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n° 20023Fiche technique16220 caractères16220
Temps de lecture estimé : 9 mn
21/01/21
Résumé:  Un homme raconte comment il a osé proposer une sorte de strip-poker à une jeune femme un peu grosse et pas très sexuelle.
Critères:  fh hplusag gros(ses) groscul strip fmast massage caresses fellation cunnilingu préservati pénétratio jeu -jeux
Auteur : El Blanco-y-Negro      Envoi mini-message

Série : Un jeu coquin

Chapitre 01 / 03
Un jeu coquin

À quarante ans, dans mes heures dispo, je m’occupe d’une association prônant «le jeu dans tous ses états». J’ai toujours été un homme joueur !


Lors de la journée des assos l’an dernier, une toute jeune femme de vingt et un ans s’est inscrite en tant que bénévole. Nous manquions d’une secrétaire, alors Manon s’est impliquée de manière importante.

D’humeur joyeuse et pétillante, elle est de taille moyenne, brune aux cheveux longs, un joli visage, mais elle porte vraiment des kilos en trop. Essentiellement sur ces hanches girondes et ses fesses rebondies.

Avec nos nombreuses activités, nous sommes amenés à nous voir. À beaucoup faire jouer les gens et rire ensemble. De prendre des cafés avant ou après les programmations.


Cela fait deux ans qu’elle est avec un gars, son premier mec, un peu plus vieux qu’elle. Cela ne va pas fort, les marques de tendresse et de désirs sont rares. Une sexualité basique, toujours la même, rapide et peu fréquente. Au début elle pensait que cela viendrait, puis elle s’en contente tout à fait. Elle n’est pas portée sur la chose, de ce qu’elle peut en dire.


Elle a une passion pour les séries, sa préférée du moment est Stranger Things.

En ce mois de juillet, nous avons beaucoup de dates et nous passons nos journées ensemble.


Manon assume ses formes, car elle s’habille souvent très près du corps. Des tee-shirts ouverts devant, ou des brassières, des leggings serrés. Des culottes moulantes de type tanga qui accentuent encore les rondeurs typiques d’une femme fessue. Elle fait grosse donc, mais elle s’en fiche apparemment, ne cherche pas à plaire. Ou peut-être n’a pas conscience qu’elle peut être désirable.


Vous l’aurez compris, je craque sur son corps, sur ses hanches pleines que je rêve de saisir, de ses fesses grosses et rondes dont j’ai bien du mal à détacher mon regard. Et puis j’aimerais vérifier son inappétence au sexe.


Après un après-midi d’animation de jeux dans une fête de village voisin, je l’invite à boire l’apéro chez moi. Je suis un homme divorcé, un enfant en garde alternée. Je vis seul une semaine sur deux dans une petite maison.


On est assis sur un grand tapis. Plateau apéro devant nous. Je me suis habillé chaudement chaussettes basquets, pantalon tee-shirt, bagues et chaînes, on ne sait jamais si elle accepte. Manon, elle est en legging noir tee-shirt blanc, comme d’hab’ !


C’est 19 h, on vient de boire un pastis, elle attaque son deuxième, avec de la grenadine. Alors je lui propose de jouer à « strip-questions » sur sa saga préférée.

J’ai trouvé plein de questions, l’occasion de bien rire. Elle sourit et me dit que je vais être vite à poil. J’ai sur mon ordi une trentaine d’énigmes sur les trois premières saisons. Certaines normales d’autres difficiles. Une dizaine très, très dures.


On commence.

Je perds les cinq premières.

C’est que Manon est réellement très forte. Très sûre d’elle, Onze et Mike n’ont aucun secret pour elle. Et connaît même la vie des acteurs.

Les dix fois suivantes, elle va perdre quatre fois et moi encore six fois.

Rires, dévêtissements.

Bref, j’ai suffisamment bien œuvré, car je suis en boxer et elle en tanga et soutien-gorge. Quand, à la question suivante elle perd, elle enlève sans sourciller son soutien-gorge. J’avais bien tenu jusque-là, mais devant ces petits seins fermes, en pomme, d’un blanc laiteux, de très beaux tétons avec leur belle auréole, je me mets à bander sérieusement.


Avec les biscuits apéritifs, une troisième tournée de pastis est vite descendue.

Je repose une question dont elle trouve la réponse. Elle exulte, la victoire triomphale et exige la chute du boxer.

Je respire, on y est.

Je l’enlève, ma queue est raide comme un piquet. Mon sexe n’est pas très long, mais épais, joliment nervuré. Elle y jette un coup d’œil appuyé. Moi je fais mine de me resservir et lui annonce la question suivante.

Une très dure bien sûr.

Elle perd. Va-t-elle arrêter le jeu ?


Elle s’exécute sans broncher et tombe son tanga noir à dentelles. Nous sommes mi-assis en face de l’autre. Je regarde avec délice sa petite touffe brune, une longue fente bien dessinée par des lèvres fermées et serrées dont l’onctuosité ne fait aucun doute. Je peux même voir son clitoris encapuchonné.

J’ai l’impression que ma queue va exploser !

Me sortant de ma torpeur, elle me demande une autre question.


Je propose que le perdant fasse trois minutes de massage crânien à l’autre.



Question normale. Elle gagne.

Mes mains glissent sous ses cheveux. Délicatement, puis de plus en plus appuyées. Mes doigts appuient plus fortement sur le crâne, effectuent une rotation. Elle respire, je sens qu’elle aime beaucoup, elle se relâche. La musique de l’alarme sonne.

Je retire doucement mes mains.



Massage de la poitrine pour le perdant.

Elle gagne encore et s’allonge, pour recevoir sa récompense. Au fond de moi, je suis scié ! Cette jeune femme peu encline aux câlins dans son couple se prête au jeu jusque-là.

Je mets le chrono en route et mes mains prennent possession de son ventre, de ses côtés puis caressent ses seins. C’est léger, contournant, frôlant, cajolant. Mes doigts s’amusent d’un sein à l’autre. Juste les dernières secondes se montrent plus sexuelles en se concentrant sur les tétons. Que je caresse de manière circulaire avec la paume de mes mains. Déjà un peu tendus, ils durcissent encore davantage, ils sont magnifiques.


Fin du gage. Elle se redresse.

Je bande comme un fou, et être tout près d’un homme qui la désire follement ne semble pas la déranger. Et je n’aurais jamais parié dessus. Ou alors c’est le pouvoir du pastis ! Elle se rassied en tailleur en face de moi, m’offrant une merveilleuse vue de sa chatte qui semble s’être un peu ouverte et qui brille à présent. Sait-elle combien elle est sexy ?

Je choisis d’aller plus loin dans le risque.


J’annonce que le prochain qui perd doit masser avec sa bouche le corps de l’autre.

La question n’est pas si difficile, mais elle perd. Je m’allonge et fais partir le chrono de cinq minutes. Je la regarde se pencher sur mon torse, elle pose sa bouche. Qu’elle laisse aller d’un côté et de l’autre. Puis elle descend sur mon ventre. Elle embrasse ma peau.

Ma queue à un moment touche sa joue. Elle se tourne vers ma colonne érigée, la regarde puis sort sa langue et la lèche. Petites léchouilles sans timidité à sa base. Puis sa langue vient cueillir les gouttes de rosée au bout du gland. Sans crier gare, elle l’embouche. Putain ! Elle cachait bien son jeu ! Sa langue continue à tourner autour de mon gland, avec douceur et dans un rythme lent. Elle joue avec mon gland, je vois son sourire à me faire haleter.


Alarme qui sonne, bien trop vite à mon goût ! Elle fait trois ou quatre descentes très appuyées le long de ma verge, puis la relâche d’un claquement de bouche. Ainsi donc, Manon, tu sais y faire !

Très vite, contente d’elle, elle demande la question suivante.



Elle sourit. Et donne la réponse gagnante.

Aussitôt allongée, je m’installe entre ces jambes. Je triche un peu en mettant mes mains positionnées autour de son sexe, en tirant un peu de chaque côté de manière à écarter doucement sa vulve. Je la regarde briller, je crève d’envie d’en prendre possession, de la goûter, de recueillir son jus nacré.


Alors ma langue se pose sur son abricot. Fait connaissance avec grandes et petites lèvres, délicatement. Puis elle vient lécher toute la fente de bas en haut.

Tantôt sans appuyer, tantôt en profondeur, tantôt plus fort. Ma langue est gourmande et comme si elle léchait une glace, elle continue encore et encore son mouvement appliqué. J’aime son goût, j’adore la jolie forme de ses lèvres, leurs textures.

Je viens enfin embrasser son clitoris. Gardé dans ma bouche, je le suçote, le titille, le lèche dans un sens et dans un autre. Il grossit et c’est à mon tour de jouer à l’exciter ardemment.


L’alarme sonne, j’arrête à regret, mais c’est le jeu. Car, oui, c’est parce que c’est sous forme de jeu que nous sommes elle et moi arrivés jusque-là.

Nous nous rasseyons, ses joues sont rouges, son regard trouble. Visiblement, cette dernière partie l’a secouée.


J’annonce la prochaine partie : le perdant masse les fesses de l’autre.

J’espère qu’elle va perdre ! La question est facile, elle répond en s’allongeant, sûre de recevoir son gain.

Je glisse un gros et moelleux coussin sous son ventre. Je lui écarte doucement les jambes, mais suffisamment pour m’asseoir entre elles, très rapproché de ses hanches. Ses cuisses reposant sur les miennes. Une position très proche et fort osée, mais elle joue le jeu.

Je triche à nouveau en mettant dix minutes au chrono.


Si vous avez été à ma place à cet instant, vous savez que la vue d’ici est extraordinaire, et terriblement excitante. Ses fesses charnues sont sous les mains, le sillon légèrement écarté montrant son petit trou. Et en dessous, sa fente grande ouverte, appelle à ce qu’on s’occupe d’elle.


Mes mains sont expertes et décidées, je caresse les globes fessiers, l’un puis l’autre. Je me délecte à longer les sillons qui forment leur si bel arrondi. Puis chacune de mes mains se saisit d’un rond fessier. Elles sont grosses et mes mains ne suffisent pas. Je presse. J’enserre. Et tandis que j’exécute un mouvement en rond, d’ouverture et de fermeture de chaque main, mes pouces prennent possession des grandes lèvres. De chaque côté, je monte et descends. J’adore ce que je suis en train de faire, je pétris ces fesses bandantes et mes pouces font un doux et puissant ravage autour et dans sa vulve.


Je continue encore et encore. Mes pouces sont entrés et ce sont les petites lèvres qui subissent leurs descentes et montées inlassables. Je me demande si elle est une femme fontaine, car elle coule littéralement sur le coussin. Pas grave, je le mettrais en machine demain ou garderai son odeur en souvenir !

Elle agite ses fesses, à présent, les poussant en arrière, pour aller à la rencontre de mes mains de manière plus forte. J’accentue encore la pression de chacun de mes doigts sur ses fesses et sur sa fente. Son visage sur le côté révèle toute la tension qui la traverse, ses yeux sont plissés, sa respiration saccadée.


Fin du temps. Mes doigts stoppent leur mouvement, mais restent en contact avec la chair, dans l’humidité.

Je crève d’envie de la pénétrer, je crois sentir que c’est réciproque. Son sexe palpite. Mais le jeu doit continuer ! Je change de position et me rassieds. Ma queue me fait mal tellement je bande fort.

Manon se lève péniblement. N’ose pas me regarder dans les yeux, mais elle fixe ma queue dressée avec insistance. La voudrait-elle plantée en elle ?


Mhmmm, quel moment délicieux !

Je lui dis que l’on peut s’arrêter là. Ou aller plus loin dans le prochain gage.


Toujours sans lever les yeux, elle demande quel serait-il.

J’annonce le gage : si elle gagne, elle vient me chevaucher en s’empalant sur ma queue ! Elle lève les yeux vers les miens et les siens s’agrandissent.

Si elle perd, je la prends en cuillère. Oui, je n’ose pas plus pour ne pas jouir trop vite, je sais à présent que quoi qu’elle décide, le jeu est gagné pour elle, comme pour moi.


Alors, elle prend la parole en continuant à soutenir mon regard et me dit :



Malgré l’extrême difficulté, elle se concentre et trouve la bonne solution.


J’enfile un préservatif tant bien que mal, je suis si dur et m’allonge près d’elle. Sans hésitation elle me chevauche, attrape ma queue et la place sous elle, à l’entrée de son antre sacré. Elle ne s’enfonce pas directement. Elle glisse tout doucement. S’arrêtant. Remontant et redescendant.


Je la regarde. Elle est très belle, avec ses rondeurs gourmandes. Je la trouve très sensuelle, même si je ne crois pas qu’elle le sache.


En prenant mon bâton tout entier en elle, elle se redresse et me regarde. Quelle puissance féminine se dégage d’elle ! Elle recommence alors à monter et descendre, et elle gémit à chaque fois. Elle prend son temps à chaque descente, elle m’avale complètement, me garde quelques secondes en elle, avant de remonter. C’est divin ce qu’elle se fait ; ce qu’elle nous fait !

Elle se penche alors vers moi, m’embrasse passionnément. Ses mains prennent appui de chaque côté, ainsi penchée, ses seins sont à portée de ma bouche et je ne me prive pas de mon plaisir à les embrasser, à suçoter ses tétons, les aspirer.


Ses mouvements sont devenus plus amples, une de ses mains est allée se poser sur son clitoris. Je peux voir avec quelle force elle le malmène. Deux doigts le frottent puissamment.

Depuis que je m’occupe de ses tétons, ses gémissements ont pris du volume.


Quand d’un coup tout se cambre en elle, ses jambes m’enserrent, elle se redresse, sa tête part en arrière, ses cris de jouissance emplissent la pièce. Mon ventre et mes cuisses sont trempés, mais je crois qu’ils l’étaient déjà depuis quelques minutes.

Mes mains n’ont pas quitté son corps et je continue à le caresser avec douceur.


Elle reprend ses esprits, vient m’embrasser intensément. Et sa main attrape ma queue pour la replonger en elle. Elle est penchée sur moi, mes mains se saisissent de ses fesses. Et c’est moi qui mène la danse à présent. Je remplis son vagin par des vigoureux coups de hanche.


Nos regards se croisent, restent enlacés. Je vois ainsi que ce qui la traverse est intense.

Elle lit dans les miens combien c’est délicieux pour moi de la prendre, combien j’en envie d’elle.

Cela fait quelque temps que je n’ai pas fait l’amour, alors mon orgasme arrive ainsi : mes mains chopant ses fesses, ma queue soubresautant longuement, nos regards entremêlés.

Au bout de quelques instants, elle change de position pour venir s’allonger près de moi. Apaisés de toute cette tension que nous avait offert ce jeu, elle m’avoue que pour elle, c’était comme si c’était la première fois qu’elle faisait l’amour.


Je partage à mon tour mon attirance pour elle, et combien j’ai aimé la sentir présente, joueuse, libérée.

Ce à quoi elle répond :



Je crois voir qu’elle rougit un peu de ce qu’elle vient de dire.

Elle se rhabille rapidement, finit son verre, m’embrasse tendrement sur la joue puis s’en va, sans plus d’autres mots prononcés.

Autant j’avais préparé les questions, autant les gages me sont venus au fur et à mesure.

Alors oui, je ne compte pas du tout attendre et déjà mon cerveau et mes fantasmes se connectent pour une prochaine fois.


Des idées très coquines, j’en ai ! Mais vais-je y aller tranquille ou puis-je oser vraiment ?



Suite au prochain épisode…