer la conversation avec le Dr Trucmuche lorsque je sens cinq doigts de pied entrer en contact avec mon mollet. Un rapide coup d’œil sous la table me confirme qu’un joli pied gainé de nylon est en train de me caresser le mollet. Quelques dizaines de centimètres plus haut mon pénis encore turgescent gonfle mon pantalon de manière obscène. Elle sourit toujours. Elle participe à la discussion tout en savourant son dessert. Moi, je n’arrive plus à me concentrer sur autre chose, cette fille me rend dingue.
Puis elle se lève d’un coup, interrompant son délicieux massage. Elle dit qu’elle doit passer un appel important et part vers le hall de l’hôtel en accentuant son déhanché de façon provocante. Le Dr Bidule se tourne vers moi puis tente une réflexion d’un ton mi-gêné, mi-complice.
Sa réflexion ne me fait ni chaud ni froid. Si au bout de deux heures de conversation et d’attouchements elle n’a pas fait mention de son mari, c’est que c’est gagné. Je me lève, prétexte un tour aux toilettes et me dirige vers le hall tentant de marcher de manière à cacher l’érection qui déforme toujours mon pantalon.
Elle est dans le hall, réellement en train de téléphoner. Il n’y a personne à part un jeune réceptionniste. Je la prends par le bras en passant et poursuis mon chemin vers les toilettes. Elle se colle à moi tout en marchant.
Elle raccroche.
J’ai un éclair de doute, je ne sais pas si elle veut arrêter le jeu ici ou si elle a insisté volontairement sur le fait que son mari était absent ces jours-ci. De toute façon je ne peux plus reculer, c’est mon sexe qui donne les ordres et il n’en connaît qu’un : ‘’marche avant’’.
On passe la porte des toilettes pour femmes, je l’emmène dans la cabine handicapée. Elle se laisse faire. Je la plaque contre le mur et pose mes mains sur ses hanches. Ma bite arrive au niveau de son nombril. Je me colle à elle. Elle lâche un soupir délicieusement long et sensuel. Ça me fait craquer. Je me penche légèrement et pose mes lèvres sur le coin de sa bouche. Second soupir. Elle ferme les yeux. Elle est mûre, je suis excité. Je l’embrasse alors à pleine bouche. Elle répond à mon baiser avec passion. Elle a un délicieux goût de myrtilles mélangé au vin rouge. Le goût sucré de ses lèvres me rend fou. Le baiser d’abord humide puis mordant devient vite passionné. On se frotte l’un à l’autre tout en se caressant les lèvres mutuellement. Chaque contact de son corps contre mon sexe dressé entre nous me déclenche une onde plaisir. Mes mains pétrissent ses fesses.
Cette phrase achève de me rendre fou. J’enfonce ma langue dans sa bouche et nous commençons une valse à mille temps.
Mais en me disant cela, elle caresse ma bite au travers de mon pantalon, allant doucement et délicatement de bas en haut. Je n’en demandais pas plus. Ma main plonge sous sa jupe et se pose sur son sexe encore habillé du nylon de ses collants. Je sens pourtant toute l’humidité qui s’y est accumulée pendant la soirée. Elle gémit doucement, j’ai des frissons dans le dos. Je commence à imprimer une légère pression avec ma main sur l’objet de mon désir quand elle s’extirpe de mon étreinte. Rosie par l’effort elle me dit :
Elle réajuste sa jupe et sort des toilettes. Je ne peux détacher mes yeux de ses fesses dansantes. Je reste un moment, tentant d’arranger la position de mon sexe pour cacher au mieux l’érection qui ne m’a pas quittée puis je sors à mon tour.
Tout le monde est dans le hall en train de récupérer ses manteaux et de terminer les discussions du repas. Julie fait la conversation avec deux autres femmes.
Pour me donner bonne contenance je m’approche de Fabien, un de mes co-internes, issu lui aussi de la promo 2014.
Ce qui est vrai, à la base c’est l’unique raison de ma présence ici.
On se fait un check, poing contre poing et je pars vers le boss. Je ne lâche pas Julie du coin de l’œil qui continue à aller de petits groupes en petits groupes pour remercier tout le monde. Elle n’a pas reboutonné son chemisier et d’où je suis j’aperçois encore la naissance des seins qui m’ont totalement conquis.
Finalement je fais demi-tour.
Il me gratifie d’un sourire goguenard et tout en regardant Julie du coin de l’œil me donne deux préservatifs. Sur l’emballage il y a écrit « mmmh Charal ». Y’a pas à dire, ce mec est un gros beauf. On repart chacun de son côté en riant de manière raffinée.
Le boss est au centre de l’attention d’un petit groupe de médecins, cadres infirmiers et gens qui travaillent dans l’industrie. Je rentre dans le cercle et fais semblant de m’intéresser à ce qu’il raconte. En vérité je ne pense qu’à une seule chose, cachée par un tailleur et des collants en nylon. J’ai encore le goût de myrtille dans la bouche et je n’ai toujours pas débandé. Mon esprit divague sur le meilleur stratagème pour la ramener chez moi et accéder au trésor qu’elle m’a refusé, mais une pression sur mon bras me sort de ma rêverie.
Le boss est toujours très familier.
Inutile de lui dire que j’ai stage à cette heure-ci.
C’est Julie qui vient de se joindre au groupe, elle me regarde malicieusement, les bras croisés sous sa poitrine. Cette fille sait comment faire tomber un homme dans son piège.
La conversation dérive sur le manque chronique de médecins dans les secteurs d’hospitalisation. Puis le boss annonce qu’il doit partir. C’est le signal, le cercle se rompt. Je me précipite vers Julie pour lui demander comment elle rentre et lui proposer mes services.
Impossible de refuser, je suis subjugué. On marche tous deux vers le parking. Un léger silence s’est installé, il y a quelques personnes autour de nous. Je crois, enfin j’espère qu’on pense à la même chose. Je m’installer côté passager, elle démarre la voiture. Je ne lui donne pas mon adresse, elle semble savoir où elle va.
Je pose à nouveau ma main sur sa cuisse. Pas de réaction hormis un léger soupir. Ceux-là me font tous fondre. On ne parle pas beaucoup. Finalement la voiture s’arrête devant une petite maison avec un petit jardin devant. On est dans une zone pavillonnaire que je connais assez mal. Je lâche sa cuisse et la suis à l’intérieur de la propriété. J’essaye de ne pas laisser mon esprit s’attarder sur les quelques jouets d’enfants en bazar sur la pelouse.
À peine a-t-elle tourné la clé et entrouvert la porte que je la prends dans mes bras et la pousse légèrement à l’intérieur. Nous n’allumons pas, ma bite est collée entre ses fesses. Elle me sent bien dur et je sens que ça lui plaît. Elle pousse un léger gémissement avant de renverser sa tête sur le côté pour reprendre notre baiser de tout à l’heure. Je retrouve à nouveau le petit goût de myrtille et ça ne fait que m’exciter encore plus. J’exhale mon désir tout en frottant ma bite dure comme le bois entre ses deux lobes fessiers. Elle ne fait que gémir. Mes mains sont parties à l’assaut de son chemisier, j’ouvre maladroitement et comme je peux les quelques boutons encore attachés. Une fois mon travail accompli, elle attrape mes mains et les plaques contre ses seins encore protégés par son soutien-gorge. Elle n’arrête pas de me mordiller et de me lécher les lèvres. Maintenant elle aussi frotte ses fesses contre mon vit.
Dans ma tête c’est un tourbillon de sensation, ma bite est en feu à force d’être maltraitée et de coulisser entre ces deux magnifiques fesses, mes mains ont l’extase de pouvoir tripoter ses deux petits seins, je sens les tétons dressés à travers le tissu du soutien-gorge et mes lèvres sont simplement devenues accros à son goût fruité. Elle a l’air de prendre son pied vu qu’elle gémit tout en ondulant son bassin au rythme du mien, venant toujours au contact de ma bite.
Le chemisier et le soutien-gorge finissent au sol de même que ma chemise. Puis vient notre tour. Je la retourne et la renverse sur le sol. Elle est allongée sur les vêtements, jambes écartées, jupe relevée. Je suis sur elle, ma langue allant et venant d’un sein à l’autre, léchant et mordillant les tétons de ma visiteuse médicale.
Je la soulève du sol et la porte jusqu’en haut tout en l’embrassant et en pétrissant son cul. Arrivés en haut, elle m’indique le chemin. Chambre de couple par excellence avec un lit large comme je suis haut. Je la pose sur le lit et malgré la pénombre, j’aperçois qu’elle aime ce qu’elle voit. Comme je l’ai dit, je connais l’effet que je fais aux femmes, je cours, fais du vélo et nage cinq fois par semaine. Elle se mord les lèvres et retire sa jupe et son collant pendant que je retire mon pantalon. Il ne nous reste plus que nos culotte et caleçon en rempart avant le dernier acte. Je m’approche de son sexe doucement, l’attire à moi pour la positionner juste au bord du lit. Sa culotte sent délicieusement bon. Son odeur est âcre, l’enivrant parfum de la cyprine. Je la retire doucement, la faisant glisser le long de ses jambes fuselées. Au passage j’en profite pour lécher ses pieds et sucer quelques orteils. Puis la culotte subit le même sort que le reste des vêtements.
Je sais que coucher avec une visiteuse médicale après un repas payé par le laboratoire, ce n’est pas très éthique. Mais si la corruption a toujours le délicat goût de sa chatte, j’en reveux pour le reste de ma vie.
Je m’applique de mon mieux, je veux la faire jouir toute la nuit, qu’elle se remémore cette nuit comme l’une des plus importantes de sa vie. Ma langue joue avec son clitoris délicatement, dessinant d’abord de petits ronds puis j’aspire avec mes lèvres ce délectable fruit de mon désir. Pendant ce temps je malaxe ses seins. Elle, me tient la tête et l’appuie de plus en plus fort, rendant le contact avec sa vulve de plus en plus diffus. J’avale son jus à plusieurs reprises, ma bouche est pleine de son plaisir. Je bande à n’en plus finir. Puis je la sens me serrer encore plus la tête, sa respiration s’accélère, son plaisir monte. Elle bouge de plus en plus le bassin. Maintenant c’est toute sa vulve que se frotte sur ma langue pendante qui fait ce qu’elle peut pour garder le rythme. Elle se masturbe carrément avec ma tête.
Je veux bien, mais je ne suis plus maître de grand-chose. Elle respire de plus en plus fort. Elle semble au bord de la jouissance. Elle lâche un couinement. Puis un deuxième. Un troisième et tout à coup elle me repousse la tête. Elle continue à haleter et à gémir.
Pas de problème ! Je prends une des capotes Charral et me l’enfile doucement. Au moment où j’habille mon pénis tuméfié qui va enfin pouvoir goûter au plaisir promis depuis plusieurs heures je me rends compte que ce n’est pas très sérieux d’avoir léché une fille que je ne connais pas. Enfin bon, de toute façon c’est trop tard, je veux juste la baiser. Si je dois choper n’importe quelle MST, ainsi soit-il. Aucun intérêt à passer un jour de plus sur cette terre si je ne peux pas rentrer dans cette petite chatte serrée.
Elle se replace au centre du lit et écarte les jambes pour m’accueillir. Doucement et progressivement, je m’enfonce. À chaque centimètre gagné, elle pousse un nouveau couinement. Ma bite est en feu et je suis quasiment déjà au bord de la jouissance. J’espère qu’elle va se rallumer vite de son côté parce que je ne vais pas tenir longtemps. Il me reste encore quelques centimètres avant d’être totalement au fond et je m’enfonce d’un coup puissant au fond de ses entrailles. Elle s’abandonne à un petit cri mêlant la surprise et le plaisir.
Je commence mes va-et-vient. Impossible de tenir longtemps, je suis au bord de l’éruption. Je vais de plus en plus vite. Tant pis, je la terminerai avec ma langue, mais là il faut que je jouisse. J’accélère en beuglant comme un forcené, relâchant toute la frustration de cette soirée. Elle est tellement belle, les yeux fermés, les seins rebondissant à chacun de mes coups de boutoir. Elle recommence à couiner.
On halète de plus en plus fort. Elle s’arc-boute en hurlant entre ses dents. Elle jouit. Vague de chaleur partant de ma bite et remontant jusqu’au sommet de mon crâne. Je râle tout en me vidant. Longs jets puissants. Je plonge sur sa bouche pour la dévorer.
Puis je m’affale sur elle, épuisé et vidé. Je me rends compte qu’on est tous les deux luisants de sueur. On se déboîte et je vais jeter la capote dans les toilettes. Je ne peux m’empêcher de remarquer une photo de Julie et d’un homme barbu probablement pendant une randonnée.
Je reviens dans le lit et elle vient se lover contre moi.
J’éclate de rire.
Mon pénis est à nouveau au garde-à-vous. Elle me regarde à nouveau avec son sourire malicieux qui me décroche le cœur puis commence à me caresser.
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On a continué à se toucher et se lécher une bonne partie de la nuit, on a conclu tout ça par une nouvelle séance de reviens-y en levrette avant de nous endormir complètement fourbus, mais apaisés et heureux.
Après une grasse matinée et un bon petit-déjeuner, elle m’a expliqué en long et en large qu’elle ne regrettait pas ce qu’elle avait fait, mais qu’elle aimait son mari de tout son cœur. J’ai accepté facilement la rupture. Je n’avais nulle envie de me retrouver au milieu d’histoires compliquées.
Nous nous sommes revus quelques fois, à un congrès ou l’hôpital. J’ai eu du mal à l’oublier, je crois que j’ai été amoureux d’elle quelques mois. Même avec d’autres filles, je repensais à ses courbes parfaites. Puis un jour, la commerciale d’Actelion a changé et je ne l’ai plus jamais revue. Son souvenir reste tout de même en moi malgré les deux années passées et parfois, quand j’embrasse ma copine actuelle, je ne peux m’empêcher de repenser à ce goût de myrtille au vin.