Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20007Fiche technique9548 caractères9548
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/01/21
Résumé:  Des souvenirs coquins resurgissent devant cette magnifique plage de Vendée.
Critères:  candau nain fh fhh grossexe taille vacances plage voir exhib caresses intermast pénétratio -candaul
Auteur : SophieetDidier
Voila ! un instant de bonheur et de jouissance

Voilà ! un instant de bonheur et de jouissance.




Voilà, je me souviens, il y a trente ans, sur cette magnifique plage sauvage de Vendée. Nous étions un jeune couple de vingt-cinq ans, fraîchement marié et nous nous étions posés dans cette belle ville de la côte Atlantique. Nous avions créé nos entreprises et nous nagions dans le bonheur.


Cette fin de matinée du mois de mai, le soleil était magnifique et chaud. Le sable avait déjà une douce chaleur et crissait sous chacun de nos pas. Personne à perte de vue ! Les chants des oiseaux dans la dune et la musique lancinante du ressac nous accompagnent pendant que nous progressons.


Je vois Sophie, devant moi, qui porte son sac de plage à l’épaule et vêtue de son magnifique bikini d’un blanc éclatant qui ressort avec beaucoup d’élégance sur sa peau déjà hâlée. Le bas est un string qui souligne la rondeur et la fermeté de ses fesses et de ses cuisses. À cette époque, peu de femmes mettent des strings et j’apprécie l’ouverture d’esprit et le désir de ne pas être conventionnelle de Sophie. Nous sommes mariés depuis un peu plus de six mois et je savoure le bonheur que nous partageons chaque jour. Nous marchons ainsi pendant dix minutes afin de nous éloigner des accès habituels de la plage. Nous rions et parlons de nos projets, de nos amis et des prochaines vacances qui se dessinent pour le mois de septembre. De temps en temps, je passe ma main gourmande sur le dos ou les fesses de Sophie.


Arrivée proche d’un des blockhaus qui jalonne la plage, nous nous arrêtons pour poser nos affaires et allonger nos serviettes de plage. Nous sommes les seuls sur toute la plage et nous nous installons au pied de la dune. Le vent souffle des risées de bonheur. La mer est basse et scintille au loin. Sophie s’allonge sur le ventre et moi je prends un livre et je me plonge avec délectation dans cette parenthèse de vie. Après quelques instants, Sophie me demande de lui étaler de la crème solaire sur le dos. C’est avec plaisir que je m’acquitte de ce rituel où mes mains explorent ses épaules et descendent sur ses fesses avec délectation. Ma main droite monte et descend avec douceur pour étaler cette crème si onctueuse. Je la vois disparaître, comme par magie, absorbée par la peau ambrée de Sophie.


Ma main gauche, avec un mouvement rapide dénoue les liens du soutien-gorge et les écarte afin de faciliter le travail délicat et fripon de la main droite. Les deux mains unissent alors leur effort pour descendre vers les fesses puis les cuisses fuselées de ma jeune épouse. Quelle extase de pratiquer ce massage face à la mer, sous le regard jaloux du soleil. J’en profite pour écarter délicatement les deux cuisses sous le faux prétexte de repartir davantage la crème. Ma main remonte vers cet obscur objet de mon désir. Un de mes doigts glisse sous le maillot pour explorer des territoires chargés de trésor. Doucement, un mouvement régulier, opiniâtre, s’effectue entre les cuisses qui s’écartent progressivement. Une douce moiteur se propage et assouplit les chairs rendant les mouvements plus fluides, plus inquisiteurs.


En haut de la dune, je vois une tête émerger de la végétation, et une phrase fuse, articulée sans conviction. Je ne comprends pas la signification de la phrase encore complètement sous l’émotion de la surprise de voir quelqu’un surgir dans notre histoire. Devant mon air déboussolé, Sophie éclate de rire et me reformule la phrase mystère :



Elle est là, indécente, les seins à l’air, son string de travers découvrant sa petite chatte et son ticket de métro bien taillé, devant les yeux d’un parfait inconnu, et elle ne fait que pouffer de cette situation. Je suis sonné sur place et elle me redit : « le monsieur te propose de t’aider ». Devant mon absence de réaction, je la vois lever son bras au-dessus de la tête et faire un mouvement de la main pour inviter notre voyeur à descendre de la dune et à nous rejoindre. L’homme se lève et disparaît de notre vue avant de réapparaître quelques mètres plus loin, en bas de la dune. Il reste hésitant et ne continue son approche que sur le « bonjour » frais et spontané de Sophie.


Je suis surpris de constater qu’il s’agit d’un homme de très petite taille, mais avec un franc sourire. Il a un short beige et une chemisette vert pâle, très ample. Il s’installe progressivement d’un côté de mon épouse et me regarde reprendre mes caresses. Puis ses petites mains, un peu déformées, prennent possession d’un sein pour le modeler avec tendresse et timidité. Sophie ne rit plus. Elle a fermé les yeux et se soumet à nos caresses conjointes. Son visage s’est tendu et on voit une concentration gagner tous ses traits.


D’un mouvement rapide, notre inconnu tire sur le lien du string exposant à ses yeux les trésors de ma femme. L’ambiance devient lourde, chargée de sexualité. Sa petite main rejoint la mienne sur les rives de cette chatte déjà humide. C’est une sensation très étrange de voir et sentir les mouvements de ses deux mains sur le sexe de Sophie. Elle a écarté les cuisses, donnant un accès complet à ses deux explorateurs. Son dos s’est cambré et un mouvement de hanche commence à naître. Notre nouvel ami se déplace alors pour s’allonger entre les jambes de Sophie, délaissant sa poitrine. Je lui abandonne la place pour concentrer mes caresses sur les seins de ma jeune épouse. Je vois les mains courir sur le bas-ventre de Sophie, effleurant d’abord les lèvres et le clitoris, puis se montrer plus pénétrantes avec des mouvements réguliers, de plus en plus profonds.


Sophie soupire, les yeux toujours clos, concentrée sur un plaisir que nous sentons tous les trois grandir. Notre petit homme accentue ses allées et retours sur et dans la chatte de Sophie. Et d’un seul coup, des vagues soulèvent le bassin de mon épouse, l’entraînant sur les rivages d’un orgasme exceptionnel. Son souffle est court, rapide accompagné de « Oh, mon Dieu ! ». Je ne l’ai jamais vue dans cet état.


Son corps se détend complètement. Quelques instants passent, bercés par le bruit des vagues et le souffle du vent. Elle se soulève sur les avant-bras et nous regarde en souriant. Elle semble découvrir la particularité de son admirateur. Celui-ci, toujours entre les jambes de Sophie, lui prodiguant une douce caresse presque machinale, ouvre son short puis l’enlève, nous exposant un sexe dressé d’une taille étonnante. Sophie et moi restons estomaqués devant un tel attribut sans aucun rapport avec la taille de son propriétaire. En regardant Sophie dans les yeux, il déboutonne sa chemisette et positionne « son concombre » de chair en contact des lèvres intimes de mon épouse. Je regarde Sophie dont les yeux fixent obstinément le sexe du nain. Elle se rallonge, donnant son agrément pour cette pénétration massive. L’homme s’allonge sur Sophie, sa tête arrivant au niveau des seins et commence à s’enfoncer dans le ventre accueillant de ma femme.


Bien calé au fond, il marque un temps de pause puis commence de petits va-et-vient, arrachant des soupirs de satisfaction à mon épouse. Je vois augmenter l’amplitude de ses mouvements puis les accélérer. Un bruit humide accompagné chaque mouvement de son pénis. D’un seul coup, les jambes de ma femme se mettent à trembler, son corps se tend puis s’arque, soulevant son visiteur et elle pousse un cri strident de jouissance. Elle semble perdre connaissance alors que le petit homme pousse un grognement en se déversant dans le ventre de ma jeune épouse. Nous retrouvons tous conscience de la situation et du lieu. Je me redresse pour voir avec satisfaction qu’il n’y avait toujours que nous.


Tous les trois, nous discutons beaucoup de ce qui vient de se passer. Nous découvrons que notre nouvel ami s’appelle Hervé et qu’il est informaticien, qu’il habite dans une ville proche de chez nous. Il est célibataire et a quelques années de plus que nous. Avant de nous quitter, Hervé refait l’amour à ma jeune épouse, en la prenant en levrette avec beaucoup de tendresse et de puissance, devant un parterre de deux voyeurs en haut de la dune. Devant l’approche d’autres hommes, Sophie s’est habillée en mettant sa robe de plage à même sa peau, en délaissant maillot de bain et sous-vêtement. Tous les trois nous reprenons le chemin de nos voitures en traversant la forêt. Nous sommes suivis par des voyeurs qui profitent de la main que passe Hervé sur les fesses de Sophie qui rit de son rire clair et communicatif. Neuf mois plus tard, un petit garçon est né, plein de charme avec les cheveux bruns bouclés et le nez en trompette d’Hervé.


Nous sommes toujours restés amis et Hervé continue régulièrement à venir honorer Sophie, souvent à l’improviste. J’ai toujours beaucoup de plaisir à rentrer le soir à la maison, après le travail et à entendre les gémissements de Sophie et le souffle d’Hervé. Je m’assois sur le bord du lit et je les regarde. Ma femme me sourit ; je lui souris, suivant la montée de son plaisir sur son visage. Puis nous nous retrouvons devant une boisson ou un petit plat improvisé.