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n° 20030Fiche technique9573 caractères9573
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/01/21
Résumé:  Pendant les vacances, un couple invite une amie pour la durée d'un week-end. Les femmes partent en balade, à bicyclette, quand elles se font surprendre par un orage. Elles rejoignent la location en catastrophe, complètement mouillées.
Critères:  fh ffh fbi vacances amour voir hmast caresses intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio init -couplea3
Auteur : Gem      Envoi mini-message
Souvenir d'été. L'orage.

Nathalie avait invité, pour un week-end et histoire de changer ses idées, son amie Julie, récemment larguée par son copain, dans notre location d’été. Une petite maison, aux volets bleus, idéalement située, sur une île, à dix minutes, seulement du continent.


Les femmes, par ce ciel bleu, voulaient, ce jour-là, sillonner, à vélo, les ruelles de l’île, jusqu’au phare. Je déclinai l’invitation, préférant une bonne farniente, avec un bon bouquin sur le transat, aux exploits sportifs en plein soleil.


Je savais aussi que les deux amies aimaient se retrouver seules pour échanger leurs secrets féminins. Ce qui a dû être fait, dans les rues étroites, bordées de maisons de pêcheurs.


Les voilà parties depuis une heure, mais au fil des minutes, le ciel s’assombrissait. On m’avait prévenu qu’en cette région de France, le temps changeait vite. Quelques grosses gouttes commençaient à tomber. Je m’abritai sur la terrasse couverte. La pluie d’orage se faisait violente, à présent. Dans quel état, allais-je retrouver les deux amies et complices ?


Des rires me tirèrent de mes pensées. Les deux bicyclettes furent jetées, avec précipitation, sur la pelouse, près des hortensias. Les deux amies, trempées des pieds à la tête et cheveux collés aux tempes, passèrent, toujours en riant, devant moi en me lançant :



Une belle image me restait, dans cette cavalcade : c’est le ballottage de leur poitrine, libérée de tout soutien-gorge, aux mamelons dressés, sous leur tee-shirt mouillé.

Les rires retentissaient toujours aussi forts dans la chambre où elles avaient trouvé refuge. Puis soudain le silence, excepté la pluie sur le toit.

Par curiosité, je m’approchai de la pièce. Comme fait exprès, la porte était entrouverte. Je risquai un œil.


Nathalie, entièrement nue, était plantée derrière sa copine, aussi nue qu’elle. Les vêtements trempés étaient à leurs pieds. Ma femme roulait par gestes rapides, à l’aide d’une serviette éponge, les longs cheveux bruns de son amie.

Julie était plus petite que ma femme, plus ronde aussi, avec une poitrine avantageuse. Elle avait le teint mat qui, associé à sa voix italienne, soupçonnait des origines latines.


La serviette tomba à terre rejoindre les vêtements. Julie se retourna et fit face à Nathalie qui la poussa en arrière sur le lit en lui lançant :



Dans un premier temps, surprise, son amie se décontracta ensuite, allongée sur le dos, bras écartés sur la couette moelleuse.


La langue de Nathalie commença par le haut d’un sein et descendit carrément sur le téton déjà dressé. Puis elle lécha les deux globes parfaits de Julie qui commençait à gémir doucement.


Mon excitation de voyeur montait. Je sentais une bosse se former dans mon pantalon.


La langue de ma femme continuait son chemin : son ventre, son nombril, puis sa toison très peu fournie. Les jambes de Julie étaient déjà écartées et pendaient le long du lit. La tête de Nathalie s’y enfouit. D’où j’étais, je pouvais apercevoir ses lèvres sucer le clitoris et sa langue disparaître dans le vagin. Les gémissements de Julie s’accentuaient, surtout quand Nathalie lui enfonça deux doigts, tout en continuant à lui lécher son petit bouton d’amour sûrement tout érigé.


J’en pouvais plus. Je sentais mon sexe dur comme du bois, mon pantalon prêt à craquer.


Le corps de Julie s’arc-bouta. Puis elle partit dans une jouissance illimitée. Elle s’affaissa sur la couette, le plaisir assouvi.


Pour ma part, un de mes fantasmes venait de se réaliser : voir deux femmes faire l’amour.

Mais, je n’étais pas au bout de mes surprises. Nathalie se redressa, invitant Julie à faire autant. Elle enfonça doucement dans la bouche de son amie, ses doigts pleins de cyprine. Sa langue les remplaça et elles partirent dans un long baiser fougueux.


Julie voulait à son tour, goûter aux seins de ma femme. Une fois les pointes bien excitées, Nathalie posa la main sur la tête de Julie et l’incita à aller plus loin. Elle s’agenouilla devant son sexe. Nathalie écarta les jambes et un bruit de succion me renseignait sur les coups de langue de sa copine.

Nathalie, toujours les mains sur les cheveux de son amie, fermait les yeux, appréciant, sans aucun doute les caresses buccales de Julie.

Quand elle rouvrit ses yeux, c’était pour les planter dans les miens. Sur le coup, mon rôle de voyeur me gêna, jusqu’à ce qu’elle me sourit en me faisant un clin d’œil, ponctué d’un signe de la tête, m’invitant à les rejoindre. Je suis sûr qu’elle savait depuis le début ma présence.


Tout cela était trop beau et en y réfléchissant maintenant, je me demande si ce n’était pas manigancé, prémédité par les deux femmes sur leur vélo. Nathalie connaissant très bien mes fantasmes.


En très peu de temps, je me retrouvai nu, la queue bien raide, devant les deux amies. Voyant Julie hésitante, Nathalie prit mon sexe d’une main, passa la langue sur le gland, avant de l’emboucher au plus profond. Je sentais bien la chaleur humide de sa bouche. Ses lèvres remontaient le plus lentement possible, le long de mon membre luisant de salive. Une fois ma verge libérée, Nathalie fixa Julie pour l’inciter à faire de même. Après une petite hésitation, elle m’emboucha à son tour. Sa langue roulait autour de mon membre. La fellation était différente, mais tout aussi bonne. À ce rythme, je me voyais mal, tenir longtemps. Les deux langues se mélangeaient sur mon sexe.


Nathalie, qui depuis le début semblait diriger les choses, se releva, s’allongea sur le lit et invita Julie pour un soixante-neuf. Devant moi se déroulait un rêve combien de fois répété. Les deux femmes se léchaient mutuellement. Des gémissements se mêlaient les uns aux autres. J’avais envie de prendre Julie. Nathalie avait tout fait pour. J’approchai ma queue de son sexe. Une main, celle de ma femme, la guida à l’intérieur de son vagin. Les parois douces, chaudes et humides accueillaient mon membre. Je glissais en elle. Après quelques va-et-vient, Nathalie me retira et me lécha le sexe plein de mouille. Tout s’enchaînait très vite.


Nathalie inversa les rôles. Elle dessus. Julie en dessous. À présent, j’entrais et sortais du sexe de ma femme, les yeux de Julie au plus près. Je sentais sa langue passer du clito de Nathalie à mon sexe. Je le retirais de temps en temps pour l’offrir à sa bouche. L’excitation était à son comble. Les gémissements devenaient plus forts. Le sexe de Nathalie se contractait autour du mien, elle jouissait. Je sentis mes testicules durcir et le liquide monter le long de mon sexe. J’éjaculai par longues saccades sur les fesses de Nathalie. Le sperme coulait le long de ses cuisses. Je vis une langue, celle de Julie, laper quelques gouttes.


Nous nous sommes effondrés tous les trois sur la couette, repus de plaisir.


Nous sommes restés un bon moment ainsi, allongés sur le dos. Nathalie avait le corps bien calé entre celui de sa copine et le mien.


Elle avait une main sur ma cuisse, son avant-bras touchant mon sexe, pas totalement dégonflé. Il lui fallut peu de chose pour qu’il reparte de plus belle. Du coin de l’œil, je voyais son autre main posée délicatement, sur le haut de la cuisse de Julie, ses doigts disparaissant entre les deux jambes, au ras de sa toison.

De temps en temps, elle prenait une profonde aspiration, faisant gonfler sa poitrine, et laissait repartir l’air tout doucement. Sa forte respiration montrait tout son bien-être du moment.


Cette situation que je partageais avec le même ressenti, m’invita, quand même à me poser des questions. Est-ce que c’était mon fantasme qu’elle avait mis à exécution ou le sien ? Ou encore celui de son amie Julie qui regardait le plafond, un peu comme dans la lune et avec un sourire empli d’aisance.

Je pense que nous étions satisfaits tous les trois de cette expérience qui semblait avoir été recherchée par chacun.


Julie se leva la première et s’enroula dans une grande serviette de bain. Nous la suivîmes tous les deux du regard. Elle disparut dans sa chambre et peu de temps après, on entendait l’eau de la douche couler.


Nathalie se retourna vers moi et, d’un doigt, caressa mes lèvres en me demandant :



Elle m’embrassa et se leva pour gagner la douche de notre chambre.


À la tombée de la nuit, nous étions tous les trois sur la terrasse, autour d’une bonne table. À croire que cette expérience sexuelle nous avait ouvert l’appétit. L’orage avait disparu et il faisait bon. D’ailleurs, je ne regarderai plus ces éclairs, ce tonnerre, ces averses soudaines comme avant. Il nous avait permis d’ouvrir une autre page dans notre vie sexuelle. Nos regards et nos sourires emplis de malice avaient fait place aux rires. Nous passions une bonne soirée, le cœur léger.