Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20020Fiche technique12602 caractères12602
Temps de lecture estimé : 8 mn
20/01/21
Résumé:  Comme chaque samedi matin, Corinne est en train de faire le ménage. Mais Christophe, son mari, a une idée derrière la tête...
Critères:  fh couple miroir noculotte fellation pénétratio humour -couple
Auteur : Jacquou      Envoi mini-message
Scène de ménage




Samedi était, comme chaque semaine, le jour de ménage de Corinne. À peine son petit-déjeuner avalé, les cheveux réunis en chignon et sans se départir de sa tenue de nuit, elle empoignait son aspirateur et entamait un nettoyage en règle de l’appartement, profitant de l’absence de sa fille, en cours le samedi matin, pour rendre sa chambre présentable. Salon, salle à manger et cuisine suivaient. En attendant que Christophe, son mari, libère la salle de bains pour qu’elle y fasse régner sa tornade blanche, elle se consacrait à la chambre parentale. Après avoir passé à nouveau l’aspirateur sur la moquette, elle s’apprêtait à changer les draps du lit conjugal quand Christophe apparut, nu et à peine séché, au sortir de la douche.


Corinne était alors penchée en avant sur le lit et Christophe eut sous les yeux une double scène qui entraîna illico un début d’érection. La chemise de nuit courtibus de Corinne était remontée jusqu’à la raie de ses fesses tandis que le miroir de l’armoire à glace de l’autre côté du lit renvoyait l’image de deux seins pendants découverts par le décolleté plongeant de la nuisette. Corinne poursuivait sa tâche sans la moindre conscience de l’érotisme qu’elle dégageait aux yeux de son époux, qu’elle-même aurait sans doute jugé comme une indécence involontaire.


Aussi marqua-t-elle une vive surprise quand Christophe posa une main fébrile sur son fessier rebondi :



Au lieu d’obéir, Christophe glissa un doigt entre les cuisses légèrement écartées et atteignit la fente où il s’attarda, provoquant un sursaut de la récipiendaire :



C’est alors qu’elle prit conscience que Christophe était nu, et commençait à bander sérieusement :



Corinne resta coite. Elle savait d’expérience que quand Christophe avait cette idée derrière la tête, elle aurait du mal à la lui enlever. Elle considéra sa queue dressée, réfléchit quelques secondes et lui dit :



Corinne s’assit sur le lit encore défait, considéra le pénis déjà bien érigé de son mari et comme envisagé, posa ses lèvres sur le gland.


Que se passa-t-il alors dans son esprit ? Contrairement à ce qu’on aurait pu croire en lisant le début de cette saynète, Corinne n’était pas une « coincée du cul ». C’était même tout le contraire. Et Christophe était le mieux placé pour le savoir. Toujours est-il que les lèvres, d’abord fermées, s’ouvrirent peu à peu au contact du gland. Celui-ci finit par entrer au contact de la langue puis carrément des joues et le bisou se transforma en pipe authentique. Corinne pompait avec ardeur, avec encore l’idée qu’elle ferait éjaculer son mari dans sa bouche (ce qu’elle appréciait) et qu’ensuite, elle pourrait vaquer normalement à son ménage, son mari étant apaisé et sans doute satisfait. Il empaumait ses seins pendant qu’elle l’astiquait, ce qui lui produisait, elle devait bien l’admettre, un authentique plaisir sexuel, de sorte qu’elle y trouverait aussi son compte, dans cet impromptu buccal.


Mais voilà que Christophe se retira de sa bouche, toujours au garde-à-vous, prit la nuisette par le bas et la fit passer par-dessus la tête de Corinne qui se retrouva complètement à poil :



Corinne avait encore le choix de regimber, d’évoquer son ménage, de son absence de toilette et d’un manquement à l’engagement initial. Mais il s’était passé quelque chose dans la partie de son cerveau consacrée au sexe, sans doute en raison d’un contact prolongé entre sa bouche et le gland survitaminé de son mari. Toujours est-il qu’elle se mit, sans protester, à genoux en travers du lit, face à l’armoire à glace comme l’avait demandé Christophe, et attendit la pénétration en bonne et due forme qu’elle n’avait pas demandée mais que son antre intime, très échauffé, réclamait ardemment.


Quand Christophe s’enfonça en elle, elle fit « ha ! » et la glace lui renvoya l’image de son visage éclairé par un sourire. Aux poussées rectilignes du mâle répondirent des circonvolutions de hanches de la femelle, tant et si bien que le couple se mit à baiser franchement et résolument. Christophe lui empoignait fermement les hanches, accompagnant leurs mouvements tantôt rectilignes, tantôt rotatoires, et ne fut pas surpris de sentir la main de Corinne lui attraper les couilles. C’était son habitude quand il la prenait en levrette. « Et voilà, elle baise maintenant », se dit-il, non sans éprouver une satisfaction toute masculine. Il lui fallait juste « assurer » maintenant, car Corinne n’était pas du genre à se contenter d’une dizaine d’allers-retours. Elle le lui exprima d’ailleurs franchement quand, après qu’il se fut détaché d’elle, elle s’allongea en se tenant les chevilles ouvertes dans un angle à 45° :



Christophe n’en demandait pas plus. Corinne était à l’opposé d’une planche à pain. Il lui fallait du mouvement, de la virulence, du vrai travail de bite. Il fallait que sa peau remue des seins à l’abdomen. Et Christophe aimait par-dessus tout observer la houle de ses larges nibards quand il cognait dur. Il aimait tout autant l’entendre crier de plaisir et de fait, dès qu’il asséna ses coups de boutoir dans le compas grand ouvert des cuisses, Corinne se mit à vocaliser. C’était fort, c’était cru, c’était inaudible aux oreilles chastes et mêmes féministes, car Corinne célébrait son travail de mâle en rut. Le mot « bite » revint plusieurs fois dans sa bouche parmi divers adverbes évoquant la répétition, la durée et la raideur. En la circonstance, elle se fichait complètement de son ménage interrompu. Tout ce qui l’intéressait était ce qui se passait dans son bas-ventre. De quoi survolter Christophe qui lui empoignait les cuisses tout en lui offrant les rafales de coups de queue auxquelles elle aspirait, et qui la conduisirent à un premier orgasme lui mettant la bave aux lèvres.




*******




Lorsqu’elle eut repris ses esprits, elle constata avec satisfaction que son mari n’avait pas éjaculé et lui offrait toujours une érection considérable. Elle la saisit entre deux doigts et la porta à sa bouche une nouvelle fois en levant les yeux vers les siens. Il y lut encore du désir et de fait, elle l’apostropha :



En travers du lit et face à l’armoire à glace, elle s’empala lentement et entama sa chevauchée avec une telle amplitude que son abdomen frôlait parfois le nombril de son mari-amant. Elle s’observait en même temps dans la glace, histoire de vérifier si sa plastique était bien à la hauteur de ses sensations. Elle trouva ses seins encore bien accrochés, son ventre un peu trop bombé et un rictus dans le plaisir qu’elle jugea déplacé : « j’ai une drôle de gueule quand je baise », se dit-elle et elle remplaça le rictus par une langue entre ses lèvres.


En revanche, quand elle se mit sur ses pieds pour rendre la pénétration encore plus efficiente, la vue du pénis long et rigide entrant en cadence dans son antre intime lui procura un plaisir visuel particulièrement jouissif. En la circonstance, la vision rejoignait la sensation. Malgré la douleur dans ses cuisses, elle demeura plusieurs minutes dans cette position pour profiter pleinement de son propre spectacle, observant en même temps le balancement de ses seins lourds et l’expression extasiée de son visage.


Elle avait alors la franche impression que c’est elle qui baisait Christophe, ce que l’intéressé aurait vigoureusement démenti. Il aurait affirmé que son épouse, pourtant rétive une demi-heure plus tôt, prenait son panard grâce à sa queue et qu’il avait bel et bien réveillé la petite cochonne qui sommeillait toujours en elle. C’était toujours pareil : elle faisait des manières, opposait des arguments fallacieux, déplorait ses attitudes de mâle et une fois sa pseudo résistance vaincue, l’adjurait de la faire jouir, plusieurs fois de préférence, en le menaçant de représailles s’il se montrait insatisfaisant. Ce qui n’arrivait évidemment jamais.


Le pal rectiligne que Corinne lui imposait et la vision de son corps en ébullition menaçait de le faire éjaculer. Aussi la bascula-t-il sur le dos. Il ignora la menace dans les yeux de son épouse, qui craignait un « coïtus interruptus », et la fit languir un peu en lui taquinant la vulve du gland, sans la pénétrer. Il résista sans peine à la pression de ses talons dans ses reins, négligea ses apostrophes impatientes et lui glissa en la regardant droit dans les yeux :



Une virulente poussée de ses talons faillit engager le gland dans la fente, mais il résista encore, demeurant juste à l’entrée et Corinne s’exclama :



Alors, Christophe lâcha les chevaux comme l’aurait fait le conducteur d’un bolide et s’enfonça jusqu’à la garde. Corinne poussa un soupir d’extase et accompagna les coups de reins de son mâle d’ardents levers de cul, entraînant un chahut du lit qui le déplaça de plusieurs centimètres. Posé sur ses bras, verrouillé par les jambes de son épouse, Christophe creusa d’un rythme d’abord moderato puis allegro et enfin staccato tandis que Corinne lui griffait la peau des épaules, des flancs et des fesses. C’est le contact des ongles sur son cul qui le fit éjaculer, incapable de résister à un tel enthousiasme sexuel de celle qui partageait sa vie.


Corinne lâcha ses reins pour poser les pieds sur le lit et lui renvoyer la balle, cambrée en arc de cercle, jouissant bruyamment, les yeux vitreux et la bouche béante. Les deux corps en fusion reprirent peu à peu une température normale, sans se détacher immédiatement, et Christophe bascula sur le côté, la queue flapie, tandis que la fente de Corinne dégoulinait d’une substance blanchâtre qui tacha aussitôt le lit défait. Elle devrait changer les draps, signe que la ménagère prenait déjà le dessus sur l’amante. Néanmoins, elle embrassa son mari et lui adressa ces mots :



C’était une matinée d’un samedi somme toute ordinaire dans la vie d’un couple à la vie sexuelle active, épanouie, jouissive, sans pour autant qu’elle soit criée sur les toits. Un couple qui, l’âge aidant, s’est mis à baiser tout en faisant l’amour.