n° 20003 | Fiche technique | 25946 caractères | 25946Temps de lecture estimé : 15 mn | 11/01/21 |
Résumé: Divorcée et esseulée pour les fêtes de fin d'année, Maud décide de les passer à Biarritz en solitaire. Mais elle fait la rencontre d'une autre femme, plus âgée qu'elle, qui va lui permettre de vivre une semaine inoubliable. | ||||
Critères: grp fagée inconnu grossexe vacances boitenuit voir exhib noculotte fellation 69 préservati pénétratio fsodo échange -occasion | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Pour la première fois de sa vie, Maud allait fêter Noël en dehors de chez elle. Et seule. C’était le contrat avec son ex. Une année sur deux avec les enfants pour la fête des cadeaux. Aussi décida-t-elle de mettre de la distance entre elle et son domicile. La solitude serait moins dure à vivre ailleurs. Mais où aller ? Elle pensa à une île des Antilles. Mais le voyage prendrait trop de temps, malgré l’attrait du soleil. Elle n’avait qu’une toute petite semaine devant elle. Elle choisit finalement Biarritz, une ville balnéaire qu’elle ne connaissait pas et qui l’avait toujours fait rêver par son histoire. Elle loua un studio dans une résidence hôtelière et le 24 décembre, elle débarqua avec son petit sac par un temps brumeux, mais doux.
Dès qu’elle fut installée, elle mit le cap sur la plage. Marcher au ras des vagues en respirant l’air iodé lui fit du bien. Elle croisa beaucoup de couples, ce qui lui fit un peu mal. Mais aussi une femme seule, plus âgée qu’elle de vingt ans à en juger par ses cheveux blancs coupés très courts. Grande, élégante, une certaine classe que Maud attribua à un style local, Biarritz étant une station plutôt chic, à ce qu’elle avait déjà pu voir. La femme lui sourit, comme si elle lui adressait un signe de complicité solitaire.
Passer le soir de Noël seule dans un restaurant n’avait rien de folichon. Maud choisit une brasserie où elle pourrait expédier son repas et se coucher en suivant. Elle commanda une pizza et à peine avait-elle taillé dans la pâte qu’une femme fit son entrée. C’était la sexa de la plage. Elle s’assit à côté de Maud, commanda une simple salade et très vite, engagea la conversation avec sa voisine.
Une longue discussion s’engagea, bien au-delà de ce que Maud avait prévu. Les deux femmes se trouvèrent plusieurs points communs malgré la différence d’âge. Elles en avaient oublié les fêtards qui avaient débarqué entre-temps. Lorsqu’elles prirent congé l’une de l’autre, elles se promirent de marcher ensemble le lendemain sur le sentier douanier, que Véronique voulait faire découvrir à Maud.
De retour dans sa chambre, Maud repensa à cette discussion avec cette femme mûre qui avait si bien encaissé son divorce, du moins en apparence. Elle avait trouvé dans cette discussion de quoi lui donner davantage d’énergie, mais aussi une forme d’introspection. Pourquoi, à quarante ans, avait-elle été trompée par son mari au bénéfice d’une plus jeune qu’elle ? Tout le monde lui avait dit alors qu’elle était toujours sexy avec son corps mince, ses cheveux blonds très fins, son sourire permanent dans un visage nullement ingrat. On lui trouvait même une ressemblance avec l’actrice Virginie Effira. Le sexe ? Elle n’avait jamais été du genre à plaider une migraine pour refuser un accouplement avec son mari. Elle avait toujours aimé ça. Son couple était sans histoire. Telle était la teneur de la discussion à table avec Véronique quand l’une et l’autre en étaient venues à parler de leur séparation.
Pour l’avocate, c’était différent. Elle lui avait dit que son mari et elle avaient eu longtemps des vies sexuelles « différenciées ». Ce qui avait été un temps une acceptation réciproque avait fini par devenir une cause de rupture, chacun aspirant à sa liberté pleine et entière. Maud avait été surprise par la liberté de ton de Véronique, son langage parfois très cru :
Maud avait encaissé. Elle avait fini par lui avouer qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis plus de deux ans.
Le lendemain, comme prévu, les deux femmes se retrouvèrent sur la plage et entreprirent une longue marche par un temps d’une exquise douceur, à croire qu’on était déjà au printemps. Elles se parlèrent de leur vie, de leur travail, en se tutoyant, mais le plus souvent se contentèrent de respirer l’air marin. Puis Véronique, au moment de se séparer, fit une proposition à Maud :
Véronique logeait dans une villa beaucoup trop grande pour elle, non loin de la plage des Basques et ses remous permanents. Sa garde-robe était particulièrement fournie pour une résidence secondaire. Après de multiples essais, et des conseils avisés, Maud choisit une mini-robe qui mettait en valeur ses longues jambes d’ancienne joueuse de beach-volley, ras du cou devant, décolletée jusqu’au creux des reins derrière.
De fait, les seins ronds et fermes de Maud tenaient encore parfaitement la route. L’avocate, quant à elle, opta pour une robe longue, mais fendue jusqu’en haut de la cuisse, d’un érotisme torride avec un décolleté profond en angle aigu, qui séparait ses seins comme un canyon.
Au moins, c’était clair. Véronique serait en chasse et incitait Maud à en faire autant. Celle-ci en était troublée, mais au fond pas mécontente. Cette femme allait lui permettre de vaincre toutes les réticences qui la minaient depuis deux ans. L’avocate fut encore plus claire en lui disant :
Le lieu n’était ni tout à fait une boîte, ni tout à fait un bar : un entre-deux où picoler, draguer et danser au son d’une musique qui avait la vertu de ne pas être assourdissante, ce qui permettait de se parler. Maud et Véronique s’installèrent au bar, sur des tabourets en hauteur, ce qui eut pour principal effet de découvrir quasi totalement leurs jambes gainées de dim-up. Véronique ne buvait pas d’alcool :
La discussion sur l’hygiène de vie se poursuivit d’autant plus que les clients furent rares en ce soir de Noël. Juste quelques couples. Pas l’ombre d’un homme seul. Les deux femmes partirent se coucher avant minuit :
Le lendemain soir, rebelote. Aux couples s’ajoutèrent deux types avinés, des Anglais, qui tentèrent de draguer les deux femmes sur leurs tabourets. Elles connurent toutes les peines du monde pour s’en débarrasser et se réfugièrent dans un autre bar, plutôt désert avant la fermeture :
Mais tout changea le troisième soir. À peine Véronique et Maud avaient-elle commandé leur boisson habituelle au barman qu’une dizaine de mecs débarquèrent bruyamment. Les gambettes largement découvertes des deux femmes, solitaires de surcroît, agirent sur leurs yeux comme des projecteurs. C’était une équipe de pelote basque qui venait « s’en jeter un » avant de retrouver leurs épouses ou compagnes, quand il y en avait.
L’entraîneur, un homme grisonnant d’une cinquantaine d’années, trapu, poilu et jovial, entreprit aussitôt Véronique tandis qu’un grand maigre brun de peau et de poil faisait le siège de Maud. Présentations, discussions et plaisanteries s’enchaînèrent, entraînant un courant de sympathie réciproque. Maud aimait l’accent chantant de son interlocuteur, les muscles longs et fins de ses bras découverts, ses yeux qui en disaient long. Les autres pelotaris demeuraient ensemble, comme s’ils laissaient leurs camarades tenter leur chance avec ces deux femmes solitaires à la sexualité si affirmée. L’entraîneur, Peyo, s’était annoncé divorcé et le joueur, Marko, avait éludé le sujet en se disant simplement « libre », ce qui ne convainquit qu’à moitié Maud, car il avait la trentaine bien sonnée.
Peyo proposa de changer de bar, histoire de pouvoir draguer plus tranquillement. Marko adhéra et les deux femmes les suivirent. Le lieu donnait sur la mer. On parla pelote basque (Maud était totalement ignorante), mais en fait, chacun pensait à la suite. Maud commençait à ressentir un chatouillis entre les cuisses qu’elle n’avait pas éprouvé depuis des lustres. Véronique avait la voix de plus en plus rauque et riait pour un rien. Maud surprit la main de l’entraîneur sur la cuisse de son amie, sans que celle-ci la retire. Elle proposa une Izarra à boire chez elle et tout le monde s’engouffra dans la voiture de Peyo. Placée à l’arrière avec Marko, Maud sentit le grand maigre de plus en plus pressant. Il ne fallut pas longtemps avant qu’elle ne fût pelotée par le pelotari, ce qui la fit rire in petto. Ses mains habituées à frapper la pelote se montrèrent caressantes et précises. Elle mouillait.
Dans la villa de Véronique, les choses allèrent très vite. L’hôtesse avait à peine servi l’Izarra qu’elle était enlacée par l’entraîneur qui glissa sa main sous la jupe pendue et découvrit l’absence de slip :
Quant à Maud, elle n’eut même pas le temps de se servir de la liqueur. Marko la coucha sur le canapé, l’embrassa pleine bouche au point de la faire suffoquer et constata lui aussi l’humidité prometteuse de l’entrecuisse généreusement découvert par son troussage en règle. L’homme se releva et lui présenta une pine monumentale, à l’image de son corps tout en longueur. Jamais elle n’avait vu un engin pareil. Saisie à la nuque, elle s’exécuta en engloutissant le gland turgescent dans sa bouche. La saveur particulière de cette chair lui rappela un temps enfui. Mais ses automatismes revinrent illico. Elle avait toujours aimé sucer.
Marko se laissa faire en se débarrassant de ses vêtements, révélant à Maud un torse sec, musculeux, comme elle n’en avait pas vu depuis longtemps. L’autre fit passer sa robe par-dessus sa tête et découvrit à son tour sa poitrine parfaite. Elle fit elle-même glisser successivement ses bas et son string, tant elle avait envie désormais d’être pénétrée. C’était comme si son sexe criait « la queue, la queue ! »
Mais elle eut une brusque pensée pour la protection. Pas question de baiser sans capote. Elle quitta des yeux son amant pour découvrir sur le canapé d’en face Peyo et Véronique en plein 69, elle dessus complètement nue en train de pomper une bite épaisse. Elle s’interrompit pour dire à Maud :
De fait, une boîte de préservatifs attendait d’être ouverte. L’hôtesse avait pensé à tout. Marko s’empressa de l’ouvrir et de se couvrir.
Dès lors, tout alla très vite. Adossée au canapé, Maud se laissa écarteler, mais posa la main sur le bas-ventre impatient de son partenaire sexuel :
Le grand maigre y alla donc par petits coups de reins en ouvrant bien le compas des jambes, mais le sexe de Maud était tellement en attente d’être rempli qu’il ne fallut que quelques minutes avant que le chibre ne fût complètement engagé. Elle ressentit alors un flot de sensations enfouies dans la mémoire de son corps et devint la femme qui baise, totalement, entièrement, résolument. L’homme comprit qu’il avait affaire à un coup en or. Survolté, il répondit à la demande à grands coups de bite, les flancs griffés par les ongles de Maud et les oreilles farcies de ses cris de plaisir. Elle atteignit très vite un puissant orgasme qui la laissa pantelante sur le canapé, sa bouille ronde écarlate jusqu’aux oreilles, les cheveux en désordre et les yeux humides. Il se retira juste à temps pour ne pas éjaculer. C’eût été trop bête de ramollir aussi vite alors que cette femelle en chaleur ne demandait qu’à poursuivre. Il s’assit à côté d’elle en la caressant et en l’embrassant, le temps qu’elle reprenne ses esprits. Elle constata que sa queue était toujours bonne à l’emploi et en fut rassurée.
C’est alors que le regard de Maud tomba sur le canapé d’en face. Elle avait complètement oublié l’autre couple, tant elle était concentrée sur son plaisir. C’était la première fois qu’elle faisait l’amour non dans l’intimité, mais dans une promiscuité sexuelle. Véronique et Peyo étaient toujours en 69. Seule la calvitie de l’homme était visible, le reste de sa tête disparaissant sous le bassin mouvant de l’avocate. Celle-ci abandonnait parfois sa succion pour pousser un petit gémissement de satisfaction. Puis elle se déplaça, découvrant le visage barbouillé de l’entraîneur et lança au couple d’en face :
La sexagénaire déploya son grand corps nu à la peau ivoire qui contrastait avec la masse trapue et velue de son amant. Difficile de faire plus dissemblable, se dit Maud en regardant le couple gagner la pièce voisine. Mais déjà, Marko l’entraînait à leur suite. Lorsqu’ils entrèrent, Véronique était en position en travers du lit, coudes sur le matelas et cuisses ouvertes, en attente. Elle interpella Maud :
Maud prit la même posture et son regard embrassa les deux hommes en érection en train de s’insinuer entre leurs chevilles, leurs mollets, leurs cuisses. Elles furent pénétrées quasi en même temps, mêlèrent soupirs d’aise et bientôt gémissements, onomatopées, interjections et autres manifestations vocales de plaisir. Maud se régalait de la bite, mais aussi du spectacle qui lui était offert : celui de deux bêtes de sexe en tension extrême, quintessences de mâles en rut au service de deux femelles en chaleur.
Maud vivait son accouplement à l’unisson de celui de Véronique et vice-versa. Elle baisait autant avec Peyo qu’avec Marko et quand les deux hommes, mus par une inspiration, changèrent de partenaire, Maud encercla les reins du trapu avec autant d’ardeur qu’elle l’avait fait avec le grand maigre. Il était juste un peu moins long et un peu plus gros dans son antre intime, mais l’essentiel était qu’il fût là, aussi virulent, aussi tonique, aussi endurant. C’était la première fois de sa vie qu’elle pratiquait un échange et ne s’en formalisa aucunement, tant elle était dans un état second.
Quand Marko mit les pieds de Véronique au ras de ses oreilles pour accentuer encore plus sa pénétration, Peyo fit de même et les deux femmes poussèrent un cri guttural identique. La symbiose parfaite entre deux sexes également creusés. L’entraîneur lit dans les yeux de la blonde une reconnaissance éperdue qui survolta son ego de mâle. Il faillit éjaculer et se retira prestement en se comprimant la queue :
Mais Véronique dégagea ses pieds du cou de son amant et déclara :
Elle n’était pas mécontente non plus de relâcher la tension. Elle n’avait plus l’âge de Maud et sa capacité d’encaisser, sans compter qu’elle n’était pas autant en manque que sa nouvelle amie biarrote.
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Véronique partit chercher l’Izarra et servit à chacun un nouveau verre. Les deux couples sirotèrent la liqueur assis sur le lit dans une espèce d’entre-deux érotique, les hommes en demi-érection, les femmes à peine tiédies. Véronique titillait de son pied nu les couilles de Peyo et lui lança :
Sous l’effet de cet échange, les deux hommes étaient redevenus rigides et impatients d’enfourner leur engin dans ces deux chattes aussi disponibles. Verres sifflés, Maud se mit à quatre pattes en travers du lit, pieds en dehors, et Véronique se positionna de même juste de l’autre côté de la vaste couche, si bien que leurs visages n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Quand elles furent pénétrées, elles formèrent le même O avec la bouche et l’expression simultanée de leur visage révéla un étonnant mimétisme. Rictus, léchage de lèvres, langue entre les dents, soupirs et exclamations se succédèrent comme si l’une se regardait dans la figure de l’autre. Maud pouvait sentir le souffle chaud de Véronique sur son museau, et vice-versa. Lorsque la sexagénaire lui tendit ses lèvres, la quadragénaire ne les refusa pas. Elle n’était pourtant pas « bi », mais tout semblait possible dans cette folle soirée.
Puis Maud releva le regard pour observer le mâle trapu en train de secouer le bassin de Véronique par ses virulents coups de reins, ressentant en même temps la pénétration énergique du grand maigre dont la peau du ventre claquait sur ses fesses. Elle tourna à demi la tête pour le regarder, l’air concentré, presque tendu, et elle l’encouragea :
À peine avait-elle prononcé ces mots que l’entraîneur s’insinuait dans la raie de ses fesses. Maud vit l’expression de son amie tourner à la surprise puis à l’extase.
Quand Maud sentit le gland de Marko se positionner à l’entrée de son anus, sa réaction ne fut pas celle qu’elle aurait imaginée encore quelques minutes plus tôt. Au lieu de se retirer, ou de protester, elle se cambra. L’homme comprit qu’il avait le champ libre. Ce fut un peu plus long qu’avec l’autre couple, mais l’engagement devint tout aussi résolu et complet. Maud sentit les grosses couilles du pelotari battre contre sa chatte en même temps que son chibre envahissait ses profondeurs et elle poussa un cri venu du ventre qui répondit aux râles de la sexagénaire. Les deux femmes agitaient frénétiquement leurs hanches en mêlant leurs souffles brûlants.
Subjugués par l’enthousiasme de leur partenaire réciproque, les deux hommes accélérèrent le rythme de leurs coups de bite. Peyo gicla dans sa capote tandis que Marko, plus endurant, offrit encore plusieurs sévères rafales à Maud avant de se retirer, d’arracher son latex et de se répandre sur le sacrum en grognant, liquéfié et en nage. Il exprima des mots en basque que Maud ne comprit pas, mais qui voulait dire en substance :
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Maud se réveilla le lendemain dans le lit de Véronique, celle-ci tout aussi nue à ses côtés. Les deux hommes s’étaient échappés au cœur de la nuit et Maud, rincée, avait accepté l’invitation de l’avocate à dormir chez elle. Le lever fut tardif, aux alentours de midi. Après une douche, les deux femmes se retrouvèrent à table et commentèrent leur nuit :
Les deux femmes éclatèrent de rire. Puis Maud rentra dans son appartement préparer ses affaires. Elle repartait le lendemain. Elle retrouva Véronique pour une ultime promenade, mais la soirée fut chaste. Il faut dire que Maud avait les chairs un peu sensibles après les ébats mouvementés de la nuit et elle avait besoin de se remettre un peu. « Je suis décidément un peu rouillée », constata-t-elle.
Mais dans le train du retour, sa résolution était prise. Quand son mari aurait la garde de ses enfants, elle s’échapperait vers Paris. Véronique l’attendrait.