Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20047Fiche technique15218 caractères15218
Temps de lecture estimé : 10 mn
06/02/21
Résumé:  Fred fantasme sur Cécile-Marie qui l'emploie à domicile pour quelques travaux...
Critères:  f h fplusag travail cérébral revede exhib lingerie fmast hmast confession -mast
Auteur : Fredeau      Envoi mini-message
De solitude en flagrant délit

Solitude




Je travaillais sur un nouveau projet de travaux chez Cécile-Marie, elle appréciait mon travail et je suppose aussi ma compagnie. Elle m’avait laissé tout ouvert dans le garage et je pouvais entreposer mon matériel et chercher après des vis dans son stock, si j’en avais besoin.


Je fantasmais depuis quelques jours sur Cécile-Marie, depuis qu’elle m’avait révélé les « PC » Plans Cul… Cela m’avait mis dans un certain état d’incrédulité et de stupéfaction. Elle m’avait expliqué brièvement, tout en étant assez gênée également…


Sans savoir ce qu’elle ressentait pour moi, n’en ayant jamais parlé ouvertement et comme je suis de nature très timide avec les femmes… Je n’ai pas eu de retour sur ce que je pouvais penser de Cécile-Marie. Elle me plaisait. Elle a quarante-quatre ans, toute la force de son âge, l’Expérience surtout et je l’imaginais expérimentée avec un grand E. C’est cela qui m’attirait aussi beaucoup. Physiquement, elle n’avait pas besoin de faire beaucoup d’effort, elle était belle. Souvent, ses tenues me rendaient un peu foufou, intérieurement bien sûr…

Et quand elle se changeait pour venir bricoler avec moi… c’était tout aussi suggestif dans une certaine limite qu’imposait notre relation « amicale » entre un ouvrier et sa patronne !


Je me doutais bien qu’il pouvait y avoir le feu en elle. Mais toujours très respectueuse, elle n’a jamais cherché à me dévoiler quoi que ce soit. Elle ne m’a jamais chauffé non plus. J’appris plus tard, dans nos discussions par textos, qu’elle « bloquait » sur le fait que je sois marié.


Donc après la surprise des « PC », mon imaginaire se mit en route… Pourrais-je en être un aussi ?

Et voici ce qui aurait pu se passer, par exemple… Une situation fantasmée dans mon petit imaginaire…


Cet après-midi-là, Cécile-Marie s’absenta faire des courses et au détour du garage, j’ai trouvé, abandonné sur le sol du cellier, à proximité d’une machine à laver : un sous-vêtement féminin. Je fus pris d’un délire soudain et j’avais envie de libérer mon état d’excitation pour mieux travailler et m’évacuer mes pensées entre ma femme et Cécile-Marie.


En prenant le vêtement dans les mains, je découvris avec plaisir que c’était un beau tanga noir. Il était propre. Il sentait le produit de lessive.

Aurais-je voulu que cela sente Cécile-Marie ? Je pense… J’ai descendu un peu mon short et j’ai passé l’étoffe de sa lingerie sur mon sexe. Je me suis vite retrouvé avec le dard droit comme la justice, emprisonné dans la main.


Je me cachais le visage avec sa lingerie. Je me remplissais les narines des effluves de lessive provenant du tissu en imaginant bien ce que ce genre de vêtement pouvait renfermer comme autre odeur intime.

Je faisais glisser l’étoffe de dentelle sur les poils de mon sexe. Cela m’électrisait et me faisait bander encore plus fort. Je ne pouvais contrôler les mouvements de ma main. La petite culotte noire vint se placer sur mon gland. Plus tard, je réussis à la positionner de façon à ce que l’élastique passe sous mes couilles, remontant autour de ma verge, et m’enserrai le gland. Ainsi emprisonné, serré, avec la dentelle qui augmentait la fusion de mon érection. J’avais calé son vêtement si intime autour de ma queue et je me branlais activement dans cette situation.


Tout à mon imagination, j’aurais voulu que Cécile-Marie me voie dans cet état. J’aurais tellement aimé qu’elle me surprenne dans son garage au beau milieu de mon plaisir solitaire… Je voulais cela. Devrais-je tout lui raconter à son retour. Elle exigerait probablement la preuve de ma jouissance. Qu’adviendrait-il ensuite ? Je ne lui dirai rien…

Je ne tenais plus, mon plaisir montait très vite, très fort. Il était accentué par les situations imaginaires que je me représentais, et par le contact assez fin de sa lingerie sur ma tige. J’explosai. J’avais recouvert le bout de mon gland avec un pan de tissu laissé libre de sa petite culotte.


Je libérai en même temps la tension de l’élastique autour de mes bourses et la base de mon bâton de chair, tout en me frictionnant la queue à toute vitesse, je me vidai, en inondant la lingerie toute noire de Cécile-Marie de mon nectar bien blanc.


J’ai mis quelques minutes à m’en remettre. J’avais presque réussi à contenir toute ma semence dans les plis et vagues de son tanga. Je ne savais pas quoi faire de ma bêtise. Où cacher cela ? Si j’avais eu les clés de la maison, pour lui laisser un indice, aurais-je eu l’audace de déposer mon forfait sur sa table de chevet ?


Rien de tout cela n’est jamais arrivé, bien sûr. C’est un pur fantasme. Mais j’imagine souvent un petit tanga noir sur les hanches de Cécile-Marie… ornant magnifiquement son corps désirable.




Flagrant délit



J’avais convenu avec Cécile-Marie de relater mes fantasmes par écrit. Elle ne souhaitait pas franchir le pas avec moi. Nous avions eu de nombreuses et longues « conversations » par texto et je lui avais proposé d’écrire ce que nous aurions pu vivre simplement. La suite est donc rédigée par Cécile-Marie, en réponse à mon premier récit :


À la fin de son premier mail où il me relatait l’histoire de sa branlette dans mon tanga, Fred m’avait demandé d’imaginer une suite, dans l’éventualité où je l’aurais découvert debout en plein plaisir solitaire.


Cet après-midi-là, donc, je rentrais des courses et avais prévu un petit goûter pour mon ouvrier.

Je n’ai pas trouvé Fred dans le jardin et en repassant dans le garage, sans vraiment faire attention à ne pas faire de bruit, je trouvai Fred debout de profil entre le cellier et le garage. Il avait les yeux clos, un rictus de plaisir déformant son visage, adossé au bâti de porte. Il ne m’a pas vue et en silence, je regardai la scène et m’aperçus très vite qu’il tenait son sexe dans sa main droite, enveloppée d’une étoffe dont j’ignorai encore l’origine.


Je percevais dans ses soupirs qu’il prononçait mon prénom et que, sans ambiguïté, il se masturbait, me croyant absente.


Il faut dire que j’en pinçais un peu pour lui. Je trouvais souvent un prétexte pour qu’il me rende visite : donner un devis de travaux, organiser les matériaux, le comment procéder, réalisation des travaux, SAV…


Physiquement, je n’ai pas de type d’hommes, c’est au feeling comme on dit. Et avec Fred, le feeling était assez bon. Il y a quelques jours, j’avais avoué avoir des « PC », et je menais ma vie comme ça depuis mon divorce. Cela l’avait mis dans un sacré drôle d’état, le petit biquet ! Il était devenu rouge pivoine. Sûrement même qu’il a ressenti de choses plus bas dans son corps…


Bref, s’en sont suivies des discussions enflammées par texto et Fred m’avait avoué ressentir de belles choses pour moi (niveau attirance, désir…), et il m’avait flattée et complimentée régulièrement depuis ce moment.


Notre relation de patronne à ouvrier n’a pas trop changé dans le temps. On se respectait beaucoup.

Je n’avais jamais rien tenté dans le jeu de la séduction avec lui, il est MARIÉ bordel ! S’il ne l’avait pas été, il aurait déjà fini dans mon lit, et tout y serait passé avec lui… mais là, j’étais un peu coincée !

Par texto il m’avait même avoué se taper des films me concernant : « il travaille dehors, je lui propose de me passer de la crème solaire…

Et moi d’extrapoler : « où je t’amène un verre d’eau, oups je renverse sur mes seins, à travers mon tee-shirt dans le chalet de jardin… et hop, un vieux fantasme… »


Bref, donc de le voir là, le short de travail baissé sur les genoux, le visage crispé, la queue emmitouflée dans une de mes culottes (je ne l’appris que plus tard)… eh ben, ça m’a bien émoustillée quand même.

Fallait-il intervenir pour le gronder ? L’accompagner ? Le virer ? Faire semblant de rien, faire du bruit en rentrant… il remballe tout vite fait, et hop on en parle plus !


Non, j’avais envie de m’approcher. Il a répété encore plusieurs fois mon prénom, de plus en plus fort et tirant de plus en plus vite et fort sur son sexe. Je sentais mon corps frémir et réagir… Ça fait quand même plaisir de le savoir se branler en disant mon nom. En m’imaginant, il se donnait du plaisir.

C’était très, très flatteur pour moi. J’en avais assez l’habitude avec mes « PC », qu’on fasse des tas de choses coquines. Mais là, de surprendre cet homme dans cette situation, c’était une première et je me devais d’en profiter !


Oui, il était marié. Oui, il m’avait dit que sans pénétration, cela ne correspondait pas à de l’adultère… Sa femme penserait sûrement autrement !


Je m’approchai pour voir de plus près. Je ne vis que le gland qui dépassait du tissu noir. Sans faire de bruit, je me suis approchée encore pour placer ma main sur ses testicules… Il a sursauté avec violence, a failli basculer, mais il est resté adossé à la porte en me regardant dans les yeux. Je lui ai souri, mais mon regard et mes légers tremblements trahissaient mon état d’excitation.

Il a voulu se reculer et se rhabiller, mais j’avais maintenant pris la place de sa main et je le retenais par la queue ! Cela me plaisait de l’avoir dans ma main… Il avait un sexe de taille normale, tout comme il faut. Peu importe la taille pour moi, ce n’est pas l’important !



Je n’avais pas envie d’aller trop vite… on voulait du sexe tous les deux. Mais comment prendre du plaisir sans aller trop loin ?

D’autant plus que de mon côté, le savoir à ma merci, sa bite dans ma main, ma propre excitation en train de poindre dans ma petite culotte… J’avais aussi envie de me soulager.



Ni une ni deux, on a foncé au salon, je l’ai invité à se déshabiller et j’en ai fait de même sans réfléchir.

J’ai juste gardé ma culotte et me suis allongée confortablement dans le canap’ en face de lui.

Fred m’a regardé avec beaucoup de désir. Il n’avait pas retouché son sexe. Je le gobais des yeux, j’étais en feu de le voir là, offert devant moi. Je ne mis pas longtemps à plonger ma main sur mon pubis, vite entrée dans ma culotte, jambes écartées. J’ai ouvert mon sexe entre mes lèvres intimes… et je me suis masturbée en le regardant dans les yeux.



Il avait raison, le pauvre, lui était sans pudeur, les belles boules pleines entre ses jambes, le dard vers le plafond, je ne manquais rien du spectacle… et moi, je me cachais ! Non, il avait raison, je voulais tout lui montrer… Je me suis levée et j’ai fait glisser mon dernier rempart à mes chevilles pour vite me recaler dans les coussins du canapé.


J’ai remis ma main sur ma vulve juteuse. En lui laissant un bref instant la possibilité de voir mon intimité ruisselante de mon désir. Il me mettait dans un bel état… Je voulais jouir devant lui, sans retenue, m’offrir presque, à distance, sans aucun contact… mais qu’il ressente ce que je prenais comme plaisir comme si c’était lui qui me l’avait donné.


Comme d’habitude j’ai glissé sans peine deux doigts dans mon sexe pour me masturber, en même temps que mon pouce trifouillait mon clitoris très sensible.

Fred avait remis ma culotte du jour autour de sa verge et j’ai compris comment il s’y prenait. Cela était une sorte de procuration. Il jouirait sur ma culotte…


On alternait les regards brûlants l’un sur l’autre, on exprimait bruyamment notre montée en température. Mon volcan rentrerait en éruption dans peu de temps, je le savais. La situation était très érotique. Il y aurait eu des caméras, on se serait cru dans un film pour adultes…


Je voulais voir Fred jouir… qu’il inonde sa main, ma culotte de son jus, de son sperme.

J’ai accéléré les allers-retours de mes doigts en moi et lorsque l’orgasme s’est déclenché, je savais que Fred n’en perdrait pas une miette… Je me suis convulsé dans tous les sens sur le canapé devant lui, sans pitié, sans pudeur, faisant encore aller et venir dans un clapotis mes doigts, ma main entre mes jambes. J’en avais mis partout… Fred était subjugué par ce que je venais de lui montrer.


Il a profité des derniers soubresauts de mon corps et a attendu que je me calme un peu pour reprendre les frictions sur son phallus. Je l’ai encouragé en le regardant bien faire, je lui ai dit que j’aimais ça. Qu’il envoie tout, je voulais le voir fondre de son plaisir contenu et que j’avais sûrement sauvé in extremis tout à l’heure en le surprenant dans le garage.


Il n’a plus fermé les yeux, il avait l’objet de ses désirs nocturnes devant lui. J’étais le corps nu qu’il voyait chez lui, en s’imaginant pouvoir me satisfaire, me faire l’amour… Je suis sûre qu’il pensait à moi lorsqu’il baisait sa femme…



Je n’ai pas eu le temps de finir de l’encourager… Il était parti la tête en arrière, les jambes tendues, orteils crispés. Il a giclé droit, il s’est vidé devant mes yeux excités… il avait royalement arrosé son pubis de plusieurs salves de son sperme… J’aime voir un homme jouir…


Il a rougi, tel un enfant faisant une bêtise. C’était touchant de le voir comme ça. Il s’était livré devant moi et nous avions vécu un instant unique, une jouissance partagée, l’un en face de l’autre, sans avoir l’idée de tromperie ! Tu m’étonnes !


Je me suis levée la première pour aller en cuisine et je lui ai balancé un rouleau d’essuie-tout. L’instant d’après, je montai me rafraîchir dans la salle de bain…


Pendant que je rangeais les courses, Fred avait largement repris le travail pour lequel il était là et la fin de la journée se passait comme si de rien n’était.


Je me souviendrais longtemps de ce moment…