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n° 20009Fiche technique23983 caractères23983
Temps de lecture estimé : 14 mn
14/01/21
corrigé 01/06/21
Résumé:  Ce samedi, comme mon mari s'amuse toute la journée avec Géraldine, son nouveau jouet, et comme l'époux du jouet en question n'est pas disponible, je me suis rappelé au bon souvenir de Tarek.
Critères:  fh fplusag jeunes autostop noculotte caresses intermast pénétratio -occasion
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Collection : Blitz Stories
Un si mignon auto-stoppeur

Cette petite série propose des récits courts et indépendants les uns des autres, avec le même couple comme point commun.

Ces histoires relatent des événements libertins plutôt rapides, éclairs (d’où le titre).

Aujourd’hui, un autre grand classique du genre, mais sans frénésie sexuelle…

Bonne lecture :)




Préambule



En temps normal, bien que libertine depuis quelques années, je suis en général une personne assez prude dans mes élans affectivo-sexuels, je ne m’offre pas comme ça à n’importe qui, mais parfois j’ai mes coups de cœur, ou plutôt de queue.


Les enfants étant partis du nid, mon mari et moi, nous nous offrons plus de liberté ci et là. Depuis bientôt trente ans, je vis avec Gilles, mon époux. Je suis une Italo-Allemande, ce qui explique mon physique très méditerranéen et aussi ma grande taille. Mon germanique de père m’a prénommé Sandra, à prononcer à l’allemande, c’est-à-dire « sann-dra », avec la première syllabe qui rime avec Anne.


Installez-vous une fois de plus confortablement que je vous raconte rapidement une histoire un peu ancienne.




De quoi m’occuper



Ce samedi, comme mon mari s’amuse toute la journée avec Géraldine, son nouveau jouet, et comme l’époux du jouet en question n’est pas disponible, je me suis rappelé au bon souvenir de Tarek, qui n’a pas usurpé son prénom (qui signifie, entre autres, combattant) en ce qui concerne les joies du sport en chambre.


Il y a environ trois décennies, en bon fils obéissant, il avait épousé la femme choisie par sa mère. Ce ne fut pas un mariage malheureux, mais pas non plus très heureux. Bref, plutôt tiède. Tarek est veuf depuis quatre ans, sa femme ayant été emportée par une maladie foudroyante. Et pour l’instant, il résiste plutôt bien à toutes les tentatives de remariage de sa mère.


Pour bien faire passer le message après de Tarek, je sonne chez lui, uniquement vêtue d’un top au décolleté plutôt plongeant et assez moulant, ainsi que d’une mini-jupe. Et bien sûr, rien par-dessous. À peine la porte ouverte, le message a été perçu cinq sur cinq.


Le moins que je puisse dire est que mon amant du jour m’a accueillie les bras largement ouverts et la braguette aussi !


Après m’avoir démontré plus d’une fois qu’il tenait toujours une forme olympique malgré son demi-siècle écoulé, reprenant quelques forces tout en caressant mes seins et mon ventre, mon amant se confie à moi :



Sans cesser de ma caresser, il soupire :



Moi-même, bien que je sois plus jeune que lui, je ne me vois pas du tout avec un bébé ou un jeune enfant sur les bras :



Il se met à rire en catimini :



Commençant à le branler délicatement, je souris :



Mon amant fait un petit geste de lassitude :



Pour toute réponse, il se jette carrément sur moi ! Je sens qu’il va m’envoyer dans les étoiles, même s’il s’est déjà bien dépensé à me faire l’amour, il y a quelques minutes. Tarek a toujours été une bête de sexe, et on dirait que ça ne s’arrange pas avec l’âge, ou bien c’est moi qui suis moins exigeante…


Je proteste mollement :



Petite allumeuse ? Moi ? Mais je n’ai rien fait ! Je suis juste toute nue, à côté de lui, en sueur, alanguie, la chatte maculée de sperme, un peu fatiguée par toute cette jouissance qu’il a pu m’offrir ! Je décide de ne rien dire et de me laisser faire…


Toujours est-il qu’il est en train de me faire jouir comme une petite folle, tandis qu’il me prend comme un forcené dans une levrette fort traditionnelle ! Les grands classiques ont du bon… Complètement pâmée, je décolle vers d’autres cieux, sa bonne queue me limant à tout va, plongeant délicieusement dans mes entrailles, forte, puissante, victorieuse. Je suis déjà ailleurs, très loin ailleurs, perdue dans les nuages quand je l’entends jouir au-dessus de moi, tout en me remplissant de son sperme abondant !




En route



Il est l’heure, je repars chez moi. Je suis totalement détendue, faire l’amour avec Tarek est un bon délassement, dont il ne faut néanmoins pas trop abuser, sinon on se transforme vite en chiffe molle !


Quelques kilomètres plus loin, j’aperçois un jeune homme plutôt mignon, pouce levé, sur le bord de la route. Comme je suis bonne âme, je m’arrête à sa hauteur. Je baisse la vitre côté passager pour lui demander où il va. Ça tombe bien, je vais grosso modo dans cette direction, ça ne me fera qu’un petit détour de trois ou quatre kilomètres. Plutôt ravi, le garçon pose son sac sur la banquette arrière, puis il monte dans la voiture côté passager. Je redémarre et entame le dialogue :



Nous continuons à bavarder de la pluie et du beau temps, le temps étant un sujet de conversation universel, peu importe le pays ou la région. Au bout de quelques minutes, intrigué, il me demande :



Très vite, j’apprends qu’il va avoir vingt ans à la fin de l’année et que ses études de Droit ne le passionnent pas beaucoup, son père rêvant qu’il soit avocat. Il partait rejoindre sa petite copine quand sa petite cylindrée a décidé de tomber inopinément en panne. Du coup, il a tenté l’auto-stop.


Tandis qu’il parle de sa « fiancée », je remarque vite qu’il lui trouve plus de défauts que de qualités. J’ai la curieuse sensation qu’il la compare inconsciemment à moi. Il se risque même à des compliments déguisés à mon encontre.


Du coin de l’œil, je constate que mon passager improvisé est vraiment beau garçon. Je constate aussi que ses yeux sont souvent plongés dans mon décolleté. Comme il est assez grand, et un peu en recul, il doit avoir une belle vue sur ma poitrine, car mon échancrure est assez profonde. Sans oublier le fait que je n’ai pas de soutien-gorge et que mon top est assez moulant, car quand je rends visite à un amant, il est assez rare que je m’encombre du superflu, et que je mets la dose pour bien exciter mon ou mes amants du jour ! C’est vrai que j’aurais dû y songer avant d’embarquer cet Alex…


Oui, j’aime mettre mes amants dans le bain tout de suite ! L’efficacité allemande, me disent certains d’entre eux ! Deutsche Qualität !


Quand il ne zieute pas mes seins, son regard porte impunément sur mes cuisses largement dévoilées par ma mini-jupe. Comme je reviens d’une bonne sauterie, je dois sans doute exsuder le sexe par tous les pores de ma peau, sans parler des effluves. La prochaine fois, je n’oublierai pas de prendre une douche avant de partir. Je comprends mieux pourquoi mon passager rougit peu à peu, et qu’il a du mal à regarder la route.


Comme tout ceci m’amuse, je lui balance carrément :



Le jeune homme rougit intensément, et reste muet, regardant à présent la route, droit devant lui. Hélas pour lui, j’ai envie de m’amuser, d’autant que Tarek m’a bien échaudée, et même s’il m’a royalement comblée, je ne serais pas contre un petit extra. Peut-être est-ce pour cela qu’inconsciemment, j’ai accepté d’embarquer cet auto-stoppeur ?


Bonne âme, je laisse passer un peu de temps afin qu’il récupère. Puis je relance le jeu :



La réponse fuse tout de suite :



Je me mets à rire doucement :



Il me regarde avec de grands yeux ronds :



Alex ne répond rien. Je vois du coin de l’œil qu’il hésite. Puis il se décide : il dégrafe son pantalon et en extirpe une queue plutôt belle et bien dressée. J’avais un peu oublié que les jeunes bites avaient un certain charme, mes actuels amants étant plus âgés.



Je ne sais pas ce qu’il a vraiment compris de mes propos. Ce n’est pas à moi à lui expliquer pédagogiquement que ça ne sert à rien d’avoir un bel engin de vingt centimètres si on ne sait pas l’utiliser, j’ai pu en savoir quelque chose avec certains amants. L’inverse aussi. Je me souviens fort bien d’un quidam que Dame Nature n’avait pas avantagé, mais qui savait en jouer en virtuose. Un très bon joueur d’ukulélé qui surclassait bien des guitaristes !


Je constate qu’il ne sait pas quoi faire de ses mains. Je lui propose carrément :



Pas la peine de le lui dire deux fois ! Il me pelote aussitôt, montrant qu’il n’est pas manchot à ce petit jeu. Quand on est jeune, on ne peut pas toujours consommer jusqu’au bout, alors il n’est pas rare que la poitrine des filles serve de terrain d’entraînement…



Il ne se fait pas prier et pelote ce que je lui propose, sans la moindre retenue, avec avidité. Après quelques minutes de caresses, de soupèsements et de palpations sur mes seins, il s’enhardit à descendre beaucoup plus bas pour venir poser sa main sur ma cuisse dénudée, après avoir pris soin de repousser le tissu de ma mini-jupe.



Je décide de changer de levier de vitesse en empoignant sa verge bien raide. Il est visible qu’il apprécie que je m’occupe à présent de lui en commençant à le branler délicatement. Il en oublie de me peloter ou de me caresser. Ce jeunot a encore bien des choses à apprendre. Je ralentis un peu, car même si la route est assez déserte, il ne faudrait pas que j’aille visiter un fossé, à la suite d’un moment d’inattention !


Ah, il vient de poser à nouveau sa main sur ma cuisse. Tenterait-il de m’offrir une petite réciproque ? Puis après quelques tergiversations, il glisse ses doigts sous le tissu de ma mini-jupe. Tandis qu’il s’approche lentement du haut de mes cuisses, il me confie :



Je me mets à rire doucement :



J’accélère un peu le mouvement de va-et-vient :



Combien de temps ce petit jeunot résistera-t-il ? Je sens que je vais le savoir dans peu de temps ! Je continue de plus belle ma branlette, bien décidée à le faire rapidement céder. Il se pince les lèvres, se tortille sur place. Visiblement, il a du mal à se contenir !



Un de ses doigts s’aventure dans ma fente déjà humide, puis un second. De façon un peu désordonnée, il joue avec mes lèvres intimes. Peut-être ne sait-il pas encore que, plus haut, il existe quelque chose qui s’appelle un « clitoris »…


Sa verge gonflée tressaille de plus en plus. Sa délivrance est pour bientôt. Pour info, je lui signale :



Je continue mon mouvement de va-et-vient, enserrant bien sa base. Il gémit sourdement. Puis soudain, ses muscles se raidissent, tout son corps se contracte, un premier jet vient s’écraser sur la boîte à gant. Lors des salves suivantes, mon passager arrive à limiter les dégâts en utilisant un premier mouchoir puis un second. Un liquide plutôt épais coule le long de sa verge. Visiblement, Alex avait un trop-plein à déverser. Tant pis pour sa copine, bien que je ne sois pas certaine qu’il aurait pu se vidanger de la sorte avec elle.


Je suis plutôt fière de moi, fière d’avoir jouir un jeunot avec autant de facilité. Décidément, je suis encore bonne pour le service. Tandis qu’il s’essuie en vidant mon sachet de mouchoirs en papier, je continue ma route, après m’être nettoyé les doigts. Sans force, Alex s’affale carrément dans son siège, comme vidé, épuisé. Pour un peu, il se mettrait à dormir ! Son éducation est franchement à faire ou à refaire !


Soudain, j’entends un timide :



Alors que je m’arrête à un stop, je lui réponds sereinement :



Il se tait quelques instants, puis me demande :



Je souris, ça fait plaisir à entendre. Nous sommes presque arrivés à bonne destination. Plus que quelques mètres avant d’arrêter la voiture. Il me remercie puis il me demande :



Aïe, je crois avoir trop bien réussi. J’espère qu’Alex ne sera pas un pot de colle. Regardant droit devant moi, je crois que j’ai trouvé une solution à mon problème. Elle arrive à grands pas vers nous. Je pointe du doigt la nouvelle venue :



À regret, il sort du véhicule en me remerciant une fois de plus. Tandis que la jeune fille se jette presque sur lui pour l’entraîner loin de la voiture, je démarre tout en faisant un petit signe de la main. Faisant cela, la jeunette m’a balancé un sacré regard très méchant. Je sens qu’Alex va devoir répondre à certaines questions !


Du coin de l’œil, je vois le couple devenir de plus en plus petit dans mon rétroviseur.




Home, sweet home



Un quart d’heure de route plus tard, j’arrive chez nous, en pleine campagne. Je constate que mon mari est déjà sur place. En ouvrant la porte, à l’odeur qui flotte dans l’air, je devine que mon mari est en train de préparer le repas du soir. Très bonne initiative !


D’un pas décidé, j’entre dans la cuisine, en lui adressant un joyeux :



Mon mari s’affaire sur le plan de travail. Nous nous bisoutons du bout des lèvres. Quand nos bouches se séparent, je réponds d’un air mutin :



Tout en hachant des échalotes, Gilles répond calmement et naturellement :



Il s’approche de moi afin de m’enlacer :



La suite me prouva que oui !