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n° 20048Fiche technique34583 caractères34583
Temps de lecture estimé : 20 mn
07/02/21
Résumé:  Faire la vidéo d'un spectacle de danse peut conduire à d'étonnantes découvertes.
Critères:  fh cadeau nympho fépilée bizarre revede voir exhib vidéox fetiche cunnilingu pénétratio -fétiche
Auteur : Roy Suffer  (Vieil épicurien)            Envoi mini-message
Givrée




J’avais accepté de filmer en vidéo le spectacle de fin d’année d’une école de danse. Ces petites associations ont beaucoup de mal à vivre malgré les abonnements aux cours, et le spectacle est un moyen de faire un peu d’argent, quoique l’essentiel des spectateurs soit composé des familles. Et puis il faut aussi faire un peu de publicité, payer la location de la salle, alors, alors… Vendre des cassettes du spectacle représente un complément non négligeable.


Je dispose au boulot de trois caméras, j’en emprunte une supplémentaire et j’installe mon matériel pendant les ultimes répétitions sur scène, le « filage » comme ils disent. Une fixe en surplomb sur le balcon, le son connecté à la sono de façon à disposer d’une trame étalonnée permanente, deux autres fixes de part et d’autre de la scène et à niveau, et une mobile sur mon épaule. Je me réserve la possibilité de faire des gros plans, des vues depuis les coulisses, des plans au niveau du sol, etc. L’heure approche. Quelques vues de l’arrivée des « petits rats » portant tutus et déguisements, pâles d’anxiété et de trac, un rapide passage dans les vestiaires sans insister (faut pas faire voyeur !) et l’entrée progressive des spectateurs. Puis je monte dans mon perchoir pour déclencher la « une » dès que le noir se fera, je descendrai plus tard déclencher les latérales. Comme toujours, ce sont les plus jeunes en premier, qui me font immanquablement penser aux « petits canards patauds » de Nougaro. Les deux ou trois égarés me donnent l’occasion de plans assez comiques mais pleins de tendresse. Et la suite des niveaux s’égrène tranquillement, le niveau technique monte en même temps que le nombre de garçons diminue, les formes des jeunes filles s’affirment et même le groupe des adultes ose une prestation très applaudie. Tout le monde a ainsi fait « sa » présentation avant l’entracte. Pause, je change les cassettes.


Le spectacle proprement dit commence après l’entracte, avec un peu de décor, des costumes, une musique choisie, un scénario, une chorégraphie. Tout le monde y a sa place, ne serait-ce que pour un peu de figuration ou pour agiter l’immense bande de satin bleu qui représente la mer. Et dans cette vague histoire d’amour, d’enlèvement, de pirates et d’île perdue, les filles extrêmement majoritaires doivent parfois jouer des rôles masculins et parfois même plusieurs rôles. Je fais quelques gros plans sur un pirate parfaitement réussi, qui se débrouille très bien avec sa fausse jambe de bois. La prestation doit être assez pénible, la jambe repliée doit être attachée à la cuisse, pointe tendue, et le tout camouflé dans un pantalon large de zouave. Seul mon zoom permet de voir la fausse moustache dessinée au crayon, et la jeune fille parvient à virevolter sur sa prothèse en moulinant de son faux sabre, le tout en mesure. Chapeau, je suis impressionné.


Après l’’île enchantée, l’enlèvement par les pirates, le troisième acte est celui de la vente des esclaves. Des belles enchaînées tourbillonnent en montrant leurs peines et leurs souffrances et le spectacle se poursuit par l’exposition des captives sur un podium. La plus récalcitrante se rebelle dans un premier temps puis est traînée sur toute la scène par deux sbires, fouettée (faussement), son corps accusant chaque coup par de splendides contorsions. Puis, au moment d’être vendue à un riche marchand, on lui arrache soudain ses voiles et son corps apparaît entièrement nu, du moins en apparence, avant que les projecteurs ne s’éteignent. Dans mon viseur, je vois bien qu’elle est malgré tout vêtue d’un collant intégral et d’un string couleur chair posé sur un mont de vénus proéminent, et j’ai reconnu dans cette remarquable prestation le pirate de tout à l’heure. Je n’ai pas perdu une miette de cette scène magnifiquement interprétée, par une fille au corps sublime bien qu’un peu voluptueux pour une danseuse. Elle ne sera sans doute jamais professionnelle et c’est dommage car… quel talent et quelle beauté !


Dans l’acte suivant, elle tient encore la vedette en assassinant l’homme qui l’avait achetée et auquel elle refusait ses charmes. Le final est réservé à la prof qui doit bien montrer aux parents qu’elle sait de quoi elle parle quand elle enseigne la danse. Un de ses amis danseur lui tient lieu de partenaire, essentiellement de porteur pour de belles envolées et accessoirement de prince qui, à sa demande, va délivrer toutes les esclaves prisonnières. Ovation, applaudissements sans fin, fleurs, pluie de confettis, tout y est pour un superbe final. Je plie bagages, on va tous boire un pot, il ne me reste plus qu’une petite semaine de montage et une autre pour les copies. Je m’empresse de féliciter chaleureusement la « pirate-assassin », la jeune femme en rosit, elle est charmante et passe la soirée près de moi, ce qui m’enchante et fait grimacer la prof qui revendique la vedette.


Je me fais un montage assez simple avec des consignes claires : il faut que les parents puissent bien voir leurs rejetons. J’alterne donc les plans de mes trois caméras fixes et j’insère des gros plans de chacun, en n’insistant pas trop sur les bourdes des tout petits. Je sépare clairement les deux parties, présentation des sections et spectacle final, sur lequel je me régale. Et là, le doigt sur la molette de la console de montage, je me fais des ralentis, des pauses, des retours arrières sans fin sur cette magnifique nana, notamment sur le bref instant où elle apparaît totalement nue ou presque. Nom de Zeus, ce que cette fille est bien gaulée ! Certes, elle a un peu trop de formes pour être une danseuse pro, mais… quelle poitrine, quelles hanches et quel cul ! J’en suis fasciné. Tellement, que je me décide à faire une cassette à part, rien que pour moi, ou éventuellement pour elle aussi.


Je me concocte donc un petit montage particulier, usant de tous les artifices à ma disposition (gros plans numériques, images multiples, ralentis, images fixes, etc.) ce que facilite le fond généralement noir de la scène. Le résultat est d’un érotisme étonnant, et je bande (pas magnétique) comme un âne en me le passant et le repassant. Comme la prof m’a prêté son registre pour faire le générique, il faut que tous les noms y soient, je trouve facilement ses coordonnées. Je l’appelle, nous prenons rendez-vous pour visionner cette cassette ensemble. J’en suis tout excité.


Elle me reçoit un soir après le travail dans un petit appartement sobre mais coquet, elle porte une… robe d’intérieur de satinette bleu nuit qui la moule parfaitement, et dispose d’un assez bon téléviseur et magnétoscope. Le montage défile, les images me suggestionnent à nouveau, amplifiées par la présence de l’original à mes côtés. Quand la séquence est terminée je questionne :



Bon ben… Pour un flop, c’est un sacré flop ! Je ne veux pas paraître vexé, mais je sens bien également que nous risquons de ne plus avoir grand-chose à nous dire. Je propose donc de me retirer, ne voulant pas m’imposer. Pas question me dit-elle, mon effort, malgré tout louable, mérite d’être récompensé. Je me sens donc contraint d’accepter, pas très à l’aise cependant. Habituellement, mon travail est plutôt mieux reçu, et en plus là je m’étais surpassé, parvenant à rester synchro avec la musique malgré tous les trucages image. Grrr ! Apéritif. Préférant le whisky dont je m’envoie deux doses d’homme, elle s’ouvre une demi-bouteille de champagne brut rosé qu’elle écluse dans le même temps à elle seule. Dîner japonais, rosé, saké. L’alcool me détend et la rend plus volubile. Très, même. Car arrive le moment des confidences plus intimes…



Elle m’invite jusqu’à sa chambre, et je me dis que c’est là que les Athéniens s’atteignirent, qu’elle en fait un peu beaucoup pour en arriver là et que c’est bien la première fois qu’on me fait ce coup-là. Mais non, c’est bien plus grave que je ne pense. La chambre est certainement la plus grande des pièces de l’appartement, probablement qu’elle avait échangé les fonctions entre le living et la chambre. Au pied du grand lit de satin bleu, il y a comme une petite chauffeuse dont on aurait scié en partie les pieds arrières et un guéridon. Sur le mur d’en face, un grand miroir et au plafond un spot, un vrai spot avec lentille et tout, braqué sur le petit fauteuil bizarre. La belle retire sa robe longue en la retournant comme une peau, de bas en haut, et apparaît dans le plus simple appareil, sans collant ni string cette fois. Le geste soulève la lourde poitrine qui a deux superbes rebonds élastiques, elle est bien plus belle et drue que plaquée par des mailles de nylon.


L’objet de notre discussion se montre également : un superbe mont de vénus, effectivement très développé, parfaitement glabre de toute pilosité. Bien que je n’apprécie guère les femmes rasées, on dirait de fausses petites filles et je ne me sens absolument pas pédophile, je dois admettre que cette vulve dilatée est magnifique de pureté de lignes : un galbe parfait, avec à son exact centre une petite dépression parfaitement circulaire, se prolongeant vers le bas par la ligne d’un creux à la régularité sans défaut. La peau, claire sans être laiteuse, ne porte ni marque, ni granulation perceptible, ni même de quelconques nævus. Seule, en bas, s’échappe une crête brune de peau plissée, comme la dentelle d’un jupon dépassant un peu d’une robe. Splendide.

La belle se dirige avec grand naturel vers la chauffeuse en me lançant :



Bien que commençant à bander, mais après tout ne sommes-nous pas là pour ça, je m’exécute en la regardant s’installer, cuisses largement ouvertes sur son petit siège. D’une main, elle s’empare d’une paire de jumelles de théâtre posée sur le guéridon et regarde vers le miroir. Le spot lumineux inondait son entrecuisse d’une lumière crue, tandis que le reste de la chambre baigne dans une douce pénombre. L’amoureuse de sa chatte contemple l’objet de ses sentiments en gros plan dans le miroir, le frôlant délicatement des doigts de son autre main.



Je trouve un angle qui n’altère ni le spot, ni la trajectoire des jumelles, et observe comme un imbécile une chose déjà vue mille fois, même si elles sont toutes différentes, sauf chez les vraies jumelles. Sous l’écartement des cuisses et les voluptueuses caresses, la vulve s’ouvre peu à peu, laissant s’épanouir les petites lèvres comme deux ailes de papillon. Effectivement, leur couleur est assez rare : les bords sont bruns, très bruns même en pleine lumière, contrastant prodigieusement avec le blanc de la peau des grandes lèvres et le rose vif de ce qu’elles commencent à dévoiler. Certes, il s’agit d’une très belle chatte, plutôt originale, mais de là à la mettre ainsi en scène, il faut bien être un peu frappadingue. Et le discours va de pair :



Bon, ça va durer encore longtemps cette comédie ? Remarquez, je ne m’ennuie pas, mais c’est comme avoir faim et n’avoir que le droit de regarder le menu, ça finit par agacer. Je m’approche donc doucement, tendant bien les lèvres pour éviter tout contact avec ma pilosité.



Je recommence, deux ou trois fois, de façon un peu plus appuyée, sans déclencher de protestation. Je m’enhardis donc et lance le bout de ma langue au contact de la muqueuse. Double surprise : d’abord le goût, sucré et anisé, étonnant ; ensuite un coup de jumelles sur la tête et l’admonestation.



Je lèche donc, déclenchant de beaux écoulements, acidulés par le bonbon. Je lape, je fouille, j’agite, je varie la forme, pointue, large et plate, gonflée… La grotte rose est maintenant largement ouverte et palpite sous mes coups de langue, sa maîtresse ronronne, tout va bien. Mais pendant ce temps-là, je bande comme un bourricot et rien ne semble se profiler en termes de soulagement. Malgré tout, je demande poliment :



J’y replonge, lutinant délicatement le petit capuchon dont l’occupant se dilate, puis je file titiller la petite rondelle plissée non sans être passé constater que la production de cyprine devient constante. Cette fois, des contractions agitent le secteur. L’anus et le vagin palpitent en chœur, et je perçois également contre mes joues quelques vibrations dans les cuisses.



Ben tiens, ma salope, t’es foutue de partir à dame et de me laisser la bite sous le bras. De crescendo en crescendo, maintenant j’y vais franco, aspirant doucement le clito entre mes lèvres pour mieux le pincer et le fouetter de ma langue, pénétrant autant que possible la grotte chaude et humide, tentant également quelques poussées de la pointe sur la petite rondelle fripée. Je quémande à nouveau :



La réponse fut immédiate et j’y perçus quelque impatience. Deux doigts en demi-cercle pour mieux dégager le bouton maintenant tout dur et érigé, un autre en visite sur la face interne du vagin, sur cette petite zone fripée elle aussi et si sensible. Tiens, comme par hasard, un doigt de la même main traîne sur la petite rosette et lui inflige en même temps le même traitement. Là-haut, ça ne ronronne plus, ça grogne, ça gémit, ça respire bruyamment, la température monte. Je sens bien que l’extase est proche, donc je m’arrête, histoire de la faire languir un peu, soit en parlant au divin minou, soit pour demander une autorisation, par exemple si elle voudrait bien faire un bisou sur mon gland. La belle remonte en pression de plus en plus vite, et le simple fait de promener le bout de mon gland le long de son vestibule semble la rendre folle. Elle agite tout son bassin, tentant vainement de s’empaler sur le dard tendu. Pas question, je n’ai pas la permission pour l’intromission, répond le chargé de mission ! Alors, hors d’elle, elle se lève d’un bond, me force à me relever et me pousse furieuse sur le lit, en travers duquel je chois sur le dos. Puis elle plonge sur mon sexe en proclamant :



Elle embouche mon pénis dressé avec gourmandise, à quatre pattes sur le lit, cul levé vers le miroir. Elle suce bigrement bien la bougresse et, compte tenu de mon excitation, il ne faudrait pas que ce petit jeu durât trop longtemps, sinon sa minouchette va rester à la diète et c’est sa maman qui va tout boire. Dans le miroir je m’aperçois d’un phénomène extraordinaire. Probablement que sa position a dû lui contracter un peu le ventre, quoi qu’il en soit une magnifique bulle de cyprine s’est formée sur sa moule béante. Et pas une petite, une belle grosse bulle ovale, suivant les contours des petites lèvres, irisée, bien gonflée, avec une grosse goutte de cyprine à sa base. Je m’extasie, lui intime de regarder par-dessus son épaule, elle n’en croit pas ses mirettes et glapit :



Je roule jusqu’au guéridon au pied du lit, près de son fauteuil spécial, et là, au milieu d’une belle collection de godemichets de toutes sortes, je trouve un petit Canon numérique à objectif érectile. La bulle tient, très bien même, bien mieux que celles en savon. J’ai le temps de prendre une douzaine de clichés, de lui demander de se contracter un peu plus, ce qui fait passer la bulle des petites lèvres aux grandes, bien humides de mes léchouilles, et lui donne une ampleur encore jamais atteinte. J’ai le temps également de lui passer ses jumelles, qu’elle puisse observer le phénomène au mieux et le commenter :



Il ne faut pas me le dire deux fois dans l’état où je me trouve. Je pointe, j’avance, la bulle ne se crève pas tout de suite mais admet mon gland lui aussi très humide, et c’est le contact de mon pubis velu qui fait exploser ce miracle en une myriade de gouttelettes qui nous éclaboussent. Il n’empêche que j’ai franchi le Rubicon et embroché la foufoune, si belle fût-elle, tirant de sa propriétaire un rugissement de fauve en rut. Et dieu sait qu’en levrette on peut aller loin, je touche le fond et le repousse un peu, percevant le bourrelet dur du col de l’utérus. Un délice. Je bourre, lentement mais sûrement, tandis que ma partenaire n’en perd pas une miette, ayant conservé ses jumelles sur les yeux. Rien n’excite plus une femme que de voir, en même temps que de ressentir, j’en ai maintes fois fait l’expérience. Alors je lui montre bien ce qui entre en elle, sortant complètement puis pénétrant d’un trait jusqu’à la garde. Elle balbutie :



Sa voix chevrote un brin. Je laisse échapper un long filet de salive bien centré sur le petit œil qui me regarde depuis le début et y enfonce la première phalange de mon pouce.



Je me penche sur elle pour saisir de l’autre main le petit bouton et le massacrer délicatement. Les jumelles sont oubliées, les mains se crispent sur le couvre-lit de satin, le feulement de la bête venu de temps immémoriaux s’élève dans la chambre, j’intensifie la charge et cette folasse se tétanise et s’évade sur une première vague de jouissance. Tellement qu’elle s’effondre à plat-ventre, moi toujours en elle, clitoris toujours prisonnier, seul l’anus a été libéré pour raison pratique. Mes jambes écartent encore plus ses jambes, mon bassin poursuit frénétiquement ses oscillations et mes doigts leur roulement latéral. Oui je sais, en rajouter juste après l’orgasme c’est insupportable. Elle voulait de la bite, elle en a.



Elle est écarlate, plus en sueur encore que moi. Je continue de la labourer en règle, tâchant de garder le rythme car, au moindre changement, je peux moi aussi partir au pays de l’orgasme. Outre sa folie douce pour sa chatte, je suis en train de me taper une superbe fille, c’est ce que me dit le miroir, et c’est plutôt plaisant. Je ne me suis pas encore occupé de ses seins alors, tandis qu’elle vocalise maintenant dans les suraigus, j’empoigne ses hanches et la redresse sur ses membres pour saisir les gros globes ballottant. Je masse, je presse, je pelote, je roule les pointes entre mes doigts, je claque les bouts de gifles latérales.



Alors je claque aussi le fessier dodu que j’embroche en lui intimant de se taire. Non mais ! Elle s’étrangle, crie « oui » après chaque claque, froisse les draps, frappe le matelas, hoquette, agonise et repart au septième ciel. Cette fois, je m’offre un canter final et je la rejoins dans les étoiles, abreuvant la somptueuse foufoune de jets copieux. Nous choyons épuisés. Mais enfin détendus. Il est à peine minuit, je choisis de rentrer malgré ses suppliques, car dieu sait par quelles élucubrations elle voudrait encore me faire passer. Mine de rien, je suis un peu sur les rotules, et douche-dodo-douche est le sandwich qui m’est urgemment nécessaire…


Quelques jours plus tard, ayant pu retravailler les fameuses images de la bulle pour en faire deux tirages 50x60 assez convenables, je reprends contact pour tenir promesse de cette séance photo et, à l’occasion, vider mes gonades. Elle s’extasie devant mes tirages, et surtout devant l’extraordinaire performance de sa minouchette, et cherche aussitôt les bons emplacements dans le temple évidemment, c’est à dire sa chambre. Comme je lui propose de commencer par un restaurant, elle accepte en m’offrant un whisky, « le temps de nous maquiller pour sortir »… Je l’entends effectivement bricoler dans la salle de bains, puis en sortir pour aller à la chambre et pense qu’elle s’habille. Mais au bout d’un long moment d’attente vaine et silencieuse, je furette aux renseignements. Mademoiselle est sur son trône, au pied du lit, de dessous lequel elle a sorti un de ces miroirs grossissants fixé sur un bras articulé. Je n’en crois pas mes rétines : elle est en train de passer du blush au pinceau autour de sa foufoune, légèrement surlignée d’un trait de crayon. Elle est vraiment givrée comme un vieux congélateur pas entretenu ! J’en profite :



Elle ouvre la boîte que je lui tends, et je vois bien à sa moue qu’elle est un peu déçue. L’objet semble banal. Il s’agit d’un godemichet assez peu volumineux, assez souple au contact, très doux, mais dont la forme très étudiée permet de le porter sans problème (paraît-il) toute la journée. Une fois en place, il tient tout seul, et il ne dépasse qu’une sorte de doigt qu’il faut orienter correctement sur le clitoris. Elle accepte de le mettre en place, mais vraiment pour me faire plaisir et honorer mon présent. Ce qu’elle ignore, c’est que je détiens dans ma poche la télécommande de ce petit bijou de technologie japonaise qui m’a coûté un bras. La chose peut en fait gonfler, se tortiller, donner des secousses, vibrer en plusieurs endroits (clitoris, point G, corps entier), d’intensité réglable par curseur et bien évidemment tout à la fois. Comme elle n’enfile ensuite qu’une robe fourreau, je crains moi aussi que l’objet ne tombe en marchant. Mais pas du tout, tout semble rester en place sur les quelques dizaines de mètres qui nous sépare de la voiture.



Dans la voiture, elle ne fait qu’une remarque significative :



C’est vrai qu’elle a l’air d’être bien, enjouée, même. Lors de la seconde marche vers le restaurant, j’intensifie un peu le mouvement, phase deux du programme. L’engin est sensé maintenant gonfler un peu, ajouter de légères palpitations aux imperceptibles contorsions. L’auberge est charmante, en campagne, avec poutres et feu de cheminée, nous sommes presque seuls et je sais la table exquise. Elle ne dit rien mais toussote beaucoup pendant la lecture du menu.



Une coupe pour patienter, un blanc moelleux avec le foie gras de l’entrée, un puissant Côtes du Rhône avec l’agneau en croûte de pain d’épice, des étoiles illuminent le regard de ma partenaire, et ce ne sont pas que les reflets du feu de bois. Le programme doit avancer avec le temps et l’engin ne va pas tarder à commencer de vibrer. Chaque plat est pour elle l’occasion d’émettre des bruits de satisfaction et des commentaires ambivalents :



Au moment de payer, j’en profite pour jeter un coup d’œil sur l’afficheur numérique, nous sommes en phase cinq. Je pousse le curseur à sept (sur dix). Ce qui est sympa, c’est que la montée est progressive et ne surprend pas la dame par des à-coups violents. Elle s’accroche à mon bras jusqu’à la voiture, pouvant à peine marcher :



Elle en profite pour retrousser sa robe au-dessus des hanches, et moi je profite de ses jambes fabuleuses. Conduire une vingtaine de kilomètres auprès d’une femme qui gémit sa jouissance et se tortille sur le siège du passager est une aventure inédite. Arrivés en ville, les réverbères balayent de lumière orangée les superbes cuisses, tantôt croisées, tantôt ouvertes de mon intenable passagère. J’ai poussé le curseur à fond depuis quelques minutes et, aux feux, je perçois le ronronnement de l’engin qui vibre à pleine fréquence. La jeune femme tétanise à plusieurs reprises, quelques passants nous regardent bizarrement. Pas besoin d’autoradio, cette fois elle me chante la Traviata. Le bazar doit être à fond, et il alterne vibrations, secousses, reptations et gonflements, ne laissant aucun répit mais variant les effets suffisamment pour ne pas saturer les sensations. En s’arrêtant devant chez elle, elle redescend du septième ciel pour la quatrième ou cinquième fois, les yeux injectés de sang et bordés d’une lourde reconnaissance. Je sors la télécommande, arrête l’engin et la lui remets, afin qu’elle dispose du kit complet.



Mais elle décide qu’elle et sa chatte sont trop fatiguées ce soir, que ce soit pour poser ou pour autre chose. Voilà comment on repart avec la bite sous le bras ! Allez donc essayer de faire plaisir…