n° 19991 | Fiche technique | 18265 caractères | 18265Temps de lecture estimé : 11 mn | 05/01/21 corrigé 21/05/21 |
Résumé: Jouir ensemble, mais sans se toucher ! | ||||
Critères: f h jeunes copains piscine jardin exhib nudisme fmast hmast fdanus uro init journal -initiat | ||||
Auteur : Franckosaurus Envoi mini-message |
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Précédemment :
Fabienne est la meilleure amie de ma sœur depuis le collège. Après des années de fréquentations prudes, l’été de nos vingt ans est arrivé. Ce dimanche, la demoiselle a envoyé discrètement quelques signaux troubles. Ce lendemain, lundi, je suis seul, et il fait toujours aussi chaud …
Lundi
Je suis de repos (comme souvent quand on est vendeur sédentaire), mes parents prennent leur déjeuner dehors et ma sœur est sur du 12/20 h. Personne avant cinq heures et demie. La matinée s’écoule en tâches ménagères diverses, de façon à libérer complètement l’après-midi. Ma sœur ne me parle pas du tout de Fabienne. Elle a dû remarquer certaines choses, mais l’évoquer serait assez malvenu. Elle s’en va vers 11 h 30. Déjeuner à base de restes de grillades de la veille, enfin je vais pouvoir me mettre à poil dans le salon, me rouler un bon gros pétard, et profiter de la télé familiale, branchée à la chaîne stéréo, pour voir Selen, Brigitte Lahaie & Co baiser sur grand écran avec un son 5.1 bien puissant. J’aime quand il y a des intrigues, de belles femmes pulpeuses, les longs cunnilingus, et les sodomies. Mais cette fois-ci, je suis plus attentif, espérant que je pourrais mettre tout cela en application avec celle qui, je l’espère, sera ma première amante. C’est donc une longue, très bonne séance, catalysée par l’évocation de ce que je pourrais faire avec Fabienne. Je termine en m’enfoutrant partout sur le torse. Vite essuyé, matos à branlette et à fumette rangés, je m’endors assez vite sur le canapé avec la sérénité du travail bien fait.
Je me réveille environ une heure plus tard, et me précipite tout nu, comme d’habitude, dans la piscine, le jardin est à l’abri de tout regard indiscret, et on est de culture naturiste dans la famille quand on le peut. À mi-chemin, surprise ! Fabienne ! Assise dans la chaise longue, dossier relevé, nimbée de soleil, dans le même bikini que la veille, un livre de poche à la main. Je me fige sur place, penaud, les mains protégeant mon entrejambe par instinct.
Dont acte, je file enfiler un short de bain, puis plonge directement dans l’eau fraîche. La belle m’y rejoint, en descendant l’échelle. Je ne rate aucune marche qu’elle descend. Comme hier, je suis sûr qu’elle se sent observée, elle prend bien son temps. Mais une fois dans l’eau, ben pas d’excuses pour se rapprocher l’un de l’autre. On se tourne autour, comme deux poissons rouges, effrayés l’un par l’autre, on s’occupe en nageant. Je suis total frustré de ne pas savoir comment sortir de cette impasse. En fait si, je sais bien, mais j’ai une peur monstre, et je suis encore convaincu que le monde des adultes est rempli des subtilités qui ont peuplé les romans des grands auteurs du lycée. Elle non plus ne donne pas de signes pour que j’y aille, je ne les vois pas, ou peut-être ne veux pas les voir…
Enfin bon, on sort de l’eau, moi d’abord, pour se sortir de cette impasse, et s’allonger côte à côte. Je suis bien content d’être à ses côtés aujourd’hui. Sur le dos, je lui tends ma crème à bronzer. Au moins ça, c’est une façon diplomatique et aisée pour ENFIN se toucher.
Elle sourit de façon gourmande.
Elle me crème sobrement en souriant, je regrette de ne pas avoir enfilé un slip de bain.
Parfois hein, les phrases bateau, ça marche : elle sourit. Clic-clac, elle décrochète son soutif’pour ne pas qu’il y ait de marques. Ses seins écrasés sur la chaise longue… Pas comme la veille, je m’applique bien sur sa nuque, ses dorsaux, puis ses lombaires. Ses soupirs satisfaits encouragent mes efforts. Ses cuisses, ses mollets, sont aussi amoureusement choyés. Elle relève ses pieds à hauteur de mon visage, par réflexe ? Peu importe, je les saisis pour les masser un petit moment. C’est dur de résister à l’envie de les lécher, de les gober. Cette fois-ci, nous sommes seuls.
Je reviens donc avec deux bouteilles, et la boîte à bédo. Je compte sur l’alcool et le cannabis pour décoincer cette situation. Je roule un joint léger, et là, pour la première fois, elle me demande de l’allumer, elle. Tiens, tiens, une initiative.
On cause un peu littérature, mais j’arrête vite : pour elle c’est plus un passe-temps qu’une vraie occupation, elle lit du tout-venant, ça ne la passionne pas. Par contre, la musique est un dénominateur commun évident. S’engage alors un long débat sur nos goûts musicaux respectifs, elle très variétés françaises, mais pas que les tubes, ce qui est intéressant ; moi house, disco, soul, funk. En fait, c’est la première fois qu’on discute en tête à tête, sans autres témoins.
Qui ne dit mot consent. Je me retourne sur le dos, et enlève mon short, dévoilant mon sexe, déjà bien raide. Elle le fixe, interdite. Je me sens fier d’avoir franchi ce pas. Du coup, je la charrie.
Elle se lève et plonge sa main droite dans sa culotte, fixant mon sexe. Je relève le dossier, pour mieux jouir du spectacle, et commence à me masturber doucement.
Avec un air prédateur que je n’ai jamais vu, elle ôte rapidement tout vêtement, révélant un joli 90B aux seins opposés, des beaux tétons tout ronds, tout bombés. Elle place la chaise longue en vis-à-vis, relève son dossier, puis s’assoit comme moi, écarte ses jambes avec un regard carnassier. Une magnifique chatte gonflée, très bouclée, très poilue, s’offre à ma vue. Sans un mot, on se branle plutôt frénétiquement, en se regardant. C’est plus de la recherche d’un soulagement que celui d’un plaisir, mais c’est déjà ça. Ça ne dure pas bien longtemps (ah la jeunesse), et je jouis avec un joli petit geyser aux traînées bien blanches et compactes (et ce, à ma grande surprise, m’étant branlé après déjeuner), une partie arrive sur ses jambes, ce qui déclenche, je pense, son orgasme. Elle convulse, les yeux fermés, c’est super beau. Je la vois savourer longtemps, puis on se regarde en souriant, conscients d’avoir partagé un premier moment intime, ensemble, après ces longues années d’adolescence. Je sens qu’un nouveau chapitre est en train de s’écrire. On a tout l’été, aucune raison de brusquer quoi que ce soit.
Comme il se liquéfie, je commence à récupérer mon sperme, puis lèche mes doigts, en bon vétéran onaniste. Pas de kleenex à portée de toute façon. Surprise ! Elle récupère mes gouttes tombées sur elle avec ses deux doigts, et les suce consciencieusement, concentrée sur sa dégustation, genre je goûte la confiture de maman, normal quoi.
Fou rire.
Je lui prends la main, puis on saute ensemble dans la flotte.
On s’éloigne, et on reprend le même rituel qu’avant. J’en veux plus, elle aussi je pense, mais toutes ces années passées à se côtoyer sagement, le fait qu’elle soit la meilleure amie de ma sœur, c’est beaucoup pour aller plus loin, surtout quand on est inexpérimenté ! Au final, on se regarde donc, troublés, stupides, avec ce sentiment mitigé d’envie et de crainte.
Il se fait tard, on sort se sécher. Une envie pressante de pipi monte aussi (la despé). Le jardin est grand, pour moi et mon père, c’est une habitude depuis toujours d’arroser les fourrés. Le jardin est suffisamment grand pour ne pas que ça soit concentré à un endroit.
Au moment où je commence ma petite affaire, je sens une main se poser sur mon épaule (je l’ai pas entendu arriver), ses seins contre mon dos, et une belle jambe au pied cambré et ouvert se positionne sous l’ondée dorée. Je tourne la tête. Elle cligne un œil et sourit, complice. C’est pas pour me déplaire du tout. J’oriente mon jet sur son pied, puis remonte le long de sa jambe. Je me retourne et recule d’un pas pour poursuivre mon ouvrage jusqu’à son sexe, guettant son approbation, réelle. Le plaisir de se soulager de cette façon, sans aucune gêne, waou, c’est absolument génial. À mon grand regret, je tombe à sec trop vite.
Souriante, elle se positionne donc debout, face à moi bassin en avant, tire ses lèvres intimes avec ses doigts et arrose mes pieds, jusqu’à mes genoux. Sensation chaude, perverse, délicieuse. C’est la première fois que je vois une fille pisser. Mais elle galère.
À ce moment précis, on entend des bruits de roues sur le gravier.
FAFA s’est figée sur place. Un vrai lapin pris dans les phares.
Elle plonge donc dans l’eau, moi juste après, en ayant fait un détour pour chopper mon short et son bikini. Entendant ces ploufs peu discrets, ma mère se dirige immédiatement vers la piscine. Encore à poil, on n’a pas d’autre solution que de se ruer contre la paroi de la piscine pour masquer notre nudité. Sur les bords, il n’y a qu’un mètre trente de profondeur.
Et elle nous laisse enfin tranquilles. Fafa retire immédiatement mon doigt, et, furieuse, me retourne une claque, bien méritée.
Il est temps de se rhabiller, dans la piscine, c’est très érotique de voir ces parties intimes de nouveau se recouvrir, c’est aussi un peu triste. Fabienne qui joue tout ce temps à l’innocente pucelle offensée, c’est un vrai ravissement à observer.
Ma mère arrive, dans son une-pièce sage de femme en pleine ménopause, qui sent ses charmes s’estomper. Elle saute direct dans la flotte, puis vient taper la bise à la miss. Je connais ma mère, elle est bavarde, et manifestement ravie de voir son fils ENFIN en (très) charmante compagnie. C’est parti, je le sais, pour une pas-courte conversation. Je suis de trop, et j’ai envie un peu de l’embêter aussi. Je sors et pars me sécher de loin, et me faire un petit stick. Je les regarde, surtout elle, des fois elle m’implore du regard d’intervenir pour écourter ce petit supplice. Bien évidemment je m’en abstiens : elle est terriblement sexy, visiblement contrariée – ma mère n’a jamais possédé cette aptitude à s’en apercevoir – mais suffisamment polie. Cette capacité, très « Sud-ouest », très britannique, à se montrer agréable malgré l’inconfort… Fabienne se montre très douée à cet Art, ça me séduit.
Mais au bout d’un moment, elle décide de mettre un terme à cette discussion, et annonce son départ. Elle sort, lentement de la piscine, avec un regard assez noir, Mamma mia, j’adore. Je la regarde se sécher, puis se faire une jupe de sa serviette de bain. Elle boude, avec un air genre t’es-pas-prêt-de-revoir-mon-cul-nu-mon-pauvre. J’imite sa posture en la caricaturant. Elle boude toujours même si ses yeux et les commissures de ses lèvres un instant la trahissent (ouf). Elle est bon public, ça aussi ça me séduit.
Comme je me suis tenu à de vue de ma mère, forcément Fafa est obligée – ah ah ah – de venir m’embrasser. Elle le fait très comme il faut, comme une gentille jeune fille très, très sage, pas le genre à goûter du sperme, ni à se faire pisser dessus. Ça me fait sourire.
Mais c’est pas pour ça qu’elle se dérobe à mon regard quand elle repart, lentement, en chaloupant.
À suivre…