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n° 19985Fiche technique48533 caractères48533
Temps de lecture estimé : 27 mn
02/01/21
corrigé 01/06/21
Résumé:  Souvent, le vendredi soir après le boulot, mon mari et moi faisons les courses à Auchan, celui de Saint Jean de la Ruelle, à Orléans, car il est proche de chez nous.
Critères:  fh travail jalousie caresses pénétratio -rencontre
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Méprise


Ne pas confondre narratrice, narrateur et auteur, même si le début est inspiré d’une anecdote issue de mon couple.

Bonne lecture :)





Contact Un - Danielle



Souvent, le vendredi soir après le boulot, mon mari et moi faisons les courses à Auchan, celui de Saint-Jean-de-la-Ruelle, à Orléans, car il est proche de chez nous. Nous avons ainsi quasiment tout le magasin pour nous, car il y a en général peu de monde dans les allées vers vingt heures, ce qui facilite bien les choses. Nous profitons aussi des quelques réductions que certains rayons offrent, ce qui n’est pas un mal pour le portefeuille et de plus, ça nous permet d’essayer des plats que nous n’aurions pas achetés à taux plein.


Éric (mon mari) me dit :



Mon mari acquiesce :



Nous nous séparons, chacun allant de son côté. Je farfouille le rayon Traiteur, je remarque qu’il y a du parmentier de canard en solde. Cependant, j’hésite pour le tajine, c’est quand même une grosse barquette de deux kilos ! Sinon, rien d’autre de spécial, sauf des pizzas fraîches, mais ce soir, ça ne me tente pas.


Je décide d’aller retrouver mon mari pour lui demander si ça lui dit de manger plusieurs fois du tajine durant le week-end. Je me dirige vers le rayon Surgelés, et je le découvre de dos, face à une armoire de congélation qui propose des promotions sur les fruits de mer. Je regarde à droite, je regarde à gauche, personne.


Silencieusement, je m’approche de lui, je me plaque carrément sur son dos, mes mains ceinturant son ventre :



Comme je suis d’humeur coquine et qu’il n’y a personne, tandis que je parlais, une de mes mains a glissé plus bas, du côté de sa braguette, ce qui explique sans doute son « euh ». Pour accentuer mon effet, je me presse contre lui, plaquant mes seins sur son dos, une très bonne façon d’obtenir tout ce que je veux de mon mari, surtout en cas d’achat onéreux !



Il faut dire que, comme je le caresse plus bas, mon pauvre mari a quelques soucis pour rester concentré ! Il est tellement facile de bousculer un homme que je ne m’en prive pas, quand ça m’amuse de le faire !



Je viens d’entendre une voix aigre retentir pas loin de moi, puis une femme de mon âge, au physique un peu ingrat, fonce sur moi. Je ne comprends pas. C’est alors que mon mari tourne un peu la tête vers moi, puis incrédule, je constate qu’il s’agit d’un homme que je ne connais pas !


Avec un certain flegme, celui-ci me dit :



Je me recule précipitamment, mais pas assez vite pour ne pas avoir affaire à l’épouse acariâtre :



La forte voix de mon mari résonne alors :



Surprise, la femme tourne la tête vers Éric, elle reste comme figée. D’une voix ferme, mon mari continue :



L’épouse jalouse recule un peu. Il est vrai que mon mari sait en imposer quand il le désire ! Maugréant, elle s’éloigne un peu, faisant signe à son époux. Avant de la rejoindre, celui-ci a le temps de murmurer :



Puis il s’éloigne, comme à regret, entraîné par sa femme qui grommelle, je ne sais quoi. Me sentant tout idiote, je reste figée sur place. Souriant, Éric s’approche de moi :



Mon mari regarde le couple qui s’éloigne dans la grande allée :



Puis il me regarde avec amusement :



Je lui explique pour les deux kilos de tajine. Main dans la main, nous partons au rayon Traiteur. Puis les jours suivants, j’oublie cette méprise.




Contact Deux - Danielle



Ce midi, je décide d’aller me balader dans le parc Louis-Pasteur, qui est un peu plus loin que celui de Rocheplatte dans lequel je vais la plupart du temps, quand c’est possible. Il faut beau et j’ai envie de changer un peu, et tant pis si je dois marcher un peu plus. Arrivée sur place, je m’installe sur un banc désert, et je commence à déguster tranquillement mon sandwiche.



Surprise, je lève la tête et je me retrouve nez à nez avec l’homme que j’avais pris pour mon mari. Cet épisode remonte maintenant à un bon mois, je pense.



De la main, il désigne la place vide sur le banc :



Il s’assied à côté de moi :



Je comprends très bien l’allusion, je bafouille un peu :



Il soupire :



Je tente un changement de conversation :



Aïe, mauvaise pioche ! Je réponds de neutre :



De nature curieuse, je questionne :



Nous avons ainsi discuté pendant une bonne demi-heure avant de regagner nos boulots respectifs, nous promettant de nous revoir prochainement dans ce parc. Chemin faisant, je reconnais avoir apprécié nos échanges, même si je n’ai aucune vue sur cet homme, mon mari me convenant parfaitement, sinon je ne l’aurais pas épousé.




Contact Trois - Michel



C’est avec plaisir que le lendemain, je revois Danielle. Je ne sais pas si je fais bien ou mal, mais j’en ai envie. Peut-être que je joue avec le feu. Mais quelque chose me dit que si je souhaite conquérir cette femme, il va falloir que je me lève très tôt !


Nous parlons de tout et de n’importe quoi. Je suis en train de parler de la société d’assurance dans laquelle je travaille, ainsi que des autres employés. Je suis assez bien placé, ayant dedans un poste de cadre supérieur. Soudain, au détour d’une phrase, Danielle me demande avec un sourire malicieux :



Je m’exécute. Au fur et à mesure de la conversation, Danielle m’arrache des lambeaux d’aveux plus ou moins inconscients. Je finis par admettre que si je n’étais pas marié, j’aurais sans doute tenté ma chance avec Anita, si celle-ci était libre.



Je me défends :



Puis elle continue à me tirer les vers du nez. Je finis par lui relater les dernières fois que j’ai pu croiser Anita. À un moment, Danielle réfléchit tout haut :



Je tombe des nues :



Anita aurait un penchant pour moi ? Ça m’étonne ! Bien que… il est vrai que je ne suis pas très doué en relations humaines. Je réponds :



Elle se met à rire joyeusement.




Contact Quatre et plus - Michel



Par la suite, plusieurs fois, je rencontre Danielle le midi dans le parc. Elle finit par tout savoir de moi. Au fur et à mesure, je me vide, je déballe des choses que je garde en moi durant des années. Je me laisse aller à diverses confidences. C’est étrange, pourquoi je me confie à elle de la sorte ?


Au fil des rencontres, j’ai vite compris que je n’avais pas d’illusion à me faire quant à séduire Danielle, elle est toujours éprise de son mari qui le lui rend bien. Mais comme le courant passe bien et que j’aime sa compagnie, je continue à la voir.


Petit à petit, je lui confie bien des choses… comme sur Anita…


Lors d’un précédent rendez-vous au parc, Danielle m’a affirmé que mon employée devait avoir au moins une petite inclination pour moi. Je reconnais que, depuis que ma voisine de banc me guide, je constate qu’un petit jeu assez trouble, mais bon enfant s’est instauré entre Anita et moi. Ça met du sel dans mon existence, même si ça reste un cul-de-sac, Anita ayant Thierry dans sa vie, et moi étant marié.


Aujourd’hui, à peine suis-je arrivé, qu’elle me demande directement :



Je n’aime pas trop qu’on lise en moi comme dans un livre ouvert. Oui, Anita me plaît bien, je reconnais que j’aime parler avec elle et que je suis bien en sa compagnie, mais comme je suis un homme marié ayant des principes, j’ai fait une croix sur une éventuelle aventure avec elle. Je m’agite :



Je lui adresse un large sourire :



Se recentrant sur son sujet, Danielle se lance dans un inventaire :



Pragmatique, ma voisine tire une conclusion :



Mon interlocutrice devient songeuse puis annonce :



Danielle m’adresse un sourire étrange :



Je m’apprête à protester, mais frappé par une sorte d’éclair révélateur, je réalise aussitôt que cette hypothèse n’est pas si farfelue que ça. Ma femme n’a jamais eu d’attrait pour la bagatelle, du moins ces derniers temps. Elle était plus chaude, il y a quelques années, sans que ce soit le nirvana. Mais peut-être que dans d’autres bras…



Tout ceci me rend dubitatif. Il est vrai que si ma femme avait des aventures ailleurs, ça me faciliterait la vie ; j’aurais un bon argument pour qu’elle ne soit plus en train de me récriminer pour un oui ou pour un non. Je pourrais même envisager une séparation. Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs !


Mais tout ça me turlupine, ça m’empêche de me concentrer sur mon boulot. Comme je souhaite en avoir le cœur net, un peu plus tard, seul dans mon bureau, je décroche mon téléphone pour appeler une agence de détectives. On ne sait jamais…


Décidément, depuis que Danielle est entrée à sa façon dans ma vie, bien des choses se mettent à bouger !




Contact et attaque - Michel



À ma grande surprise, il aura fallu moins d’une semaine à cette agence pour mettre sous mon nez des photos assez explicites. Visiblement, Valérie aime les petits jeunes, sa façon à elle d’évacuer son stress. Il va y avoir de l’explication dans l’air.


Justement, cette explication, je viens de l’avoir avec ma femme, parce que je n’aime pas reporter à demain ce que je peux faire le jour même. Assez agacée et accablée d’avoir été démasquée de la sorte, ma femme demande :



Je hausse le ton :



Devant ma réponse ferme, elle se radoucit, sachant que je dis vrai et qu’elle ne trouvera pas de faille de ce côté-là. Au pire, j’ai gentiment marivaudé, mais aux dernières nouvelles, ce n’est pas puni, ni par la loi ni par les bonnes mœurs. Soudain, elle plisse des yeux :



Son bien ? Je suis son bien ? J’apprécie cette répartie :



Je soupire :



Elle se crispe :



Étonnée par ma réplique, elle ouvre de grands yeux :



Je hausse le ton :



Je lui réponds avec un pauvre sourire :



Elle me regarde fixement quelques secondes, sans rien répondre. Puis elle baisse la tête en poussant un long soupir.


Quelques jours plus tard, elle est d’accord pour que nous nous séparions sans cri et sans heurt. De ce fait, elle signe les papiers, à condition que personne ne sache pour ses « loisirs » et que tout se passe sans esclandre. Alea jacta est




Contact et tact - Michel



Le lendemain de la signature, à peine arrivé au bureau, je convoque Anita dans mon bureau, officiellement pour parler de certains clients et des nouvelles dispositions légales en la matière. Assise sagement devant moi, genoux serrés, habillée d’un tailleur fort seyant, elle attend que je lui annonce les nouveaux changements à connaître.


Tout de go, je lui annonce :



Elle s’étonne :



Je me lève pour venir me planter à côté d’elle. Dans la foulée, je profite du mignon décolleté qu’Anita assise offre à mes yeux. Un peu inquiète, elle se lève à son tour. Nous sommes face à face, à quelques centimètres l’un de l’autre, proches, très proches. Je romps le silence :



Je pose mes mains sur le haut de ses bras :



Je confirme :



Elle ne répond rien, je continue :



L’attirant légèrement vers moi, je souris :



Je l’attire contre moi, puis je l’embrasse. Anita n’oppose pas de résistance, je dirais même que son corps coule contre le mien, même si elle reste assez passive. Néanmoins, je me dis que c’est un bon commencement.




Contact et acte - Michel



Après ce très bon commencement, Anita et moi, nous nous sommes énormément rapprochés. Je ne compte plus les fois où je me suis fait un plaisir de l’embrasser dans mon bureau ou ailleurs, comme, par exemple, dans le petit appartement que je loue depuis ma séparation. Petit à petit, je monte le curseur afin de ne pas trop l’effaroucher, mais afin aussi d’arriver à mes fins, car je désire fortement cette femme. Maintenant, je pense qu’Anita se doute bien qu’entre elle et moi, ce n’est pas une simple passade.


C’est justement dans ce nouvel appartement que nous sommes aujourd’hui. Pour l’instant, je n’ai toujours pas couché avec Anita, même si nous nous sommes aventurés assez loin dans le flirt, nous avons dépassé le stade des gentils baisers. Les nôtres sont devenus plus brûlants et voraces.


Debout, plaqué contre son dos dénudé, un soutien-gorge posé sur le lit, je capture avidement ses deux mignons seins. Tandis que je les soupèse, que je les malaxe délicatement, je murmure :



Buste dénudé, mais toujours en jupe, Anita se laisse aller contre moi, tandis que je l’embrasse dans le cou. Elle soupire, montrant qu’elle aime visiblement ce genre de traitement. Je murmure à nouveau :



Je continue de malaxer ses mignons petits seins :



Tout en l’embrassant dans le cou, je continue à jouer avec ses seins, puis avec ses tétons érigés. Doucement, Anita commence à onduler, se laissant aller. Puis elle se frotte sur la bosse de mon pantalon, me faisant bien sentir l’arrondi de ses fesses malgré l’épaisseur des tissus. Si elle continue ainsi, je vais finir par éjaculer dans mon caleçon !


Délaissant un sein, ma main descend caresser son ventre. Anita ne cesse pas son ondulation, appréciant mes cajoleries. Comme la plupart des femmes, elle aime se sentir désirée, et bien sûr les préliminaires qui vont avec la lente montée du plaisir.


Puis ma main descend encore plus bas, elle se glisse sous sa jupe, mes ongles effleurant l’ourlet de sa petite culotte. Elle murmure :



Elle ne répond rien, mais je sens qu’elle se raidit un peu. Délicatement, mes doigts jouent avec sa fine toison légèrement bouclée, caressant son pubis bombé. Mes lèvres parcourent toujours son cou, mon autre main câline son sein et son téton. Comme rassurée, elle se laisse un peu aller…


Mes doigts dénichent facilement l’orée d’une fente mouillée ainsi qu’un petit bouton protubérant. À moi de savoir en jouer comme il se doit pour qu’Anita jouisse contre moi. J’ai une folle envie de l’entendre gémir, de l’entendre crier son plaisir !


Déjà ma compagne se tortille légèrement sous ma caresse insidieuse. Sa respiration devient plus saccadée, sa poitrine se soulevant fortement. On dirait bien que ça lui fait beaucoup d’effet alors que je viens juste de commencer. C’est la première fois que je m’aventure en ces lieux très intimes, dans ce petit bosquet qui me semble taillé et ces lèvres un peu épaisses, mais fort avenantes.


Mes doigts sont couverts de cyprine, ce qui m’excite beaucoup, mais certainement pas autant qu’Anita qui ondule autour d’eux. Les yeux fermés, la bouche béante, elle se laisse faire… elle me laisse faire afin qu’une vague de plaisir monte en elle pour venir ensuite la submerger.



Excité à mort par ses petits gémissements, je presse son sein entre mes doigts voraces, tout en mordillant son cou. Je ne me savais pas si impératif et rapace ! Mais je sais depuis bien des jours que cette femme est différente des autres, que j’ai envie à la fois de la respecter et aussi de la posséder sans limites.



Je ne me fais pas prier d’exaucer son ordre. Aussitôt, elle explose en mille cris, se laissant totalement submerger par une puissante jouissance qui irradie en elle et qui affecte tous les moindres recoins de son corps électrisé !


Soudain, une torpeur étrange s’abat sur moi, comme si je partageais la petite mort de mon amante. Je cligne des yeux, j’essaye de surmonter cet engourdissement, mais rien n’y fait, je me sens irrésistiblement entraîné vers le fond, dans des ténèbres moites et chaudes…


Dans des ténèbres moites et chaudes dans lesquelles il est si bon de mourir, de disparaître…

De s’anéantir sans laisser de trace…

Aucune trace…


Nous sommes allongés sur le lit, nous reposant de notre flirt poussé. Nous avons repris nos esprits, elle comme moi. Anita était toute rouge quand elle a ouvert un œil. Je l’ai alors serrée contre moi pour la dorloter. Elle s’est laissé faire, me caressant timidement à son tour.


À présent, je parle de tout et de rien. Mais je sens au fond de moi que cette femme va beaucoup compter pour moi. J’essaye même d’envisager l’avenir avec Anita, même si elle vit toujours avec son compagnon, ce fichu Thierry.



À ma grande surprise, son visage passe par trois étapes : l’étonnement, la joie puis la tristesse. J’avoue que je ne comprends pas, alors je demande :



Elle continue de me regarder avec des grands yeux :



Elle sourit faiblement. Elle hésite, puis finit par dire :



Je ne réponds rien. Elle continue :



Décidément, Anita me surprendra toujours !



Elle se jette dans mes bras, une très belle réponse muette…




Contact et pacte - Michel



Quelques semaines plus tard, nous sommes tous les deux, Anita et moi, dans la chambre de mon nouvel appartement. Allongée sur le ventre dans le lit complètement froissé, fesses à l’air, essoufflée, échevelée, ma compagne s’exclame :



Je caresse amoureusement les rondeurs de son mignon popotin :



Elle se lamente faussement :



Passant outre, je dépose des tas de petits baisers brûlants sur ses fesses. La tête sur l’oreiller, Anita se laisse faire. Puis je m’enhardis de plus en plus. De plus en plus…


J’adore ses petites fesses bien rondouillettes à bisouter, à câliner, à lécher et plein d’autres choses encore. Je n’ai pas encore osé aller taquiner sa rondelle avec la pointe de ma langue, mais j’y viendrai un jour. Comme je viendrai un jour m’enfoncer avec délectation dans son obscur petit trou pour venir le remplir de ma semence ! Mais l’heure n’est pas encore venue…


En attendant ce jour plus ou moins lointain, je m’occupe des fesses de ma princesse en les couvrant de baisers, une chose qu’elle adore. Quand je n’y tiens plus, je décide de passer à l’étape suivante : je cale mon sexe sur la fente de son fessier et je commence à me frotter dessus sans vergogne, tel un caniche. C’est du moins ce qu’elle en dit. C’est très jouissif, parfois trop ! Il y a quinze jours, je n’ai pas réussi à me contenir, et j’ai éjaculé sur ses fesses et dans le creux de ses reins. Cet épisode l’a beaucoup amusée…


Je me concentre, à la fois pour ne pas céder trop vite et aussi pour mieux profiter de ce plaisir intense. J’aime aller lentement et ma compagne de jeu aussi.


Soudain la voix suave d’Anita résonne :



Pour toute réponse, elle écarte délibérément les jambes, libérant de façon éhontée l’accès à ses lèvres intimes odorantes. Devant une telle invitation, comment résister ?


J’ai la chance d’avoir une verge un peu plus longue que la moyenne, même si elle n’est pas très épaisse, ce qui me permet de faire certaines choses à « distance », ce qui peut être très pratique selon les positions. En appui sur mes coudes, je glisse ma verge entre ses cuisses pour venir buter contre ses lèvres détrempées. En un rien de temps, je déniche l’entrée de sa fente, dans laquelle je m’enfonce avec délectation.



Anita soupire d’aise. Même si elle joue parfois les effarouchées, je sais qu’elle aime quand je me glisse en elle. Une fois, elle m’a avoué en catimini que, depuis qu’elle m’a dit oui, elle a une autre conception du sexe entre un homme et une femme. Tant mieux ! Et j’admets que c’est très valorisant pour moi !



Sous cet aveu de sa part, je n’en peux plus et je pistonne longuement et profondément Anita, lui faisant sentir ma longueur. Seule la position dans laquelle je suis m’empêche d’enfourner en elle la totalité de ma verge. J’adorerais la posséder en levrette pour aller me mettre complètement en elle, bien au chaud. Mais se vautrer sur ses fesses tout en la possédant est aussi très jouissif !


Je gronde à son oreille :



Peu après, je sens ses doigts qui s’agitent. Parfois ses ongles effleurent ma verge, ce qui me fait de l’effet. Je continue de la pistonner, mais de plus en plus vite, coulissant en elle sans effort. Faire l’amour à Anita n’a rien à voir avec Valérie, mon ex. Je me sens plus libre, plus passionné, plus inépuisable !



Frémissante de la tête aux pieds, Anita est en train de jouir. C’est le moment que j’attendais pour ouvrir toutes les vannes et me déverser en elle. Cette libération me fait un bien fou ! J’ai tellement envie de la remplir, de la combler, de la faire déborder !


C’est ensemble que nous mêlons nos cris de plaisir…

C’est ensemble que nous mêlons nos doigts, l’un à côté de l’autre, nous assoupissant…

La béatitude de flotter…

Cet état second dans lequel je décolle si facilement avec Anita…

Anita… mon Anita…


L’un contre l’autre, nous nous reposons de notre récente joute. Ma main caresse délicatement son ventre, puis un sein. À moitié endormie, Anita se laisse faire, ses doigts inertes noués dans mes poils pubiens. Je décide de me lancer à l’eau :



Ça, je l’ignorais ! Décidément, mon Anita est vraiment une poire dans son genre, mais une poire que j’adore. Je m’étonne :



Amusé, je la serre contre moi :



Elle me fixe avec de grands yeux tout ronds :



Je tombe des nues :



Je pose mes doigts sur ses lèvres :



Elle me gronde gentiment :



Nous nous embrassons à nouveau. Mais cette fois, nous passons à la vitesse supérieure, nos mains épousent nos corps, cherchent leurs volumes, palpent leurs masses. Sans préambule, je culbute ma compagne sur le dos, me glissant entre ses jambes. Avide, je pointe ma queue vers l’entrée convoitée de sa fente, bien décidé à l’explorer encore et toujours !


Avec un large sourire, Anita s’ouvre en grand, tandis que j’entre profondément en elle. Pour mieux me retenir, elle enlace le haut de mes fesses avec ses jambes. Son embrochement sur mon membre est une sensation divine ! Surtout quand je sais qu’elle me désire de la sorte ! Ma compagne ferme les yeux, savourant le moment, gémissant doucement.



Enfin, j’arrive au fond de son sexe, ses lèvres délicates enserrent la base de ma tige plantée en elle. Anita ondule sur le pieu qui la perfore, contrôlant elle-même sa lente montée vers la jouissance. Les mouvements qu’elle imprime à son bassin, son sexe qui se frotte contre le mien et ma verge massée de l’intérieur augmentent terriblement mon désir pour elle !


Anita gémit toujours, ses bras rivés autour de mon cou, ses jambes autour de mes reins… puis elle se tend en arrière, ses mignons seins dardant vers mon visage, révulsée, s’empalant plus fortement sur ma queue.



L’effet est foudroyant sur elle, mais aussi sur moi. Elle pousse des tas de petits cris rauques tandis que ma bite semble s’arracher de mon corps, happée par sa vulve exigeante. Afin de résister au déracinement, ma tige devient un mandrin d’acier. Sans m’attendre, Anita jouit dans un long râle de plaisir, un cri bestial, primal.



À mon tour, j’explose dans une première longue gerbe chaude qui lui tapisse le fond du ventre. Tandis que je continue de me vider par petites saccades dans ses profondeurs, elle mord mon épaule, me broyant les reins de ses jambes, tout en me griffant le dos ! C’est bien la première fois qu’elle se laisse aller ainsi ! J’assiste à un orgasme très puissant, très violent, et tel un coq, je m’enorgueillis de faire tant jouir celle que j’aime ! Un instant précieux que je garderai sans doute jusqu’à la fin de ma vie, en espérant le revoir et le revivre encore bien des fois par la suite !


Et tout ceci parce que, dans une grande surface, une inconnue s’est trompée et m’a pris pour son mari… Une méprise qui a eu du bon !




Contact Plus - Danielle



Ce samedi matin, comme d’habitude, j’ouvre mon ordinateur pour aller consulter mes mails. Dans la liste, il y en a un de Michel. Peu après, je vais voir mon mari qui tente de réparer tant bien que mal mon aspirateur cyclonique qui a coûté la peau des fesses et qui a trouvé moyen de tomber en panne une semaine après l’expiration de la garantie (comme par hasard).



J’esquisse un large sourire :



Tournevis en main, Éric se redresse :



Je suis pensive :



Délaissant son tournevis, Éric m’enlace :



Puis, il m’embrasse. Oui, même si mon chéri ne connaît pas précisément tous les détails, ce fut en effet pour la bonne cause.