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n° 19992Fiche technique10745 caractères10745
Temps de lecture estimé : 7 mn
05/01/21
Résumé:  J'allume mon jeune locataire et l'initie lentement aux joies du sexe.
Critères:  f h fh fplusag jeunes piscine revede voir noculotte fmast hmast intermast nopéné confession -initiatiq
Auteur : Fanfanfanette63  (Jeune femme qui adore allumer les jeunes mâles)      Envoi mini-message
Initiation




Depuis quelques mois nous louons le studio que nous avons aménagé dans le pool house à côté de la piscine à un jeune étudiant.


Il est jeune et très timide, il rougit à chaque fois que je lui parle. Il est vrai que je m’amuse à l’allumer un peu, car je vois que mes atouts féminins ne le laissent pas insensible, surtout lorsque je suis en maillot au bord de la piscine. Je l’aperçois parfois qui me mate depuis sa fenêtre, je m’amuse alors à prendre des poses subjectives, à dégrafer mon haut pour ne pas avoir de traces de maillot dans le dos puis je me retourne en oubliant de le ragrafer et je me retrouve seins nus. Je prends alors tout mon temps pour le remettre ce qui laisse tout le temps à Fabien (c’est son nom) d’admirer mes seins qui, sans me vanter, sont encore bien fermes et désirables.


Je ne sais pas pourquoi, mais cela m’a toujours excitée d’allumer discrètement les mecs. J’ai horreur du vulgaire et je veille toujours à allumer en faisant penser que c’est tout à fait innocent. J’aime le trouble que cela génère en moi en particulier lorsque je vois la gêne du mec en face et la bosse qui gonfle au niveau de son entrejambe. Dans ces moments rares, je me sens mouiller instantanément, c’est mon mari qui en profite quand il rentre. Je suis dans un tel état d’excitation qu’il comprend vite que quelque chose s’est passé et il adore que je lui raconte ce qui m’a excitée à ce point. Nous faisons alors l’amour comme des bêtes, bien sûr j’en rajoute beaucoup, car je ne l’ai trompé qu’une fois. C’était à une époque où je voulais découvrir d’autres mâles, j’avais eu son consentement et j’avais vu que cela l’excitait. C’est moi qui avais préféré arrêter, car je voyais bien que cela pouvait devenir dangereux.


Lorsque je suis seule à la maison, j’aime me baigner nue. Je suis toujours très vite excitée par ma nudité sentir le vent caresser mes seins et ma chatte me met toujours dans un état second. Parfois je me masturbe sur le transat, je me mets dans un état pas possible jusqu’à me faire jouir, mais quand même toujours frustrée de ne pas sentir un bon sexe dans le vagin.


Ce jour-là ; c’est ce que j’ai fait, après m’être bien caressée et après avoir joui sur le transat, j’avais bien soif et je suis partie nue me chercher à boire dans la cuisine. Mais voilà, à peine sortie de la zone piscine, je tombe nez à nez avec Fabien qui rentrait de la Fac. Grosse gêne de ma part, je n’avais rien à me mettre si ce n’est une main sur mon sexe et mon bras devant mes seins. Il était tout béat, la bouche ouverte et bégayait :



Je retrouve mes esprits et je lui dis :



Il était rouge comme une tomate, mais il ferma les yeux et je retournai vite chercher une serviette sur le transat. En même temps, je réalisai qu’après lui avoir fait admirer le côté pile de mon corps il pouvait maintenant admirer le côté face !

Je pris ma serviette, il n’avait pas bougé, mais il avait quand même les yeux grands ouverts. Je lui dis :



Je reviens avec mon maillot cette fois. Fabien n’a pas tardé à me rejoindre, il avait enfilé un maillot de piscine style « moule-bite », ce qui me permit de voir qu’il avait un gros paquetage. Je lui refis mes excuses, j’avais très honte de savoir qu’il m’avait peut-être vue me masturber. Je lui ai demandé si cela faisait longtemps qu’il me regardait ? Il m’affirma qu’il venait juste de rentrer quand je l’ai rencontré au coin de la piscine. J’étais un peu rassurée, mais pas totalement, je lui demandai s’il avait une petite amie, je connaissais la réponse, car il n’avait ramené personne à sa chambre depuis qu’il était chez nous. Il me dit que non, il était très gêné et je sentis chez lui une envie de se confier et je décidai de le faire parler. Il m’avoua qu’il n’avait jamais eu de petite amie, qu’il avait pris pas mal de « râteaux » et qu’il n’osait plus se jeter à l’eau. Je lui conseillai d’aller voir des professionnelles, histoire de se rassurer sexuellement. Il avait trop peur des maladies…


Au fur et à mesure de la conversation, je voyais son sexe gonfler sous son maillot au point qu’au bout d’un moment, je vis un bout du gland dépasser de son maillot, je lui fis remarquer et lui demandai d’essayer de contenir son excitation. À partir de là, il m’avoua que je l’excitais au plus haut point, qu’il se masturbait en pensant à moi et il finit par me demander de m’occuper de lui. Je lui dis qu’il n’en était pas question, que j’étais mariée, qu’il était trop jeune pour moi… Mais rien n’y fit, il m’avoua qu’il m’avait volé une de mes culottes (facile, l’étendage était juste devant sa fenêtre).


Il était pitoyable et attendrissant à la fois, je lui dis de ma la rendre immédiatement, il se leva et partit la chercher dans sa chambre. Je le suivis, c’était un vrai bazar, je vis ma culotte noire bien en vue sur le lit, je le devançai et attrapai la culotte. Elle était pleine de taches de sperme et puait le mâle. Je lui demandai s’il se masturbait dans ma culotte (je connaissais la réponse), il me dit :



Il était debout devant moi, son gland était ressorti du maillot. Je ne pouvais plus résister, je mis ma main sur son maillot et lui dis :



Mais mes gestes ne correspondaient plus à mes paroles. Je lui pris le pénis à pleine main, tout en faisant tomber son maillot par terre. Je commençai à le masturber lentement, presque tendrement, et lui dis :



Tout en disant ça, il s’était rapproché de moi et entreprit de me caresser les seins en soulevant maladroitement mon haut de maillot. J’étais très excitée par la situation et lorsqu’il mit la main sur mon sexe, j’étais déjà en nage. Sa maladresse était pitoyable. Je lui pris la main et guidai son doigt sur ma fente toute mouillée. Je quittai mon maillot et m’allongeai sur le lit et je lui dis :



J’écartai les cuisses et lui montrai mon sexe. Il était trop loin et je le fis approcher jusqu’à ce qu’il ait la tête sur mes genoux. Je lui expliquai alors toute mon anatomie. Je repris sa main et mis son doigt sur ma fente en lui expliquant que si c’était mouillé c’est que le sexe féminin était excité et prêt à être pénétré. Je lui montrai mon clitoris et lui expliquai comment le caresser en lui prenant le doigt et lui faisant faire comme je voulais qu’il me fasse. J’étais persuadée qu’il connaissait déjà tout ça (il avait tout de même vu des films pornos), mais ça m’excitait de le faire. Il se débrouillait maintenant très bien tout seul avec mon sexe et mes seins et je décidai de reprendre son sexe.


J’avais envie de le sucer, mais je pensais que c’était trop pour une première leçon. Je sentis maintenant un doigt me pénétrer, il le faisait coulisser dans mon vagin comme s’il s’agissait de son sexe. J’ai joui comme une folle inondant sa main de cyprine.


Il en fut tout surpris et éjacula dans ma main avec un énorme jet de sperme qui atteignit mes seins.

Nous avions joui tous les deux et je repris mes esprits. Je ramassai mon maillot, ma culotte et sortis de la chambre en lui disant :



C’était pour moi une manière de reprendre le contrôle et de ne pas perdre la face.


J’avais joui, mais je restais encore excitée. Je décidai de prendre une douche, de mettre ma jupe courte avec en dessous un porte-jarretelles, pas de culotte et un chemisier légèrement transparent. Sans soutien-gorge. Mon mari comprendrait le signal en arrivant à la maison et se serait direct la chambre.


Mon mari rentra à l’heure habituelle, j’allai lui ouvrir dans ma tenue affriolante, juste à ce moment-là Fabien sortait (certainement pour aller au restau universitaire). Je ne sais pas ce qu’il a dû penser en voyant ma tenue, mais je peux l’imaginer. En tout cas, ça a fait sourire mon mari qui, une fois Fabien sorti, me dit que je devais le rendre fou le gamin.


Comme prévu, mon mari a tout de suite compris que j’avais une grosse envie, ce qu’il vérifia en passant sa main sur ma vulve.



Je le pris par la main et le fis monter direct dans la chambre. Il aperçut la culotte et l’attrapa en me disant :



Puis il observa les taches de sperme et sentit l’odeur. À son air interrogateur, je commençai à tout lui expliquer. Tout ça l’a bien excité, il a baisé sauvagement sa « grosse salope », après l’après-midi que j’avais passé, j’avais besoin d’être défoncée, de sentir sa queue au fond de moi. J’ai joui intensément plusieurs fois.


Lorsque nous nous sommes calmés, il me dit qu’il adorait ma créativité et me regarda :



Je lui fis croire que j’avais simplement aperçu ma culotte par la fenêtre sur le lit de Fabien et que je l’avais récupérée alors qu’il était encore en cours. Puis il me dit :