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Réserve Cousteau et chaleurs intenses

Nous sommes des amateurs de plongée sous-marine et nous venons de passer un après-midi magnifique de plongée bouteille au sein de la réserve Cousteau. C’est notre premier voyage depuis notre mariage et la naissance de notre garçon. Nous avons vingt-cinq et vingt-six ans et nos entreprises respectives nous permettent ces dix jours de plaisir. Sophie est rayonnante. Sa peau est déjà ambrée. Sa grossesse n’a pas laissé de trace et son corps de sportive a retrouvé ses douces courbes. Seuls les seins ont pris un peu de volume lui donnant un magnifique décolleté quand cela est nécessaire.

Nous avions réservé au club de plongée de la Fédération française, qui bordait la plage. Durant l’après-midi nous avons réalisé deux plongées à partir d’un bateau que possède le club. Le soleil est beau, l’eau est claire, le diving-master compétent et le matériel de qualité. Les combinaisons sont fines, car même à vingt mètres, la température reste agréable. De plus, à chaque fin de plongée, nous sommes accueillis sur le bateau, avec un bon verre de punch.

De retour sur la plage, malgré la fatigue et l’alcool, nous aidons à descendre les bouteilles. Puis nous nous installons sur nos serviettes afin d’enlever les combines. Je termine cet exercice rapidement en portant ma combine dans les bacs de rinçage qui se trouvent devant le club. En regagnant notre emplacement, je vois Sophie se débattre avec sa combinaison. Elle a enlevé le haut et se trouve seins nus devant un parterre de deux locaux qui ne ratent rien de ses efforts et en rient beaucoup. Sophie, un peu grise, rit également. J’ai pitié de ses mouvements désespérés et je l’aide à descendre sa combine le long son ventre puis de ses cuisses.

Mais j’ai décidé d’offrir un spectacle à nos deux admirateurs et en passant au niveau des hanches de Sophie j’entraîne les ficelles de son string noir. Elle ne se rend pas compte qu’elle se trouve la foufoune exposée aux regards explorateurs des deux noirs. De plus Sophie a complètement rasé son ticket de métro pour avoir un sexe parfaitement lisse afin de pouvoir mettre les strings minimalistes qu’elle a achetés pour notre voyage. Elle a eu recours à une marque australienne (ww) qui a une gamme étendue de bikinis très coquins.

Devant les regards pétillants des deux jeunes hommes, elle se rend compte qu’elle est plus que nue et glisse pudiquement une main devant son pubis et éclate de son rire clair et érotique. Je pensais qu’elle allait s’enrouler dans sa serviette de plage, mais pas du tout. Comme elle doit encore se débarrasser de la combine au niveau des jambes, elle s’assoit sur le sable noir en écartant les jambes pliées afin de tirer sur le vêtement récalcitrant. Elle se retrouve de ce faite exposant sa délicate petite chatte toute rose, cuisses écartées aux deux chanceux. Dès le dépeçage achevé, elle s’empresse de remettre son string puis fait un mouvement de la main en secouant son index et en disant « petits coquins » à l’attention de ses admirateurs.

L’évènement clos, j’amène également la combinaison de Sophie dans le bac de trempage, puis je retourne vers nos serviettes. Là, ma chère est déjà allongée offrant son corps aux rayons ardents du soleil. Je m’allonge à mon tour. Sophie me réveille peu de temps après pour me dire qu’elle allait prendre une douche aux sanitaires proches, car le sel lui donnait des démangeaisons sur la peau. Je sombre à nouveau dans une douce léthargie que l’on ressent après l’effort des plongées et l’action du rhum. La soif me réveille et je me rends compte que le drap de bain de ma jeune épouse est déserté. Je me redresse afin de voir où se trouve Sophie.

Je remarque le bloc de béton où doivent se trouver les douches. Je contourne cet affreux cube gris et je m’engage entre le paravent en béton qui sépare les douches du parking. Je trouve Sophie, bras tendus, le buste penché horizontalement, en appui sur le mur rugueux. Derrière elle s’agite un beau et grand jeune homme noir que je reconnais comme un des deux voyeurs. Son sexe sort et entre frénétiquement de la vulve de Sophie qui marque chaque coup de boutoir d’un souffle violent. Son string est décalé sur sa fesse, sa serviette est par terre. Ses seins se balancent au rythme des coups de reins. Je suis sidéré et envoûté. Le spectacle est magnifique. Les deux corps sont mêlés et semblent en osmose parfaite. Les souffles sont courts, ensorcelants. Un bruit de clapotis accompagne chaque coup de reins.

L’émotion me ramène au jour ou Sophie s’était donnée à Hervé sur une plage de Vendée. La magie est toujours là, l’excitation aussi. J’entends les voitures passer à quelques mètres derrière le mur de béton. Les piétons discutent en passant le long du mur. Quelle situation incroyable !

Dans un râle, le jeune homme se vide dans le ventre de Sophie dont les jambes tremblent. Il donne encore quelques coups de reins puis son membre sort de la chatte de Sophie, en perdant à peine de sa superbe. Sophie tourne la tête et m’aperçoit. Son visage est marqué par la jouissance qu’elle vient d’avoir. Et soudain je suis bousculé par une énorme masse qui me plaque contre le béton, en me dépassant. Je vois cette baraque étendre son bras sur Sophie pour la recourber à nouveau. Il ouvre son short, se glissant derrière ma femme et enfonçant un sexe sombre et dur dans la chatte à peine désertée. Sophie a le souffle coupé et me regarde les yeux écarquillés de surprise. Elle a un mouvement de défense en tentant de repousser ce corps immense avec un bras. Mais l’homme enchaîne des va-et-vient puissants et profonds.

Soudain le corps de Sophie s’anime et se met à onduler. Ma femme semble en apnée, cherchant son souffle en vain. Homme la pistonne sans pitié sans s’occuper du plaisir de Sophie qui anime maintenant les hanches. D’un seul coup, l’homme s’enfonce au plus profond du ventre de mon épouse en grognant et se vide en elle, en la tenant fermement aux hanches. Sophie pousse un soupir et reprend goulûment son souffle. La vision est hypnotique.

L’homme s’écarte et referme son short et me faisant un geste de la main pour me signifier que le coup était bon et que la place était libre. Je suis pétrifié et incrédule. Sophie s’appuie contre le mur pour reprendre pied dans la réalité. Elle glisse la main derrière elle pour remettre son string en place, ramasse sa serviette me prend par la main et m’entraîne vers la plage où nos draps de bain nous attendaient. Elle est épuisée, mais rayonne de plénitude. Nous nous allongeons et elle se love tout contre moi. Je la prends dans les bras et je l’embrasse tendrement. Je crois que les vacances vont être très chaudes ! La plongée sous-marine est vraiment une activité passionnante.

La soirée approche et nous nous préparons à reprendre la route vers notre hôtel. Debout Sophie enfile sa petite robe de plage et tout naturellement glisse sa main en dessous et dénoue le lien de son string pour l’enlever et le glisse dans le sac de plage. C’est cul nu qu’elle rejoint la voiture sur le parking. Le geste n’a pas échappé à son premier baiseur. Il nous rejoint souriant et donne un carton d’invitation pour une soirée. Nous serons ses invités ! En partant, il passe sa main sous la robe de plage de Sophie et lui flatte doucement les fesses sans égard aux touristes, nombreux sur le parking.