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n° 19996Fiche technique12600 caractères12600
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Temps de lecture estimé : 9 mn
07/01/21
Résumé:  J'ai toujours fantasmé sur ma belle-sœur. Elle me contacte pour un hébergement en urgence. La nuit dépasse toutes mes espérances.
Critères:  fh alliance nympho grossexe revede voir exhib hmast intermast cunnilingu pénétratio fsodo -occasion
Auteur : Marcdumans      Envoi mini-message
Une visite sensuelle

Claire m’appelle. Mon ex-belle-sœur.

Le Président a parlé, le confinement empêchera l’ouverture des hôtels et des restaurants. Ma belle-sœur est cadre dans une grande société d’assurances. Elle doit impérativement boucler un dossier au siège, à Paris, où j’habite.

Elle n’a pas le choix ! Est-ce que ça me dérange, si elle passe une nuit chez moi ? Non, non, pas de soucis. Bref, elle doit arriver vers 19 h.

Elle ne doit pas avoir le choix, car depuis nos divorces respectifs, elle n’a pas repris contact.



Je me souviens de cet été durant lequel nous avions passé quelques jours ensemble avec nos enfants en Dordogne.

Un après-midi à la piscine notamment. Claire avec son petit maillot de bain bleu deux-pièces qui moulait ses fesses et sa poitrine. On aurait dit qu’elle prenait un malin plaisir à prendre des postures aguichantes en jouant avec les enfants. J’évitais de la regarder directement, mon épouse étant présente, mais de manière détournée je jetais un œil sur ses gros seins bien fermes dont les tétons étaient parfaitement apparents par le tissu et surtout son cul magnifique. Elle avait la beauté de ma femme avec des attributs plus exacerbés. J’avais été obligé de rester dans l’eau un moment pour masquer mon érection.


Je n’avais pu attendre d’être de retour dans notre mobil-home et je m’étais branlé dans ma cabine en me rhabillant, m’imaginant la saillir en levrette. Dans mon scénario, c’était rugueux. Je lui administrais de grands coups de queue et elle gémissait de plaisir. J’avais lâché rapidement mon sperme dans ma serviette que j’avais rincée discrètement de peur qu’Agnès, mon épouse, sa sœur, me questionne sur ce qui avait provoqué mon envie.


L’an dernier, sans que ce soit lié, nos deux couples ont explosé. Le mien parce qu’Agnès avait de moins en moins envie de sexe. Me masturber ne me suffisait plus et je commençais à désirer d’autres femmes. Les cachotteries ce n’était pas pour moi. J’avais bien essayé de lui expliquer cela, que j’avais toujours envie d’elle, mais qu’une fois de temps en temps ce n’était pas suffisant. Quand j’ai évoqué avec elle si elle voyait quelqu’un d’autre, elle avait commencé à m’engueuler. Ce n’était pas parce que j’étais addict au sexe qu’elle l’était aussi. Quant à aller chercher ailleurs ce que je ne trouvais plus avec elle, il n’en était pas question. Au bout de quelques mois d’essais infructueux pour réveiller son désir, nous avions convenu qu’il était temps que nous reprenions notre liberté.


Quant à Serge et Claire, je n’avais pas trop su pourquoi ils se séparaient. Pas pour les mêmes raisons en tout cas, car ma belle-sœur prenait toujours un malin plaisir à allumer tous les mâles, moi y compris, qu’elle croisait.


19 h 30. On sonne.

Je vais ouvrir. Ma belle-sœur est devant moi. Petit manteau chic et tailleur. Toujours aussi sexy. Petit regard rapide sur ses seins. Sûr qu’elle a remarqué.

Elle pose sa valise et nous passons à table.

Nos échanges sont gais et les sourires, charmeurs de sa part, sont de mise.

On discute de nos enfants et de nos ex.

La conversation aboutit tout naturellement aux causes de nos divorces. Quand j’évoque le manque d’envie de mon ex-épouse, cela la fait éclater de rire. Serge, son mari l’a délaissée sexuellement et l’a trompée avec une femme « terne et pas bandante » avec laquelle il vit en couple maintenant.


Tout naturellement, nous évoquons nos vies sentimentales respectives.

Je n’ai pas de relation fixe. Je vois plusieurs femmes à intervalles réguliers, sans attache, juste pour le sexe. Elle a de son côté une relation régulière pour le sexe aussi. Ils se rendent parfois dans des clubs libertins. Elle évoque son besoin quotidien de sexe. Une journée sans sexe est une journée de perdue ! La coquine me fait bander. Je mate ses jambes. Bas noirs sous son petit tailleur. Son chemisier moule encore mieux ses seins que son tailleur. Je suis sous le charme.


Je remplis le lave-vaisselle. Je lui indique ma chambre. Je lui laisse mon lit. Elle s’inquiète de l’endroit où je vais dormir. Mon séjour est petit. Pas de canapé. Je lui montre le matelas gonflable que je compte utiliser. Elle proteste. Nous ne sommes pas des ados et nous pouvons dormir dans le même lit, sans arrière-pensée. Ça ne me dérange pas, vraiment. Elle insiste et je rends les armes.


Je prends un pyjama dans le tiroir de la commode. Habituellement, je dors tout nu. Je passe dans la salle de bain et me voilà dans mon lit.

Je m’attends à ce qu’elle adopte une tenue aussi prude que la mienne.

Quand elle revient de la salle de bain, c’est le choc ! Elle entre dans la chambre à pas lents. La coquine veut que je l’admire dans sa nuisette qui laisse tout voir de ses gros seins fermes et son petit short échancré qui moule sa chatte et laisse voir ses magnifiques jambes. Elle l’a ajusté ce qui fait que je devine sa fente.

Je feins l’indifférence, même si j’ai un début d’érection. Heureusement que je suis sous les draps.


Dix minutes que j’ai éteint la lumière. Je n’arrive pas à m’endormir. Je tourne et me retourne sans y parvenir. Être à proximité de cette femme si désirable y est pour quelque chose.

Elle est tournée de son côté, fait mine de dormir, mais sa respiration n’est pas celle d’une femme qui dort. La mienne doit trahir également le fait que je ne dors pas.


Je me rapproche d’elle. Après tout qu’est-ce que je crains ? Elle peut sortir du lit et partir, ou me demander d’utiliser mon matelas gonflable ?

Mon corps est collé contre le sien. Je bande aussitôt, mais fais attention à ne plaquer pas mon sexe contre ses fesses.

Elle ne bouge pas. Juste sa respiration qui accélère un peu.

Nous restons ainsi quelques minutes, sans bouger.


Nous ne dormons toujours pas. Elle ne me repousse pas. Je m’enhardis et pose ma main droite sur son épaule. Je me risque à une caresse légère.

Toujours pas de réaction.

Je passe à quelque chose de plus osé. Je descends ma main sur le sein au-dessus de sa nuisette. Elle ne me repousse pas. Je pétris le globe. C’est ferme et chaud, délicieux. Son téton est durci. Du fantasme à la réalité. Tenir dans ma main le sein de ma délicieuse belle-sœur.


Je tire sur la nuisette et dénude son sein. Elle me laisse faire, toujours collée à moi.

Je caresse le téton dardé tout en rendant visite à son autre sein.

Je goûte avec volupté à cette poitrine que j’ai rêvé de caresser depuis si longtemps.


Il est temps de tirer les draps vers le bas. Elle reste allongée sur le côté, sans réaction. Elle me laisse explorer. Veut-elle voir jusqu’où je vais aller ?

Je pose ma main sur la cuisse en dessous de son short de coton bleu, toujours collé contre elle, caresse sa hanche au-dessus du tissu.

Je repousse plus loin les draps et découvre ses cuisses jusqu’aux genoux.


Elle se laisse caresser ; je passe de ses seins que j’ai dénudés en tirant vers le bas son tee-shirt à bretelles à ces cuisses en passant par la taille. Elle ne fait toujours pas mine de réagir, se laisse peloter, mais toujours inactive.

Je passe ma main sur l’intérieur de sa cuisse et j’approche de sa chatte sans la toucher, au-dessus du tissu.


Je ne résiste plus à la tentation et frotte son minou de la paume toujours au-dessus du tissu. Elle ne me repousse pas. Un doigt dans sa fente toujours sur le tissu, je masse un peu son clitoris. Elle n’écarte ni se serre les cuisses.

Réalise-t-elle un fantasme ? Celui de se laisser tripoter par un inconnu ?

Je stimule toujours sa chatte. Je bande comme un taureau. Je me plaque contre elle pour qu’elle sente mon érection contre ses fesses.

Maintenant, je la masturbe avec application. Je sens la moiteur à travers le tissu. Ça m’excite de sentir son envie.


Elle se tourne pour se placer sur le dos. J’allume ma lampe de chevet.



Hum ! Ses gros seins ronds qui se tiennent toujours à la quarantaine. Ses tétons sont pointus et tout dressés. Elle a des aréoles roses larges et grumeleuses. Je les pétris avec gourmandise en l’embrassant à pleine bouche.



Je lui retire son petit short. Sa vulve est épilée. Elle n’a gardé qu’un petit triangle de poils châtain clair sur le mont de Vénus. Elle se recroqueville en riant et en serrant les cuisses.

Je retire mon short et m’approche d’elle, lui caressant les cuisses fermées en frôlant sa chatte. Elle mate ma queue et la saisit.



Je lui caresse sa vulve. Elle prend un malin plaisir à garder ses cuisses serrées jambes recroquevillées, les bras croisés sur les genoux.

J’insinue un doigt le long de sa fente.



Je m’allonge et commence à lécher sa vulve, je glisse ma langue dans sa fente. Elle me mate en train de lui lécher ses grandes lèvres et l’intérieur de ses cuisses. Elle s’ouvre enfin, cuisses largement écartées. J’ouvre ses grandes lèvres pour mieux titiller son petit bouton. Elle me regarde faire en souriant. Elle ferme les yeux puis elle s’allonge et s’ouvre largement pour m’offrir sa chatte.



J’enfonce mon majeur dans son vagin en suçant son clitoris. Elle mouille déjà abondamment. Je la pénètre vigoureusement de deux doigts. Sa merveilleuse croupe ondule. Elle gémit délicieusement. Hum ! Ses petits cris sont délicieux. Je l’amène à l’orgasme. Elle reste quelques instants allongée comme anéantie.



Elle se met à quatre pattes devant moi.



Je glisse ma main entre ses cuisses et pétris sa vulve. Elle est trempée de ma salive et de cyprine. Son cul callipyge, sa chatte qui apparaît entre ses cuisses douces et rondes. Mon fantasme se réalise. Je vais la saillir, la remplir. Je la tire vers le bord du lit.



Je m’installe debout devant le lit. Elle se cambre. Son sexe ouvert appelle le mien.

Je la fais languir en faisant glisser ma verge sur sa vulve.



Je fais entrer mon chibre sans résistance tant elle est béante et dilatée.

Ses gros seins ballottent sous mes coups de boutoir.

Elle gémit à nouveau. Son gros cul ferme est une splendeur.

J’accélère le rythme, mais me retiens malgré l’éjaculation que je sens venir.

Elle se redresse et crie maintenant. Je la tiens par les seins.

Mon rythme est effréné. Je l’attire contre moi, lui écrase les seins et inonde son vagin de mon sperme.

Nous nous allongeons côte à côte. Je la câline et l’embrasse.



Je lui racontai ma masturbation après notre après-midi à la piscine, les deux familles réunies.



La fatigue nous gagne. Nous nous endormons. J’éteins la lumière.

Il est trois heures quand je sens une main qui me branle. Elle en a encore envie. C’est elle qui joue maintenant. Difficile de faire celui qui dort, car je bande à nouveau très fort. Ma main parcourt son corps. Elle s’est totalement déshabillée. Son corps, ses gros seins fermes, sa taille fine et ses hanches larges. C’est la sensualité faite femme.


Je l’embrasse, lui pelote les seins, les embrasse. Elle se touche : sa chatte est déjà trempée. J’appuie sur ses cuisses, mets ses mollets sur mes épaules et la pénètre d’un coup. Je viens sur elle et la prends à nouveau. J’ai envie de son cul. Je me retire de son vagin. J’enrobe mes doigts de cyprine et je ménage mon entrée dans son anus. Elle est détendue et ma pénétration à un doigt et deux doigts se fait sans aucune difficulté.

Je retourne Claire, à plat ventre, et écarte ses cuisses. Je la pénètre dans le cul et la fourrage, la chevauchant gaillardement.

Elle gémit fort. Heureusement que les voisins ont l’habitude.

Son orgasme ne tarde pas à arriver. Je me retire d’elle et éjacule sur ses fesses.


Elle est repartie le lendemain matin non sans m’avoir dit qu’elle avait apprécié la prestation hôtelière, au niveau !

Je lui ai dit que l’hôtel lui était toujours ouvert. Qui sait ?